04/11/2008
LA TRACE QUE NOUS LAISSONS...
La trace que nous laissons est place vacante,
Nos horizons parlent de nos silences,
En notre absence puisque nous revenons,
Sur les pas de notre présence,
Dans les multiples consciences,
Qui nous reflètent tendrement,
De regrets nullement formulés,
Et pourtant ce passage terrestre,
Est chemin vers l' Amour,
Sinon, il ne serait qu'un aller-retour,
Sans ferveur de voir tomber le jour,
Sans couleurs aux fleuves de nos pensées,
Sans miroirs pour nous regarder et nous mirer,
Dans les mémoires qui veulent nous habiter.
BRUNO LEROY.
18:29 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PRIÈRE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
01/11/2008
UNE AMIE DE MAURICE ZUNDEL TÉMOIGNE.
une amie de maurice zundel temoigne.pdf
Que dire sur ce texte ? Sinon qu'il est extrêmement précieux pour saisir toute l'intelligence spirituelle de Maurice Zundel.
Ce mystique, théologien, poète, prêtre catholique, donne encore sens à notre Existence en nous posant
des questions pertinentes et toujours actuelles car, immuables et sempiternelles.
Cet Homme était un Saint à n'en pas douter, même s'il ne figure pas sur nos calendriers. Il le restera dans notre coeur à jamais.
Puisse cette Fête de Tous les Saints lui rendre Honneur pour sa Foi Libre et contagieuse d'Amour !
Bruno LEROY.
Ps : Excellente lecture à Toutes et tous en cette Toussaint, jaillissement de notre mémoire fixée sur ceux qui nous ont précédés ou qui vivent à nos côtés dans le silence d'une Humilité de Foi à deviner.
19:46 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MAURICE ZUNDEL. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
"Le génie de la prière"
Maurice Zundel
La création de l'homme, suivant la conception de Michel-Ange, réalisée au plafond de la Sixtine, concentre tout son mystère dans le doigt de Dieu tendu vers le doigt de l'homme qui reçoit son influx.
Le regard extatique, la tête inclinée dans un mouvement d'ineffable consentement, l'Adam juvénile semble aspirer la vie qui jaillit de l'attouchement divin. Il ne subit pas l'existence, il l'accepte comme un don, en adhérant à la Source de son être avec tout l'élan de son esprit.
On ne pouvait exprimer plus magnifiquement la vocation de l'homme et le prix de sa liberté.
Par notre corps, nous ne sommes qu'un fragment d'univers -- un point dans l'espace, un instant de la durée, une vapeur, un souffle -- et les lois qui régissent la matière dominent sur nous.
Par l'esprit, nous pouvons nous soustraire à cette servitude et mener une vie affranchie de l'espace et du temps.
N'est-ce pas ce que l'art accomplit déjà, d'une certaine manière, en infusant à un peu de matière le rêve immortel du génie qui s'exprime en elle? Mais ce qui est vrai de l'oeuvre est encore plus vrai de l'artiste. C'est en lui-même qu'il doit réaliser son plus beau chef-d'oeuvre: en ouvrant tout son être à l'Infini qui l'appelle, en livrant son coeur à Dieu qui veut y modeler sa Vie.
La prière constitue cette remise et cet abandon, cet affranchissement et cette renaissance, la prière que beaucoup considèrent comme une servitude, et qui est, en vérité, le sacre de notre liberté. Car elle signifie, justement, que nous ne sommes pas enfermés dans le déterminisme du monde physique et livrés à l'étreinte impersonnelle de forces inconscientes, mais enveloppés, au contraire, d'une présence vivifiante et soutenus par une tendresse infinie, avec la possibilité de transformer sans cesse notre dépendance en oblation d'amour.
La prière fait de notre vie un don et nous établit dans une relation filiale avec notre Créateur.
Elle n'a donc point pour fin de renseigner Dieu sur nos besoins, qu'Il connaît infiniment mieux que nous; elle ne se propose pas non plus de l'amener à consentir à leur satisfaction, car sa bonté infinie ne cesse de vouloir notre bien, mais de faire coïncider bien plutôt notre volonté avec la sienne, pour que son amour ait dans le nôtre une réponse de plus en plus parfaite.
[...]
Ce n'est jamais Dieu qui se refuse, c'est toujours l'homme:
"J'étendais chaque jour les mains
vers un peuple rebelle."
La maison dont les volets sont clos en plein jour est encore dans la nuit. Et ce n'est pas la faute du soleil:
"La lumière luit dans les ténèbres
et les ténèbres ne l'ont point comprise."
Pascal a exprimé ce duel prodigieux dans une des phrases les plus tragiques du Mystère de Jésus, où il fait allusion à l'agonie du Sauveur:
"Jésus a prié les hommes et n'en a pas été exaucé."
Dieu nous exauce toujours; c'est nous, hélas! qui demeurons sourds à sa voix, c'est nous, pour reprendre le mot de Pascal, qui ne l'exauçons pas.
Et Il accepte cet exil mystérieux qui bouleverse le coeur des saints:
"Io piango perchè l'Amore non è amato", disait en sanglotant le poète franciscain Giacopone da Todi: "Je pleure parce que l'Amour n'est pas aimé."
Dieu ne veut pas forcer la porte de notre âme. Son règne, en nous, ne peut s'établir sans nous.
(Extrait de "L'Évangile intérieur", 7e édition, Éd. Saint-Augustin, p. 55-57.)
19:19 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MAURICE ZUNDEL. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
AU MOMENT DE NOTRE MORT.
En nous invitant aujourd’hui à prier pour nos frères défunts, l’Eglise nous appelle aussi à lever notre regard au-delà de la réalité douloureuse de la mort vers les réalités d’en haut, à nous laisser renouveler dans l’espérance de ressusciter un jour dans le Christ pour vivre de la vie même de Dieu.
Aujourd'hui, il est devenu difficile de parler de la mort car notre société marquée par le bien-être et l’hédonisme a tendance à occulter cette réalité. La seule pensée de devoir mourir un jour angoisse et beaucoup préfèrent l’éliminer de leur champ de conscience. Il est vrai qu’« en face de la mort, comme le rappelle le Concile Vatican II, l'énigme de la condition humaine atteint son sommet» (Gaudium et spes, n. 18).
A ce titre, les textes de la liturgie de ce jour sont particulièrement significatifs. Le livre de la Sagesse nous dit que ce qui fait la valeur d’une vie, ce ne sont pas le nombre des années, « c’est une vie sans tâche », fut-elle courte car « la sagesse surpasse les cheveux blancs ». Face à la révolte et l’incompréhension qui peuvent habiter le cœur de l’homme devant la mort de quelqu’un de jeune, l’Ecriture déclare que c’est « Dieu qui l’a repris pour que le mensonge n’égare pas son âme ». Non pas pour nous dire que Dieu aurait provoqué la mort mais pour nous révéler qu’il veille sur nous et ne nous abandonne pas jusque dans notre mort : « Les gens voient cela sans comprendre ; il ne leur vient pas à l’esprit que Dieu accorde à ses élus grâce et miséricorde, et qu’il veille sur ses amis ».
« Même s’il meurt avant l’âge, le juste trouvera le repos » : Non seulement, Dieu ne lâche la main à personne au moment de la mort mais il promet à chacun le repos et la vie éternelle dans la mesure où il nous trouvera juste. Attention à bien interpréter ici ce que signifie « être trouvé juste ». Nous devons nous rappeler que dans la Bible est déclaré juste celui qui est ajusté à la volonté de Dieu c’est-à-dire orienté vers lui par toute sa vie.
Au moment de notre mort, il y a donc bien un jugement qui nous attend. Mais ce jugement particulier c’est finalement nous qui en serons les responsables. Il ne s’agira pas d’un moment où Dieu nous rétribuera en fonction du poids de nos bonnes actions. Non, car la volonté du Père c’est que le Fils ne perde aucun ceux qu’il lui a donnés et qu’il les ressuscite tous au dernier jour . Il s’agira d’un moment où nous aurons rendez-vous avec la miséricorde divine, aussi pécheur que nous soyons, et où nous serons appelés à l’accueillir mais cette fois-ci d’une façon définitive car nous ne nous trouverons plus sous le régime de la foi. C’est ici que se scellera d’une façon définitive l’orientation de fond que nous aurons voulu donner à toute notre vie. Même si nous ne pouvons douter de la puissance de Dieu qui se déploie jusque dans sa miséricorde envers le pécheur le plus endurci, nous devons quand même nous rendre compte que les choix que nous posons durant notre vie terrestre orientent déjà le choix définitif que nous poserons au moment de notre mort. C’est dans ce sens qu’il nous faut lire la deuxième lecture de ce jour et particulièrement sa finale qui déclare : « Chacun de nous devra rendre compte à Dieu pour soi-même. »
Alors selon que nous aurons accueilli la lumière ou préféré les ténèbres nous nous retrouverons lumière ou ténèbres. Nous percevons donc ici toute l’importance de prier pour nos frères défunts afin qu’ils puissent accueillir dans la définitivité la miséricorde infinie de notre Père céleste qu’il nous a rendue accessible en son Fils unique, lui en dehors de qui personne ne peut aller vers le Père.
Forts de notre foi en la victoire de Jésus ressuscité sur la mort et le péché, et unis à eux dans une même espérance de ressusciter en Christ pour vivre éternellement de l’Amour de Dieu nous voulons prier avec eux ces paroles du Psaume 24 : « Rappelle-toi Seigneur, ta tendresse, ton amour qui est de toujours. Oublie les révoltes, les péchés de ma jeunesse ; dans ton amour de m’oublie pas… Vois ma misère et ma peine, enlève tous mes péchés. Garde mon âme délivre-moi ; je m’abrite en toi : épargne-moi la honte. »
Bruno LEROY.
18:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
LE PARFUM DE NOVEMBRE.
Novembre et son parfum de chrysanthème nous remettent en mémoire ce que nous sommes appelés à devenir, dans le regard et l’intention de Dieu : des saints, comme Dieu lui-même est saint.
A distance d’une image païenne trop largement transmise, la sainteté ne consiste pas à atteindre une perfection personnelle aux yeux de Dieu. Inlassablement son Esprit cherche le cœur de l’homme à travers la rumeur du monde et la compassion de l’Eglise. A l’écoute de sa parole ruminée quotidiennement, laissons-nous plutôt saisir par Jésus-Christ, comme les disciples de l’Evangile, pour donner notre vie comme lui, en lui et à sa suite pour que le règne de Dieu gagne dans les cœurs et entre les hommes : « Donnez plutôt en aumône ce que vous avez, et alors tout sera pur pour vous. »(Lc11,41).
La disparition récente et rapprochée de témoins évangéliques aussi rayonnants que Sœur Emmanuelle, l’Abbé Pierre, Mère Teresa le redit plus fortement encore, plus charnellement aussi que bien des analyses depuis que notre monde est en transformation constante : rendre à tout homme justice et dignité, le mettre au centre de nos activités économiques et de nos projets sociaux et familiaux, en faire le fondement et la fin de toute action et de toute technique, demeure plus que jamais un chemin de sainteté pour aujourd’hui.
Au long du chemin la spiritualité vient offrir quelques moyens de reconnaître à son humanité le visage du Christ en celui du frère, unique signe sacré en ce monde. Chaque jour devient ainsi commencement d’un don de la vie au service de l’évangile, une vraie bonne nouvelle pour l’éternité.
Remi de Maindreville, rédacteur en chef.
18:12 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
31/10/2008
LE TESTAMENT SPIRITUEL DE Sr EMMANUELLE.
Ps : Veuillez cliquer sur les images pour les agrandir.
21:17 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans TÉMOINS DE CE TEMPS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Dieu de miséricorde, âme de mon âme.
11:18 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PRIÈRE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
30/10/2008
Mourir pour renaître.
©F&L-D.Lefèvre |
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L’évangile de ce jour se situe dans le contexte de l’arrivée triomphale de Jésus à Jérusalem. Le Christ va mourir afin de donner le salut à tous les hommes. Peu auparavant, le Seigneur a ressuscité son ami Lazare, anticipant aux yeux des Juifs le sens de sa mission : faire participer par sa mort tous les hommes à la vie éternelle. Dès lors, la mort vécue avec Jésus n’est pas une fin, mais un heureux commencement. La peur existentielle de la mort, à la racine de nos angoisses, peut être transfigurée en celui qui est passé (Pâque) de la mort à la Vie. Néanmoins, cela n’est possible qu’à une double condition. Ne « pas s’attacher au monde », ce qui signifie s’accrocher à sa vie avec ses petites habitudes (matérielles, psychologiques, spirituelles). Ensuite, accepter de mourir, c’est-à-dire de se laisser transformer par l’œuvre de Dieu en nous. Le critère d’application sera celui de se mettre à la suite du Christ par le service des autres et non de soi-même. « Perdre sa vie » résonne alors d’une tout autre manière. Le grain de notre vie peut mourir, dans l’oubli de soi, dans l’attention au prochain, dans le don gratuit, dans une prière silencieuse, car il a trouvé sa terre : le Christ. Alors la grâce peut jaillir et c’est Dieu qui nous « honore ». Les défunts de nos familles, passés au Père, ne sont donc pas morts : ils sont vivants en Celui qui, victorieux de toute mort, donne la vraie Vie.
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20:07 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Ne pas rester dans le silence des pharisiens.
Il s’agit d’un repas de confrérie, un midi, le jour du sabbat. Jésus est invité, il est l’invité de marque très certainement. Dans ce genre de repas, les conversations religieuses vont bon train, sur toutes sortes de sujets. C’est l’occasion de disputer les questions de la foi. Mais aujourd’hui l’ambiance n’est pas des plus saines : on « observe » Jésus, on l’épie, on cherche à le faire tomber. Probablement est-ce lié à sa récente dispute avec le chef de la synagogue, à propos d’une guérison que Jésus a opérée le jour du sabbat…
« Justement », dit saint Luc, « justement, un homme atteint d'hydropisie était là devant lui ». Voilà une coïncidence. Mais n’en disons pas plus que l’évangéliste. Cet homme a pu être placé là par les hôtes du Seigneur, dans le but de piéger Jésus, mais peut-être est-il venu subrepticement se placer lui-même devant Jésus, sachant qu’il était invité dans cette maison, espérant que le Maître le prendrait en pitié et le guérirait.
Jésus, évidemment, prend la mesure de la situation. Il se tourne donc vers les convives : « Est-il permis, oui ou non, de faire une guérison le jour du sabbat ? ». Voilà un bon thème de discussion pour cette docte assemblée. Mais la réponse est convenue. Le cas a été déjà longuement discuté dans les écoles rabbiniques, et la réponse est oui. Il est défendu de travailler, mais si une vie est en danger, il est clairement permis de la sauver : la Loi est au service de la vie. C’est d’ailleurs à ce principe que Jésus avait renvoyé le chef de la synagogue : si « délier » est un travail, lui avait-il expliqué, il reste permis de « délier » un animal domestique pour le mener à boire. Il est donc permis de « délier » un enfant de Dieu, prisonnier de la maladie.
Mais Jésus n’entre pas aujourd’hui dans les subtilités du débat. Sa question est plus fondamentale, elle concerne directement le jour du sabbat, le jour du Seigneur. Ce jour-là on arrête de travailler pour entrer dans le repos de Dieu, c'est-à-dire pour se laisser vivifier dans la relation filiale qui nous unit à lui. Si la discussion restait encore dans les points de détail, on en viendrait peut-être à se demander si la guérison ne pouvait pas attendre le lendemain ! C’est pourquoi Jésus montre l’urgence de la situation : si un enfant tombe dans un puits, il n’y a pas de lendemain à attendre. Si un fils de Dieu est empêché d’entrer dans le repos sabbatique, à quoi bon le sabbat ? Aussi Jésus a-t-il guérit cet homme.
Il l’a guérit, et aussitôt l’a renvoyé. Le voici libéré de toute entrave, il peut courir vers son Père, il a désormais un avenir. Les discussions tenues en cette maison ne sont pas pour lui.
D’ailleurs, il n’y a pas eu de discussion. Par deux fois, Jésus a posé une question, par deux fois elle est restée sans réponse. Ses hôtes savent bien en effet qu’ils agiraient comme Jésus l’a dit s’ils étaient dans la même situation d’urgence…
Cet évangile nous invite à ne pas rester dans le silence des pharisiens. Il ne suffit pas de se dire qu’on ferait pareil nous aussi, si la situation se présentait. Il faut réaliser que nous sommes cet homme que Jésus a sauvé et a qu’il a rendu à sa vie. Aussi, en cette fin de semaine, préparons avec application notre dimanche. C’est le temps où nous célébrons le Dieu qui nous a déliés, c’est le jour où entrons dans son repos, le Christ son Fils unique en qui nous sommes tous des fils d’un même Père. Laissons-nous renouveler dans cette grâce et accueillons avec reconnaissance la vie qui se livre à nous pour notre bonheur éternel.
Père Joseph-Marie.
20:04 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
29/10/2008
Petite Princesse de la Liberté.
Dans tes yeux purs comme une source fraîche,
Nous contemplons ta vie de petite princesse,
Tes sourires illuminent de tendresse nos coeurs,
Tes larmes sont les pierres précieuses de tes pleurs,
Des scintillements d'Amour qui ravissent nos vies,
Depuis longtemps nous t'aimons à la folie,
Et tes proches t'aiment plus que de raison aussi,
Tu habilles le tréfonds de nos âmes de ta présence,
Depuis toujours tu grandis en nous ce sentiment de joie ,
Plus tu grandis spirituellement plus nous grandissons aussi,
Tu es la sève qui alimente nos rencontres estivales,
Tu instaures un climat torride de chaleurs amicales,
Tu donnes à nos regards de nouveaux émerveillements,
Tu es notre petite étoile dans les yeux du firmament.
Depuis longtemps notre Amour pour toi déborde tellement,
Que nous te souhaitons des journées d'éternel Bonheur,
Celui que tu nous offres dans tes sourires charmeurs.
Ce temps vécu près de Toi est un véritable Honneur,
Petite Princesse de la Liberté
Tu remplis notre existence de douceurs !
Nous t'Aimons et te le disons dans une absolue Liberté,
Cette Liberté d'aimer que tu nous as inculquée
Depuis le commencement...
Bruno LEROY.
12:55 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PRIÈRE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |