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29/11/2010

L'amour. Une émotion qui s'use ?

 

Une émotion qui se redécouvre sans cesse !

Une émotion que l'on ne peut maîtriser mais que l'on peut nourrir, attendre et chercher...

Et qui dans ce cas revient toujours plus forte, d'autant plus en contraste avec les passages de désert...On peut côtoyer ceux qui nous sont les plus chers sans même les voir. Quotidiennement !

 

 

Époux ou épouse, mais aussi dans la relation avec Dieu.

 

 

On n'écoute plus, absorbés par nos activités et nos pensées dont l'autre est exclu !

On peut ainsi parler, écouter faire quelque chose pour l'autre sans que l'autre n'existe vraiment dans nos coeurs, dans nos pensées, dans nos gestes ou nos paroles...Et soudain, sans même comprendre pourquoi, quelque chose brise cette glace, nous montrant notre besoin de relation authentique, profonde et sincère.

On aime !

Bruno LEROY.

 

 

28/11/2010

Je m'en vais trouver la solitude.

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Je m'en vais trouver la solitude dans ce paysage blanchi à la chaux. Froid pourtant le temps est. Mais, nous sommes parfois aussi peu accueillant dans notre froideur de sentiments.
 
Alors, nous prenons conscience que nous faisons partie des éléments. Je m'en vais sur la glace me mirer et fortifier mon corps.
 
Peu importe les saisons. Ou plutôt, les saisons sont des tableaux peints par des mains divines. J'aime le froid, le chaud, le tiède, la Vie enfin. Tout ce qui respire ou ne bouge point.
 
 
J'aime le vent venant marteler mon visage. Et cette femme qui sourit sur le trottoir d'en face se demandant qui je suis. Et cet enfant qu'aucunes tempêtes ne perturbe dans ses jeux. Concentration dans l'instant présent. Voilà le secret, la magie pour aimer le doux regard de la Vie. Respirer au profond de chaque seconde qui passe. Une forme de prière à la Beauté environnante.
 
 
Un hymne à la joie d'habiter cette terre-mère. Vivre le présent comme un instant d'éternité. Alors, les rides peuvent bien venir sur le lac gelé. Nous admirons, contemplons ces moments qui nous font exister. Pas seuls, mais avec nos frères et sœurs en Humanité.
 
Bruno LEROY.

25/11/2010

Tu possèdes le feu des désirs brûlants.

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L'eau coule le long de ton corps ardent,
Tu possèdes le feu des désirs brûlants,
Je ne laisserai pas le piège se refermer,
Sur tes courants tumultueux et enflammés.
 
 
Ah ! Que n'ai-je tant ascétisé dans ma vie,
Vos charmes ne me laissent pas de marbre,
Mais je sais maîtriser les passions de nuits,
Mon cœur gravite désormais d'autres arbres.
 
La spiritualité n'empêche nullement d'aimer,
Jouir dans les fanges de vos corps évanouis,
Elle permet de ne point sombrer dans vos désirs,
Ceux que l'on ne désire pas vraiment.
 
Un autre amour différent de votre chair salace,
Permet de ne point vivre en vieux dégueulasse,
En jeune incontrôlé par des hormones jaillissantes,
Qui provoque déjà des blessures naissantes.
 
Le système nous incite à baiser avec la publicité,
Cette femme qui présente un objet à acheter,
N'est-elle pas devenue objet à son tour,
Elle présente du vent pas de l'amour.
 
Si tu suis le système alors tu penseras,
Nuit et jour au sexe qui dévore l'amour,
Au fric qui bousille tes relations authentiques,
Et tu crèveras dans ce vide sidéral sans foi.
 
Il te faudra choisir entre la beauté des sentiments,
Et l'éjaculation précoce sans lendemain,
Entre l'argent qui bouffe ton oxygène intérieur,
Ou le Bonheur d'être aimé pour ce que tu es.
 
Bruno LEROY.

12:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Je viendrai loger dans la maison de ton âme

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Je te soutiens dans ces moments d'incertitudes,
Mon soleil brûlera dans tes brumes obscures,
Et tes peurs s'évaporeront comme l'éther,
Tu sais j'ai combattu tant d'imbéciles,
Ceux qui prétendent savoir sans connaître.
 
Depuis longtemps je respire au profond de mon être,
De mes propres limites tout en les savourant,
Les autres n'ont guère le droit d'estimer si tu es grand,
Ta splendeur, tes éclats se font dans ton esprit avec raison.
Apprends à mieux te connaître pour te reconnaître.
 
Renvoie les autres sur les chemins de leurs perfections,
Trace ton propre destin comme une fleur en bord de route,
Et tu seras très loin des pensées construites pour toi,
Tu seras ton maître à penser face à ta destinée,
Toujours je te tiendrai la main pour t'éviter de trébucher.
 
Tu sentiras mon souffle t'aider à te relever,
Dans les situations qui semblent compliquées.
Je t'aime et je t'aimerai loin du propos courant,
Loin des réflexions de ces ombres moralisantes,
Qui démoraliseraient toute marche en avant.
 
Je marche à tes côtés sans complexe d'aimer,
Ton cœur bat dans le mien j'entends tes angoisses,
Je viendrai loger dans la maison de ton âme,
Uniquement pour sans cesse répéter mon amour,
Te rassurer de ces yeux que tu prends pour des vautours.
 
Bruno LEROY.

23/11/2010

Sommes-nous dans une réalité qui nous échappe ?

Sommes-nous dans une réalité qui nous échappe ? Un manteau porté sur les épaules de nos illusions. Des sentiments qui mentent tout en évoquant cette vérité contemplée. Le monde est-il palpable comme nous le souhaiterions ? Ces questions gravitent en nos cerveaux parfois soucieux de découvrir la blessure cachée de l'Humanité.
 
Nous sommes des photos inventées à la vie. Nos images circulent autour des galaxies éteintes. Pourquoi éteintes ? Parce que notre existence est peut-être factice et que nous, dans notre corps, notre peau d'homme, ne sommes plus capables de définir la vérité vraie. Celle qui parle du fond des entrailles de ces océans spumeux dont l'écume nacrée se serait esquivée depuis un certain temps. Oh ! lumière des tes yeux. Charmes de tes pourtours radieux. Je ne crois qu'en toi, seule réalité que je puis étreindre sans me renier et sans mot dire. Silence d'un amour profond qui se réinvente chaque jour aux solstices miroitant sur les vagues de tes charmes. Je t'aime ange éternel de mes sensuels désirs d'exister. Je t'aime dans cette Vérité vraie de vivre à tes côtés pour l'éternité.
 
Bruno LEROY.

QUAND TU ME TENDS LES BRAS VERS TA LUMIÈRE.

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Cet arbre qui vieillit au gré des saisons,
C'est ton ami qui se façonne à sa façon,
Un jour plus jeune pourtant malgré le temps,
Passant avec sa froidure sacrifiée au vent.
 
Dans ton regard levant je deviens adolescent,
En tes rêves d'enfant je deviens jeune éternellement,
Et je grandis en ton souffle respiration de mon âme,
Braise qui s'embrase pour devenir brûlante flamme.
 
Sans toi je ne suis qu'un arbre solitaire,
Les bras tendus vers le ciel qui attend,
Le suprême miracle de ton cœur palpitant,
Quand tu me tends les bras vers ta lumière.
 
Bruno LEROY.

20:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

SANS AMOUR LES JOURS NE FONT QUE PASSER.

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Toi et moi contre le monde entier,
Toi et moi pour l'éternité,
Une façon absolue de nous aimer,
Malgré les adversités et les tempêtes,
Qui pourraient nous briser,
Sans amour les jours ne font que passer,
Dans les yeux des autres,
Sans jamais devenir nôtres,
Sans Amour je ne pourrais pas même t'imaginer,
Dans mes je t'aime...!
 
Bruno LEROY

20:49 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

L'AMOUR S'EXPRIME SANS MOT DIRE.

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Des corps qui puisent la force à la source,
Les plus délicieuses nuits mourant dans un cri,
Un gémissement qui atteint les sommets,
Les plus élevés de la conscience humaine.
 
Amour, amour quel chant rythme ta chanson,
Ce paradis en musique psychédélique,
Mais garde sa raison dans sa façon,
D'aimer sans illusions en vérité.
 
 
Nos corps ne sont pas figés, fixés, sculptés,
Dans la glaise de la mort,
Ils coulent le long des flots tels des bateaux,
Pour changer le décor,
Dans nos veines ruissellent mille merveilles.
 
L'amour est notre puits ouvert sur la vie,
Nous cherchons en ses flancs nos passions,
Ô splendeurs d'un océan qui s'ouvre dans le cœur,
Profond de ce que nous pensions être illusions,
La mer déborde loin des idées convenues.
 
Convenances de pensées immuables,
Les sentiments sont les réflexions des corps,
Lorsque le soleil vient brûler leur chair amitié,
Pour en extraire le feu d'un amour consumé.
 
Vagues jaillissantes de nos rêves tremblants,
L'amour est un cadeau offert par le firmament,
Une sorte d'étoile solitaire mais aimante,
Qui scintille sur la voie lactée des amantes.
 
Que nous sommes quand nos fièvres donnent,
A nos mains des secousses tremblantes,
Non de peur mais d'extase dans cet ultime instant,
Où l'amour s'exprime sans mot dire et pourtant,
Tout est dit dans un cri de volupté sans effroi.
 
Bruno LEROY.
 

20:45 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

17/11/2010

J'AI DEMANDÉ....

J'ai demandé au ciel de t'accorder bonne santé et Bonheur,

J'ai remercié de ta Vie, je t'ai souhaité tout ce qu'il y avait de mieux,

Je t'ai adressé de bonnes pensées, de l'espoir, de la foi et de l'amour.

J'ai demandé à tes anges gardiens de te protéger et de te mettre à l'abri de tout danger et de t'entourer de joie et de satisfaction, de paix et de prospérité...

J'ai demandé qu'il te soit accordé la sagesse pour te guider vers des choix qui améliorent encore ta Vie.

Je t'ai souhaité une mine d'opportunités, la capacité d'atteindre tes objectifs et la joie de ton approbation et de ton acceptation de toi-même.

Je t'ai souhaité tout ce que ton coeur désire, qu'il soit répondu à tes souhaits, que toutes tes prières soient exhaussées et que chacun de tes rêves se réalise.

J'ai demandé que ton esprit soit fort et qu'il te mène et te guide à chaque pas sur le chemin que tu prends.

J'ai demandé à l'Univers de t'assurer que Tu es quelqu'un de très exceptionnel.

J'ai demandé à la terre d'être bonne pour toi et j'ai demandé à Dieu de te montrer sa voie parfaite.

J'ai demandé que notre Amour ne meurt jamais puisqu'il fait partie de notre Vie et qu'il est la quintessence même de notre existence.

J'ai demandé tout cela et plus encore car je t'Aime plus que tout au monde.

 

 

POÉSIE DE BRUNO 
LEROY.
écrite à 2 heures du matin dans un bar.
                                                                    
BRUNO LEROY.

20:16 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, POÉSIE, POÉSIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (3) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

16/11/2010

IL EST MORT SANS FAIRE DE BRUIT.

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Il est mort un matin de pluie,
Dans les mains de ses nuits,
Il est mort sans faire de bruit,
Sans l'ombre d'un geste, d'un cri,
Il est mort les yeux tournés vers demain,
Embrassant les couleurs de son destin,
Il est mort dans un sourire soulagé,
Avec cette face illuminée,
D'un feu intérieur qui le brûlait,
Il est mort entièrement enchanté,
Laissant sur ses lèvres des chants,
Des poèmes et d'étranges rêves,
Il est mort plus lumineux que les cieux,
Oui, il est bien mort l'homme que j'étais,
Ce vieil homme aura tout pardonné,
Par amour de la vie il s'est donné,
Aux plus petits aux plus blessés,
Il mort pour renaître dans une dimension de l'être,
Où la Tendresse envers soi éclabousse les autres,
Il est mort cet égoïste qui ne pensait qu'à ses pensées,
Il est bien mort cet homme d'autrefois que je n'aimais,
Il me fait chavirer cet homme d'aujourd'hui,
Que j'aimerai toute ma vie s'il demeure à mes côtés,
Par souci de fidélité aimante à propager dans l'Humanité.
Bruno LEROY.