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25/02/2011

Saint-Valentin : Que serait une vie sans Amour ?

  • Saint-Valentin : Que serait une vie sans Amour ?

    13 févr. 2011 ... A l'occasion de la Saint-Valentin, le Dr Bruno Leroy publie un article édifiant sur Le Journal Chrétien pour éclairer l'opinion public sur ...
    mondeactu.com/.../saint-valentin-que-serait-une-vie-sans-amour-9945.html -
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    Veuillez cliquer sur le titre pour lire l'article dans son ensemble.

    21:17 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO., PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

    19/02/2011

    Puiser à la source de Guy Gilbert.

    guy_image.jpg

    Puiser à la source de Guy Gilbert

    Référence : bl20111902spi

    Auteur : Bruno LEROY

    Thème : Spirituel

    Date d'édition : 19/02/2011
    Nombre de pages : 3

    Veuillez cliquer ou sélectionner sur le lien ci-dessus :

    Bonne lecture !

     

     

     

    11:23 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

    24/04/2010

    LE SILENCE UN AMI QUI VOUS VEUT DU BIEN.

    Pèlerin Magazine eut la délicate intention de m'interviewer pour que j'exprime quelques impressions personnelles sur le Silence. Moi qui ai tellement écrit sur le silence intérieur de l'âme. Je me répandais face aux questions posées par l'aimable journaliste. Puis, ne pensant que ponctuellement à cet article. Ce fut le silence de la part de Pèlerin. Je reçus ce midi un mot d'excuse de notre brave journaliste, qui m'envoya le Numéro du 25 Février 2010, en me disant qu'elle avait égarée mes coordonnées. Peu importe...Je n'ai jamais voulu jouer les stars de la presse. Mais, il faut que vous sachiez une chose. Une seule. Lorsqu'on parle du silence et de ses bienfaits. Il demeure longtemps en nous cette sensation subtile de n'avoir rien dit ou pas assez.
    Le Silence nous commençons à en parler et je pense que cela ne fait que commencer...!
    Bonne Lecture à Vous.
     
    Bruno LEROY.

    18:56 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

    25/10/2009

    LUTTER CONTRE LES EXCLUSIONS.


    BRUNO LEROY.
    LUTTER CONTRE LES EXCLUSIONS.
    Nous faisons face ici à un problème majeur : on ne peut changer la réalité ou lutter contre l’exclusion à partir de n’importe où ni à partir de n’importe quelle disposition intérieure. Quand on fait un retour sur des échecs importants, on se rend compte souvent qu’en réalité, ce ne sont pas les théories ou les connaissances qui ont fait défaut, mais bien le lieu à partir duquel on a voulu agir. À ce propos, il serait bon de se rappeler le mot si pertinent de Friederich Engels, mot qui, avec le temps, est devenu maxime populaire. Il dit ainsi : "l’on ne pense pas la même chose selon que l’on vit dans une cabane ou dans un palais".

    La simplicité d’une telle affirmation constitue, nous n’en doutons pas, une des expressions les plus lumineuses de la pensée contemporaine. Ce qu’affirme Engels avec sa "boutade" c’est que, bien que la vérité soit absolue, l’accès que nous pouvons en avoir ne l’est pas. C’est-à-dire que, bien qu’un certain accès réel à la vérité nous soit possible, il sera toujours conditionné par la réalité elle-même et aura toujours, pour autant, un caractère relatif. Jamais il ne sera neutre et inconditionnel. Tout cela est d’une importance capitale pour notre propos. En effet, même en supposant les meilleures intentions, la meilleure bonne volonté et les meilleures capacités intellectuelles, il y a des lieux d’où tout simplement on ne peut ni voir ni sentir la réalité de façon à ce qu’elle nous ouvre à l’amour et à la solidarité.

    Alors, il ne nous reste qu’une solution : changer de lieu social. Le lieu social, c’est le point à partir duquel on perçoit, on comprend la réalité et on essaie d’agir sur elle. Il nous faut donc passer du lieu social des élites au lieu social des exclu(e)s. C’est à partir du monde des pauvres que nous devons lire la réalité de la violence si nous voulons nous engager pour sa transformation. La vision qu’ont les pauvres et les opprimé(e)s de la violence économique doit être le point de départ et le premier critère pour lire et comprendre aussi bien le monde globalisé que la violence qu’il provoque.

    C’est aussi simple que cela, mais c’est tout aussi grave d’en arriver aux conclusions et d’en peser les conséquences. Où est-ce que je me situe ? Où sont mes pieds et ma praxis en matière de solidarité ? Car la question est de savoir si je suis au bon endroit pour accomplir ma tâche. Un tel processus ne peut être mis en marche que par ceux et celles qui sentent dans leur chair la brûlure de l’injustice et de l’exclusion sociales. La tâche d’éduquer implique d’abord le lieu social pour lequel on a opté ; puis le lieu à partir duquel et pour lequel on fait des interprétations théoriques et des projets pratiques ; finalement, le lieu d’où part la pratique et à laquelle on subordonne ses propres pratiques.

    À la racine du choix de ce lieu social, il y a l’indignation éthique que nous ressentons devant la réalité de l’exclusion ; le sentiment que la réalité de l’injustice dont sont victimes la grande majorité des êtres humains est si grave qu’elle exige une attention incontournable ; la perception que la vie même perdrait son sens si elle tournait le dos à cette réalité. Il ne sera jamais possible de travailler à être plus humains à partir du point de vue des centres de pouvoir et de savoir, ni même en se situant à partir d’une prétendue neutralité. Cette pratique est appelée d’avance à être condamnée et à tomber d’elle-même lorsqu’elle aura à soutenir la preuve des faits, comme cela est arrivé au jésuite de Camus dans La Peste.

    Personne ne peut prétendre voir ou sentir les problèmes humains, la douleur et la souffrance des autres à partir d’une position "neutre", absolue, immuable dont l’optique garantirait une totale impartialité et objectivité. Il est donc extrêmement urgent de provoquer une rupture épistémologique. La clé pour comprendre ceci est dans la réponse que chacun(e) de nous donnera à la question : "d’où" est-ce que j’agis ? C’est-à-dire quel est le lieu que je choisis pour voir le monde ou la réalité, pour interpréter l’histoire et pour situer mes actes transformateurs ?

    Mieux que n’importe quel autre moyen particulier, la manière d’exprimer sa sensibilité et son intérêt à rendre la société plus humaine réside, en effet, dans une pratique active de la solidarité, notamment avec les démuni(e)s qui font l’objet de discriminations et de marginalisations intolérables. Tout ce qui signifie une violation de l’intégrité de la personne humaine, comme la torture morale ou physique, tout ce qui est une offense à la dignité de la personne, comme les conditions de vie inhumaines, l’esclavage, la prostitution, le commerce des femmes et d’enfants, ou encore pour ceux et celles qui bénéficient d’un emploi les conditions de travail dégradantes qui réduisent les travailleurs au rang de purs instruments de production, sans égard pour leur dignité, tout cela constitue des pratiques infâmes qui nous engagent toutes et tous à nous impliquer dans les solidarités sociales.
    Bruno LEROY.
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    10:49 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

    06/07/2009

    La mort de Jean Cardonnel.

    - Jean cardonnel en janvier 2008 -

    Jean cardonnel en janvier 2008

    © France 3

    Le père dominicain s'est éteint à Montpellier à l'âge de 88 ans. Il était une figure de la contestation et de mai 68.

    Jean Cardonnel est mort à Montpellier, le père dominicain était hospitalisé depuis plusieurs semaines. Cette figure libre de l'Eglise avait été expulsée de sa cellule en 2002 et était en procès avec le prieur des dominicains de Montpellier. L'une de nos équipes l'avait suivi en février 2008.

    Interdit de parole et d'écriture en 1968, après la publication de son livre :"Dieu est mort en Jésus-Christ", il ne cessera de prêcher entre Evangile et Révolution. Il était né en 1921 à Figeac dans le Lot, entré aux dominicains en 1940 et ordonné prêtre en 1947. A l'âge de 30 ans , il est élu supérieur au Couvent de Marseille et soutient le mouvement des prêtres ouvriers. En 1958, il entre au couvent de Montpellier et son prêche dénoncant la torture durant la guerre d'Algérie le contraint à partir. Il a enseigné la théologie au Brésil et sera dans les années 68 l'une des figures du mouvement contestataire.

    Il avait été expulsé de sa cellule des Dominicains en 2002 et avait mis l'affaire devant la justice. Le père Cardonnel a obtenu gain de cause le 5 mars 2008. Michel Mathieu le prieur de l'époque avait été mis en cause par le père dominicain. et il a été condamné pour violation de domicile à 1.000 euros d'amende. C'était la première fois qu'une cellule est considérée par la justice, comme un domicile.

    Il est mort, samedi 4 juillet vers 22 h 00 à la clinique du Parc à Montpellier.

    Un contestataire surnommé le "Prêtre rouge" :

    Militant soixante-huitard à la Mutualité, féministe convaincu, le défenseur des prêtres-ouvriers, porte-parole des pauvres au Brésil et pourfendeur de la torture en Algérie, est mort samedi soir, a précisé une source proche de la clinique où il était hospitalisé depuis plusieurs semaines.

    Pendant 44 ans, de 1958 à 2002, Jean Cardonnel, électron libre de son ordre, avait fait du couvent des Dominicains de Montpellier son quartier général, militant contre les "hypocrisies" de l'Eglise et prônant sa "dé-romanisation" au profit d'une "évangélisation de Dieu".

    En 2002, Jean Cardonnel était parti se reposer à la Réunion, une habitude prise dans cette île où il avait fait scandale en célébrant une messe dans l'ancien cimetière des esclaves. A son retour, le couvent avait vidé sa chambre en l'envoyant demander asile chez les religieuses de l'Ange gardien à Quillan (Aude), où sont accueillis des enfants maltraités.

    Le prêtre estimait alors avoir payé le prix de sa "libre parole" tandis que le couvent niait l'avoir mis à la porte, évoquant un départ volontaire.

    Trois ans plus tard, Jean Cardonnel avait stigmatisé une "homosexualisation croissante" de l'Eglise en lui reprochant d'avoir fait de la femme "l'incarnation du démon", dans un livre brûlot intitulé "Verbe incarné contre sexe tout puissant". Le couvent de Montpellier avait déploré "délire" et "mensonges".

    http://sud.france3.fr/info/languedoc-roussillon/La-mort-de-Jean-Cardonnel-55902272.html

     

    13:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

    20/05/2009

    Tu as déjà ouvert les chemins.

    [DOC]

    Tu as déjà ouvert les chemins

    Format de fichier: Microsoft Word - Version HTML
    la Vraie Vie, celle que l'on trouve en perdant la sienne, avec toi, grâce à toi, Ô maître de l'impossible ! Amen ! Bruno Leroy (éducateur de rue) ...
    pastorale.ec56.org/IMG/doc/prieres_a_l_esprit.doc -

    10:04 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

    19/05/2009

    AVENIR ET ESPÉRANCE CHRÉTIENNE.

    [DOC]

    AVENIR ET ESPERANCE CHRETIENNE

    Format de fichier: Microsoft Word - Version HTML
    Bruno Leroy, éducateur de rue. Nous non plus, nous ne ferons pas l'économie de la lutte et de la souffrance dans un monde marqué par le péché et le mal et ...
    www.communion-jericho.com/liens/4810f89fd9206_4leregarddelevangiledoc.doc -
    Cliquez sur le titre SVP

    19:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

    25/04/2009

    Libérer ceux qui sont opprimés.

    [PDF]

    libérer ceux qui sont oppri- més, persecutés, victimes d'injustice ...

    Format de fichier: PDF/Adobe Acrobat - Version HTML
    Bruno Leroy. Bulletin d' information et de sensibilisation n°5, libérer ceux qui sont oppri- més, persecutés, victimes ...
    www.liberar.info/bulletinfr5.pdf -
    Pour accéder au pdf, cliquez sur le titre svp

    16:07 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite, spiritualite de la liberation |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

    29/03/2009

    QUESTIONNAIRE DE PROUST DE BRUNO LEROY.

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    puce rouge Le bonheur parfait selon vous ?
        puce jaune Rencontrer l'Absolu devant un paysage somptueux, dans une poésie où l'âme parle, dans le silence de Dieu. Et surtout, dans le sourire d'un pauvre mec qui ne croyait plus en la Vie ou celui d'un enfant Heureux.
    puce rouge Qu'est-ce qui vous fait lever le matin ?
        puce jaune L'amour est mon moteur de chaque jour. Aimer est une raison de vivre les heures qui viennent.
    puce rouge La dernière fois que vous avez explosé de rire ?
        puce jaune Je ris presque tous les jours car, j'aime la vie au-delà de tout et ma joie devient contagieuse, je crois. Amour et humour sont deux valeurs auxquelles je tiens particulièrement. Elle permettent de mettre de la distance vis à vis des merdes quotidiennes et de les accueillir avec davantage de force intérieure.
    puce rouge Quel est votre trait de caractère principal ?
        puce jaune  Je suis impulsif mais pas rancunier.
    puce rouge Votre principal défaut ?
        puce jaune  La colère bien-sûr et surtout dire mes quatre vérités en face pas dans le dos mais, est-ce un défaut ?
    puce rouge À quelle figure historique vous identifiez-vous le plus ?
        puce jaune C'est un long chemin pour devenir Soi et le personnage historique que j'aime le mieux est le pauvre mec au coin de ma rue.
    puce rouge Quels sont vos héros, aujourd'hui ?
        puce jaune  Tous les hommes et femmes qui sont des combattants de l'Amour et de l'Espérance pour un monde meilleur.
    puce rouge Votre héros de fiction ?
        puce jaune Je n'aime pas les héros même quand ils sont fictifs. J'aime la fragilité Humaine qui tend la main aux autres. Voilà, où se trouve l'héroïsme, la volonté de s'en sortir ensemble dans le respect et l'Amour.
    puce rouge Votre voyage préféré ?
        puce jaune Venise, ville de l'amour et surtout, des artistes. Mais, je suis un vagabond universel qui aime parcourir le monde pour découvrir les couleurs chatoyantes d'autres cultures.
    puce rouge Quel est la qualité que vous préférez chez un homme ?
        puce jaune  La sincérité.
    puce rouge Et chez une femme ?
        puce jaune  La sincérité.
    puce rouge Vos écrivains préférés ?
        puce jaune Verlaine, Rimbaud, René Char, Christian Bobin...
    puce rouge Vos compositeurs préférés ?
        puce jaune Mozart, Beethoven, Manuel de Falla, Léo Ferré, Bach...
    puce rouge La chanson que vous sifflez sous la douche ?
        puce jaune  "Comment va le monde" de Bernard Lavilliers.
    puce rouge Votre livre culte ?
        puce jaune La Bible et le Cantique des Cantiques.
    puce rouge Quel est le classique de la littérature qui vous tombe des mains ?
        puce jaune "L'Atelier du Poète" de René Char.
    puce rouge Votre film culte ?
        puce jaune Le Grand Bleu, pour sa musique aussi.
    puce rouge Vos peintres préférés ?
        puce jaune  Marc Chagall, Salvator Dali, Vincent Van Gogh, Rembrandt...
    puce rouge Quel fut votre premier choc esthétique ?
        puce jaune La première étreinte amoureuse.
    puce rouge Votre boisson préférée ?
        puce jaune  Le café sans modération.
    puce rouge Quels sont les lieux communs qui vous agacent ?
        puce jaune L'hypocrisie des bien-pensants qui ne pensent rien mais, jugent sans raison.
    puce rouge Que considérez-vous comme votre plus grande réussite ?
        puce jaune  Les réussites ne sont jamais acquises, sinon c'est la routine. Ma réussite est de remettre des jeunes paumés debout et de les rendre libres de leur destin.
    puce rouge Votre plus vif regret ?
        puce jaune  De ne pas avoir assez aimé certaines personnes.
    puce rouge Quel talent voudriez-vous avoir ?
        puce jaune  La patience de supporter les cons et les hypocrites.
    puce rouge Votre chef-d'œuvre inconnu ?
        puce jaune Il n'existe que des hors-d'oeuvre. Je ne crois pas en la perfection absolue.
    puce rouge Votre plus grande déception ?
        puce jaune De n'avoir pas continué à tourner des films pour la télévision ou le cinéma. Mais, je m'en remettrai !
    puce rouge Votre devise ?
        puce jaune Donner sa Vie par Amour pour autrui.
    puce rouge Comment aimeriez-vous mourir ?
        puce jaune  En vivant cet instant sublime. Regarder la mort en face pour mieux la rencontrer.
    puce rouge Quel serait votre épitaphe ?
        puce jaune  …Il avait un coeur trop petit pour donner tout l'Amour que vous attendiez de lui.
    puce rouge Si vous rencontriez Dieu, qu'aimeriez-vous qu'il vous dise ?
        puce jaune Enfin te voilà dans ma Lumière, ne te repose pas il est des âmes tourmentées qui t'attendent. Je t'Aime, Bruno !

    19:53 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

    20/03/2009

    Les obsèques d'Alain Bashung à Paris.

     Les obsèques d'Alain Bashung seront célébrées vendredi à Paris. Depuis l'annonce de sa mort samedi 14 mars, vos commentaires continuer d'affluer sur Le Parisien.fr : émus, bouleversés, toujours admiratifs. Voici les derniers messages arrivés ces derniers jours :

    « Adieu terrestre au poète-chanteur et aussi à l’être qui sait sonder avec clairvoyance et humilité le cœur des hommes…, nous écrit Laurence (Boussy-Saint-Antoine - Essonne).

     C’est avec une grande admiration que je lui dédie ces quelques lignes avec une pensée pour sa femme, ses enfants et tous ses proches. Son âme nous visitera de temps en temps histoire de nous faire sourire un peu sur nous-mêmes. »

    «La nuit je pleure, je prends des trains à travers ma peine. La nuit je pleure effrontément... Merci Alain, merci pour ces beaux moments d'émotion lors de tes concerts. Merci pour ton élégance, ta pudeur, ta classe et pour cette façon que tu avais de nous faire voyager avec ton écriture musicale. Merci, au revoir et donne le bonjour à Serge. » (Jean-Pierre)

     

    « J'ai eu l'énorme chance de le voir à la fête de l'Huma, nous confie Hervé. Je n'avais de cesse de le revoir dans une petite salle , ça ne s'est pas fait mais je n'oublierai jamais ce que j'ai ressenti quand je l'ai vu sur le grand écran,c'était un moment de grasse et quand j'y repense, j'ai l'impression qu'il est près de moi au moment ou je vous écris, comme un ange. J'embrasse bien fort sa petite femme, je suis triste.....»

    Bruno, éducateur de rue nous a laissé ce long et magnifique message :

    « Ses textes nous plongent dans la profondeur des océans. Sa voix savourait chaque mot comme pour en extraire la quintessence. Bashung demeure unique dans l'univers magique de sa musique. Il deviendra certainement, s'il ne l'est déjà, le père spirituel des artistes authentiques. Ceux qui cherchent inlassablement la note bleue, celle qui n'existe qu'à l'intérieur de nous mêmes.
    Il faudra bien que quelques-uns suivent le maître pour nous chanter leur part de vérité. Bashung avait su extraire de son silence méditatif des joyaux et des lumières poétiques. Son rôle fut de nous indiquer le chemin de la création libre. Pourquoi ne pas prendre exemple sur son souffle métaphorique. Il savait parler de lui avec pudeur et dans son art, il maniait souvent l'imprudence faute de ne point aimer ce qui immobilise. Tout ce qui n'allait pas selon un certain tempo ou une mélodie des mots, ne l'intéressait guère. Il aimait le vent qui respire dans les arbres les senteurs du printemps. Il aimait la vie dans toutes ses cadences, ses splendeurs et ses sens. Il n'aimait que sa musique, comme un mystique qui interpréte le cantique des cantiques. Il avait ce sourire de la douceur qui fait l'humilité. L'élégance de ses gestes transcendait sa présence scénique.
    Bashung est désormais dans les volutes éternelles comme une fumée blanche immaculée sur laquelle il nous faudra écrire. Ce soir, je pense à sa femme et ses deux enfants. Puissent-ils écouter inlassablement les rêves parfois blessés qu'Alain leur murmure encore et
    toujours. Merci, Monsieur Bashung, de nous avoir témoigné tant de Dignité. Votre exemple restera gravé dans la mémoire des jeunes et moins jeunes, infiniment. Je vous aimais et je vous aime encore par-delà l'espace de la mort. »

    Merci Monsieur Bashung, poursuit Blanche. « Je souhaite rendre hommage à un chanteur dont je n'ai jamais été très proche de l'univers musical mais dont je me sentais très proche de par son combat contre la maladie. Ce grand monsieur m'a émue aux larmes car il a osé montrer à tout le monde qu'on peut être malade et rester digne. Il a eu le courage de sortir, de se montrer tel qu'il était, tels que nous sommes... »C'est la perte d' un « talent du siècle » pour Orthance. D'un « immense artiste », renchérit Laurent66.

    Tchao Alain, on t'aimais bien

    « Madame rêve...Monsieur ne nous fera plus rêver, regrette Darkangel421. Il doit sûrement planer maintenant, virevolter... Oh ciel !!! »

    « Alain si tu vois là haut les gars comme Gainsbourg, Brel, Brassens, et tant d'autres, des grands hommes qui ont participé un peu à notre vie, dis leurs qu'ils nous manquent. Tchao Alain, on t'aimait bien », poursuite Dominique P.

    Fabrice, de Nantes, nous fait partager ses larmes : «Je suis rentré a 14 heures du boulot, ne sachant pas que la vie s’échappait de toi en ce triste samedi 14 mars, mais tout comme si tu voulais donner une dernière ode à mon cœur, j’ai passé l’après midi avec toi, à t’écouter chanter durant 4 heures inconscient de ce qui se préparait. (...) Presque trente ans que tu m’accompagnes avec cette chaleur grandiose dans ta voix, ton cœur tes textes et tes musiques, que du bonheur. Et je rentre ce soir à 2 h 29 du matin pour apprendre que là bas, à Paris, quelqu'un est venu te prendre (...) Un auteur de talent , un monstre sacré dira t’on de toi ! (...) J'ai mal ! Presque 49 ans mais ma peine est aussi profonde et abondante que les larmes qui coulent non stop sur mes joues depuis presque 2 heures. Pour ton dernier saut à l’élastique, et même pas dans le Vercors, tu laisses des milliers d’orphelins. (...) Pour moi j’ai perdu un père un frère un ami, adieu Monsieur Alain bashung, oui très grand Monsieur parmi les grands tu as rejoint Gainsbourg beaucoup trop vite. »

    Et Franck de conclure : « T'es dans le train maintenant!....à travers la plaine...tout va bien....on est là! »

     

    le parisien.

    11:26 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : videos, médias, poesie, spiritualite-de-la-liberation, art, christianisme, foi |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |