11/02/2008
Amenez-les à Jésus !
20:16 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
10/02/2008
Belle fête de Notre-Dame de Lourdes !
** 11 février 2008 : 150 ans que Bernadette Soubirou à eu sa première apparition !
Que de grâces depuis ! Gloire à Dieu !
* C'est aussi la journée mondial des malades :
Vous trouverez une prière pour la guérison d'une maladie sur notre site : www.mariereine.com
- puis allez sur "intentions et prières"
- puis sur "prières de diverses origines"
*** Lourdes, l'année jubilaire
Du 8 décembre 2007 au 8 décembre 2008, rendez-vous sur le site du 150ème anniversaire des Apparitions
www.lourdes2008.com
*** INDULGENCE PLENIERE à l’occasion du 150ème anniversaire des apparitions de Lourdes.
A l'occasion du 150 anniversaire des apparitions de la Bienheureuse Vierge Marie dans la Grotte de Massabielle, près de Lourdes, l'Indulgence plénière est quotidiennement accordée aux fidèles qui, du 8 décembre 2007 jusqu'au 8 décembre 2008, avec piété et selon les conditions établies, rendront visite à la Grotte de Massabielle et qui, du 2 au 11 février 2008, rendront visite, dans n'importe quelle église, oratoire, grotte ou lieu digne, à l'image de la Bienheureuse Vierge Marie de Lourdes solennellement exposée à la vénération publique.
*** Ecoutez le chapelet : www.lourdes-france.org
** Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen
*** LE MOT DE L'EVEQUE
Six millions de personnes, chaque année, viennent à Lourdes. Que viennent-elles voir ? Un site touristique ?
En France, il y a mieux. Elles viennent parce que Lourdes est un lieu différent :
- un lieu où le chrétien est libre de manifester sa foi
- un lieu où les petits ont droit de cité
- un lieu où malades et handicapés sont privilégiés
- un lieu de prière, de service et de fraternité entre les peuples
- un lieu que les enfants et les jeunes trouvent « super»
- un lieu ouvert à toute personne, quelles que soient ses idées.
Même quelques heures à Lourdes ne s’oublient pas. C’est pourquoi beaucoup reviennent, plusieurs fois dans leur vie.
Cette aventure a commencé en 1858, quand la Vierge Marie apparut à Bernadette Soubirous. Depuis cette date, le flot de pèlerins et visiteurs n’a cessé de grossir. Les haut-lieux spirituels sont de plus en plus nécessaires, dans un monde de calcul, de paillettes et de violence. Lourdes redonne de l’élan pour affronter la vie.
Cent cinquante ans après les Apparitions, il fallait remercier pour tant de grâces recues.
C’est pourquoi le jubilé s’étendra sur une année entière du 8 décembre 2007 au 8 décembre 2008.
“ Venez boire à la fontaine et vous y laver ! ”
+ Jacques Perrier
évêque de Tarbes et Lourdes
Que la bénédiction de Notre Dame de Lourdes soit sur vous ainsi que toute votre famille !
Thierry Fourchaud
La Bonne Nouvelle
BP24
53170 Saint Denis du Maine (France)
Informations tel : 02.43.64.23.25
Ecoute et accompagnement par Myriam le matin en semaine : tel : 05.56.61.73.45
- E.mail : communion@mariereine.com
- Notre site : www.mariereine.com
- Notre maison : www.citedelimmaculee.com
- Site d'évangélisation: www.labonnenouvelle.fr
*** NOUVEAU sur le site www.labonnenouvelle.fr :
- des témoignages audio gratuits
- + une boutique pour téléchargez votre revue en format PDF afin de la lire dirrectement sur votre ordinateur ou l'imprimer chez-vous !
21:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Comment battre l'ennemi (2) et ( 3 ).
10:58 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
08/02/2008
Travail sur soi et recherche spirituelle.
De plus en plus de femmes et d’hommes, à la suite le plus souvent d’un événement déclencheur, vont s’engager dans un travail sur soi et souvent aussi dans une recherche pour approfondir leur spiritualité ou pour se réconcilier avec la dimension spirituelle qu’ils pressentent (ou qu’ils ont négligée) dans leur être.
Le support déclencheur sera la plupart du temps lié à un incident, à un événement qui provoque une crise, qui déstabilise ou bouleverse une quiétude, un équilibre acquis. Il peut s’agir de l’irruption d’une maladie, d’une rupture conjugale, de la perte d’un être proche, d’un accident, ou plus simplement d’une lecture ou d’une rencontre structurante avec une personne perçue comme porteuse de sagesse ou d’enseignement.
Ce sera l’impact de cet événement qui va s’inscrire comme une expérience intime d’éveil, jouer le rôle de révélateur pour pousser à entreprendre une démarche de travail sur soi qui peut se limiter à la dimension psychologique et relationnelle ou s’orienter et se diriger vers une dimension spirituelle. Cette dimension pouvant se s’ouvrir et se vivre au-delà d’une sensibilisation et d’une initiation à la possibilité d’un engagement de vie durable.
Les démarches fondées sur un travail sur soi, qui ont, au départ des motivations multiples et propres à chacun, peuvent entraîner une remise en cause des choix concernant la vie intime, sociale ou professionnelle. Elles peuvent susciter le dépassement d’une difficulté relationnelle perçue comme invalidante ou paralysante, provoquer la prise de conscience d’un manque, d’une mauvaise utilisation de ses ressources, faire prendre conscience des conduites d’auto-sabotage, inviter à sortir d’une dépendance, d’une addiction et peut être aussi donner accès à la dimension du divin, à la réconciliation avec une croyance religieuse qui sera alors vécue comme un choix plus conscient et permettre un engagement plus profond.
Trois grandes pistes s’offrent aujourd’hui à ces personnes en recherche d’elles mêmes :
• commencer une démarche de type psychothérapeutique (nettoyage de la tuyauterie relationnelle liée au passé, réactualisation des liens significatifs, confrontation avec des blessures passées, des situations inachevées etc.) ;
• envisager un travail de sensibilisation et de formation aux relations humaines sans avoir besoin d’un prétexte professionnel, pour s’y engager ;
• ouverture et engagement de re-centration vers une démarche spirituelle.
Chacune de ses démarches n’est pas aussi cloisonnée qu’on pourrait l’imaginer. Si nous acceptons d’entendre que les 5 points cardinaux relationnel de tout être humain sont d’une part en direction du passé (enfance, famille), du présent (actualité et vécu immédiat), du futur (projection dans l’avenir) et d’autre part vers l’intérieur (relation à soi) et au-dessus (relation au divin), nous allons voir qu’il y a beaucoup de points de passage et d’accord entre chacun de ces points pour donner cohérence et unité à toute personne en recherche.
1 ¬ Ancrage au passé (relations significatives en amont de sa vie avec ses ascendants et les personnages significatifs de l’enfance, de son histoire familiale et impact des situations inachevées.
2 ¬ Ancrage au présent : (relations amicales, amoureuses, conjugales, professionnelles, sociales au quotidien avec leur lot de satisfactions et d’insatisfactions).
3 ¬ Ancrage au futur (relations aux enfants, engagements de vie familiaux, sociaux, professionnels.
4 ¬ Ancrage à soi-même avec la femme ou l’homme que nous sommes devenus (relations à soi même, dépassement des auto sabotages, des conduites répétitives, estime et amour de soi, doutes, non-confiance…).
5 ¬ Ancrage au divin (reliance ou accord avec une entité perçue comme divine, ou avec un enseignement, ou avec une personne choisie comme maître, guide…).
Pour ma part, je ne peux dissocier travail sur soi (dans une direction prioritaire à un moment donné) et recherche spirituelle, débouchant sur une meilleure acceptation, et une réconciliation avec le divin qui est en chacun. Que l’on place le divin au –dessus, ou en chacun de nous, il est important de pouvoir le reconnaître, le respecter et mieux l’intégrer dans sa vie.
Jacques Salomé.
20:28 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PSYCHOLOGIE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Un carême placé sous le signe de l'aumône.
Le Saint-Père Benoît XVI nous adresse cette année un message de Carême qui, au-delà de la pratique de la prière et du jeûne nous propose de réfléchir sur la pratique de l’aumône.
Le Pape nous rappelle que, si « l’attirance pour les richesses matérielles peut être forte », il n'en demeure pas moins vrai que « selon l’enseignement de l’Évangile, nous ne sommes pas propriétaires, mais administrateurs des biens que nous possédons ».
L’aumône, rappelle Benoît XVI éduque à la générosité de l’amour. « Quand nous agissons avec amour, nous exprimons la vérité de notre être : nous avons en effet été créés non pour nous mêmes, mais pour Dieu et pour nos frères ».
Un message du carême 2008 qui résonne comme un appel au partage et à la solidarité.
Message de sa Sainteté Benoît XVI pour le Carême 2008
« Le Christ pour vous s’est fait pauvre » (2 Cor 8,9)
Chers frères et sœurs !
1. Chaque année, le Carême nous offre une occasion providentielle pour approfondir le sens et la valeur de notre identité chrétienne, et nous stimule à redécouvrir la miséricorde de Dieu pour devenir, à notre tour, plus miséricordieux envers nos frères. Pendant le temps du Carême, l’Église propose certains engagements spécifiques pour accompagner concrètement les fidèles dans ce processus de renouvellement intérieur : ce sont la prière, le jeûne et l’aumône. Cette année, en ce traditionnel Message pour le Carême, je voudrais m’arrêter pour réfléchir sur la pratique de l’aumône : elle est une manière concrète de venir en aide à ceux qui sont dans le besoin, et, en même temps, un exercice ascétique pour se libérer de l’attachement aux biens terrestres. Combien forte est l’attirance des richesses matérielles, et combien doit être ferme notre décision de ne pas l’idolâtrer ! Aussi Jésus affirme-t-il d’une manière péremptoire : « Vous ne pouvez servir Dieu et l’argent » (Lc 16,13).
L’aumône nous aide à vaincre cette tentation permanente : elle nous apprend à aller à la rencontre des besoins de notre prochain et à partager avec les autres ce que, par grâce divine, nous possédons. C’est à cela que visent les collectes spéciales en faveur des pauvres, qui sont organisées pendant le Carême en de nombreuses régions du monde. Ainsi, à la purification intérieure s’ajoute un geste de communion ecclésiale, comme cela se passait déjà dans l’Église primitive. Saint Paul en parle dans ses Lettres à propos de la collecte en faveur de la communauté de Jérusalem (cf. 2 Cor 8-9 ; Rm 15, 25-27).
2. Selon l’enseignement de l’Évangile, nous ne sommes pas propriétaires mais administrateurs des biens que nous possédons : ceux-ci ne doivent donc pas être considérés comme notre propriété exclusive, mais comme des moyens à travers lesquels le Seigneur appelle chacun d’entre nous à devenir un instrument de sa providence envers le prochain. Comme le rappelle le Catéchisme de l’Église Catholique, les biens matériels ont une valeur sociale, selon le principe de leur destination universelle (cf. n° 2404).
Dans l’Évangile, l’avertissement de Jésus est clair envers ceux qui possèdent des richesses terrestres et ne les utilisent que pour eux-mêmes. Face aux multitudes qui, dépourvues de tout, éprouvent la faim, les paroles de saint Jean prennent des accents de vive remontrance : « Si quelqu'un possède les biens du monde, et que, voyant son frère dans le besoin, il lui ferme ses entrailles, comment l'amour de Dieu demeure-t-il en lui ? » (1 Jn 3, 17). Cet appel au partage résonne avec plus de force dans les pays dont la population est formée d’une majorité de chrétiens, car plus grave encore est leur responsabilité face aux multitudes qui souffrent de l’indigence et de l’abandon. Leur porter secours est un devoir de justice avant même d’être un acte de charité.
3. L’Évangile met en lumière un aspect caractéristique de l’aumône chrétienne : elle doit demeurer cachée. « Que ta main gauche ne sache pas ce que fait ta droite », dit Jésus, « afin que ton aumône se fasse en secret » (Mt 6, 3-4). Et juste avant, il avait dit qu’il ne faut pas se vanter de ses bonnes actions, pour ne pas risquer d’être privé de la récompense céleste (cf. Mt 6, 1-2). La préoccupation du disciple est de tout faire pour la plus grande gloire de Dieu. Jésus avertit : « Que votre lumière luise ainsi devant les hommes, afin qu'ils voient vos bonnes œuvres et qu'ils glorifient votre Père qui est dans les cieux » (Mt 5, 16). Ainsi, tout doit être accompli pour la gloire de Dieu et non pour la nôtre. Ayez-en conscience, chers frères et sœurs, en accomplissant chaque geste d’assistance au prochain, tout en évitant de le transformer en un moyen de se mettre en évidence. Si, en faisant une bonne action, nous ne recherchons pas la gloire de Dieu et le vrai bien de nos frères, mais nous attendons plutôt en retour un avantage personnel ou simplement des louanges, nous nous situons dès lors en dehors de l’esprit évangélique. Dans la société moderne de l’image, il importe de rester attentif, car cette tentation est récurrente. L’aumône évangélique n’est pas simple philanthropie : elle est plutôt une expression concrète de la charité, vertu théologale qui exige la conversion intérieure à l’amour de Dieu et des frères, à l’imitation de Jésus Christ, qui, en mourant sur la Croix, se donna tout entier pour nous. Comment ne pas rendre grâce à Dieu pour les innombrables personnes qui, dans le silence, loin des projecteurs de la société médiatique, accomplissent dans cet esprit des actions généreuses de soutien aux personnes en difficulté ? Il ne sert pas à grand chose que de donner ses biens aux autres si, à cause de cela, le cœur se gonfle de vaine gloire : voilà pourquoi celui qui sait que Dieu « voit dans le secret » et dans le secret le récompensera, ne cherche pas de reconnaissance humaine pour les œuvres de miséricorde qu’il accomplit.
4. En nous invitant à considérer l’aumône avec un regard plus profond, qui transcende la dimension purement matérielle, les Saintes Écritures nous enseignent qu’il y a plus de joie à donner qu’à recevoir (cf. Act 20, 35). Quand nous agissons avec amour, nous exprimons la vérité de notre être : nous avons en effet été créés non pour nous-mêmes, mais pour Dieu et pour nos frères (cf. 2 Cor 5, 15). Chaque fois que, par amour pour Dieu, nous partageons nos biens avec notre prochain qui est dans le besoin, nous expérimentons que la plénitude de la vie vient de l’amour et que tout se transforme pour nous en bénédiction sous forme de paix, de satisfaction intérieure et de joie. En récompense de nos aumônes, le Père céleste nous donne sa joie. Mais il y a plus encore : saint Pierre cite parmi les fruits spirituels de l’aumône, le pardon des péchés. « La charité – écrit-il – couvre une multitude de péchés » (1 P 4, 8). La liturgie du Carême le répète souvent, Dieu nous offre, à nous pécheurs, la possibilité d’être pardonnés. Le fait de partager ce que nous possédons avec les pauvres, nous dispose à recevoir un tel don. Je pense en ce moment au grand nombre de ceux qui ressentent le poids du mal accompli et qui, précisément pour cela, se sentent loin de Dieu, apeurés et pratiquement incapables de recourir à Lui. L’aumône, en nous rapprochant des autres, nous rapproche de Dieu, et elle peut devenir l’instrument d’une authentique conversion et d’une réconciliation avec Lui et avec nos frères.
5. L’aumône éduque à la générosité de l’amour. Saint Joseph-Benoît Cottolengo avait l’habitude de recommander : « Ne comptez jamais les pièces que vous donnez, parce que, je le dis toujours : si en faisant l’aumône la main gauche ne doit pas savoir ce que fait la droite, de même la droite ne doit pas savoir ce qu’elle fait elle-même » (Detti e pensieri, Edilibri, n. 201). À ce propos, combien significatif est l’épisode évangélique de la veuve qui, dans sa misère, jette dans le trésor du Temple « tout ce qu’elle avait pour vivre » (Mc 12, 44). Sa petite monnaie, insignifiante, devint un symbole éloquent : cette veuve donna à Dieu non de son superflu, et non pas tant ce qu’elle a, mais ce qu’elle est. Elle, tout entière.
Cet épisode émouvant s’insère dans la description des jours qui précèdent immédiatement la passion et la mort de Jésus, Lui qui, comme le note saint Paul, s’est fait pauvre pour nous enrichir de sa pauvreté (cf. 2 Cor 8, 9) ; Il s’est donné tout entier pour nous. Le Carême nous pousse à suivre son exemple, y compris à travers la pratique de l’aumône. À son école, nous pouvons apprendre à faire de notre vie un don total ; en l’imitant, nous réussissons à devenir disposés, non pas tant à donner quelque chose de ce que nous possédons, qu’à nous donner nous-mêmes. L’Évangile tout entier ne se résume-t-il pas dans l’unique commandement de la charité ? La pratique quadragésimale de l’aumône devient donc un moyen pour approfondir notre vocation chrétienne. Quand il s’offre gratuitement lui-même, le chrétien témoigne que c’est l’amour et non la richesse matérielle qui dicte les lois de l’existence. C’es donc l’amour qui donne sa valeur à l’aumône, lui qui inspire les diverses formes de don, selon les possibilités et les conditions de chacun.
6. Chers frères et sœurs, le Carême nous invite à nous « entraîner » spirituellement, notamment à travers la pratique de l’aumône, pour croître dans la charité et reconnaître Jésus lui-même dans les pauvres. Les Actes des Apôtres racontent que l’apôtre Pierre s’adressa ainsi au boiteux de naissance qui demandait l’aumône à la porte du Temple : « Je n'ai ni argent, ni or ; mais ce que j'ai, je te le donne : au nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche » (Act 3, 6). Par l’aumône, nous offrons quelque chose de matériel en signe de ce don plus grand que nous pouvons offrir aux autres, l’annonce et le témoignage du Christ : en son Nom est la vraie vie. Que ce temps soit donc caractérisé par un effort personnel et communautaire d’adhésion au Christ pour que nous soyons des témoins de son amour. Que Marie, Mère et Servante fidèle du Seigneur, aide les croyants à livrer le « combat spirituel » du Carême avec les armes de la prière, du jeûne et de la pratique de l’aumône, afin de parvenir aux célébrations des fêtes pascales en étant entièrement renouvelés en esprit. En formulant ces vœux, j’accorde volontiers à tous la Bénédiction apostolique.
Du Vatican, le 30 octobre 2007
http://www.opusdei.fr/art.php?p=26407
18:37 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Comment battre l'ennemi (1)
Une série de Trois leçons pour vous aider à combattre l'ennemi qui est en vous ou extérieur à votre personne.
Bonne écoute de cette Parole de combat spirituel auquel il est essentiel de se consacrer, surtout en ces Temps...!
« Géant du divorce, tu es en train de pénétrer dans un terrain défendu, dépression, tu n'auras aucun contrôle sur moi, alcool, drogue, violence envers mes enfants ou ma compagne, hypocrisie... vous n'avez aucun rôle à jouer dans ma vie... »
Votre Frère, Bruno.
12:55 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
07/02/2008
Les tentations subies par Jésus.
La femme trouva le fruit savoureux. Elle prit ce fruit et en mangea." Gn 2,7 - 3,7 "De même, l’accomplissement de la justice par un seul a conduit tous les hommes à la justification qui donne la vie." Rm 5, 12-19 "Jésus, après son baptême, fut conduit au désert pour y être tenté par le démon." Mt 4, 1-11 | |
©F&L- P. Zacharie |
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Jésus est le nouvel Adam qui ne succombe pas à la tentation de Satan, le diviseur, celui qui détourne de Dieu en insinuant le doute tout au fond du cœur : Dieu nous cacherait-il, par une quelconque jalousie, un bien délicieux ? La réponse est claire : non ! Face à l’attrait passager de la possession, Jésus rappelle au diable : En ce premier dimanche du Carême, demandons à Dieu de nous donner, durant ce chemin qui conduit à Pâques, le goût des vraies valeurs chrétiennes : à savoir, tout d’abord, de trouver la joie en Dieu dans l’approfondissement de notre vie de prière, afin de le servir dans les pauvres que nous rencontrerons.
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11:42 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Continuez l'ascension !
10:38 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
06/02/2008
N'intervenez pas !
10:36 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Le carême, un chemin vers la vraie liberté.
La conversion n'est jamais faite une fois pour toutes, mais elle est un processus, un chemin intérieur de toute la vie. Cet itinéraire de conversion évangélique ne peut pas se limiter à une période particulière de l'année ; elle est un chemin de chaque jour, qui doit embrasser la globalité de l'existence, chaque jour de notre vie... Se convertir, qu'est-ce donc en réalité ? Se convertir, c'est chercher Dieu, marcher avec Dieu, suivre docilement les enseignements de son Fils Jésus Christ ; ce n'est pas un effort d'auto-réalisation, parce que l'être humain n'est pas l'architecte de son propre destin éternel. Ce n'est pas nous qui nous sommes faits. C'est pourquoi la réalisation personnelle est en réalité une contradiction, et même, elle est encore trop peu pour nous. Nous avons une destinée plus élevée. Nous pourrions dire que la conversion consiste justement à ne pas se considérer comme le « créateur » de nous-mêmes et à découvrir par là la vérité, parce que nous ne sommes pas nos propres auteurs. La conversion consiste dans la libre et amoureuse acceptation de notre dépendance en toute chose de Dieu notre vrai Créateur, une dépendance d'amour. Ce n'est pas une entrave, c'est la liberté.
Pape Benoît XVI
Audience générale du 21/02/07 (trad. DC 2376, p. 266 © Libreria Editrice Vaticana)
09:46 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans THÉOLOGIE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |