10/01/2008
La neige illumine la montagne.
La neige illumine la montagne
La neige habille la montagne de ses cristaux. Dans "Lumières de Neige", le nivologue Richard Lambert nous dévoile les différentes facettes de son relief.
Le livre | Diaporama
23:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
DISCERNER LES SIGNES DES TEMPS.
20:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
BONNE ANNÉE A TOUS !
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11:48 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Méditez et soyez reconnaissant !
11:36 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Le Baptême du Seigneur.
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Jean le Baptiste est surpris de voir Jésus descendre dans le Jourdain pour être baptisé. Il sait que Jésus est la source d’un baptême plus grand – baptême dans l’Esprit – et déclarera par la suite : « Il faut qu’il croisse et que je décroisse. » De son côté, Jésus n’a qu’une intention, celle de faire la volonté de son Père, c’est pourquoi il se laisse baptiser par Jean. Tout cela a pour but de manifester la justice divine : « Pour le moment, laisse-moi faire ; c’est de cette façon que nous devons accomplir ce qui est juste. » La « justice » est ici de révéler la nouvelle alliance que Dieu veut sceller avec son peuple, par la mort et la résurrection du Christ symbolisées par son immersion et par la présence d’une colombe (l’Esprit Saint). Le chrétien est appelé à mourir à lui-même – à sa volonté propre – pour vivre et faire vivre. La « justice » consiste également à manifester l’identité du Dieu trois fois Saint. L’Esprit Saint qui vivifie « descendit » sur Jésus alors qu’une voix venant du ciel – celle du Père – proclamait son amour pour Jésus : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé ; en lui j’ai mis tout mon amour. » Enraciné dans le Baptême du Seigneur, notre baptême n’est pas un souvenir passé, mais une grâce inestimable inscrite au plus profond de notre être : il nous configure à la personne du Christ. Demandons à Dieu de rendre vivante la grâce baptismale afin d’être remplis de l’Esprit Saint et de goûter aux fruit de son action : paix, joie, douceur, amour et bienveillance. Extrait de Feu et Lumière de Janvier 2008 (n° 268) - ©F&L-Paul de Tarse
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11:22 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
09/01/2008
Football : Un instrument d’éducation aux valeurs.
ROME, Mercredi 9 janvier 2008 (ZENIT.org) - Le football peut être un « instrument d'éducation aux valeurs », souligne Benoît XVI dans un appel au monde du ballon rond.
Des joueurs de football de 162 équipes appartenant à la « série D » italienne ont en effet participé à l'audience générale de ce mercredi en la salle Paul VI du Vatican.
Ils venaient remettre à l'évêque de Rome le fruit d'une collecte en faveur du Bangladesh, à propos duquel le pape a rappelé, lundi, devant le Corps diplomatique, les ravages faits en 2007 par les inondations.
Le pape les a salués en exprimant - en italien - le vœu que le football devienne « toujours davantage un instrument d'éducation aux valeurs de l'honnêteté, de la solidarité et de la fraternité, spécialement dans les jeunes générations ».
Les joueurs ont offert au pape un maillot bleu azur portant son nom : Benoît XVI.
Le président de la fédération italienne, la « Federcalcio », M. Giancarlo Abete, a pour sa part offert un ballon au pape.
Benoît XVI a manifesté à plusieurs reprises son intérêt pour le football. Certes, c'est sous son pontificat qu'a vu le jour la « Clericus Cup ». Mais auparavant déjà, en tant qu'archevêque de Munich, il encourageait le « Bayern ». Il avait, en 2005 reçu, à l'occasion d'une audience générale également, Franz Beckenbauer, alors président du comité d'organisation du Mondial 2006.
Franz Beckenbauer avait remis au pape le fanion de ce Mondial. Et Benoît XVI lui avait souhaité « bonne chance pour le Mondial en Allemagne », confiant qu'il allait « suivre des matchs à la télévision » (cf. Zenit du 26 octobre 2005).
21:28 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS ÉDUCATIFS. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Saint Augustin, modèle dans la recherche de Dieu.
ROME, Mercredi 9 janvier 2008 (ZENIT.org) - « Que saint Augustin soit pour vous tous un modèle dans votre recherche de Dieu » : c'est l'invitation lancée par Benoît XVI aux francophones à la fin de sa catéchèse sur la vie de saint Augustin d'Hippone (354-430).
Le pape a consacré toute sa catéchèse à rappeler l'itinéraire intellectuel et spirituel qui a conduit Augustin du paganisme et de la philosophie, notamment manichéenne, à la foi dans le Christ Jésus.
Pour le pape, Augustin est en effet un modèle de l'œuvre de la grâce divine qui oriente les événements de la vie des hommes vers la connaissance de la Vérité, vers l'union au Christ et le service des frères.
« Je suis heureux, disait le pape en français, de vous accueillir, chers pèlerins francophones. Je salue en particulier les jeunes du lycée d'enseignement agricole privé, de Saint-Maximin. Que saint Augustin soit pour vous tous un modèle dans votre recherche de Dieu et qu'il vous aide à approfondir votre foi ! Avec ma Bénédiction apostolique ».
Benoît XVI voit en saint Augustin « un homme de passion et de foi, pasteur infatigable, qui a eu une influence considérable et dont le nom est souvent connu même de ceux qui ne connaissent pas le christianisme ».
Il citait, en italien, cette phrase de Paul VI : « On peut dire que toute la pensée de l'antiquité conflue dans son œuvre et que de celle-ci dérivent des courants de pensée qui parcourent toute la tradition doctrinale des siècles suivants » (AAS, 62, 1970, p. 426).
« Augustin est également le Père de l'Eglise qui a laissé le plus grand nombre d'œuvres, a souligné le pape. Son biographe Possidius dit qu'il semblait impossible qu'un homme puisse écrire autant de choses dans sa vie ».
Pour reconstruire la vie d'Augustin, Benoît XVI renvoie aux fameuses « Confessions », premières du genre dans la littérature. Le pape y voit une « extraordinaire autobiographie spirituelle, écrite en louange à Dieu, qui est son œuvre la plus célèbre (...), car ce sont précisément les « Confessiones » d'Augustin, avec leur attention à la vie intérieure et à la psychologie, qui constituent un modèle unique dans la littérature occidentale, et pas seulement occidentale, même non religieuse, jusqu'à la modernité ».
« Cette attention à la vie spirituelle, au mystère du ‘moi', au mystère de Dieu qui se cache derrière le ‘moi', est une chose extraordinaire sans précédent et restera pour toujours, comme un ‘sommet' spirituel », a ajouté le pape.
En français, le pape résumait ainsi les premiers pas intellectuels de saint Augustin jusqu'à sa conversion au christianisme : « Augustin est né à Taghaste, en Numidie, dans l'Afrique romaine, en 354. D'une vive intelligence, il étudie à Madaure et à Carthage où il lit l'Hortensius, de Cicéron, qui éveille en lui l'amour de la sagesse, alors que la lecture de la Bible le laisse insatisfait. Le jeune intellectuel est alors proche du manichéisme, qui lui apparaît plus rigoureux et plus rationnel que le christianisme. Il reviendra à Carthage comme brillant maître de rhétorique, mais déçu de la foi des manichéens incapable de résoudre ses doutes, il part pour Rome, puis pour Milan où il suit les prédications de l'Évêque Ambroise. Sa conversion au christianisme, le 15 août 386, sera l'aboutissement d'un long cheminement intérieur ».
Mais ce qui fait aussi la grandeur de saint Augustin, c'est son itinéraire de pasteur, que le pape résumait ainsi : « Après son baptême, Augustin décide de rentrer en Afrique pour pratiquer une vie de type monastique au service de Dieu. Il s'établit à Hippone pour y fonder un monastère. En 391, il y est ordonné prêtre, puis évêque en 395. Il fut un pasteur exemplaire, prêchant souvent, soutenant les pauvres, prenant soin de la formation du clergé. Pendant ses 35 années d'épiscopat, il exerça une influence très grande sur le christianisme de son temps ».
Benoît XVI insistait spécialement sur les derniers moments du grand évêque, et sa façon de s'imprégner concrètement de la Parole de Dieu : « Frappé par la fièvre, alors que depuis presque trois mois sa ville d'Hippone était assiégée par les envahisseurs vandales, l'évêque - raconte son ami Possidius dans Vita Augustini - demanda que l'on transcrive en gros caractères les psaumes pénitentiels ‘et il fit afficher les feuilles sur le mur, de sorte que se trouvant au lit pendant sa maladie il pouvait les voir et les lire, et il pleurait sans cesse à chaudes larmes' (31, 2). C'est ainsi que s'écoulèrent les derniers jours de la vie d'Augustin, qui mourut le 28 août 430, alors qu'il n'avait pas encore 76 ans ».
Le pape consacrera ses prochaines catéchèses à l'œuvre - immense - de saint Augustin et à son « parcours intérieur ». Ce Père et Docteur de l'Eglise est en effet pour lui un compagnon de route : qu'il suffise de citer sa thèse de doctorat sur « Le peuple et la maison de Dieu dans l'enseignement de saint Augustin sur l'Eglise » (1953), son voyage de l'avril 2007 à Pavie, au tombeau de saint Augustin (cf. Zenit 20 avril 2007), et la coquille présente sur son blason, inspirée par une anecdote racontée par Augustin.
Comme le cardinal Joseph Ratzinger l'explique, à propos de son blason épiscopal, dans son récit autobiographique, « Ma vie, souvenirs (1927-1977) » : « J'ai choisi pour moi deux autres symboles : en premier lieu la coquille, d'abord signe de notre pèlerinage, de notre marche: ‘Nous n'avons pas de cité permanente sur la terre'. Mais elle me rappelait aussi une légende selon laquelle saint Augustin, méditant sur le mystère de la Sainte Trinité, vit un enfant sur la plage jouer avec un coquillage, à l'aide duquel il essayait de puiser l'eau de la mer dans un trou. Et cette parole lui aurait été donnée : il est plus difficile à ton intelligence d'appréhender le mystère divin que de transvaser la mer entière dans un petit trou. Ainsi la coquille me rappelle mon grand maître saint Augustin, mes travaux de théologie et la grandeur du mystère qui dépasse toute science » (pp. 141-142).
Anita S. Bourdin.
21:26 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Les animaux sont un cadeau de Dieu !
20:06 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
08/01/2008
Avez-vous perdu votre paix intérieure ?
07:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
07/01/2008
“La richesse de la foi”.
Au milieu des limitations inséparables de notre condition présente, car, d’une certaine façon, le pêche continue d’habiter en nous, le chrétien perçoit avec une clarté nouvelle toute la richesse de sa filiation divine, quand il se sent entièrement libre parce qu’il travaille aux choses de son Père, quand sa joie se fait continuelle parce que rien ne peut détruire son espérance.
Ceci se produit aussi, et en même temps, quand il est à même d’admirer toutes les beautés et les merveilles de la terre, d’en apprécier toute la richesse et toute la honte, d’aimer avec toute la loyauté et toute la pureté dont est capable le cœur humain. Quand sa douleur devant le péché ne dégénère pas en un geste amer, désespéré ou hautain, car la componction et la connaissance de la faiblesse humaine le conduisent à s’identifier de nouveau à la soif rédemptrice du Christ et à ressentir plus profondément sa solidarité avec tous les hommes. Quand, enfin, le chrétien éprouve en lui-même, avec certitude, la force du Saint-Esprit, de telle sorte que ses chutes personnelles ne l’abattent pas, mais sont plutôt une invitation à recommencer et à continuer d’être un témoin fidèle du Christ à tous les carrefours de la terre, malgré ses misères personnelles qui, dans ces cas, sont en général des fautes légères, qui troublent à peine l’âme; et, même si elles sont graves, le simple fait d’accourir avec componction au Sacrement de la Pénitence nous redonne la paix de Dieu et fait de nous, à nouveau, de bons témoins de ses miséricordes.
Telle est, résumée, la richesse de la foi, qui parvient à peine à s’exprimer par de pauvres paroles humaines; telle est la vie du chrétien, s’il se laisse guider par le Saint-Esprit. (Quand le Christ passe, 138)
http://www.opusdei.fr/art.php?p=21038
07:33 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SAINT JOSÉMARIA. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |