11/03/2007
LA PENSÉE DU JOUR.
La pensée du jour |
Les mots sont beaux lorsqu'ils se parlent et répondent à notre âme. Ils sont cris de révolte, d'amour et de tendresse. La poésie respire la Vie et cela donne une dimension authentique dans la démarche du poète pour nous éloigner de toutes médiocrités. BRUNO LEROY. |
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10/03/2007
Hommage à Noël Copin.
Journal " La Croix " du Vendredi 9 Mars 2007.
13:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
09/03/2007
La Vraie révolution sera spirituelle !
Voyons la situation globale de l'humanité, sans considération d'idéologie ni de représentativité, nous constatons que quelques très graves problèmes font l'objet d'un large consensus. C'est d'abord la course aux armements qui, de l'avis de tous, ne mène à rien de bon. Pour la première fois de son histoire, l'humanité a la capacité de se suicider tout entière, avec de nombreuses espèces animales et végétales. Malgré la folie évidente consistant à améliorer en permanence des armes déjà dotées d'un pouvoir destructeur total, la course n'en continue pas moins entre superpuissances et entre nations industrialisées. Même si le petit groupe des personnes disposant de notre sort a la sagesse et la prudence de tout faire pour éviter l'hécatombe finale, il n'en reste pas moins que le coût de l'accumulation des armes est au détriment de la satisfaction des besoins de la majeure partie des populations de chaque pays. Cette réalité est connue de tout le monde. Pourtant la course aux armements continue.
Un autre problème grave, également connu de tous les chefs d'États, est celui de la dette du tiers-monde dont les créditeurs sont les banques et les gouvernements des pays les plus riches. Avec les intérêts de la dette qu'ils versent, les pays pauvres contribuent à la croissance des pays riches. Il y a des années qu'a été dépassé le point d'équilibre entre le montant des intérêts versés et celui des nouveaux prêts affectés aux pays pauvres. Ces nouveaux prêts servent en fait à subvenir aux besoins des pays endettés. Certains responsables des superpuissances envisagent aujourd'hui d'effacer tout simplement les dettes, ou certaines d'entre elles, parce qu'il est devenu impossible de les honorer. Mais pendant ce temps-là, des pays pauvres comme la Jamaïque et la République dominicaine se voient imposer des conditions draconiennes, insupportables pour eux.
Au poids de la dette internationale s'ajoute le problème de l'échange inégal dans le commerce international, lequel est la seule source de devises fortes permettant aux pays pauvres de régler leurs intérêts auprès des banques internationales. Le prix des produits exportés par les pays pauvres est fixé par les pays riches, de sorte qu'il n'existe pour les premiers aucune garantie de voir une augmentation de production, par exemple de café ou de sucre, se traduire par une augmentation des rentrées en devises fortes. Parallèlement, la fluctuation des intérêts perçus par les banques sur leurs prêts, en fonction des oscillations du marché financier, ne permet pas aux pays débiteurs de calculer par anticipation le poids de leur dette, ne serait-ce qu'à court terme. Le problème, largement reconnu, est débattu aux Nations Unies et dans d'autres forums, mais on ne voit nulle part la volonté de procéder aux changements qu'appelle un nouvel ordre économique international.
Dans ce cadre plutôt noir de la vie de l'humanité en ce début de siècle, certains secteurs sociaux sont grevés d'hypothèses supplémentaires. Dans certains endroits, l'oppression des femmes est extrêmement lourde, dans d'autres elle l'est moins ; mais à ce jour, il n'existe aucune société où les femmes soient à égalité de pouvoir avec les hommes. Le monde continue d'être gouverné par des hommes, tant dans les grands ensembles que dans les unités familiales ; pour parvenir à des fonctions acceptables, les femmes doivent obtenir l'agrément des hommes au pouvoir. Un changement dans ce domaine exigerait des mutations en profondeur de toutes les organisations sociales. Il y a certes une reconnaissance progressive du caractère inacceptable de la domination d'une moitié de l'humanité sur l'autre, mais il n'y a pas de disposition réelle aux changements nécessaires en ce sens.
Tout ce que nous avons révélé, y compris la famine pour des millions d'êtres humains, est le résultat de l'oppression de quelques-uns sur beaucoup d'autres. L'impuissance des forums internationaux, où un consensus s'est fait sur la nature des problèmes et sur les solutions à y apporter, est due à la pression des intérêts de ceux qui profitent de l'oppression exercée sur d'autres êtres humains. Nous avons constatés en effet que, pour chaque problème, il existe un large consensus quant au caractère moralement intolérable et politiquement invivable de la situation, mais il existe en même temps une incapacité à y remédier. Si le problème ( ou les problèmes ) est celui d'un conflit d'intérêts, l'énergie nécessaire pour trancher ce conflit ne peut alors venir que des opprimés eux-mêmes. Là où il y a oppression, il devra y avoir une lutte pour obtenir les conditions garantissant la Vie : lutte des classes, lutte des races, lutte des nations, lutte des sexes. C'est là une constatation de bon sens, un constat des faits, avant même d'être un impératif moral ou une conclusion scientifique. Nous sommes aujourd'hui Témoins des justes luttes des opprimés. Le Dieu de la Bible est avec les pauvres et les opprimés. Il est avec les opprimés, même quand ils n'ont pas d'autre moyen que de lutter pour défendre leur Vie, comme l'ont fait les esclaves en Égypte. Nous savons également que, comme croyants au Dieu de la Bible, il nous a été recommandé de suivre Jésus-Christ dans sa solidarité avec les pauvres et les appauvris de ce monde. Nous voyons maintenant que l'avenir de l'humanité dépend de conditions de vie vraiment meilleures pour la majorité des milieux populaires. Ne serait-ce que par simple instinct de survie, l'humanité doit faire le choix prioritaire des pauvres ! Si elle ne le fait pas, nous serons tous, riches et pauvres, condamnés à périr.
Des événements symboliques illustrent cette problématique. La révolution nicaraguayenne, par exemple. Au Nicaragua, en effet, se joue la possibilité de conditions de vie meilleures pour les pauvres, les femmes, dans un pays sous-développé et agro-exportateur au sein d'un monde dominé par les armes, par le pouvoir économique et financier des riches.
Il n'est évidemment pas question de soutenir démagogiquement ou ingénument tout ce que le pauvre est ou tout ce qu'il veut, car le pauvre peut se tromper ou être trompé. Il s'agit bien davantage de soutenir tout ce qui contribue effectivement à sa libération. Dans la mesure où la richesse est synonyme d'oppression et où l'oppression comporte une dimension de relation, la conversion des riches passe nécessairement par le choix des pauvres, tout comme le choix des pauvres appelle en contrepartie la conversion des riches.
Le combat ne se cantonne donc pas dans l'arène politique, il est à mener aussi contre soi-même. La libération de la société doit s'accompagner aussi et surtout de la libération du cœur, en libérant de la peur, de l'accommodement, de l'égoïsme, de la soif du pouvoir, de l'infidélité, de l'ambition.
Pour les combattants de l'histoire, que nous sommes au nom de l'évangile révolutionnaire, conversion et révolution vont de pair. La révolution est l'extension de la conversion, comme l'arbre est l'extension de la semence en terre. Nous voulons la libération par la grâce, l'amour, la liberté et la Vie. Il ne s'agit pas seulement de libérer les autres, il faut aussi se libérer soi-même en assumant son destin dans le cœur de Dieu afin de demeurer les révoltés permanents qui façonnent Son dessein de dignité et d'Espérance pour l'Humanité. L'évangile est un constant appel à la révolution de l'Amour pour une Justice Sociale dont les chrétiens se doivent d'analyser avec lucidité tous les paradigmes. La Vraie spiritualité n'est pas une évasion des réalités existantes mais, le combat pour un monde meilleur voulu par Dieu. La Vraie révolution sera spirituelle ou ne sera pas. Il en va de l'avenir de l'Humanité !.
BRUNO LEROY.
10:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SOCIOLOGIE. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, social | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
07/03/2007
Jésus notre racine.
Écrit par Bruno Leroy | |
07-03-2007 | |
Psaume 52.8 : "Mais moi, je me trouve chez Dieu comme un Olivier florissant, je me fie pour toujours à la bonté de Dieu" Les doutes ne font point partie de mon horizon de vie. S’il me fallait douter de Dieu, ne serait-ce qu’une seule fois, je n’aurais plus que le vide sur lequel m’appuyer. Dieu est ma Force, ma sève, ma respiration, ma joie de vivre ou de ne jamais désespérer. Face à la mort, à la violence et aux injustices, je ne crains rien, ni personne. Dieu est l’âme de mon âme. L’Amour que j’ai de la Vie me vient de Lui. Jérémie 17:7-8 |
20:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
06/03/2007
Don de l’Eucharistie.
Jésus annonce le martyre de Jacques, le disciple qui, avec son frère, prétend à une belle place dans le Royaume du Christ. Cette annonce faite aux deux frères ne vise pas à les effrayer mais à les orienter vers une attitude juste. Ils voulaient regarder l’avenir à travers le filtre de leurs désirs. Au point qu’ils ne pouvaient plus imaginer que l’annonce de la mort du Fils de l’Homme puisse contredire l’idée qu’ils se faisaient de leur gloire future. En ne regardant que l’avenir, n’ayant donc pour seul secours que leur imagination, ils se voyaient déjà auréolés d’une gloire qu’ils pourraient tirer de la royauté de Jésus. Mais Jésus, lui qui marche vers sa glorification, médite les versets écrits jadis par le prophète Isaïe.
Jésus y a découvert la coupe, sa coupe, symbole de la souffrance du Serviteur, chemin vers Jérusalem, passage vers la vie qu’il doit ouvrir aux hommes. A tous les hommes. Jésus invite ses disciples à se démarquer des grands de ce monde, qui ne connaissent que le jeu du pouvoir et de la domination, et révèle qu’il vient payer la rançon pour la multitude. Pour les rois et les grands de ce monde également. Car ils ne sont rois qu’en apparence et s’effacent devant le Christ qui seul est le vrai roi, le roi des rois, le Seigneur des seigneurs.
Ainsi, le Royaume dans lequel Jacques et tous les disciples désiraient tant figurer en bonne place, s’érige sans laisser de place pour le royaume des ténèbres, mais il n’exclut aucun homme. Jésus ne décourage pas Jacques et Jean, il les corrige. Par la question qu’il leur pose, il les invite à un désir plus grand et plus pur, il les motive à vouloir davantage et à s’orienter vers le bien qu’il leur réserve. Puis, en élargissant la conversation à l’ensemble du cercle des disciples, Jésus s’adresse à tous les hommes, les grands de ce monde compris, pour leur enseigner le vrai sens de la hiérarchie, celui qui naît de l’amour du prochain.
Ainsi avons-nous à recevoir la recommandation de Jésus. Non pas une exclusion de certains qui exercent de façon écrasante et erronée un pouvoir (au sens large, nous avons tous beaucoup de pouvoir sur les autres), mais un refus de complicité avec l’esprit qui les anime, pour leur donner le témoignage du Royaume qu’ils recherchent. Non pas un regard vers l’avenir des perfections imaginaires que nous allons exercer, mais une relecture des refus de boire à la coupe que Jésus nous propose. Ensuite, sans délai, nous remettre sur les chemins qui mènent à la seule gloire qui vaille : celle qui nous vient du Père.
Tout cela reste vagues considérations sans un lieu pratique de vérification. L’eucharistie est le meilleur. Le sang est versé, la vie est donnée, en rançon, c'est-à-dire pour la rémission des péchés. Par le sang de Jésus, nous sommes rachetés à nos anciens esclavages, nous sommes rendus définitivement libres. Or, voici un pouvoir que nous exerçons bien mal : celui de ne plus pécher. Notre liberté nous sert à opprimer nos frères au lieu d’aider à les réunir autour du Père.
Seigneur, que ce carême nous fasse redécouvrir la beauté et la radicalité du don de l’eucharistie. Que nous sachions, par ta grâce, nous approprier pleinement les grâces de conversion qu’elle prodigue, les grâces de guérison dont elle nous console. Ainsi nous saurons dignement rendre grâce à celui qui a « donné sa vie en rançon pour la multitude ».
Frère Dominique
18:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Le silence de Vie.
Le silence, comme la solitude, est ambivalent. Silence de Mort... Silence de Vie... Il y a le silence qui est rupture de relation et de dialogue. Une lourde impossibilité de communication en résulte, une impression de rejet ou d’enfermement sur soi, d’isolement autiste et destructeur. Il y a le silence qui est signe de l’ineffable, plus éloquent que toute parole. Il enseigne le mystère du Verbe divin, sa sonorité éternelle. Il est retentissement du «parlé» trinitaire, le langage du Ciel. C’est à ce Silence qu’encouragent les amis de Dieu. Du reste, la Bible ne manque pas d’évoquer la note foncièrement positive du silence de Vie : « ...un silence paisible enveloppait toutes choses » à l’heure décisive et libératrice de l’Exode (Sg 18, 14). Le juste est invité à « attendre en silence le secours du Seigneur » (Lm 3, 26), « à faire silence afin de réfléchir dans le secret » (Ps 4, 5), car « dans le silence et l’espérance sera sa force » (Is 30, 15). Par-delà le silence de Mort à redouter, la première raison d’une culture délibérée du silence est le lien essentiel qu’il entretient avec la parole. La parole féconde naît du silence. Elle procède d’un climat silencieux, paisible, recueilli. La cohérence entre silence et parole signifie que le langage seul ne se suffit pas. Le silence est l’âme de toute parole, de toute communication de vie. Il est la condition du dialogue. La qualité d’une relation pourrait être appréciée à la place qu’elle accorde au silence. Le silence est ici synonyme de recueillement de l’âme toute accueillante à une parole. Il est écoute d’une présence.
Faisons-nous silencieux pour écouter Celui
qui a tant à nous dire.
17:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, poesie | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Licenciements au coeur du débat social.
Le groupe Alcatel-Lucent issu d’une récente fusion génère des profits immenses, 522 millions d’euros en 2006, et les suppressions d’emplois prévues (12 500 dans le monde dont 1 500 en France) ne visent qu’à augmenter un peu plus les dividendes reversées aux actionnaires, qui s’élèvent déjà à 370 millions d’euros.
Mutualiser les responsabilités patronales
De l’argent il y en a. C’est au patronat de payer le prix de ses errements, pas aux travailleuses et aux travailleurs. Il faut le contraindre à maintenir tous les emplois aujourd’hui menacés. Rompre avec le cycle des délocalisations et des licenciements nécessite de s’en prendre au pouvoir sans partage des capitalistes, en exigeant une totale transparence sur les comptes des entreprises, la fin de toutes les exonérations de charges sociales, le remboursement des aides perçues par l’Etat et la garantie d’un droit au travail et au revenu.
C’est par la lutte et dans l’unité entre les travailleurs et les travailleuses des différents sites concernés, à l’échelle nationale comme internationale, qu’une riposte pourra émerger. C’est une offensive de l’ensemble du monde du travail qui permettra d’imposer un contrôle sur la production et une répartition égalitaire des richesses produites et du travail disponible.
17:05 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SOCIAL. | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, social | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
LA SAVEUR DU SAVOIR.
10:15 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
02/03/2007
Notre logique humaine ne mène à rien.
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20:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Neuvaine à saint Joseph.
Avec saint Joseph et la Sainte Famille, vivons neuf jours à Nazareth
Imprimatur – Malines (Belgiques), 4 août 2001 - Chanoine E.VAN BILLOEN vicaire.général
Traditionnellement, le mois de mars est celui de saint Joseph. Afin de vous préparer à sa fête, nous vous proposons cette neuvaine à réciter chaque jour entre le 11 et le 19 mars. Une neuvaine est une prière que nous vous proposons de vivre pendant 9 jours afin de demander une grâce au Seigneur ou pour le remercier pour un exaucement. Dieu le Père a confié ce qu’il avait de plus précieux sur la terre, son fils Jésus et la Vierge Marie, à saint Joseph. Alors, avec confiance, remettons-lui toutes nos prières.
Premier jour ; saint Joseph mémoire du Père :
A l’image de Joseph, puissions-nous vivre nos vies dans l’écoute et le respect de nos pères et mères de la terre afin de faire mémoire de notre créateur au-delà de nos familles humaines.
Prières quotidiennes pour la neuvaine
Je te salue Joseph, toi que la grâce divine a comblé ; le Sauveur a reposé dans tes bras et grandi sous tes yeux ; tu es béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant divin de ta virginale Épouse est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, prie pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daigne nous secourir à l’heure de notre mort. Amen + un « Je vous Salue Marie » et un « Notre Père »
Deuxième jour : saint Joseph un guide pour l’homme d’aujourd’hui
Saint Joseph peut être appelé le saint de l’incarnation. Demandons à saint Joseph d’être et de demeurer pour nous un modèle d’homme et de père juste et responsable dont le monde d’aujourd’hui a besoin pour sauver la famille.
Troisième jour : saint Joseph et la maison familiale
Que nos maisons puissent accueillir Marie et l’Enfant-Jésus. Ne craignons pas d’accueillir la sainte famille à notre table. Saint Joseph, protecteur de la famille, aide-nous à comprendre le sens de la paternité véritable.
Quatrième jour : saint Joseph modèle d’incarnation
Saint Joseph devant l’Annonciation s’inscrit à l’école de l’acceptation d’une solitude humaine totale pour s’unir finalement à Marie. Saint Joseph nous explique combien il est important de ne pas rompre des liens affectifs et conjugaux dans l’épreuve. Saint Joseph aide-nous dans nos familles à triompher de toute solitude, de toute révolte, de tout division.
Cinquième jour : saint Joseph lumière dans nos nuits
Saint Joseph, dans l’inquiétude folle de ne pas offrir à sa famille un lieu pour la nativité, reçoit dans l’obéissance et dans la confiance le lieu de l’oubli total : une crèche. Au- delà des nuits, saint Joseph, apprend nous à adorer, et à accueillir Jésus dans notre cœur.
Sixième jour : saint Joseph protecteur dans la maladie
Saint Joseph, aide-nous à ne pas nous replier sur nous-même dans l’épreuve ; encourage-nous à nous ouvrir à la seule volonté du Père.
Septième jour : saint Joseph protecteur de l’Église
Ainsi, saint Joseph, gardien de l’Agneau, protecteur de la sainte Famille, est devenu par la grâce du Père le gardien de l’Eglise. Saint Joseph, enseigne-nous à respecter l’Église, à lui être toujours obéissant, dans l’Eucharistie et dans la prière fidèle.
Huitième jour : saint Joseph est au cœur de la communion fraternelle
Par l’union aux Cœurs de Jésus et de Marie, nous communions au cœur doux et juste de Joseph. Saint Joseph, apprend-nous à rendre grâce pour la communion fraternelle au sein de nos familles.
Neuvième jour : saint Joseph patron de la bonne mort et des âmes du Purgatoire
Jésus, Marie, Joseph, priez pour nous au moment de la mort. Nous vous confions spécialement notre arbre généalogique et toute notre histoire familiale.
Prière finale
« Tu lui donneras le nom de Jésus »Seigneur Dieu, notre Père, combien je te remercie de nous avoir donné ce cadeau inestimable en ton Fils Jésus, homme et Dieu..Avec les Anges, avec Marie et Joseph, avec les bergers, je te bénis, je te loue, je t’adore, je te célèbre.Envoie sur moi ton Esprit, afin de dire et de redire avec le cœur ce Nom qui est au-dessus de tout nom.Par ce nom Tout Puissant et rempli d’amour : dissipe mes ténèbres et fais de moi un enfant de lumière, lave-moi de mes fautes et donne-moi un cœur nouveau, guéris mes blessures afin d’aimer comme tu aimes, délivre-moi de mes angoisses et donne-moi ta paix. Essuie toute larme de mes yeux, que la joie de l’Esprit m’habite. Donne-moi le don suprême de l’Esprit: la Présence du Père.Gloire et louange à toi, Seigneur Jésus.
* Que Dieu vous bénisse !
et que la Puissance du Saint-Esprit descende sur le monde !
Thierry Fourchaud
Cité de l'Immaculée - BP 24
53170 Saint Denis du Maine (France)
E.mail : communion@mariereine.com
Notre site : www.mariereine.com
Site d'évangélisation: www.labonnenouvelle.fr
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18:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |