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06/06/2007

A UNE AMIE PARTIE DANS LA LUMIÈRE.

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Une Vie qui part dans la nuit et c'est la Terre qui pleure,
Une larme dans le ciel de l'absence profondeur du silence,
Et pourtant l'Espérance demeure notre force de coeur,
Un jour parmi les ombres nous reverrons votre présence,
Tel un souffle d'amitié dans le firmament aux mille couleurs.
Ce soir, la tristesse est en nous comme un couteau planté,
Dans le corps de l'éternité...
A...Dieu Tanise un jour nous croiserons votre Lumière,
Celle qui jaillit de Dieu lorsque nous sommes prières,
Nous sommes ce que vous avez été sur cette terre,
Nous serons ce que vous êtes dans les cieux.
Beaucoup de peine alimente notre Foi de retrouver,
Un jour ceux qu'on pensait disparus et qui nous attendaient...
Bruno LEROY.

L'Amour et l'Espérance sont sources d'une authentique Vie spirituelle.

20:34 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

J'AI FAIT UN PACTE AVEC MES YEUX.

Dans un de ses ouvrages sur la tentation, l’évangéliste américain Billy Graham, soulignait le fait que bien souvent nous ne pouvons pas échapper à "notre premier regard". Par exemple, si en conduisant, votre premier regard se porte sur un panneau de publicité érotique, vous n’y êtes pour rien car vous n’avez rien demandé, ni rien recherché. Par contre, faites attention à votre deuxième regard ! Il est celui de la convoitise, celui qui vous pousse à fixer votre regard là où vous ne devriez pas. Il amorce votre imagination.

Soyez bien conscient que l’infidélité n’est pas consommée au seul moment de la relation sexuelle. Elle commence au moment où le regard vers l’autre devient déplacé. Jésus dit : "Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son cœur" (
Matthieu 5.28).

Voici quelques principes qui pourront vous aider :

Tout d’abord, il est primordial d’éviter les situations ambiguës. Ecartez-vous des pièges, que ce soient des images de films, des mots ou de simples regards échangés dans des rencontres. Renseignez-vous auprès de vos proches ou consultez les programmes avant d’arrêter vos choix de divertissements. Vous devez rester attentif pour échapper aux scènes propices à la tentation.

Ayez un confident. Choisissez une personne capable de recevoir vos secrets, même les plus intimes. N’attendez pas de "chuter" pour trouver un frère d’armes. Etre éprouvé n’a jamais été un péché, Jésus lui-même le fut. C’est un besoin pour l’homme que de se confier. Il n’y a rien d’honteux à cela. Un conseil, la sagesse préfère que cette union de partage soit plutôt d’un homme vers un homme et d’une femme vers une femme !

Enfin, veillez et priez car la chair est faible. Intercédez chaque jour, comme le Seigneur nous l’a enseigné : "Délivre-moi du mal, ne permets pas que je succombe à la tentation" (
Matthieu 6.13). Les meilleures résolutions du monde, s’estompent bien vite sans l’aide de notre précieux Sauveur.

Une prière pour aujourd’hui

Père, aujourd’hui je veux faire un pacte avec mes yeux. Aide-moi à ne pas porter de regards chargés de désirs mais délivre-moi du mal et ne permets pas que je succombe à la tentation, amen !
Patrice Martorano

10:14 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

IL A POSÉ SUR MOI SON REGARD.

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Il a posé sur moi son regard,
Un regard plein de Tendresse,
Il a posé sur moi son regard,
Un regard plein de prommesse,
Il a posé sur moi son regard,
Et ses yeux en disaient long,
Il a posé sur moi son regard,
C'était celui du pardon,
Il a posé sur moi son regard,
Alors j'ai vu qu'il pleurait,
Il a posé sur moi son regard,
Alors j'ai su qu'il m'aimait,
N'aie pas peur,
Laisse-toi regarder par le Christ,
Laisse-toi regarder, car Il t'Aime.
Bruno LEROY.

09:36 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

05/06/2007

PARTIR POUR MIEUX REVENIR.


PARTIR...
Partir au large en suivant le Vent de l'Esprit-Saint. Partir sans craintes, ni regrets, main dans la main avec Christ.
Ne pas se retourner, oublier le vieil homme que nous étions. Ne rien retenir du passé pardonné mais, aller de l'avant vers l'avenir qui advient toujours en son temps.
Avec la confiance, la certitude que, malgré les tempêtes, les orages et les océans, Dieu-Amour veuille sur ses enfants.
C'est le regard du Père aimant au-delà de tout, contre vents et marées. C'est la main du Père sur l'épaule de l'enfant lorsqu'il perd un peu confiance en l'existence.
 C'est la Vie dans sa toute Puissance, c'est Dieu dans Son infini Amour...C'est la Beauté de ne vivre que pour Lui.
 Bruno LEROY.

12:55 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

TRAVAIL DE RUES COMBATS D'ESPÉRANCE !

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Souvent, il nous faut des mois pour entrer en contact avec les jeunes, tant est grande leur méfiance, tant est solide leur système bien compréhensible de défense. Par notre présence quotidienne, discrète, par notre absence de questions, par notre acceptation de ce qu’ils sont, la relation se crée à l’étonnement des jeunes et de nous-mêmes. Ce n’est pas avec un jeune délinquant , un jeune toxicomane que je parle, que je mange, que je bois un coup ou que j’invite à une fête entre amis, c’est à Pierre, Paul, Alim.

Ces actes éducatifs peuvent paraître simples quand on parle à l’heure actuelle de réinsertion, travail, de cette normalité, but suprême à atteindre dans notre société. Mais ces actes éducatifs simples sont primordiaux, ils sont là avant le reste ( par exemple l’entrée dans un dispositif de réinsertion ) et garantissent peut-être sa réussite.

Ce travail éducatif simple, c’est le partage vécu, la création de souvenirs positifs, bêtement heureux, la constitution d’une autre histoire qui ne sera pas faite que d’échecs. C’est la valorisation des capacités du jeune, surtout celles les plus endormies. Il s’agit de casser les barrières faites de peur et de méfiance, souvent légitimes, ne serait-ce qu’en montrant qu’un adulte " normal " peut casser les siennes pour aller au devant de lui sans s’arrêter aux étiquettes qui jalonnent le discours du travail social.

Notre présence active c’est la reconnaissance de l’autre, c’est ce qui fait grandir un être qu’il ait douze ou trente ans. Il faut aller au devant d’eux, se mettre en situation difficile de déséquilibre, de violence d’où surgira la réflexion à deux, adulte et jeune. Cette reconnaissance intégrale des jeunes, je la vis au quotidien depuis plus de 28 ans. Elle devrait règner partout où les relations humaines semblent amputées par des tabous, des silences malsains, des situations inextricables de ressentis etc...

 

Elle n’est pas la spécialisation officielle de l’éducateur. Cette reconnaissance de l’autre est une façon de vivre en acceptant et surtout en intégrant les différences. Toutes les différences qui pourraient gêner notre bonne conscience.

Demain sera la société du rejet ou de l’acceptation inconditionnelle de l’autre à la seule condition que cette relation soit basée sur le respect. Accepter ne signifie pas tout accepter mais se mobiliser pour que la tolérance ne demeure point un vain mot dans un vieux dictionnaire. Nous sommes responsables des relations que nous entretenons avec autrui et notamment les jeunes. Lorsque nous aurons compris cela, nous aurons tout compris ! Les éducateurs n’ont pas le monopole de la prise en considération des jeunes, c’est l’affaire de tous, là où nous vivons, de porter un autre regard sur leur réalité et leur univers afin de mieux nous intégrer. Oui, il s’agit de nous intégrer à leurs paradigmes sinon, nous sommes les inadaptés sociaux qu’ils n’attendent plus et qu’ils ne veulent pas reconnaître.

L’insertion n’est pas toujours là où on l’attend puisqu’il s’agit aux adultes de faire le premier pas pour leur accorder de la reconnaissance. Car être reconnu sans condition, c’est commencer à exister !

Bruno LEROY.

10:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, politique, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

“Docile au Saint Esprit”

C'est Notre-Seigneur Jésus-Christ qui le veut: nous devons Le suivre de très près Il n'y a pas d'autre chemin. Telle est l'œuvre du Saint-Esprit dans chaque âme, et dans la tienne. Et tu dois être docile, afin de ne pas mettre d'obstacles à Dieu. (Forge, 860)

En vue de concrétiser, ne serait-ce que de façon très générale, un style de vie qui nous pousse à fréquenter le Saint-Esprit et, avec Lui, le Père et le Fils, et à entrer en rapports familiers avec le Paraclet, nous pouvons nous arrêter à trois réalités fondamentales: docilité (j'y insiste), vie de prière, union à la Croix.

Docilité, tout d'abord, parce que c'est le Saint-Esprit qui, par ses inspirations, imprime un ton surnaturel à nos pensées, à nos désirs et à nos actes. C'est Lui qui nous pousse à adhérer à la doctrine du Christ et à l'assimiler en profondeur. C'est Lui qui nous éclaire, nous rend conscients de notre vocation personnelle et nous donne la force de réaliser tout ce que Dieu attend de nous. Si nous sommes dociles au Saint-Esprit, l'image du Christ se formera sans cesse davantage en nous et nous nous approcherons ainsi chaque jour davantage de Dieu le Père. Tous ceux qu'anime l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu.

Si nous nous laissons guider par ce principe de vie présent en nous qu'est le Saint-Esprit, notre vie spirituelle se développera et nous nous abandonnerons dans les mains de Dieu notre Père avec la spontanéité et la confiance d'un enfant qui se jette dans les bras de son père. Si vous ne retournez à l'état des enfants, vous ne pourrez entrer dans le Royaume des Cieux, a dit le Seigneur. C'est le vieux chemin intérieur de l'enfance, toujours actuel, et qui ne procède ni de la mièvrerie ni d'un manque de qualités humaines, mais d'une maturité surnaturelle qui nous fait approfondir les merveilles de l'amour divin, reconnaître notre petitesse et identifier pleinement notre volonté à celle de Dieu. (Quand le Christ passe, 135

09:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

04/06/2007

Saint Josémaria Escriva et les Anges gardiens.

Josémaria Escriva, canonisé par Jean-Paul II le 6 octobre 2002, avait une foi énorme en son Ange gardien, qui lui a rendu d'immenses services, dont celui de lui sauver la vie. Notons que la fondation de l'Opus Dei a eu lieu le 2 octobre 1928, fête des saints Anges gardiens. Josémaria y a vu une manifestation de la Providence divine.
Lui-même, se trouvant dans la rue, est agressé par un inconnu, en plein jour, à trois heures de l'après-midi. Saisi à la gorge, il est délivré par un jeune homme, tout aussi inconnu, qui lui murmure à l'oreille "petit âne, petit âne". Seuls Dieu et son confesseur connaissaient cette manière qu'il avait de se désigner lui-même dans sa prière. Le fondateur attribua cette attaque à une action diabolique, et la défense à son Ange gardien.
Quand il entrait dans une pièce, il s'effaçait de façon imperceptible, pour laisser passer d'abord son Ange gardien, et saluait aussi toujours l'Ange gardien des personnes qu'il rencontrait. Recevant un jour un évêque de ses amis, accompagné de son secrétaire, il lui demanda : "Devinez qui j'ai salué en premier." L'archevêque répondit : "Moi." "Non. J'ai salué d'abord le personnage." "Mais, reprit le prélat, de mon secrétaire et moi, le personnage c'est moi." Saint Josémaria rétorqua : "Non, le personnage est votre Ange gardien."
Se trouvant dans une pauvreté extrême, et n'ayant pas les moyens de faire réparer sa montre, Josémaria s'en remit à son Ange gardien pour le réveiller à l'heure. Il s'est toujours montré ponctuel, et c'était comme s'il venait toucher Josémaria au côté. Celui-ci l'appelait du coup "mon petit horloger".
Il avait l'habitude de consacrer le mardi à prier son Ange gardien, et tous les autres Anges gardiens. Parlant un jour de la petite Thérèse, il disait : "Elle a obtenu que mon Ange gardien m'apprenne aujourd'hui à faire une prière d'enfance."
Les traits pourraient être multipliés, qui montrent la complicité entre saint Josémaria et son Ange gardien, et nous incitent à le fréquenter.

Mgr Le Tourneau
Extrait de L'Ange Gardien n°1-2003, Janvier-Février 2003.

20:57 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

SOIS REBELLE ET RÉVOLUTIONNAIRE.

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Il faut se rendre à l'évidence, le chacun pour sa gueule devient l'unique façon de sauvegarder sa petite et mesquine vie privée. Notre monde s'étiole par manque de spiritualité. Je prends ce mot au sens large et surtout comme ouverture vers les autres. Si les jeunes deviennent de plus en plus violents, il serait judicieux d'analyser la violence que ce monde leur impose et en quels termes elle leur fait violence. Il n'est nullement question d'excuser leurs incivilités, mais de poser un regard objectif sur leurs réactions agressives afin de mieux cerner les causes pour y porter remèdes.

Les adultes doivent redevenir des militants de la Vie, des humains qui refusent de se taire face à toutes injustices. Nous devons être des révoltés permanents, des rebelles et des révolutionnaires qui ne laissent pas les autres décider à notre place de notre positionnement dans la société. Notre exemple du refus de la pensée unique ne sera que profitable aux jeunes qui trouveront des modèles identificatoires. Par esprit révolutionnaire, je n'entends pas celui qui use d'un comportement irresponsable, c'est le contraire que j'affirme. Il est temps que nous retrouvions les sources vives qui nous animent et alimentent notre conscience pour acquérir cette autonomie qui fait fleurir l'Amour au fond de nos cœurs. Ainsi, nous serons des êtres de lumière vers lesquels les autres viendront éclairer leurs propres pensées. Soyons des rebelles qui refusent l'argent comme ultime raison de vivre et des révolutionnaires de l'Amour qui transpirent d'une spiritualité invincible et contagieuse. C'est une question de survie et d'avenir pour les jeunes et notre société tout entière.

BRUNO LEROY.

18:32 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

“C'est l'héroïsme que l'on attend d'un chrétien”

Combien qui se laisseraient clouer sur une croix, devant des milliers de spectateurs stupéfaits, ne savent pas supporter chrétiennement les piqûres d'épingle quotidiennes! — Juge, par là, ce qu'il y a de plus héroïque. (Chemin, 204)

Aujourd'hui comme hier, c'est l'héroïsme que l'on attend d'un chrétien. Héroïsme dans les grandes luttes, s'il le faut. Héroïsme — et c'est cela qui est normal — dans les petites batailles de chaque jour. Quand on lutte continuellement, avec Amour, de cette façon qui paraît insignifiante, le Seigneur est toujours aux cotés de ses enfants, comme un pasteur plein d'amour: Moi-même, je paîtrai mes brebis; moi, je les ferai reposer. Je chercherai celle qui était perdue, je ramènerai celle qui était égarée; je panserai celle qui est blessée, et je rendrai force à celle qui est infirme... Ils seront en sécurité sur leur terre, et ils sauront que je suis Yahwé, quand je briserai les barres de leur joug, et que je les délivrerai de ceux qui les asservissent.

Je fais appel à sa miséricorde, à sa compassion, pour qu'Il ne regarde pas nos péchés, mais les mérites du Christ et ceux de sa sainte Mère, qui est aussi notre Mère, ceux du Patriarche saint Joseph qui lui tient lieu de Père, ceux des saints.

Le chrétien peut vivre avec l'assurance que, s'il désire lutter, Dieu le saisira de sa main droite, comme on peut le lire à la Messe d'aujourd'hui. Jésus, qui entre à Jérusalem en chevauchant un pauvre âne, est le Roi de paix qui nous dit: le royaume des cieux est emporté de force, et ce sont les violents qui le conquièrent. Cette force ne doit Pas se traduire par la violence envers les autres: c'est la force qui s'exerce à combattre nos propres faiblesses et nos misères; c'est la vaillance qui nous empêche de déguiser nos infidélités personnelles; c'est l'audace qui nous fait confesser la foi, même quand l'ambiance lui est contraire. (Quand le Christ passe, 82)

08:01 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

03/06/2007

TOUT DONNER PAR AMOUR.

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Tout donner par Amour d’autrui et s’effacer lentement pour laisser place à la Liberté.

 Ne sont-ce point les fondamentales règles de l’Éducation ?

Christ nous invite donc à devenir les éducateurs des uns, des autres. Pour nous mettre au service de notre humanité. Quel beau programme de Vie !

Et pourtant, combien d’adnégations ne faut-il point pour parvenir à ce champ de conscience. Non pas se renier soi-même, tel un être abject. Mais, s’oublier pour être entièrement disponible aux autres. Nous avons tous et toutes des potentialités qu’il nous faut partager. Il nous faut offrir les plus splendides émeraudes de nous-mêmes. Ne pas vivre un repli destructeur où seul notre ego, notre individualisme trouverait sa raison d’être. D’ailleurs, si tous les hommes et femmes se conduisaient de cette façon, notre Terre bien aimée disparaîtrait, assassinée par note égoïsme. Nos formons une société et à ce titre, nous avons le devoir vital de nous préoccuper des autres. Ces autres qui parfois, nous font peurs car, ils n’ont pas les mêmes repères, valeurs que nous. Ces autres qui deviennent vite des étrangers tant ils nous ressemblent peu. Et pourtant, Dieu-Amour a créé un monde en couleurs avec des diversités qu’il nous faut découvrir.

Si nous étions moins sur la défensive de toujours vouloir protéger notre territoire, nous serions plus ouverts. Oui, ouverts au Vent de l’Esprit qui passe souvent près de nous et dont nous ignorons trop souvent la Présence.

La peur est la conséquence de l’ignorance. L’ouverture d’esprit est l’origine de la confiance. Il nous faut choisir entre une existence médiocre et une vie enrichissante. Enrichie par le flux et le reflux des marées humaines. Il nous faut choisir entre vivre mourant ou mourir en vivant. Je m’explique...Si, la vie est une chambre où vous dormez pour échapper à ce besoin vital de vous faire violence pour aller vers les autres, alors vous êtes un mort-vivant. Si, au contraire le soleil dont vous illuminez chaque être pour semer de la joie, par votre seule présence à leur service, vous mourrez à vous-même et votre égoïsme légendaire également. Vous serez réellement vivants ( tes ) pour accueillir chaque Humain comme un Don de Dieu-Amour. Chaque personne est un ange qui frappe à votre porte, ne refermez pas trop vite la possibilité de vous rendre visite.

Dieu est Présent en chaque être Humain, du plus fragile au plus fort, et ce serait désonhoner Dieu que de le rejeter. Une main tendue, une aide ponctuelle, une écoute des problèmes d’autrui, ont fait des miracles. Nous le savons et pourtant, nous restons sur nos gardes, tels des païens n’ayant aucune confiance en Christ.

Nous ne sommes pas assez habités par Lui pour devenir audacieux. Et pourtant, nous le savons, si nous voulons mettre l’évangile dans nos vies, il nous faudra franchir le pas. Pour cela, la prière deviendra notre Force quotidienne, nous permettant de tout affronter. Il faut, que nous entrions dès ce jour dans cette prière de supplication pour demander à Dieu de nous indiquer le chemin. Je suis le chemin, la Vérité, la Vie. Nous ne pourrons rien faire de valable sans sa présence conseillère et protectrice. Bannissons nos peurs et notre égoïsme et allons vers les autres pour les aider aussi à aimer la Vie. Sans eux, nous ne sommes rien. Sans Christ, nous ne sommes rien. Pourtant, c’est Lui qui nous conduit vers autrui lorsqu’une personne est dans le besoin. N’ignorons pas non plus Ses appels. Nous risquerions de rater définitivement notre vie pour ne pas l’avoir partagée. La Vie appartient à Dieu, il est légitime que nous faisions quelques cadeaux de ce Bonheur qui hante nos coeurs. Amen !

Bruno LEROY.

22:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |