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26/08/2009

La liberté est un souffle construit qui nous construit aussi.

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    La vie semble souvent courir après le vent. Ne sont-ce pas là des impressions venant de ceux qui ont bâtis leur maison sur du sable. Nous, nous l'avons érigée sur le roc indestructible de l'Amour. Peu importe les tempêtes et les pluies qui pourraient éroder nos murs protecteurs. Notre construction au fil des années s'est tenue debout grâce aux fondations creusées dans les profondeurs abyssales de nos entrailles. Cet Amour viscéral brodé par le temps parle pour nous tout en se taisant. L'Amour est silence qui s'entretient par des gestes, des regards et parfois quelques paroles éphémères. L'Amour ne se dit pas, il se vit. L'Amour est une présence verticale qui demeure toujours depuis malgré les ans. Et je dirai même que les années ne font que donner davantage de saveur à son corps.

Parfums subtils qui embaument nos êtres et nous évite ainsi de faire semblant d'être, de paraître. Amour fleuve qui coule en nos veines et empote les vaines illusions de ce monde de consommation. Amour gratuit, non vénal qui échappe à toutes tentatives de possession. J'inspire en ce jour te couvrir de fleurs aux senteurs caractéristiques de notre personnalité. J'inspire, je respire et j'expire notre Amour personnel. Il possède une Force cosmique qui nous unit à l'Univers, cet écrin de pierres précieuses qui scintille en nous. Tu es différent de moi mais, je suis en Toi tout en restant moi, comme Toi. Comprenne qui voudra.

La liberté est un souffle construit qui nous construit aussi. La respiration de nos cœurs bat l'énergie vitale aux rythmes des cymbales qui se livrent et se donnent aux orchestres joyeux de la Vie.   Il faut nous donner sans retenue et avec discernement pour exprimer cette beauté de l'Amour. Cette communion entre nous qui demeurera toujours comme une offrande à cette terre. Fécondation de nos semences d'unions spirituelles. Ces unions où nous ne formons plus qu'un à deux, sans pour autant nous confondre.

Mais, nous différencier par un sourire commun, complice. Crions notre Amour aux brises qui dansent dans les arbres. Crions notre désir de nous aimer sans cesse aux fleurs rouges d'Amour, de sang mais jamais de honte. Crions notre Amour aux paysages qui parlent aux ciels mauves d'Espérance.   Mon texte peut paraître obscur, hermétique mais seuls ceux et celles qui appréhendent depuis longtemps l'Amour en profondeur, comprendront mon langage. Il est limpide pour ceux qui savent la hauteur de l'Amour. Et nous savons parler et comprendre ces mots que les âmes encrassées ne peuvent plus comprendre.  

Comment veux-tu que je parle autrement qu'avec des termes signifiants pour crever la carapace qui gravit les sommets ensoleillés de notre Amour ! Ainsi, la Lumière naît promptement en brisant par la Parole, les glaces qui refroidissaient jusqu'à présent, sans que nous le sachions, nos cœurs d'enfants. Le pouvoir de donner des sons à l'Amour Lui donne naissance comme un matin de noël. Et nous vivons cet esprit festif tous les jours que la vie nous ouvre les yeux émerveillés de nous retrouver.     

  Bruno LEROY.  

09:58 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

SEMER LA JOIE AUTOUR DE SOI.

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Comme la brise légère fouette les vagues,
Tu es le rocher sur lequel vient dormir le soleil,
Apaisé après une longue journée de doutes,
Sur la nature humaine qui souvent divague,
Tu es puissance de tendresse tu es la route,
Sur laquelle je chemine avec merveille.
Tu m'as appris à donner le meilleur de moi-même,
Tu m'as appris à transcender toutes formes de haines,
Tu as donné aux confins de mon âme la saveur d'exister,
La splendeur de contempler même l'homme blessé,
Pour mieux le comprendre et l'aimer,
Pour mieux me comprendre et m'aimer.
 Tu as semé les petites joies aux sublimes senteurs,
Celles qui s'épanouissent et font germer le Bonheur,
L'Amour, le respect, la générosité, l'écoute, le souci des autres,
Voilà ce qu'à jamais tu as su me donner...
Valeurs puisées au cœur des évangiles dont nous sommes Apôtres,
Que chaque jour nous tentons humblement de pratiquer,
Et tu demeures toujours Présent pour sans cesse nous aider.
Dans cette prière des profondeurs qui procure une insondable Joie
De te savoir à nos côtés pour fortifier notre Foi,
Oh ! Seigneur tu ne juges jamais nos balbutiements,
Tu entends pourtant les murmures de nos tourments,
Mais Ton incommensurable Amour les transforme en diamants,
Et la Joie apparaît soudainement comme venant du firmament,
Cette Joie pascale qui nous ouvre aux autres inlassablement,
Dans de merveilleux éclats d'Amour et d'éternels jaillissements.
 
Bruno LEROY.
Éducateur de rue.

09:55 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite, spiritualite de la liberation, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

04/08/2009

RECUEIL DE PRIÈRES PAR BRUNO LEROY: DIEU AU SOURIRE D'ENFANT.

PRIÈRES DE BRUNO LEROY.pdf

11:59 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

02/08/2009

Comment s'attacher au Christ et le suivre jour après jour ?

Parcours Comment s'attacher au Christ et le suivre jour après jour ?
Enregistré les 10, 11 et 12 juillet 2009.

Depuis 1975, lors des Sessions d'été de Paray-le-Monial, la Communauté de l'Emmanuel se met au service de tous ceux qui désirent faire cette expérience du Coeur. Aujourd'hui encore, le Coeur de Jésus veut manifester sa miséricorde à tous les hommes.

20:58 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite, catholique |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

01/08/2009

L'ESPÉRANCE COMME UNE ARME DU REGARD.

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Oserions-nous dire que nous manquons souvent de courage ? Jamais. Et malheur à celui qui tente de nous en faire prendre conscience. Pour moi, le courage ce sont les gestes d’Amour au quotidien. Rencontrer des gens dont on se passerait bien d’écouter. Prier lorsque la fatigue vous prend, telle une épée dans les reins. Sourire aux personnes dont le visage reflète la tristesse. Par contre, la paresse me vient lorsqu’on me parle d’escalader une montagne.

Ou simplement d’aller me baigner quand il fait froid. Nous disons souvent que certains Jeunes manquent de courage. Cela est faux, ils sont dans un état dépressif qui ne leur donne plus sens à rien. Dieu indique le chemin de nos vies. Il donne du Sens à nos existences. Peu importe les grands exploits. Ce sont les petits pas d’Amour effectués chaque jour qui nous construisent. Le courage devient alors naturel et surtout exemple pour ceux et celles qui nous entourent. Et pourtant, il faut apprendre à nous surpasser.

Nous devons être encore plus courageux. Avec l’aide de Christ nous y parviendront, Frères et Soeurs. Et quand une personne nous dira, vous n’êtes pas assez courageux. Nous répondrons que nous essayons avec l’aide de Dieu de nous surpasser.Courage, donc à vous, Frères et Soeurs, la paresse est dans les yeux des autres. Nous connaissons nos capacités immenses en Dieu.

Nous avons deux regards en tant que chrétiens. D’abord, le premier regard qui est celui de tout le monde, consiste à voir la surface des choses et des êtres. Dans une superficialité telle, qu’elle ne peut entretenir que les préjugés vis à vis d’autrui. Ce regard là, n’est point celui de Christ. Et le chrétien ( ne ) doit acquérir ce deuxième regard qui nous vient de la grâce. Voir en profondeur les êtres qui nous entourent, sentir les moindres palpitements de leurs coeurs.

Sans juger mais, avec ce regard empli d’amour sincère vis à vis d’un Frère ou d’une Soeur égarés.

C’est le regard de Jésus porté sur les foules. C’est le regard entretenu par la prière quotidienne.

C’est aussi la main tendue vers la détresse humaine, par Amour. C’est un regard qui ne craint rien, ni personne. En effet, comment craindre des personnes que l’on aime ? Seule la haine génère la peur des différences.

C’est le regard de Christ que nous devrions avoir constamment sur tous les événements. Regard de tendresse, de compassion et d’amour. Demandons, Frères et Soeurs, ce regard qui scrute le tréfonds des âmes en voyant plus de désespoir que de débauches. La débauche vient du désespoir.

Nous avons l’Espérance de Dieu Amour pour ne jamais désespérer des autres et les accueillir, tel que Christ l’eut fait. Et notre quotidien sera transformé avec les yeux de Dieu.

Bruno LEROY.

11:34 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

31/07/2009

GUÉRIR NOS BLESSURES PASSÉES.

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Autrefois, lorsque j’étais à l’école, nous faisions le pacte du sang, entre amis. Nous échangions quelques gouttes de notre sang pour nous promettre une amitié à vie.

Puis, le temps passe, laissant derrière lui des souvenirs que l’on estime infantiles, et les promesses s’effacent. Notre existence et parfois ses tracas, tout au moins ses turpitudes, nous fait marcher au rythme de l’oubli. Nous oublions les relations passées entre amis vrais, comme étant dépassées. Jusqu’au jour où celui-ci vous rattrape,quand vous apprenez, ce qui m’est arrivé il y a quelques jours, qu’un de vos meilleurs amis d’enfance est en train de mourir sur un lit d’hôpital. Alors, le passé revient comme une douce nostalgie avec ses bons et mauvais moments.

Puis, le regret de ne pas être suffisamment présent à ceux et celles qui nous entourent. Aimons-nous vivants avant que la mort nous trouve du talent. Bien-sûr, il y eût des insultes et des gens peu fréquentables. Avaient-ils leurs raisons ou est-ce un comportement de leur déraison. Inutile de juger un passé qui est mort et enterré. Allons de l’avant en aimant chaque être rencontré, comme étant un reflet de Dieu.

Bien-sûr, il nous faut cautériser ces blessures qui nous empêchent de respirer et surtout, d’ouvrir grand nos bras à ceux qui viennent. Nous ne pouvons vivre paralysés dans nos sentiments, nos rancoeurs et nos peurs ; par de pâles visages du passé. Pourrons-nous pardonner et nous pardonner. Seul, Dieu peut nous redonner ce soleil intérieur qui nous rend brûlants d’Amour dans toutes nos relations. Cessons de voir les autres comme des ennemis potentiels. Les autres vivent sur le même bateau que nous avec des valeurs différentes.

Mais est-ce à nous de juger ? Entrons dans la prière qui nous donnera le discernement de l’Esprit-Saint. Dieu est Amour et ne saurait nous conseiller des relations haineuses, celles-là viennent de Satan le diviseur. Nos relations harmonieuses nous les devons à Dieu. Même s’il nous arrive de vouloir dire certaines vérités aux personnes qui se comportent mal à notre égard ; puissent-elles être inspirées par la prière. Dieu nous guérit de tout et notre passé est mort à ses yeux. Donnons cette chance aux autres également. Toujours guidés par la prière nous serons à l’écoute des autres et à même de les aider s’ils souffrent. Demandons à Christ des relations authentiques, comme Il savait si bien le faire. Le monde est basé sur le relationnel et non sur des jugements hâtifs. Que Dieu nous aide à cheminer avec les autres en toute amitié. Qu’Il nous aide aussi à dépasser cette amitié pour nous sentir Frères et Soeurs en Christ. Alors, le monde deviendra meilleur et les hommes fraternels. Demandons à Dieu l’impossible, Lui le maître de l’Impossible. Demandons Lui par de ferventes prières que notre monde ne sombre point dans une haine sans nom. Que notre prière éclaire nos relations pour leur donner toute la densité de la Fraternité. Ce regard fraternel, lorsque nous abordons les gens doit être clair et plein de Vérité. Frères et Soeurs, commençons aujourd’hui, demain il sera peut-être trop tard.

N’attendons pas que la terre devienne un immense brasier de guerres pour commencer à nous Aimer. Oui, demain, ce sera déjà trop tard et peut-être perdu à jamais. Amen !

Bruno LEROY.

15:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

UNE JUSTICE SOCIALE CONTRE LES PAUVRETÉS.

 
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L’objectif de justice sociale rejoint l’objectif d’efficacité pour souligner l’importance de la lutte contre la pauvreté des enfants dans ses conséquences sur leur devenir.

Si les pouvoirs publics, comme la société dans son ensemble, décidaient de mettre à leur agenda la réduction de la pauvreté des enfants, il faudrait répondre à trois questions :

• Que savons-nous des situations d’enfance pauvre dans la société

française contemporaine et de leurs conséquences sur le devenir de ces

enfants ?

• Quelles orientations donner aux politiques publiques ?

• Quelles sont les améliorations de l’observation et de l’analyse à engager rapidement ?

C’est à partir de ces trois questions que s’organise une synthèse de réflexion :

« Des personnes vivent dans des situations de pauvreté si leur revenu et leurs ressources (matérielles, culturelles et sociales) sont à ce point insuffisantes

qu’elles les empêchent d’avoir des conditions de vie considérées comme

acceptables dans le pays membre où ils vivent. »

Cette définition, donnée par le Conseil Européen en 1984, souligne tout d’abord que la pauvreté est un phénomène relatif : on est pauvre au sein d’une société donnée. Elle met en évidence aussi que la pauvreté est un phénomène ayant à voir avec l’exclusion : la pauvreté peut couper ceux qui en souffrent du reste de la société, en les empêchant d’accéder aux normes de consommation, en engendrant un phénomène de « honte », en les incitant à demeurer dans un « entre-soi » aux effets démobilisateurs.

À cette définition il faudrait ajouter, s’agissant des enfants, que l’insuffisance des ressources à leur disposition peut les empêcher d’espérer atteindre, à l’âge adulte, les conditions de vie qui seront acceptables dans la société où ils vivront plus tard : la pauvreté des enfants doit aussi être analysée dans ses effets dynamiques.

On peut mesurer la pauvreté des enfants de bien des manières : faiblesse des revenus familiaux (on parlera alors de « pauvreté monétaire »), conditions de vie dégradées, handicaps sanitaires, échec scolaire lié à la situation familiale ou aux conditions matérielles de travail, illettrisme, pauvreté du réseau de relations sociales, etc. Mais, dans tous les cas, ces situations ne sont pas rares en France. Lorsque la grande pauvreté conduit ceux qui la subissent à vivre sans domicile, dans des habitations précaires, etc., ils échappent à l’observation statistique courante et donc à la plupart des analyses qui seront développées.

Il est de notre conscience de citoyens de désirer mettre un terme au quotidien à ses situations inhumaines.Chacun peut là où il se trouve faire en sorte de militer en faveur de ses enfants afin qu’ils recouvrent leur dignité. Nul besoin d’être spécialiste éducatif ou social pour mesurer l’urgence de l’action à mener. Chaque Citoyen ( ne ) Français est responsable du devenir de ses enfants. Nous n’avons pas le droit de baisser les bras sous prétexte de l’ampleur de la tâche à mener. Militer dans les associations ou créer la sienne...

L’Amour du prochain est inventif à l’infini. A nous de trouver les solutions et des gestes qui grandissent l’autre et notamment nos enfants. Il faut en finir avec cette charité prônée par une" certaine "conception chrétienne qui se donne bonne conscience en faisant du " social ". Ce que nous voulons, c’est la Justice sociale et nous l’obtiendrons par notre militantisme sur le terrain.

Nous avons tant de combats à concrétiser pour un monde plus fraternel et plus juste ; que notre union au sein d’une conscience politique déterminée est plus que vitale. Nous n’avons malheureusement rien à espérer des technocrates du social qui dorment d’un oeil en regardant nos enfants crever. Nous n’avons rien à espérer d’une politique qui se veut davantage au service de l’économie et ne fait que du paternalisme depuis des années. Notre destin est entre nos mains et il sera ce que nous en ferons.

Puissions-nous saisir l’urgence et avoir un comportement cohérent face aux problèmes de notre temps.

Bruno LEROY.

 

09:52 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, politique |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

30/07/2009

L'AMITIÉ PARFUM DE LIBERTÉ.

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Ah ! L’amitié est brûlure dans tous les sens du terme.

Elle nous brûle lorsque nous l’éprouvons et qu’une autre personne nous donne son amitié. Elle est brûlure lorsque celle-ci n’est plus que pure trahison. Elle fait parfois plus mal que l’amour lui-même. Elle est plus belle et plus pure que l’amour car, elle n’attend rien en retour. Je parle de l’amour au sein d’un couple, évidemment. L’amitié comporte sa part de gratuité. Elle est nécessaire dans un monde matérialiste où tout semble s’acheter. L’amitié est part de cristal dans le coeur des hommes. Elle ne comporte aucune composante sexuelle.

Elle demeure notre mystérieuse union avec d’autres personnes qui nous aident à nous relever lorsque nous tombons. Elle est coeur de la convivialité déclarée. Les jeunes meurent d’un manque d’amitié. Chez eux, elle devient parfois tellement fusionnelle qu’une simple entorse peut les mener au suicide. Davantage que l’amour pour une fille. Notre monde est en recherche constante d’une amitié authentique qu’il ne faut point confondre avec la simple camaraderie.

Elle nous aide à respirer dans les jours étouffants. Elle nous met sur le chemin de la lutte quand l’Ami souffre ou pleure. Comme disait Jacques Brel : Bien-sûr, il y a les guerres d’Irlande et les oiseaux assassinés. Bien-sûr tout ce manque de tendre...Mais voir un ami pleurer !

C’est dans un cercle amical que nous construisons un microcosme de Tendresse qui peut s’étendre plus loin encore...Par mimétisme et recherche de cette amitié infaillible. Un dicton affirme que nous reconnaissons nos vrais amis lorsque nous sommes dans la peine ou le besoin, rien n’est plus vrai. Tant de faux amis s’en vont avec nos ennuis lorsque ceux-ci demeurent.

L’amitié est précieuse dans le coeur de Dieu sinon la Bible n’en parlerait même pas. Elle est précieuse et mystérieuse car, qu’elle est l’alchimie qui fait se rencontrer souvent à vie deux ou plusieurs êtres ? Grande question et faut-il d’ailleurs une réponse. L’amitié est la plus belle fleur cueillie dans le jardin du coeur à condition que son parfum soit mature.

Mais, lorsque nous vivons l’amitié à fond toutes ces questions s’estompent. C’est à nous d’en savourer les effets bienfaisants avec détachement.

L’amitié se vit avant de se penser. C’est ce que les grands poètes nous ont toujours dits avec de sublimes métaphores. Découvrons l’amitié chaque jour avant que la mort nous redonne nos amis perdus. Essayons de vivre en bon commerce avec autrui et le monde changera.

La racine de notre monde est l’amitié indéfectible entre les humains dans les bons et moins bons moments. C’est le soleil de la Vie quand notre ciel est dans l’obscurité. L’amitié est la sève de tous rapports humains dignes de ce nom.

Sans elle nous ne serions que des loups guettant d’autres loups. Elle est régulation sociale des relations humaines.

Bruno LEROY.

09:34 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

La perte de l'état clérical du P. Vlasic n'est pas un jugement sur Medjugorje.

 


Explications du procureur général de l'Ordre des Frères mineurs (Franciscains)

ROME, Mercredi 29 juillet 2009 (ZENIT.org) - L'acceptation, par Benoît XVI, de la perte de l'état clérical du père Tomislav Vlasic, ne constitue pas un jugement sur les témoignages d'apparition de Marie à Medjugorje, a expliqué le procureur général de l'Ordre des Frères mineurs (Franciscains).


Dans une déclaration à ZENIT, le P. Francesco Bravi, ofm, a affirmé que cette mesure n'a pas été imposée par le
Saint-Siège mais qu'il s'agit de la conséquence de la demande présentée par le P. Vlasic, qui était jusqu'à présent membre de l'Ordre des Frères mineurs, d'être dispensé non seulement du célibat sacerdotal mais aussi des voeux religieux.

« C'est lui qui l'a demandé », a déclaré le P. Bravi.


Le procureur général de l'Ordre des Frères mineurs a par ailleurs précisé que s'il est vrai que le P. Vlasic était vicaire à la paroisse de Medjugorje à l'époque des premiers témoignages des apparitions (1981), il vivait en Italie depuis plus de vingt ans (depuis 1985).


Le P. Vlasic était religieux de la province franciscaine de San Bernardino di Siena (L'Aquila) et avait fondé la communauté « Kraljice mira potsuno Tvoji - po Mariji k Isusu » (Reine de la Paix, tous à toi - à Jésus par Marie).


Le P. Bravi a expliqué que le P. Vlasic a demandé au Saint-Siège d'être dispensé des obligations du ministère sacerdotal, car il refuse d'accepter les sanctions que lui avait imposé la Congrégation pour la doctrine de la foi par le décret (prot. 144/1985) du 25 janvier 2008, signé par le cardinal William Levada, préfet, et par Mgr Angelo Amato, secrétaire de la Congrégation.


Le décret fut publié, à la demande de la Congrégation pour la doctrine de la foi, par Mgr Ratko Peric, évêque de Mostar-Duvno, diocèse dans lequel est située la ville de Medjugorje. Il explique que les sanctions ont été imposées suite à des accusations portées contre le P. Vlasic. Il était notamment accusé de « diffusion d'une doctrine douteuse, de manipulation des consciences, de mysticisme suspect, de désobéissance à des ordres donnés de façon légitime ». Il était également accusé d'avoir violé le sixième commandement (actes impurs).


Le décret établissait cinq sanctions, dont l'obligation de demeurer dans une maison de l'Ordre franciscain de la région de Lombardie, en Italie, choisie par le ministre général de l'Ordre, le P. José R. Carballo, et l'interdiction de maintenir des liens avec la communauté Reine de la paix, et avec ses membres.

Le décret interdisait d'effectuer « des accords juridiques et d'agir dans des organismes administratifs » sans autorisation écrite du ministre général de l'Ordre. Il établissait par ailleurs l'obligation de suivre une formation théologique et spirituelle avec une évaluation finale, et l'émission de la profession de foi, avec l'approbation de la Congrégation pour la doctrine de la foi.

Le décret interdisait enfin « l'exercice du 'soin des âmes', la prédication, les interventions publiques et révoquait la faculté de confesser ».


Le P. Francesco Bravi a expliqué à ZENIT que le P. Vlasic refusait de reconnaître les accusations portées contre lui et qu'il refusait donc également les sanctions. Comme conséquence de ce rejet, il a demandé à être dispensé de l'exercice de son ministère sacerdotal et de sa condition de religieux. Il lui est en même temps interdit d'exercer toute forme d'apostolat et de faire des déclarations, spécialement sur Medjugorje.

Il lui est arrivé de proposer, publiquement et par écrit, des interprétations des messages reçus par les voyants, mais celles-ci ont parfois été contredites par les voyants eux-mêmes. Il a notamment affirmé que la communauté « Reine de la Paix », qu'il avait fondée, était née à la demande explicite de la Vierge, ce que la voyante Majija Pavlovic a nié dans une lettre adressée au Saint-Siège.


L'évêque de Mostar a affirmé publiquement qu'il ne croyait pas à la véracité des apparitions de Medjugorje mais le dossier est actuellement examiné par la Congrégation pour la doctrine de la foi.

Dans son ouvrage publié en 2007 en italien « L'ultima veggente di Fatima » (La dernière voyante de Fatima), le cardinal Tarcisio Bertone, secrétaire d'Etat et ancien secrétaire de la Congrégation pour la doctrine de la foi, écrit : « Les déclarations de l'évêque de Mostar reflètent une opinion personnelle, elles ne sont pas un jugement définitif et officiel de l'Eglise. Tout est renvoyé à la déclaration de Zara des évêques de l'ex-Yougoslavie, du 10 avril 1991, qui laisse la porte ouverte à de futures enquêtes. La vérification doit donc se poursuivre. En attendant, les pèlerinages privés avec un accompagnement pastoral des fidèles, sont autorisés. Enfin, tous les pèlerins catholiques peuvent se rendre à Medjugorje, lieu de culte marial où il est possible de s'exprimer à travers toutes les formes de dévotion ».

Jesús Colina


Source www.zenit.org

 

 

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29/07/2009

La vérité sur Medjugorie…


Comme il est dit, des bienfaits ont été reçu par les pèlerins, mais, cela est dû :

Richard C ofs



 « tout le bien qui s'y est fait provient d'une simple bonté de la Vierge Marie, de la prière, de la fréquentation des sacrements et de l'Eucharistie, moyens ordinaires proposés par l'enseignement des prêtres. Donc rien de spécifique aux apparitions. »

 


 

Benoît XVI accepte le renvoi de l'inventeur de Medjugorje

Le  28 juillet 2009  - (E.S.M.) - Le Pape Benoît XVI a approuvé le renvoi de l'état clérical du Père Tomislav Vladic. Ce prêtre a mené toutes les affirmations que la Vierge Marie apparaissait en Bosnie dans le village de Medjugorje. (lesuisseromain)

         

Le "Sanctuaire" de Medjugorje


Benoît XVI accepte le renvoi de l'inventeur de Medjugorje

 

Le 28 juillet 2009  - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde - Le Pape Benoît XVI a approuvé le renvoi de l'état clérical du Père Tomislav Vladic. Ce prêtre a mené toutes les affirmations que la Vierge Marie apparaissait en Bosnie dans le village de Medjugorje. Lorsque les apparitions auraient commencé en 1981, le Père Vlasic fut surnommé le créateur de ce phénomène par l'évêque local de Mostar-Duvno Pavao Zanic. Lors d'une dispute entre l'évêque et le Vatican, le Père a prédit que la Vierge apparaîtrait en Bosnie. Six mois plus tard, six enfants dirent avoir vu la Vierge proche de la colline. Le Père Vlasic annonca immédiatement qu'il deviendrait le père conseiller des prétendus voyants. Les enfants affirment maintenant que la Vierge les a visités 40 000 fois au cours des 28 dernières années.

 

Le prêtre a été suspendu l'an dernier par la Congrégation de la doctrine de la foi. Une enquête était réalisée sous sa conduite par trois commissions qui ne parvinrent pas à trouver des évidences pour confirmer les affirmations des voyants. Il a été aussi mis sous enquête pour conduite sexuelle immorale après qu'il ait mis une sœur enceinte.

 

Le prêtre a refusé de coopérer avec les enquêteurs et ceci depuis le début. Il fut banni pour un monastère dans l'Aquila en Italie et fut interdit de communiquer avec quiconque sans la permission de son supérieur. Il fut annoncé ce dimanche que le Père Vlasic a choisi de quitter la prêtrise ainsi que son ordre religieux. Le Pape avait secrètement approuvé son renvoi de l'état clérical en mars. Plusieurs des défenseurs des appritions vivent maintenant dans de riches conditions économiques et possèdent des voitures luxueuses.

 

Le sanctuaire a attiré environ 30 millions de pélerins. Des millions de catholiques avaient espéré un jour que le Vatican approuve les prétendues apparitions.

 

Notes:

 

- les prétendus encouragements de Jean Paul II à se rendre en ces lieux sont une simple invention.

 

- tout le bien qui s'y est fait provient d'une simple bonté de la Vierge Marie, de la prière, de la fréquentation des sacrements et de l'Eucharistie, moyens ordinaires proposés par l'enseigement des prêtres. Donc rien de spécifique aux apparitions.

 

- le Cardinal Ratzinger, dans un jugement personnel, estimait fort justement ne pas croire aux origines surnaturelles des apparitions. Les conversions et les grâces obtenues, les fruits, proviennent uniquement de la bonté de Marie et de la Miséricorde de Dieu.

 

- l'évêque du lieu reste le Pasteur du lieu et son jugement n'a jamais été contredit par le Pape.

 

- enfin, la seule et unique vertu que le diable ne peut pas imiter est l'humilité. Les croyants sont humbles lorsqu'ils acceptent les limites de leurs propres jugements en toute obéissance au Pape et aux évêques en communion avec lui.

 

Source : http://eucharistiemisericor.free.fr

20:17 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite, catholique |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |