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18/02/2007

AIMER...

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Aimer c’est ce qui adoucit les moments difficiles. C’est en aimant les autres et en étant aimé par eux, que la personne âgée peut supporter toutes les difficultés de la vie et en connaître une qui illumine son intérieur.

Aimer c’est ce qui me garde le cœur jeune.

On ne vieillit jamais lorsque l’amour remplit nos journées.  Aimer, c’est ce qui permet de tisser une toile d’amitié profonde avec les miens.  Le seul véritable amour façonne nécessairement des liens qui vont au-delà de tous sentiments et qui durent éternellement.

Aimer c’est ce qui me permet d’étendre les fils de ma toile jusqu’à vous.  On ne peut rester dans son petit cocon lorsque l’on aime. 

 S’ouvrir aux autres, c’est la seule façon de les rejoindre et de se rendre accessible.

Aimer c’est partager au quotidien toutes les joies et les peines.  Que l’on pleure ou l’on rit, chaque jour nous donne ce qu’il peut nous donner.  C’est en partageant ces moments que l’on peut véritablement aimer et se sentir aimé.  Aimer enfin, c’est un sentiment qui grandit avec l’âge.

La personne âgée a tant d’amour à donner, mais il faut être près d’elle pour le recevoir...

Bruno LEROY.

13:57 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

04/02/2007

LA VIE TRANSFIGURÉE...

Face à tout système fondé sur l'avoir, resplendit un désir d'être autre avec les autres. L'événement arrive comme une surprise, déchirant la grisaille d'une quotidienneté trop prévisible et dévoile, tout à coup, la grâce de visages hier inconnus ou absents. Moments fugitifs où les choses de la vie et les êtres se transfigurent, où les lois se transgressent, où le paraître laisse l'éclat d'une beauté imprévue, car la beauté est toujours donnée de surcroît.

Cette fête d'Amour, dit que la Vie ne se réduit pas à ce qu'on en voit, que ce qui compte le plus ne se comptabilise pas, ce qui vaut le plus est sans prix, cela ne s'achète ni se vend. Elle est subversive dans une économie de profit, elle consume au lieu de consommer, elle pousse à perdre, à sacrifier ses réserves plutôt que les capitaliser. Elle est prodigalité joyeuse et enfantine, son excès et sa démesure subvertissent les normes habituelles de la société et de la raison raisonnante.

N'est-ce point là, une attitude de Vie chrétienne ou qui mène vers une libération de la conscience, lorsque l'existence est vue sous l'angle de la gratuité, de l'émerveillement et de la découverte quotidienne, tel le regard de l'enfant qui découvre les mystères fascinants de la beauté des choses et des événements ? La souffrance se trouve ainsi assimilée et relativisée, transfigurée.

Mais, vivre réellement dans une dimension libératrice de Foi, n'est-ce point se ressourcer aux racines festives de la société, même si la lourdeur des contraintes sociétales assombrit le paysage ? Cette façon de se positionner face à la Vie ne devrait pas être le seul fait des artistes mais de tout individu qui est en droit de trouver une respiration, une libération, un épanouissement personnels.

Notre Amour du Christ favorise cette recherche de l'intériorité humaine. C'est une mirifique utopie qui donne sens à l'existence.La libération ne viendra que, de la prière intense et non de forces extérieures.

Nous devons regarder la Vie autrement pour la Vivre autrement !

Puisse-t-il en être ainsi pour vous afin que vous puissiez atteindre les aspects lumineux que nous offre la terre-mère. Puisse-t-il en être de même pour nos enfants et tout être dans lequel germe une Parole de feu, celle de Dieu.

 
Bruno LEROY.

22:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, social, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

14/01/2007

LES CHEMINS.

« Pourquoi les grands-parents ont-ils des chemins sur leur visage? »

Cette question est celle de Nicolas, un de mes petits-neveux.  Je ne sais pas quelle fut la réponse de ses parents, mais la question de Nicolas, elle, est une trouvaille, une trouvaille d’enfant qui nous fait réfléchir.

Là où nous ne voyons que des rides, symboles d’usure, marques du temps qui ne pardonne pas, Nicolas, avec son cœur d’enfant de quatre ans, y découvre des chemins.  Chemins de joies et de peines qui ont laissé leurs traces, chemins qui disent une histoire, chemins d’une vie donnée.  Oui, grands-parents, ne soyez pas gênés des chemins sur votre visage.  Ils nous disent que vous avez aimé, que vous avez su donner et accueillir la joie.  Ils nous disent aussi vos heures d’efforts et de travail, vos heures d’inquiétude et de veilles.  Ils nous disent que vous avez vécu!  Ces chemins sur votre visage sont la beauté de votre âge.  Ce sont les chemins de la vie!

Bruno LEROY.

 

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16:09 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

07/11/2006

Méditer...

Pour méditer tout simplement...

http://www.psychologies.com/a-mediter.cfm/phrase/348

21:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

03/11/2006

Réflexions personnelles...

 Être dépendant de Dieu, ces mots impliquent un renoncement délibéré de mon indépendance, et ma soumission à la seigneurie de Jésus-Christ.

Dieu peut me mettre trois cent soixante-cinq fois par an devant cette nécessité, mais il ne peut faire à ma place ce que j'ai à faire.
Il faut que la dure coque de mon égoïsme qui me sépare de Dieu se brise, pour que ma personnalité s'en échappe et vienne s'unir dans une communion parfaite avec Dieu lui-même.
Cela non pour réaliser mes propres idées, mais pour être fidèle à Jésus. Quand j'en suis là, tout devient clair. Bien peu d'entre nous connaissent vraiment la fidélité absolue à Christ : "A cause de moi" (Matt 5, v. 11) .C'est cette attitude-là qui fait le saint authentique.

Cet abandon est-il accompli ? Tout le reste n'est que pieuse fraude. Le seul point décisif est celui-ci : Est-ce que j'accepte de m'abandonner, d'être soumis sans réserve à Jésus-Christ, sans poser de conditions sur la manière dont mon esprit d'indépendance sera brisé ?
Dès lors se produit l'union surnaturelle avec Christ, et le Saint-Esprit m'en donne une claire confirmation : "J'ai été crucifié avec Christ".
 Pour être un véritable disciple, je dois en venir là : renoncer à tous mes droits, et devenir le reflet de Jésus-Christ. Sans cet abandon, ma sanctification ne peut pas commencer.

Il faut que Dieu puisse nous utiliser à son gré. Ce n'est pas à nous de décider ce que nous devons faire, c'est à Dieu seul.
Bruno LEROY.

21:09 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

06/06/2006

MÉDITATIONS CHRÉTIENNES.

Les sadducéens refusent de croire que les morts ressuscitent, sous prétexte que la Thora – c'est-à-dire le Pentateuque - n’en fait pas mention. Selon l’historien Flavius Josèphe (historien juif hellénistique, né en 37 et mort vers l'an 100), ils nient l’immortalité de l’âme, et prétendent que celle-ci meurt avec le corps. Par contre les pharisiens, suivis en cela par la majorité des juifs de l’époque de Jésus, enseignaient la foi en la résurrection. Jésus est donc sollicité pour prendre position au cœur d’un débat assez passionné, comme nous pouvons nous en rendre compte au chapitre 23 du livre des Actes, où Saint Paul tire astucieusement profit de cet antagonisme pour se soustraire à ses accusateurs.

L’argumentation des sadducéens s’apparente à un raisonnement par l’absurde : il s’agit de prouver la fausseté d’une hypothèse en poussant jusqu’au bout ses conséquences, et en montrant qu’elle conduit à un non-sens. Ils s’appuient sur le mariage du lévirat, tel qu’il est décrit en Dt 25,5s : le beau-frère (le lévir) non marié est obligé d’épouser sa belle-sœur veuve, si son mari ne lui a pas donné de garçon. Les fils de cette union étaient considérés comme les fils du premier mari défunt. Les raisons de cette pratique étaient avant tout économiques et sociales : il s’agissait de trouver un héritier qui puisse porter la responsabilité du patrimoine familial laissé par le défunt. Selon les sadducéens, si Moïse avait vraiment cru en la résurrection, il n’aurait jamais prescrit cette pratique, qui conduirait à une situation rocambolesque dans l’au-delà. La réponse de Jésus souligne l’étroitesse de vue de ses interlocuteurs, qui imaginent l’au-delà sur l’horizon de leurs traditions humaines, et par le fait même, réduisent l’espérance eschatologique à un simple prolongement de la vie terrestre. Une telle interprétation signifie à la fois « méconnaître les Ecritures et la puissance de Dieu ».

Notre-Seigneur commence par démontrer que les sadducéens « méconnaissent les Ecritures », car contrairement à ce qu’ils prétendent, celles-ci annoncent la résurrection, y compris dans les cinq premiers livres de la Bible, les seuls que reconnaissent ses contradicteurs. Jésus cite en effet le célèbre passage du Buisson Ardent au livre de l’Exode (Ex 3,1-6 ; 13-15) dans lequel Yahvé se présente comme le Dieu des patriarches. Ceux-ci sont bien évidemment morts au temps de Moïse ; si donc le Très Haut affirme être leur Dieu (au présent), il est clair qu’ils sont vivants auprès de lui, car « Dieu n’est pas le Dieu des morts mais des vivants ». Les sadducéens « méconnaissent également la puissance de Dieu » : non seulement la mort ne saurait lui arracher ceux qui sont entrés dans son Alliance, mais la résurrection que leur offre le Seigneur n’est pas la simple prolongation de leur vie naturelle : elle consiste en une action divine inouïe, apparentée à une nouvelle création, qui réalisera « ce que personne n’avait vu de ses yeux ni entendu de ses oreilles, ce que le cœur de l’homme n’avait pas imaginé, ce qui avait été préparé pour ceux qui aiment Dieu » (1 Co 2, 9). Il est sans doute vain d’essayer de nous représenter les conditions concrètes de ce monde nouveau : Jésus souligne seulement qu’il ne sera pas pareil à celui-ci. Certes l’homme sera toujours masculin jusque dans son corps glorieux, et la femme sera toujours son vis-à-vis complémentaire qui suscitera son émerveillement comme au matin de la Genèse (Gen 2, 23).

L’amour sera même plus brûlant que jamais en leur cœur, selon le dessein originel du Créateur. Mais l’état de l’humanité glorifiée ne nécessitera plus la procréation au sens où nous la vivons dans notre condition terrestre. L’homme et la femme s’aimeront en Dieu, qui leur donnera part dans l’Esprit à la fécondité de son amour divin. « Seigneur, garde nous d’oublier “ton projet” sur nous, et notre “vocation sainte” (1ère lect.), toi qui veut « faire resplendir en nous la vie et l’immortalité par l’Evangile”. Donne-nous de nous souvenir toujours de celui “en qui nous avons mis notre foi”, et réveille en nous l’“esprit de force, d’amour et de raison”, afin que nous n’ayons pas honte de rendre témoignage à notre Seigneur et à prendre notre part de souffrance pour l’annonce de l’Evangile” (Ibid.). »

Joseph-Marie +

19:38 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Christianisme |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

24/05/2006

UNE ÉDUCATION AU SILENCE.


UNE ÉDUCATION AU SILENCE
C'est dans le silence que nous rencontrons Dieu. Notre monde meurt par manque de silence. Les bruits des villes envahissent nos consciences. Et ces musiques qui nous détruisent les tympans plutôt que nous satisfaire l'esprit. Nous sommes dans une culture du bruit. Notre intériorité s'en trouve détruite progressivement. Nos discours sont souvent des paroles de vent. Nous devons retrouver d'urgence ce silence dont la force est de nous recentrer sur l'Essentiel. Le plus grand meurtre que nous puissions faire envers les jeunes est de ne pas les éduquer à déguster la qualité du silence. Le silence leur fait peur car, il évoque la mort. Une éducation au silence serait aussi pertinente qu'une évangélisation sans consistance. Soyons, Frères et Soeurs, des Témoins du silence habité par Dieu Amour. Et le monde nous suivra dans notre exemple. Puiser la signification de chaque mot ou de chaque geste dans le silence de l'Esprit-Saint. Pour être remplis, tous et toutes, de cette puissance d'Amour qu'on entend dans le silence. Comment pourrions-nous être à nous-mêmes et à l'écoute de Christ si le bruit envahit nos journées ? C'est une question de disponibilité devant Dieu et devant les Hommes.C'est une attitude de prière face à la Vie.
Bruno LEROY.

 

11:43 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

La vie chrétienne.

La vie chrétienne

La vie chrétienne est une vocation parce qu’elle est une vie dans l’Esprit. C’est l’Esprit qui nous appelle pour nous faire entendre la Parole du Père. L’Esprit éveille en nous une réponse filiale : " Tous ceux qu’anime l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Aussi bien n’avez-vous pas reçu un esprit d’esclaves pour retomber dans la crainte ; vous avez reçu un esprit de fils adoptifs qui nous fait nous écrier : Abba, Père ! " (Rm 8,14.15). L’Esprit invite chaque homme à donner une réponse d’amour à l’invitation du Père : " je suis ton enfant ".

 

C’est notre relation à Dieu, au Père, qui fonde toutes nos relations humaines. Cela ne signifie pas que notre relation aux autres n’est pas importante. Mais c’est la vie dans l’Esprit qui illumine et ajuste notre relation au frère (justement parce que l’Eprit nous aide à accueillir l’autre comme un enfant aimé du Père).

Bruno LEROY.

11:41 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : SPIRITUALITÉ DE LA LIBÉRATION. |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

21/05/2006

Petite méditation sur le repos...

Dieu créa le monde pour que nous en savourions les splendeurs. Notre culture d'indispensabilité dont nous sommes victimes n'est guère propice à cette contemplation. Dans cette mort spirituelle nous semblons être Heureux et pourtant, nous insultons l'Éternel. Imaginez, Frères et Soeurs, qu'un excellent ami à vous artiste-peintre, vous montre sa dernière oeuvre dans laquelle, il a mis tout son talent. Vous lui répondez : c'est bien mais, excuse-moi, je suis indispensable à mon travail donc je regarderais plus tard. Quelle insulte, n'est-ce pas ?
Hé bien, c'est ce que nous faisons chaque jour avec Christ tout en nous proclamant chrétiens. Notre vie a trois mille à l'heure rend impossible toute intériorité. Et pourtant, n'avons-nous pas dans une journée quelques minutes pour admirer l'oeuvre de Dieu. Allons, je travaille plus de 16h/jour et trouve souvent le moyen de me ressourcer. Je ne suis pas un surhomme. Je trouve les "combines" pour être près de Dieu dans mes jours survoltés. Non, je ne suis pas un surhomme, Frères et Soeurs, j'essaie d'être un Homme de Dieu qui se repose dans la douceur de ses bras d'Amour.
Je ne suis qu'indispensable aux yeux de Dieu !
Bruno LEROY.

10:01 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

16/05/2006

Pour les Parents...


Pour les Parents...

Si vous avez des enfants lisez ces lignes soigneusement :

Mes mains sont encore petites.  Je ne peux pas faire mon lit ni dessiner à la perfection.  Mes jambes sont trop courtes pour marcher aussi vite que vous, alors ralentissez un peu.

Mes yeux n’ont pas encore vu le monde comme les vôtres.  Donnez-moi le temps de l’explorer à mon rythme, sans trop restreindre le champ de mon regard.

Passez un peu de temps avec moi.  Le ménage de la maison peut attendre.  Mais je ne suis petit qu’un temps bien court.

Moi aussi j’éprouve des sentiments, alors ne me rabrouez pas parce que je pose souvent des questions.  Traitez-moi comme vous aimeriez être traités.

Je suis un cadeau que vous devez chérir comme Dieu l’a voulu.  Apprenez-moi à être responsable; guidez-moi et disciplinez-moi avec amour.

J’ai besoin d’encouragements pour grandir mais pas de flatteries inutiles.  Corrigez-moi pour m’améliorer, sans me critiquer sans cesse.

Laissez-moi libre de faire mes choix, même si je me trompe souvent.  Laissez-moi trébucher parfois, afin que j’apprenne à marcher convenablement.

Ne répétez pas toujours les mêmes choses. Ne me donnez pas l’impression que mes efforts seront toujours vains.  Ne me comparez pas à d’autres!  Je suis moi, pas les autres!

N’ayez pas peur de me laisser seul avec des enfants de mon âge.  Les enfants ont parfois besoin d’être seuls, autant que les parents.  Cela prouve que le mariage est quelque chose de très spécial!

Amenez-moi à la maison de Dieu et faites-moi faire Sa connaissance, car j’aurai besoin de Lui pour le reste de ma vie.


Bruno LEROY.

19:45 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (9) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |