25/02/2011
Saint-Valentin : Que serait une vie sans Amour ?
Saint-Valentin : Que serait une vie sans Amour ?
mondeactu.com/.../saint-valentin-que-serait-une-vie-sans-amour-9945.html -
21:17 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO., PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) |
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19/02/2011
Puiser à la source de Guy Gilbert.

Puiser à la source de Guy Gilbert
Référence : bl20111902spi
Auteur : Bruno LEROY
Thème : Spirituel
Date d'édition : 19/02/2011
Nombre de pages : 3
Veuillez cliquer ou sélectionner sur le lien ci-dessus :
Bonne lecture !
11:23 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) |
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24/04/2010
LE SILENCE UN AMI QUI VOUS VEUT DU BIEN.
18:56 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |
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25/10/2009
LUTTER CONTRE LES EXCLUSIONS.
10:49 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |
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06/07/2009
La mort de Jean Cardonnel.
Jean cardonnel en janvier 2008
© France 3Le père dominicain s'est éteint à Montpellier à l'âge de 88 ans. Il était une figure de la contestation et de mai 68.
Jean Cardonnel est mort à Montpellier, le père dominicain était hospitalisé depuis plusieurs semaines. Cette figure libre de l'Eglise avait été expulsée de sa cellule en 2002 et était en procès avec le prieur des dominicains de Montpellier. L'une de nos équipes l'avait suivi en février 2008.Interdit de parole et d'écriture en 1968, après la publication de son livre :"Dieu est mort en Jésus-Christ", il ne cessera de prêcher entre Evangile et Révolution. Il était né en 1921 à Figeac dans le Lot, entré aux dominicains en 1940 et ordonné prêtre en 1947. A l'âge de 30 ans , il est élu supérieur au Couvent de Marseille et soutient le mouvement des prêtres ouvriers. En 1958, il entre au couvent de Montpellier et son prêche dénoncant la torture durant la guerre d'Algérie le contraint à partir. Il a enseigné la théologie au Brésil et sera dans les années 68 l'une des figures du mouvement contestataire.

Il avait été expulsé de sa cellule des Dominicains en 2002 et avait mis l'affaire devant la justice. Le père Cardonnel a obtenu gain de cause le 5 mars 2008. Michel Mathieu le prieur de l'époque avait été mis en cause par le père dominicain. et il a été condamné pour violation de domicile à 1.000 euros d'amende. C'était la première fois qu'une cellule est considérée par la justice, comme un domicile.
Il est mort, samedi 4 juillet vers 22 h 00 à la clinique du Parc à Montpellier.
Un contestataire surnommé le "Prêtre rouge" :
Militant soixante-huitard à la Mutualité, féministe convaincu, le défenseur des prêtres-ouvriers, porte-parole des pauvres au Brésil et pourfendeur de la torture en Algérie, est mort samedi soir, a précisé une source proche de la clinique où il était hospitalisé depuis plusieurs semaines.
Pendant 44 ans, de 1958 à 2002, Jean Cardonnel, électron libre de son ordre, avait fait du couvent des Dominicains de Montpellier son quartier général, militant contre les "hypocrisies" de l'Eglise et prônant sa "dé-romanisation" au profit d'une "évangélisation de Dieu".
En 2002, Jean Cardonnel était parti se reposer à la Réunion, une habitude prise dans cette île où il avait fait scandale en célébrant une messe dans l'ancien cimetière des esclaves. A son retour, le couvent avait vidé sa chambre en l'envoyant demander asile chez les religieuses de l'Ange gardien à Quillan (Aude), où sont accueillis des enfants maltraités.
Le prêtre estimait alors avoir payé le prix de sa "libre parole" tandis que le couvent niait l'avoir mis à la porte, évoquant un départ volontaire.
Trois ans plus tard, Jean Cardonnel avait stigmatisé une "homosexualisation croissante" de l'Eglise en lui reprochant d'avoir fait de la femme "l'incarnation du démon", dans un livre brûlot intitulé "Verbe incarné contre sexe tout puissant". Le couvent de Montpellier avait déploré "délire" et "mensonges".
http://sud.france3.fr/info/languedoc-roussillon/La-mort-de-Jean-Cardonnel-55902272.html
13:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |
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20/05/2009
Tu as déjà ouvert les chemins.
[DOC]
Tu as déjà ouvert les chemins
la Vraie Vie, celle que l'on trouve en perdant la sienne, avec toi, grâce à toi, Ô maître de l'impossible ! Amen ! Bruno Leroy (éducateur de rue) ...
pastorale.ec56.org/IMG/doc/prieres_a_l_esprit.doc -
10:04 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |
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19/05/2009
AVENIR ET ESPÉRANCE CHRÉTIENNE.
[DOC]
AVENIR ET ESPERANCE CHRETIENNE
Bruno Leroy, éducateur de rue. Nous non plus, nous ne ferons pas l'économie de la lutte et de la souffrance dans un monde marqué par le péché et le mal et ...
www.communion-jericho.com/liens/4810f89fd9206_
19:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |
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25/04/2009
Libérer ceux qui sont opprimés.
[PDF]
libérer ceux qui sont oppri- més, persecutés, victimes d'injustice ...
Bruno Leroy. Bulletin d' information et de sensibilisation n°5, libérer ceux qui sont oppri- més, persecutés, victimes ...
www.liberar.info/bulletinfr5.pdf -
16:07 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite, spiritualite de la liberation |
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29/03/2009
QUESTIONNAIRE DE PROUST DE BRUNO LEROY.

Le bonheur parfait selon vous ?
Rencontrer l'Absolu devant un paysage somptueux, dans une poésie où l'âme parle, dans le silence de Dieu. Et surtout, dans le sourire d'un pauvre mec qui ne croyait plus en la Vie ou celui d'un enfant Heureux.
Qu'est-ce qui vous fait lever le matin ?
L'amour est mon moteur de chaque jour. Aimer est une raison de vivre les heures qui viennent.
La dernière fois que vous avez explosé de rire ?
Je ris presque tous les jours car, j'aime la vie au-delà de tout et ma joie devient contagieuse, je crois. Amour et humour sont deux valeurs auxquelles je tiens particulièrement. Elle permettent de mettre de la distance vis à vis des merdes quotidiennes et de les accueillir avec davantage de force intérieure.
Quel est votre trait de caractère principal ?
Je suis impulsif mais pas rancunier.
Votre principal défaut ?
La colère bien-sûr et surtout dire mes quatre vérités en face pas dans le dos mais, est-ce un défaut ?
À quelle figure historique vous identifiez-vous le plus ?
C'est un long chemin pour devenir Soi et le personnage historique que j'aime le mieux est le pauvre mec au coin de ma rue.
Quels sont vos héros, aujourd'hui ?
Tous les hommes et femmes qui sont des combattants de l'Amour et de l'Espérance pour un monde meilleur.
Votre héros de fiction ?
Je n'aime pas les héros même quand ils sont fictifs. J'aime la fragilité Humaine qui tend la main aux autres. Voilà, où se trouve l'héroïsme, la volonté de s'en sortir ensemble dans le respect et l'Amour.
Votre voyage préféré ?
Venise, ville de l'amour et surtout, des artistes. Mais, je suis un vagabond universel qui aime parcourir le monde pour découvrir les couleurs chatoyantes d'autres cultures.
Quel est la qualité que vous préférez chez un homme ?
La sincérité.
Et chez une femme ?
La sincérité.
Vos écrivains préférés ?
Verlaine, Rimbaud, René Char, Christian Bobin...
Vos compositeurs préférés ?
Mozart, Beethoven, Manuel de Falla, Léo Ferré, Bach...
La chanson que vous sifflez sous la douche ?
"Comment va le monde" de Bernard Lavilliers.
Votre livre culte ?
La Bible et le Cantique des Cantiques.
Quel est le classique de la littérature qui vous tombe des mains ?
"L'Atelier du Poète" de René Char.
Votre film culte ?
Le Grand Bleu, pour sa musique aussi.
Vos peintres préférés ?
Marc Chagall, Salvator Dali, Vincent Van Gogh, Rembrandt...
Quel fut votre premier choc esthétique ?
La première étreinte amoureuse.
Votre boisson préférée ?
Le café sans modération.
Quels sont les lieux communs qui vous agacent ?
L'hypocrisie des bien-pensants qui ne pensent rien mais, jugent sans raison.
Que considérez-vous comme votre plus grande réussite ?
Les réussites ne sont jamais acquises, sinon c'est la routine. Ma réussite est de remettre des jeunes paumés debout et de les rendre libres de leur destin.
Votre plus vif regret ?
De ne pas avoir assez aimé certaines personnes.
Quel talent voudriez-vous avoir ?
La patience de supporter les cons et les hypocrites.
Votre chef-d'œuvre inconnu ?
Il n'existe que des hors-d'oeuvre. Je ne crois pas en la perfection absolue.
Votre plus grande déception ?
De n'avoir pas continué à tourner des films pour la télévision ou le cinéma. Mais, je m'en remettrai !
Votre devise ?
Donner sa Vie par Amour pour autrui.
Comment aimeriez-vous mourir ?
En vivant cet instant sublime. Regarder la mort en face pour mieux la rencontrer.
Quel serait votre épitaphe ?
…Il avait un coeur trop petit pour donner tout l'Amour que vous attendiez de lui.
Si vous rencontriez Dieu, qu'aimeriez-vous qu'il vous dise ?
Enfin te voilà dans ma Lumière, ne te repose pas il est des âmes tourmentées qui t'attendent. Je t'Aime, Bruno !
19:53 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |
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20/03/2009
Les obsèques d'Alain Bashung à Paris.
« Adieu terrestre au poète-chanteur et aussi à l’être qui sait sonder avec clairvoyance et humilité le cœur des hommes…, nous écrit Laurence (Boussy-Saint-Antoine - Essonne).
«La nuit je pleure, je prends des trains à travers ma peine. La nuit je pleure effrontément... Merci Alain, merci pour ces beaux moments d'émotion lors de tes concerts. Merci pour ton élégance, ta pudeur, ta classe et pour cette façon que tu avais de nous faire voyager avec ton écriture musicale. Merci, au revoir et donne le bonjour à Serge. » (Jean-Pierre)
« J'ai eu l'énorme chance de le voir à la fête de l'Huma, nous confie Hervé. Je n'avais de cesse de le revoir dans une petite salle , ça ne s'est pas fait mais je n'oublierai jamais ce que j'ai ressenti quand je l'ai vu sur le grand écran,c'était un moment de grasse et quand j'y repense, j'ai l'impression qu'il est près de moi au moment ou je vous écris, comme un ange. J'embrasse bien fort sa petite femme, je suis triste.....»
Bruno, éducateur de rue nous a laissé ce long et magnifique message :
« Ses textes nous plongent dans la profondeur des océans. Sa voix savourait chaque mot comme pour en extraire la quintessence. Bashung demeure unique dans l'univers magique de sa musique. Il deviendra certainement, s'il ne l'est déjà, le père spirituel des artistes authentiques. Ceux qui cherchent inlassablement la note bleue, celle qui n'existe qu'à l'intérieur de nous mêmes.
Il faudra bien que quelques-uns suivent le maître pour nous chanter leur part de vérité. Bashung avait su extraire de son silence méditatif des joyaux et des lumières poétiques. Son rôle fut de nous indiquer le chemin de la création libre. Pourquoi ne pas prendre exemple sur son souffle métaphorique. Il savait parler de lui avec pudeur et dans son art, il maniait souvent l'imprudence faute de ne point aimer ce qui immobilise. Tout ce qui n'allait pas selon un certain tempo ou une mélodie des mots, ne l'intéressait guère. Il aimait le vent qui respire dans les arbres les senteurs du printemps. Il aimait la vie dans toutes ses cadences, ses splendeurs et ses sens. Il n'aimait que sa musique, comme un mystique qui interpréte le cantique des cantiques. Il avait ce sourire de la douceur qui fait l'humilité. L'élégance de ses gestes transcendait sa présence scénique.
Bashung est désormais dans les volutes éternelles comme une fumée blanche immaculée sur laquelle il nous faudra écrire. Ce soir, je pense à sa femme et ses deux enfants. Puissent-ils écouter inlassablement les rêves parfois blessés qu'Alain leur murmure encore et
toujours. Merci, Monsieur Bashung, de nous avoir témoigné tant de Dignité. Votre exemple restera gravé dans la mémoire des jeunes et moins jeunes, infiniment. Je vous aimais et je vous aime encore par-delà l'espace de la mort. »
Merci Monsieur Bashung, poursuit Blanche. « Je souhaite rendre hommage à un chanteur dont je n'ai jamais été très proche de l'univers musical mais dont je me sentais très proche de par son combat contre la maladie. Ce grand monsieur m'a émue aux larmes car il a osé montrer à tout le monde qu'on peut être malade et rester digne. Il a eu le courage de sortir, de se montrer tel qu'il était, tels que nous sommes... »C'est la perte d' un « talent du siècle » pour Orthance. D'un « immense artiste », renchérit Laurent66.
Tchao Alain, on t'aimais bien
« Madame rêve...Monsieur ne nous fera plus rêver, regrette Darkangel421. Il doit sûrement planer maintenant, virevolter... Oh ciel !!! »
« Alain si tu vois là haut les gars comme Gainsbourg, Brel, Brassens, et tant d'autres, des grands hommes qui ont participé un peu à notre vie, dis leurs qu'ils nous manquent. Tchao Alain, on t'aimait bien », poursuite Dominique P.
Fabrice, de Nantes, nous fait partager ses larmes : «Je suis rentré a 14 heures du boulot, ne sachant pas que la vie s’échappait de toi en ce triste samedi 14 mars, mais tout comme si tu voulais donner une dernière ode à mon cœur, j’ai passé l’après midi avec toi, à t’écouter chanter durant 4 heures inconscient de ce qui se préparait. (...) Presque trente ans que tu m’accompagnes avec cette chaleur grandiose dans ta voix, ton cœur tes textes et tes musiques, que du bonheur. Et je rentre ce soir à 2 h 29 du matin pour apprendre que là bas, à Paris, quelqu'un est venu te prendre (...) Un auteur de talent , un monstre sacré dira t’on de toi ! (...) J'ai mal ! Presque 49 ans mais ma peine est aussi profonde et abondante que les larmes qui coulent non stop sur mes joues depuis presque 2 heures. Pour ton dernier saut à l’élastique, et même pas dans le Vercors, tu laisses des milliers d’orphelins. (...) Pour moi j’ai perdu un père un frère un ami, adieu Monsieur Alain bashung, oui très grand Monsieur parmi les grands tu as rejoint Gainsbourg beaucoup trop vite. »
Et Franck de conclure : « T'es dans le train maintenant!....à travers la plaine...tout va bien....on est là! »
le parisien.
11:26 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : videos, médias, poesie, spiritualite-de-la-liberation, art, christianisme, foi |
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