21/09/2006
Sainte Thérèse de Lisieux : une mère spirituelle !
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21:57 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MAÎTRES A PENSER ET A VIVRE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Par toute ta vie et ta mort.
Par toute ta vie et ta mort |
Seigneur tu nous as enseigné par toute ta vie et ta mort, Que nous ne monterons l’échelle de la sainteté, Qu’en descendant celle de l’humilité ; D’une humilité concrète, Qui se penche avec respect sur les plus démunis parmi nos frères pour les servir avec amour, reconnaissant en eux le sacrement de ta présence au milieu de nous. Éclaire-nous sur nos compromissions avec l’esprit du monde : Que nous renoncions à toutes formes de vaine gloire, Pour ne chercher d’autre honneur et d’autre richesse, Que de te servir dans les plus pauvres de nos frères. Bruno LEROY. |
17:37 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
20/09/2006
LA PENSÉE DU JOUR.
La pensée du jour |
« Vous devez vous améliorer à un niveau supérieur pour être capable d’aider les gens, au lieu de vous lamenter sur eux. » |
12:21 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PENSÉE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
LA BRODERIE D'AMOUR DE JOSIANE ARAMBEL.
12:13 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SOLIDARITÉ. | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
06/07/2006
Les chemins de l'Espérance.
Les déplacements de Jésus sont plutôt déconcertants : l’évangéliste précise
qu’il « sort de Capharnaüm », puis le verset suivant nous le retrouvons
attablé dans « la maison », que les exégètes identifient à celle de Pierre
…à Capharnaüm !
Notre-Seigneur est donc sorti de la ville uniquement pour aller chercher sa
brebis perdue du nom de Mathieu. Jésus ne le « voit » pas par hasard, mais
il le contemple avec l’intense émotion de celui qui découvre enfin un objet
précieux qu’il a longuement cherché. Ce n’est pas Mattieu qui vient à Jésus,
mais le Seigneur qui part à sa recherche et le trouve « assis à son bureau
de publicain », enchaîné par la convoitise et l’avarice, incapable de
s’arracher à sa passion.
Comment ce fils d’Abraham en est-il arrivé là ? Dans quelle blessure
d’enfance, dans quelle peur de manquer s’enracine cet appétit immodéré des
richesses, qui l’a conduit à se compromettre avec l’occupant ? Allez donc
savoir ; mais le fait est là : il se retrouve marginalisé, rejeté au banc de
la société civile et religieuse, exclu hors de la ville.
Un regard, confirmé par une parole, et la vie de cet homme va basculer
définitivement. Nul doute qu’il gardait au fond de sa conscience, la
nostalgie d’une vie meilleure, dans la fidélité à la Loi de ses Pères. Mais
comment pourrait-il changer de vie, lui le « collecteur d’impôts » ? Ses
concitoyens l’avaient une fois pour toutes enfermé dans ce personnage dont
il se voyait définitivement prisonnier.
Pourtant, un regard, une parole ont suffi pour briser cet enfermement et
libérer l’espérance de cet homme. En lui signifiant sa considération, en lui
offrant son amitié, Jésus fait comprendre à Mathieu qu’il est toujours digne
de respect, que l’avenir demeure ouvert, que rien de son espérance n’est
définitivement compromis.
L’ayant rejoint dans la prison de sa conscience culpabilisée, Jésus peut
appeler Mathieu à sa suite : « Viens derrière moi : je t’ouvre le chemin
vers la vérité, la liberté et la vie que tu désires si ardemment ». Sans
même s’en rendre compte, Mathieu s’est levé, a contourné la table qui le
séparait du Rabbi, et s’est mis à sa suite.
On imagine sans peine la scène qui se déroule derrière lui : les hommes
venus payer leur impôt se jettent sur le comptoir du collecteur, et se
servent avidement dans la caisse, trahissant leur propre cupidité, qui n’a
rien à envier à celle du publicain ! Mathieu ne se retourne pas ; il n’est
plus le collecteur d’impôt redouté et haï ; il est un autre homme par la
vertu d’un regard et d’une parole. Il est redevenu un fils d’Israël en
marche vers la Terre promise, sous la conduite du Messie-Berger venu
rassembler les enfants dispersés de Dieu son Père.
Le téléphone arabe fonctionne bien : à peine rentré dans la ville, voilà
qu’accourent vers Jésus un grand nombre de collègues de Mathieu, flanqués
d’autres pécheurs notoires. Tous sont en quête de motifs d’espérer malgré le
triste état de leur vie. A chacun Notre-Seigneur fait bon accueil, ouvrant à
ces brebis égarées l’intimité de son cœur, afin qu’elles y puisent la
certitude du salut, l’assurance de la gratuité de la miséricorde.
« Seigneur, tu n’es “pas venu appeler les justes mais les pécheurs”, afin
d’en faire des justes par ta seule miséricorde. Donne-moi d’oser croiser ton
regard et de me laisser convaincre de péché. Moi aussi je pourrai alors
entendre ton appel : “Suis-moi”, et prendre place avec toi au banquet que tu
prépares pour ceux qui se laissent justifier par ton amour. Il a suffi de si
peu : un regard, une parole, pour transformer Mathieu ; me voici, Seigneur ;
ma bouche et mes yeux sont tiens : viens à travers moi rejoindre ceux qui
attendent que tu passes dans leur vie, pour les appeler à ta suite sur les
chemins de l’espérance ».
Joseph-Marie +
18:39 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : action-sociale-chretienne, christianisme | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
25/06/2006
ILS NE PARTIRONT PAS VRAIMENT...
Ils regardent les autres partir pour des rivages qu'ils ne connaîtront point. Les mois défilent comme d'immondes secondes interminables. Ils ont travaillés toute leur vie pour en arriver là. Ne jamais partir ou attendre le départ définitif sans broncher. Peu importe, les voisins leurs raconteront bien leurs vacances tel un film inédit. Ils voyageront dans leur imaginaire et s'inventeront des paysages magiques. Même s'ils ont les moyens, leur santé ne permet plus qu'ils bougent.
Les enfants sont partis, les commerçants aussi dans ce désert caniculaire. Ils ne parlent qu'au silence qui semble ne rien comprendre. Et puis, ils se taisent vaincus par tant d'indifférences. Pourvu que le soleil ne soit pas trop ardent, il risquerait en plus de leur donner un aller sans retour. Il dérangerait la Famille si joviale de prendre un repos bien mérité...
Ils attendent leurs cartes postales qui les feront rêver, quelques instants. Parfois, ils se sentent de trop en cette société individualiste. Ils ont lu dans le journal que des amis étaient morts lors, d'un certain été. Maintenant, même le facteur prend de leurs nouvelles quand ils ont du courrier. Malheureusement, en cette période particulière, les lettres se font rares.
Autrefois, trop pauvres pour vivre des jours heureux. Aujourd'hui, trop vieux pour s'en aller vers des rivages mystérieux. Quel dilemme leur offre cette existence. Et pourtant, leurs enfants et amis, les aiment mais ces mois sont vides de leurs présences.
Les journaux écrivent que l'égoïsme tue les personnes âgées. Les journalistes mentent toujours, c'est bien connu. Les enfants et petits enfants les aiment mais, ils ont leur vie. Comme nous avons eu la nôtre. Alors, que faire face au néant ?
Retrouver plus intensément encore celui qui nous aime plus que tout. Oui, prier Dieu pour vivre nos Vacances avec Lui. Dans le coeur de Sa Présence. Ah ! comme nous plaignons ses générations sans spiritualité. Nous serons tellement dans la joie de l'Esprit que nos enfants nous trouverons transfigurés. Non, la solitude n'est pas si lourde, lorsqu'elle est habitée. Bonnes et mirifiques Vacances à Tous et Toutes. Dieu en Son suprême Amour est à nos côtés. Quand vous rentrerez, notre sourire sera l'expression du bonheur de nous sentir aimés inconditionnellement. Alors, partez tranquilles et de simples gestes de tendresse nous feront plaisir. En attendant votre retour...
Bruno LEROY.
* En cette période de Vacances approchantes, ne mettons pas lâchement nos personnes âgées dans les poubelles putrides de notre coeur !
10:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Problèmes de société. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |