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02/07/2011

Un regard d'Espérance.

 

L'Espérance est la puissance dont respire un esprit libre

Le désespoir est le poison que nos veines transportent

Et notre vision s'en trouve troublée jusqu'à l'aveuglement

Nous devons admirer la beauté cachée des êtres et des choses

Il faut que notre regard donne Vie aux instants présents

Contempler la splendeur d'un paysage ou le vol d'un oiseau

Vivre intensément dans la pureté des événements

Savourer les repas préparés avec Amour

Admirer et se divertir en regardant un film enrichissant

Respirer le parfum de la nature qui parle à notre cœur

Avoir toujours ce regard d'Espérance qui permet d'avancer

Et de continuer sans fatigue et sans lâcheté

Le chemin commencé depuis des années

Et qui trace notre existence sans jamais désespérer

Puisque le soleil et la lumière sont au rendez-vous

Chaque matin que Dieu fait comme une invitation au Bonheur

Notre Bonheur qui demeurera en nous à jamais

Puisque je t'Aime dans cette immensité

Dont tu es l'Unique.

 

 

Bruno LEROY

 

 

11:42 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans GOSPEL, LE REGARD DE BRUNO., LITTÉRATURE., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

L'Espérance est une force de résistance.

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Quand on attend, on ne reste pas inactif : on tente de travailler à rendre possible, plus proche le terme de l'attente. Quand nous espérons en quelqu'un, nous travaillons, à partir de la foi en l'autre, à effectuer le passage du présent au futur, de l'absence à la présence, du manque à la plénitude. Ce travail est passion. Soucieux d'accélérer le temps, de réduire la distance, de rejoindre l'autre au plus tôt, nous brûlons d'impatience, prêts à brûler les étapes.

 

Nous sommes portés par une passion : quitter le lieu où nous sommes SANS l'autre pour le lieu où nous serons AVEC l'autre. L'espérance est donc soif et faim de la fin, bouillonnement qui trouve le présent insupportable, pesant, générateur d'épreuves.

 

 L'Espérance est force d'anticipation, force d'impatience, d'enthousiasme. Mais ce travail est aussi endurance. Vouloir atteindre le but, la fin, oblige à savoir traverser, malgré les pièges, les fatigues, les désespoirs, les retards. L'Espérance oblige à savoir endurer la traversée, le désert, le lieu encore vide de l'autre. L'Espérance est donc capacité de résistance, parallèle aux qualités d'endurance demandées aux sportifs : souffle long, volonté et force de combat, bonne tenue face aux souffrances et à la durée. L'Espérance est une force de résistance.

 

Bruno LEROY.

11:38 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

30/06/2011

Je t'attendais sans te connaître.

Les questions parfois fusent dans notre esprit car l'homme est ainsi fait qu'il ne peut point vivre des situations particulières sans donner sens à son vécu. Pourquoi tant de sentiments amoureux envers Toi? Pourquoi désirer profondément que notre relation perdure longtemps? Tu as les qualités et potentialités qui font exister tes valeurs et te donnent des raisons de continuer à aller toujours plus haut et plus loin. C'est cette maturité à la fois intellectuelle et affective qui font toute ta saveur et ta grandeur. Il est vrai, que je t'ai choisi pour ce que tu es entièrement, c'est-à-dire avec toute ta dimension humaine. Je ne regrette pas ce choix et je pense que jamais, je ne le regretterai!

Depuis des années, je t'attendais sans te connaître, et me voici comblé. J'accepte Tout en Toi, aussi bien tes sourires et tes rires ainsi que tes émerveillements et tes passions, mais également tes peines et tes blessures.

Je t'Aime jusqu'au bout de moi-même et ne plus t'aimer serait me renier. Mais tout cela est plus fort encore que la simple raison. Je sais que mon plus vif désir est de continuer éternellement notre relation et de partager un Amour aux splendeurs du Bonheur. Je veux construire et toujours remettre à l'ouvrage la Beauté de notre Amour.

Tu sais, je ne m'engage pas à la légère, ma décision est prise et ce, après mure réflexion, et je suis persuadé que nous serons Heureux ensemble. Heureux de découvrir à deux de nouvelles dimensions dans l'existence. Je te promets un magnifique programme de vie commune avec des joies sans cesse renouvelées. Chaque jour naissant sera un jour nouveau si tu veux bien faire ce bout de chemin avec moi! Je t'embrasse Tendrement! Je t'Aime avec Tendresse, Respect et Force et tu pourras te reposer tranquillement sur mes épaules qui n'attendent que ton visage pour alléger tes fatigues existentielles qui sont aussi les miennes et celles de tout à chacun, mais il est bien connu qu'à deux le poids de certains fardeaux est moins lourd.

Je te ferai vivre dans la clarté de journées lumineuses qui ne désespèrent jamais et nous nous délecterons de la saveur de la Vie!

 

Bruno LEROY.

10:02 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

28/06/2011

L'Amour est une allégresse !

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Pour te donner le Bonheur j'inventerai des horizons,
Des superlatifs pour enrober de fleurs tes passions,
Des mots réalistes pour rendre au présent tes projets,
Et donner vivants aux ciels tes rêves emmurés,
Je donnerai mon âme aux sourires de ton coeur,
Et le feu de mes flammes pour détruire tes malheurs,
J'entrerai en prières et invoquerai les anges,
Pour qu'ils gardent à jamais ta joie d'exister,
Que tes éclats de rire enchantent et dérangent,
Les Hommes dont le regard fait souvent pleurer,
Je passerai toutes les mers oubliées,
Dans les cimetières de nos pensées,
Et j'inventerai des couchers de soleils,
Où les scintillements deviendront réels,
A force de vouloir t'inventer des histoires,
Je te ferai princesse ou fée selon les bribes,
Qu'il reste en mon domaine de mémoire,
Je te donnerai ce souffle de l'être libre,
Qui vient du profond de moi-même,
Comme une semence qui germe,
Dans cette vérité de notre Amitié,
Rien ne saurait nous séparer pas même,
Les routes et les ruissellements des années,
Non rien ne saurait interdire de s'aimer,
Dans cette pureté cristalline de l'Amour,
Celle qui commet les plus intenses audaces,
Que le temps de sa main jamais ne menace,
Le présent de l'amitié, l'amour, la respiration,
Est l'instant vécu dans l'éternité,
Là où les mots perdent leur réalité,
Pour devenir des hymnes de tendresse,
Que l'espace seul imagine en caresses,
Pour donner du Bonheur à profusion,
Dans les corps consistants de la raison,
J'inventerai un paysage paradisiaque,
Pour te redire à quel point je ne puis mentir,
Les sentiments sont des ombres maniaques,
Qui veulent servir la Vérité sans la trahir,
Cette certitude d'aimer et d'oser le dire,
C'est toujours la Joie réciproque qui entre,
Et ne ferme jamais la porte pour laisser le Vent,
S'imprégner de cette ultime mystique du chantre,
L'Amour est une allégresse qui progressivement,
Enchante le monde en lui offrant tel un Hommage,
La certitude que la vie vaut la peine d'être vécue,
Mais pas sans Toi ma douce et splendide inconnue,
Dont je connais pourtant les plus divins secrets,
Ceux qui font que tu demeures toujours dans la dignité,
Cette force de voir le jour et de regarder ses aspérités,
Ne jamais baisser les bras face aux multiples adversités,
Toi seule est capable de t'inventer un Bonheur,
J'avais imaginé moult desseins pour ton coeur,
Et je sais que ta puissance d'Aimer tout être rencontré,
Donnera à ta Vie tant de Joies que j'avais espérées,
Et qui sont déjà en toi de toute éternité...
je savais que l'Amour te donnerait des ailes,
Tu t'envoles désormais vers les merveilles,
Le tréfonds des bruissements de tes convictions,
Donnent à ton amour oblatif toutes raisons,
Elles font partie de toi comme un battement,
Permanent et harmonieux cependant,
Elles étaient cachées pour ce monde matériel,
Elles se révèlent en ta dimension spirituelle,
Mystiques de l'Amour nous resterons toujours,
Pour Témoigner qu'il existe une Présence d'Amour,
Le Bonheur ne se trouve qu'en Soi au creux des vagues,
Nacrées par les rosées où les pensées semblent divaguer,
L'équilibre d'être en possession de soi-même,
Se trouve dans l'amitié, l'amour , la Vérité,
De s'aimer et se savoir aimé sans intérêt,
Par gratuité savoir que nous sommes précieux,
Nous rend étrangement et invinciblement Heureux.

Bruno LEROY.

10:15 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (1) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

27/06/2011

La liberté véritable n'est pas immobilité, mais aisance.

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La liberté en tant que moyen pédagogique ou thérapeutique, est la somme des permissions accordées par l'entourage ; la liberté en tant que but, est un état que l'on réalise à l'intérieur de soi-même et qui correspond à l'épanouissement de la personne tout entière par un développement harmonieux de toutes ses facultés. Il est aisé de comprendre que les permissions, données judicieusement, favorisent un exercice naturel des facultés et par suite leur développement. C'est dans un climat ouvert et confiant que l'être peut s'épanouir. Assurément, il est des permissions qui n'engagent guère la responsabilité de ceux à qui elles sont accordées : on peut ainsi permettre de lire un livre, de faire une excursion, d'assister à un spectacle. L'éducateur en conserve toujours la responsabilité ; ce sont des permissions limitées à une circonstance : on pourrait dire que ce sont des levées d'interdiction et rien de plus. La vraie permission est celle qui donne le droit de choisir, et peut-être même qui met l'individu en demeure de faire un choix : ce n'est plus simplement une sorte de cadeau qu'on accorde à l'adolescent parce qu'il a été bien sage ou parce qu'on a envie de lui faire plaisir : c'est une initiative qu'on lui laisse et par conséquent une responsabilité dont on le charge.

La liberté ainsi comprise n'est donc pas chose facile !

Au fur et à mesure qu'elle s'affirme et se précise, elle se rapproche du but, elle se confond de plus en plus avec lui, sans cesser pour autant d'être un moyen de s'en rapprocher davantage. Plus le moyen se perfectionne, plus il participe au but qui, par principe est supposé parfait. De même que selon la sagesse populaire, " c'est en forgeant qu'on devient forgeron ", c'est en étant libre qu'on apprend à être libre. L'expérience nous apprend que les circonstances dans lesquelles on n'a aucune décision à prendre sont celles qui entraînent le moins de dépense nerveuse. Beaucoup d'hommes ont été amenés à constater que le temps du service militaire avait constitué pour eux une détente dans la mesure où ils se sentaient pris en charge par l'armée et délivrés du souci d'agir par eux-mêmes et de s'occuper de leurs propres intérêts.

C'est la Liberté intérieure qui est le but de l'éducation, parce qu'elle correspond à la santé psychique, au bien-être moral, à un accord de soi avec soi-même. Elle seule répond vraiment à l'aspiration profonde et naturelle de l'homme, toujours en quête de son unité. Nous ne la concevons d'ailleurs pas comme quelque chose de fermé, qui n'aurait aucun rapport avec le monde extérieur, car un tel isolement ferait de l'individu un être incomplet qui, à vrai dire, n'aurait aucune raison d'être, non plus que sa belle liberté dont il n'aurait désormais que faire. Pour que celle-ci ait quelque valeur, il faut au contraire qu'elle soit une réponse au monde extérieur et non une jouissance purement personnelle que les contacts du dehors seraient destinés à ternir. Elle doit nous mettre à l'unisson de la Vie et non nous en retrancher. Comment pourrions-nous être vraiment d'accord avec nous-mêmes en commençant par nous amputer de toutes nos tendances sociales et de notre besoin d'agir ? Loin d'être marquée par l'épanouissement de nos facultés, cette pseudo-liberté correspondrait à une atrophie de notre personnalité. En fait, la liberté, en tant que but de l'évolution humaine, réclame de l'individu deux conditions préliminaires : un accroissement du sens de la Réalité et un accroissement des forces qui permettent d'affronter cette dernière.

La première de ces conditions implique tout d'abord que l'individu ait l'intelligence de ses actes, c'est-à-dire qu'il soit capable de prévoir et de mesurer leurs conséquences. Or, la possibilité de se diriger soi-même comme il faut est un des attributs essentiels de la liberté ; on dit d'un homme qui évolue avec aisance au milieu des obstacles qu'il a une grande liberté de mouvements et cela, non parce qu'il ignore les obstacles, mais parce qu'il sait en tenir compte.

La réalité qu'il faut connaître n'est pas seulement matérielle : elle est aussi psychologique ; il faut se connaître, soi, et connaître les autres, car rien ne peut rendre plus dépendant que l'ignorance des vrais mobiles qui animent les individus. C'est en découvrant le déterminisme physique et en utilisant ses données que l'homme est parvenu à se délivrer de nombreuses servitudes que la Nature lui imposait. De même, la connaissance des déterminismes psychologiques est la seule chance que nous possédions de nous délivrer de leur implacabilité. Il faut avoir conscience de l'interdépendance des êtres, des choses et des actions pour ne pas en être le jouet. Plus notre route sera éclairée, plus il nous sera loisible de choisir notre direction.

La seconde condition de la liberté réside dans l'accroissement de nos forces. Savoir choisir ce qui va dans le sens de sa nature, de son rôle et de sa destinée constitue donc une qualité qui fait partie des conditions de la liberté humaine. Cette faculté de discrimination permet à l'individu de trouver tout de suite un chemin qu'il ne regrettera pas d'avoir pris et qu'il pourra par conséquent suivre d'un bout à l'autre sans se sentir contraint. Les regrets sont en effet des boulets que nous traînons à nos pieds comme un signe de servitude, c'est-à-dire des contradictions qui nous enchaînent.

Pour être libre, il faut que l'homme soit fort, et pour être fort, il faut qu'il soit cohérent sans que cela lui coûte. A ce moment, ses instincts et ses impulsions ne sauraient plus lui faire peur ni par conséquent attenter à sa liberté. Il ne se croira donc pas obligé de les nier ou de les ignorer : il n'aura pas besoin de réclamer des garde-fous, de s'inventer des barrières artificielles. Plus on est fort, moins on a besoin de fortifications. La liberté véritable n'est pas immobilité, mais aisance. Celui qui est vraiment libre dispose de la plénitude de ses facultés parce qu'il peut penser et agir sans éprouver toujours le sentiment qu'il désobéit à une puissance invisible, prête à le rappeler à l'ordre. Il pense, il sent, il juge et il agit librement ; c'est-à-dire en pleine connaissance de cause, sans être retenu ou paralysé par des motifs confus ou inavoués. Son comportement est conforme à son jugement qui est conforme à sa pensée, elle même conforme à ses sentiments.

L'individu libre a droit à se libérer des contraintes étrangères qu'il estime inacceptables ; mais si, par hasard, il se trouve d'un coup débarrassé de ces contraintes sans avoir atteint l'autonomie et la maturité nécessaires, il apparaît comme un petit enfant à qui l'on a donné un jouet magnifique et compliqué, dont il est incapable de se servir. Il possède alors en effet une Liberté sans but et sans raison d'être, qui ne l'empêche pas de souffrir sourdement de sentiments de dépendance, d'autant plus difficiles à supporter qu'il ne peut même pas discerner leur cause exacte ni par conséquent donner un objet à sa révolte.

Il est évident que l'éducateur, en tant que tel, ne peut prétendre modifier directement les conditions que rencontrera l'adolescent dans sa vie d'adulte. Le seul but qu'il puisse s'assigner, c'est la formation du jeune lui-même et par conséquent, sa liberté, dans la mesure où, celle-ci devient synonyme de maturité et correspond au développement équilibré de toutes ses potentialités. Je me suis efforcé, alors que le mot " liberté " demeure confusionnel, de ramener le débat, d'une part à une technique éducative, d'autre part à un problème plus vaste qui touche au sens même de l'éducation et, peut-être un peu, de la Vie. Disons même que c'est à partir du moment où nous avons conquis cette liberté qu'il nous devient possible de faire vraiment quelque chose de notre existence. L'adolescent doit devenir cet adulte qui assume sa propre destinée, celui à qui revient la responsabilité de ses actes et qui doit subir leurs conséquences dont personne ne cherche plus à le préserver. Une telle adaptation de soi à soi-même, si elle répond à la définition de la liberté humaine, répond aussi à la définition sans doute plus valable du Bonheur.

Bruno LEROY.

20:14 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

19/06/2011

Tu es le levain.

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Quand les torrents viennent me sortir du lit des habitudes,
Je résiste inlassablement contre ces incertitudes,
Tu fais jaillir en moi les résistances dont je me nourris,
Tu m'as révélé tant de beautés qui honorent ma Vie,
Ton éducation fut celle de la force à jamais épanouie,
En chaque individu murmure une source sacrée,
Sur les chemins perdus je me suis toujours retrouvé,
Grâce à tes gestes d'Amour qui ne jugeaient jamais,
Mais qui ouvraient mes horizons aux lendemains enchantés,
Tu m'as Tout donné au fil des années,
Que pourrais-je t'offrir en toute dignité ?
Des lambeaux de mon âme aux simples reflets,
Je ne pourrais te rendre ce que tu m'as offert,
A l'Humanité je sèmerai tes sourires au sortir de l'enfer,
Partager au monde entier tes valeurs insufflées,
Voilà donc mon chemin depuis longtemps indiqué,
Donner ton regard de tendresse toujours émerveillé,
Sur les divers aspects de l'existence donnée,
Tel un fruit savoureux qu'il nous faut croquer,
Oui, tu m'as appris que les jours sont rayons de lumière,
Qu'il faut vivre l'instant présent comme ultime mystère,
Même les larmes purifient la vie de ses scories,
Ta force d'aimer infusée en moi me grandit,
Tu m'as donné la terre pour que je puisse,
Faire mon nid avec honneur face aux vilenies,
Comment pourrais-je rendre l'océan spumeux,
Aux éclats d'or et d'argent tel que tu as su le faire,
Par-delà les cieux des hommes ombrageux,
Sinon, donner à ton éducation la culture de la raison,
Et parfumer les autres de tes vérités acquises,
Qui feront de moi un être sans convictions assises,
Mais, un homme à ta ressemblance bouillant de liberté,
Celle d'un humain sachant aimer sans l'ombre d'un préjugé,
Oui, sachant regarder l'autre sans confusions tel qu'il est,
Pour tous ces soleils qui brûlent en mon corps,
Et que tu m'as fait découvrir sans imposer,
Pour tout ce qui consume ma joie de respirer,
Face à cette société aux senteurs de mort,
Pour ce coeur radieux qui hante le merveilleux,
Pour ce Bonheur inoculé qui forge mon destin,
Grâce à tes pensées et tes rires sans fin,
Je ne puis que te souhaiter une mirifique Fête,
Papa, tu es mon levain qui enchante mes jours,
Qui fait monter la pâte vers davantage d'Amour.
Pour Tout cela et plus encore...
Je te souhaite la plus somptueuse Fête des Pères,
Ô Papa je t'Aime d'une Tendresse Infinie,
Et je serai Ton Fils pour l'éternité et à jamais,
Puisque notre sang irrigue une semblable spiritualité,
Libérée de toutes entraves aux seuls soucis d'aimer.
 
Bruno LEROY.

09:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

18/06/2011

BONNE FÊTE PAPA !

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Parfois nous cherchons dans les livres des Sages,
Des raisons, des solutions, des comportements,
Pour savourer le Bonheur jusqu'au tréfonds de l'âme,
Tous les anciens nous apprennent les fondements,
 
D'une joie indéfectible que nous cherchons tant,
Au fil des ans sur le sentier anguleux du temps,
Et pourtant, il nous suffit de te regarder vivre,
Oui, vivre dans la profondeur même de la Vie.
 
Vivre intensément chaque instant avec la force du feu,
Se brûler à ton exemplarité et tes émerveillements,
Voilà l'éternel secret de ton sourire d'enfant,
Aimer le vent qui chante des hymnes éclatants.
 
Aimer l'amour pour donner sens à notre présence,
Sur cette terre abîmée par moult indifférences,
Aimer passionnément les êtres qui nous entourent,
Et ne pas les juger mais avoir un regard d'amour.
Toujours pour ne pas tuer l'autre !
 
Mais vivre l'essence même de cette sublime existence,
Voici donc le mystère qui donne aux jours cette belle insouciance,
Une étoile d'amour accrochée au firmament de ton ciel intérieur,
Qui scintillera toujours d'un sempiternel Bonheur, une tendre lueur.
 
 
Pour tout cela et plus encore,
Tu mérites le délicieux nom de Papa,
Reconnu par tes enfants qui t'aiment assurément,
Je te souhaite du fond du cœur jusqu'au tressaillement,
Une joyeuse Fête des pères,
Et que cette Joie éclate en Toi comme une douce lumière.
 
BONNE FÊTE PAPA !
 
De la part de Ton Fils, Bruno qui t'Aime puissamment !!!
 
 

13:53 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

17/06/2011

Quel est le but de ta vie ?

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Quel est le but de ta vie ? Est-ce l’amour des autres, le service envers eux, ou bien le fait de se surpasser pour un idéal précis ? Si tu es égoïste et incapable de te dépasser, tu ne pourras pas développer en toi la force d’âme avant de changer le but de ta vie. Pour devenir courageux, il te faut savoir ne pas être indifférent vis-à-vis du bien. Les adolescents sont fréquemment idéalistes. C’est une bonne chose, mais qui doit devenir réalité. Ta jeunesse et ton énergie te donnent envie de changer le monde. Si tu arrives à bien canaliser cette énergie, un grand bien découlera de ta lutte.

Les problèmes arrivent lorsque les choix qu’on te propose vont à l’encontre de la santé, du bonheur et de la force de caractère. Une personne forte est en mesure de dire « non » là où celle qui ne l’est pas dit « oui ». Ces décisions permettent d’atteindre plus facilement les buts qu’on se propose ou bien au contraire nous empêchent de les atteindre un jour.

Quel est le but de ta vie ? Y réfléchis-tu de temps en temps ? Tu vois sûrement des gens qui t’impressionnent et qui sont heureux. As-tu osé leur demander pourquoi ils étaient comme ça ? Prends-tu le temps de réfléchir lorsqu’on te propose quelque chose qui risque d’influencer ta vie et ton comportement ? Sais-tu dire non même lorsque tu te rends compte que tu seras seul à t’opposer à une chose qui te semble aller contre le bon sens, la morale ou la charité ?

La persévérance consiste à poursuivre un bien en dépit de toutes les difficultés que cela peut représenter. Prenons l’exemple du dentiste : on ne peut ignorer le bien que cela fait de se faire soigner les dents même si l’opération est douloureuse. La persévérance dans la soumission à des règles durant de nombreuses années constitue le meilleur test de capacité à faire preuve de courage. Par exemple, si tes parents te demandent de faire tes devoirs avant d’aller faire du foot ou voir des copains, et que tes amis t’appellent, es-tu capable d’agir droitement en obéissant à une règle qui a été créée pour ton bien ? (Il pourrait y avoir plein d’autres exemples tels que le règlement intérieur du collège, payer son titre de transport, refuser une cigarette (ou pire !) ou une mauvaise revue, blague, etc).

Comment devenir capable de mener à bien des projets ? En sport, si tu veux escalader une falaise, gagner une course, un match, battre un de tes records, tu te prépares et tu conditionnes ton corps et ton esprit en le rendant plus résistant et plus fort. Mais fortifier son caractère est plus difficile. Es-tu capable de te lever à l’heure, de dormir dans des conditions plus dures que le lit douillet, de continuer à marcher alors que tu commences à avoir soif, monter à cheval pendant longtemps sans te plaindre, manger ce qu’on te sert sans faire de caprices ? Si tu oublies quelque chose, est-ce que tu cries à l’aide ou bien tu tâches de contourner le problème, de développer d’autres alternatives pour surmonter les difficultés.

Cela demande de la force d’âme et t’aidera à développer ton caractère.

La prière des profondeurs pourra t’aider à scruter tes propres forces intérieures, à épurer tes marasmes qui te font stagner. Fais confiance en Dieu et tu seras confiant en la Vie et en Toi. Tu donneras alors sens à ton existence même ci celle-ci te semble parfois surnager au-dessus d’obscures brumes. Ta Force te viendra de l’Esprit-Saint qui saura mettre de la Lumière dans ton destin, le long de ton chemin.

Bruno LEROY.

13:39 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

14/06/2011

Les mots véhiculent nos sentiments profonds.

 Les mots véhiculent les pensées et la poésie permet de dévoiler la Beauté suggestive de l´âme ainsi, nous pouvons élever notre esprit et nous défaire progressivement de la grisaille qui aveugle parfois notre regard. Les poètes sont les prophètes qui annoncent par la subtilité du langage et de l'expression, que le monde a encore des raisons d´espérer et que la splendeur des tréfonds du cœur demeure à jamais. En effet, la poésie est éternelle pour ceux et celles qui savent aimer la Vie afin de lui redonner son Harmonie originelle. La poésie sera toujours une source d´Espérance intarissable dans laquelle les Hommes puiseront la fraîcheur d'exister et le sens de l'émerveillement, sans toutefois se dessaisir de la Réalité.

 

Bruno LEROY.

20:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., IMPRESSIONS PERSONNELLES., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

12/06/2011

Le firmament cherche les reflets de nos désirs.

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Le Souffle divin parle à nos côtés en un silence émerveillé,
Langueurs indicibles pour contempler les murmures du temps,
Les secondes coulent leurs derniers moments,
L'émerveillement puise sa puissance dans le cœur de Dieu,
Nous le savons depuis les commencements,
Mais nos consciences sont obscurcies depuis longtemps,
La clarté ne pénètre plus la cécité de nos yeux,
Notre âme d'enfant est morte sans mot dire,
Le firmament cherche les reflets de nos désirs,
Il suffit pourtant de retourner en dedans,
De nos corps figés par les convenances périmées,
Pour retrouver ce sens premier cette immortalité,
Ce sentiment d'enfanter d'inexorables enchantements,
En présence d'une Présence qui ne se présente plus,
Tant nous savons la mémoire de son absence,
Un bruissement que l'on croyait perdu,
Revient à chaque pas dans les ciels de nos trépas,
Car nous mourons un peu plus chaque jour,
Mais cela ne compte pas quand nous sommes Amour. 


Bruno LEROY.

21:01 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |