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08/11/2005

HISTOIRE D'UN " PAUVRE " BILLET.

Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 20€.  Il demande aux gens :

-Qui aimerait avoir ce billet?
Les mains commencent à se lever.  Alors il dit :

-Je vais donner ce billet de 20€ à quelqu’un de vous, mais avant laissez-moi d’abord faire quelque chose avec.  Il chiffonne avec force le billet et il demande :- Est-ce que vous voulez toujours de ce billet?
Les mains continuent à se lever.
-Bon d’accord, mais que se passera-t-il si je fais cela.  Il jette le billet froissé par terre et saute à pied joints dessus, l’écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher.

Ensuite il demande : -Qui veut encore avoir ce billet?
Évidemment, les mains continuent de se lever!

-Mes amis, vous venez d’apprendre une leçon..
Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n’a pas changée.  Il vaut toujours 20€.  Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par des gens ou des évènements.  Vous aurez l’impression que vous ne valez plus rien, mais en réalité votre valeur n’aura pas changée aux yeux des gens qui vous aiment.

La valeur d’une personne ne tient pas à ce qu’elle a fait ou ne fait pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque demeure toujours intacte.

Bruno LEROY.

12:58 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRISTIANISME SOCIAL. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

LIBÉRATION CHRÉTIENNE SEMENCE DE VIE.

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La libération chrétienne signifie libération du péché, de la loi et de la mort. La liberté à l'égard du péché signifie que l'homme échappe à la fascination du mal qui le rend esclave. Le péché s'incarne souvent dans des structures oppressives et étouffantes, dans des systèmes humains, économiques et politiques aliénants, qui fournissent à leur tour des justifications immédiates à l'égoïsme, à l'envie, à la violence et au refus de la paix. La liberté chrétienne doit s'affirmer en remédiant autant que possible à de pareilles iniquités et en suscitant des structures de liberté, de justice et de vérité. La libération à l'égard de la loi signifie l'affranchissement par rapport aux juridismes de toutes sortes. Être asservi à la loi signifie régler toute sa vie uniquement en fonction du travail, du rendement, du succès, de la recherche du prestige et de la puissance. La liberté à l'égard de la loi consiste donc, par exemple, à ménager des espaces et des temps libres pour les loisirs, les fêtes et les célébrations, pour les relations sociales et le délassement. La libération à l'égard de la mort peut et doit conduire à supprimer autant que possible la crainte de la mort à éveiller le courage et l'espérance. Il s'agit de se mettre au service de la vie, de créer pour elle un espace, de la protéger et d'en prendre soin, en affrontant sans crainte une mentalité largement répandue pour laquelle le respect de la vie n'est plus une valeur suprême, dont le respect s'impose inconditionnellement à tous il faut donc,et surtout protéger la vie.
Le chrétien doit payer de sa personne pour promouvoir une organisation de la vie privée et publique où la grâce, dans l'acception la plus large du terme, ne soit pas un mot vide de sens.Tous nos efforts ne suffisent pas à construire le Royaume de Dieu; celui-ci reste l'oeuvre de Dieu, même si Dieu veut agir parmi nous et à travers nous.Nous sommes capables, en effet, grâce à la force du Saint-Esprit et à la liberté qu'Il nous donne, de donner des signes du Royaume de Dieu qui vient, et de faire apparaître déjà en ce monde la souveraineté de Dieu, au moins sous une forme partielle et comme à l'état d'esquisse. Naturellement, l'amélioration des conditions extérieures de vie n'arrange pas grand-chose, quand ne change pas aussi le coeur des hommes.
Mais le plus souvent, le coeur des hommes ne peut guère changer tant que les conditions de vie, du point de vue matériel, paralysent toute espérance et engendrent des attitudes et des actes d'égoïsme et de violence. Il ne faut pas séparer les deux aspects. Dans le salut compris au sens chrétien, il s'agit de tout l'homme et du monde entier. Cette libération totale se produit concrètement lorsque l'homme est arraché à la puissance du péché et appelé à entrer dans la communion des croyants et des rachetés.
Avez-vous cette Espérance qui germe au fond de votre coeur pour donner Vie à la Vie?
Bruno LEROY.

11:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (1) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

LE MIROIR...

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"Chaque jour vous vous servez d'un miroir pour y vérifier des détails de votre apparence physique: votre visage, votre coiffure, vos vêtements. Mais il peut aussi vous révéler bien d'autres choses. Mettez-vous devant un miroir et touchez votre sourcil droit avec votre main gauche; dans votre reflet vous verrez votre main droite toucher votre sourcil gauche. Le miroir est un objet très intéressant parce qu'il nous aide à comprendre certains aspects du monde invisible. Par rapport au plan physique, dans le plan astral les objets sont vus inversés, comme dans un miroir. Les chiffres, les dates, tout est à l'envers; tel fait de l'avenir se présente comme passé, et inversement. C'est pourquoi le plan astral est le monde des illusions. Pour connaître la vérité, il faut donc aller encore au-delà, dans le plan mental supérieur ou plan causal*. Et c'est ce que nous révèle un enseignement spirituel. Donc, celui qui parvient à résoudre la question du miroir, résoudra les plus grands problèmes de la vie psychique."


Omraam Mikhaël Aïvanhov

10:39 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (3) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

07/11/2005

POUR NOUS AIDER A COMPRENDRE...1

La honte parce que deux jeunes délinquants fuyant les forces de police s’électrocutent en trouvant bêtement refuge dans un local EDF et c’est la France entière qui a droit à une couverture médiatique de « l’événement » ; ce sont des centaines de journalistes qui y vont de leurs avis plus ou moins inspirés ; ce sont des enquêtes diligentées par l’État ; ce sont des manifestations en faveur des deux électrocutés ; et puis même ce sont les parents de ces derniers qui sont reçus par le Premier Ministre de la France (rien que cela) après avoir refusé (mais oui !) de rencontrer le Ministre de l’Intérieur !

La colère parce que dans le même temps, (et tant pis si j’enfonce une porte ouverte) un homme qui travaillait (il prenait des photographies d’un lampadaire pour son employeur de mobilier urbain) va être agressé, frappé à mort et assassiné sous les yeux de sa femme et de sa fille ; et pas une manifestation, pas de couverture médiatique ou alors le strict minimum ; et même des jeunes (sans doute les copains des deux autres) osant déclarer que dans ce cas il n’y a pas eu de crime, mais un « accident » !

On a le droit de n’être pas intelligent, c’est humain ; malheureusement tout le monde n’a pas la même chance dans la vie ; Jésus parle « des richesses injustes » dans son Évangile et l’intelligence en fait partie, mais tout de même là on franchit des limites inacceptables.

Quelqu’un de bien pensant me dira peut-être « Pasteur qu’est-ce que tu sais des banlieues ? » J’y suis né et aujourd’hui encore j’habite en HLM alors je sais très bien de quoi je parle.

STOP ! Pourquoi donner tant d’importance à certains événements qui n’en valent pas la peine ; on a l’air de découvrir, comme une anomalie la révolte du neuf trois (Département 93 Seine Saint-Denis) ; mais ce n’est ni une anomalie, ni un accident, c’est une fatalité.

À force de désespérer des gens, voilà le résultat ; à force aussi de donner raison à certains agissements, voilà le travail !

Ce qui ressort de tout cela c’est une immense injustice, un sentiment d’impuissance et de révolte qui fait qu’une frange de la société française va se retrouver opposée à une autre et ce de plus en plus souvent désormais.
La mort est toujours un drame, celle de jeunes gens connus par les services de police, comme celle d’un papa qui travaillait ; mais pardonnez-moi car aujourd’hui je pense surtout à cet homme oublié par tout le monde, à sa femme et à sa fille qui ne sont pas prêtes d’oublier ce jour et ses images terrible parce qu’une bande d’imbéciles s’est crue menacée par un appareil photo !

Est-ce que la paix sociale passe systématiquement par le fait de baiser les pieds de certains coupables ? J’ai écouté le discours de certaines personnes issues des banlieues, il n’y a que des victimes et aucun coupable ; à force de n’avoir que des droits on ne peut être que victime ! Moi je dis non !

Prions pour notre pays ; il n’y aura pas de paix sociale, ni de paix tout court d’ailleurs, sans la pratique d’une véritable justice et aujourd’hui on le ressent manifestement, la justice médiatique en particulier, n’est pas la même pour tous ! 
 
Samuel Foucart du Top Chrétien.

09:41 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Problèmes de société. | Lien permanent | Commentaires (3) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

POUR NOUS AIDER A COMPRENDRE...2

Sentiment d'abandon de la part des autorités, mauvaises relations entre jeunes et policiers, mort de Zyed et Bouna à Clichy-sous-Bois, "provocations" de "Sarko", nuits d'émeutes : des adolescents décrivent le mal-être et la violence. 
 
Un collégien de 13 ans sort de sa poche une cartouche argentée de flash-ball, ramassée dans sa cité des 3.000, à Aulnay-sous-Bois: "Ici, mercredi, les CRS étaient en panique, ils appelaient des renforts !", raconte-t-il, fasciné. Le sigle des compagnies républicaines de sécurité et le nom du ministre de l'Intérieur - Sarkozy, "Sarko" - reviennent sans cesse dans la conversation des adolescents qui "prennent l'air", vendredi après-midi, dans le quartier de la Rose des Vents, loin de leur collège "en travaux". Mercredi soir, des jeunes "ont brûlé le poste de police et le garage Renault", raconte Fatou, 14 ans, adolescente noire, longiligne, dont les cheveux tressés disparaissent sous une capuche. "D'un côté, je suis fière (qu'ils fassent ça, ndlr) parce qu'on dirait que Sarkozy ne nous aime pas. Il nous fait la misère, c'est un raciste, il a mis... l'huile au feu!". "Sarko cherche, il trouve !", ajoute un garçon de 13 ans, portant un appareil dentaire et un sweat-shirt "Boston".

Fatou - quatrième d'une famille de neuf enfants, dont la mère est "à la maison", le père "éboueur" - en sait beaucoup sur la mort, à Clichy-sous-Bois, le 27 octobre, des deux adolescents électrocutés dans un transformateur EDF où ils s'étaient réfugiés parce qu'ils se croyaient poursuivis par la police. "L'un des deux était mon cousin, dit Fatou (dont le prénom a été changé). Quand il a appris sa mort, mon père n'a pas dormi, il ne pensait qu'à ça. Mes frères ont brûlé des poubelles. Tous les affrontements, là, c'est à cause des morts à Clichy". "Non, c'est plein de trucs en même temps, la coupe le garçon au sweat "Boston", énumérant d'une traite "les provocations de la police qui nous contrôle pour rien du tout, même les petits; plein de bavures; pas de moyens, rien du tout pour les cités... Et aussi le manque d'animation, de travail".

"C'était calme depuis longtemps ici"

Les adolescents assurent que "ceux qui cassent tout ont 16, 17, 18, 19 ans... Ce ne sont pas les vraiment grands". Ils approuvent un homme de 22 ans venu affirmer: "C'était calme depuis longtemps ici. S'il n'y avait pas eu les paroles de Sarko - le "Kärcher", la "racaille" - y'aurait pas eu tout ça". Ils multiplient les anecdotes pour témoigner des mauvaises relations entre jeunes et policiers. Billal, 13 ans, assure qu'un soir à 22H, les CRS l'ont "braqué" avec une lampe et un flash-ball. "J'étais au 4e étage, à la fenêtre. Ils m'ont dit : rentre chez toi ! Mais j'y étais, chez moi !", dit le garçon d'une famille de cinq enfants, dont le père "travaille - Hamdullah! ("grâce à Dieu", en arabe) - comme conducteur d'engins".

"Boston" décrit un quartier mal entretenu, sans aire de jeux: "Même notre collège est défoncé, sale, loin d'ici. On est dans une zone d'éducation prioritaire mais ils nous ont grillé la priorité !" Devant le bâtiment 10, un adolescent noir de 15 ans patiente avant l'entraînement de foot. Evoquant "les Français qui ont les bonnes places", il précise être né en 1990 à Villepinte (Seine-Saint-Denis): "Nous, les noirs et les arabes, on n'est pas Français, puisqu'ils font la différence..." "Pendant les émeutes, j'étais chez moi. Mais s'il n'y avait pas les parents...", glisse-t-il, devant des amis. "Sérieusement, brûler les voitures, ils n'ont pas raison, dit-il, on s'excuse ! Mais brûler le commissariat, c'est bien: les policiers ont déménagé".
Source : AFP

09:05 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Problèmes de société. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

06/11/2005

APPRENDRE A SE REPOSER.

 

Si vous vous préoccupez davantage de votre travail que de vous-même, vous ne serez plus là pour le terminer !

La valeur du repos ne peut être évaluée sur des pages de bilans ou de budgets annuels. Vous n’en verrez aucune trace sur les feuilles de déclaration d’impôts sur les sociétés. Mais si vous voulez achever votre travail avec efficacité, il vous faut apprendre à vous reposer.

Nous avons perdu de vue la vraie valeur des choses.

Nous essayons de nous convaincre que nous faisons cela pour notre famille ou quelqu’un d’autre. Mais si votre famille ne veut qu’un peu plus de temps avec vous? Lui avez-vous laissé le choix? Apprenez à reconnaître quand vous en avez assez, et qu’il est temps de vous reposer. Et assumez avec sérénité les événements de votre vie, sans vous sentir coupable si vous décidez de prendre un temps de repos.
Le repos pour votre corps autant que pour votre âme vaut plus que le risque d’une catastrophe future !

Bruno LEROY.

21:46 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Hygiène de Vie. | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

SAVOIR ÉCOUTER...

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Pour atteindre le coeur de quelqu’un vous devez faire plus que lui sussurer de belles paroles !

Vous devez aussi savoir écouter ! Vous devez savoir poser le genre de questions qui lui prouvera que vous avez vraiment écouté ce qu’il/elle disait, et que ses paroles avaient beaucoup d’importance pour vous. C’est souvent plus difficile aux hommes de comprendre cela. Quand ils se heurtent à un problème sans solution, ils pensent: “A quoi bon discuter de cela davantage ?”

Tandis que les femmes ont besoin de partager leurs problèmes avec quelqu’un qui saura les écouter et leur redonner confiance.

Avez-vous entendu l’histoire de ce mari en train de regarder un match à la télévision, alors que sa femme essaie de parler avec lui ? Voilà la conversation: La femme: Mon chéri, un tuyau a éclaté ce matin et a inondé la cave. Le mari: Ah ! La femme: Le plombier n’a pas encore pu le réparer. Le mari: Un peu de silence, le match est serré. Je crois que nous allons marquer. La femme: L’eau a provoqué un court-circuit et Fluffy a failli être électrocuté. Le mari: Formidable ! On a marqué ! La femme: Le vétérinaire a dit qu’il irait mieux dans une semaine. Le mari: Tu pourrais aller me chercher un Coca ? La femme: Le plombier a dit que la réparation coûterait cher et qu’il pourrait se payer ainsi des vacances. Le mari: Tu m’écoutes? Je voudrais un Coca. La femme: Et de plus Stanley, je te quitte. je pars demain matin avec le plombier pour Acapulco ! Le mari: Cesse de bavarder une minute et donne-moi ce Coca.

Le problème , dans cette maison, c’est que jamais personne ne m’écoute.

La morale de cette histoire: aimer c’est d’abord savoir écouter !

Bruno LEROY.

12:55 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONTES SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (1) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

PENSÉES...


Je me réjouissais que nos religions vagues et vénérables, décantées de toute intransigeance ou de tout rite farouche, nous associassent mystérieusement aux songes les plus antiques de l’homme et de la femme, mais sans nous interdire une explication laïque des faits, une vue rationnelle de la conduite humaine.

Marguerite Yourcenar,
Mémoires d’Hadrien,
Plon, 1956.

09:59 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans RÉFLEXIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

05/11/2005

LE DOUTE...

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"Le doute arrête le mouvement, il paralyse. Observez ce que vous ressentez quand vous vous mettez à douter, par exemple, de la fidélité d'un ami: vous ne savez plus comment interpréter ses gestes et ses paroles, tout chez lui commence à vous paraître suspect, c'est comme quelque chose qui est en train de se défaire dans votre tête et dans votre coeur. Vous direz que quelquefois le doute se justifie, car les amis ne se montrent pas toujours fidèles. Oui, bien sûr, mais si j'ai pris cet exemple, c'est parce que vous avez tous certainement fait cette expérience et qu'elle peut vous aider à comprendre ce qui se produit au moment où vous laissez s'infiltrer en vous des doutes sur ce qui doit être essentiel pour vous: les fondements de votre existence, son sens, et l'orientation à prendre. Là aussi, peu à peu, tout se défait."

Omraam Mikhaël Aïvanhov

( Mon Maître à vivre ).

12:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (8) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Prière de l'Arche.

Prière de l’Arche :
Ô Marie
Nous te demandons de bénir notre maison.
Garde-la dans ton cœur immaculé.
Fais de l’Arche notre vrai foyer.
Un refuge pour les pauvres, les petits,
Pour qu’ils y trouvent la source de toute vie.
Un refuge pour ceux qui sont éprouvés,
Afin qu’ils soient infiniment consolés.
Ô Marie,
Donne-nous des cœurs attentifs, humbles et doux ;
Pour accueillir avec tendresse et compassion
Tous les pauvres que tu envoies vers nous
Donne-nous des cœurs pleins de miséricorde
Pour les aimer, les servir, éteindre toute discorde,
Et voir en nos frères souffrants et brisés
L’humble présence de Jésus vivant.
Seigneur,
Bénis-nous de la main de tes pauvres.
Seigneur,
Souris-nous dans le regard de tes pauvres.
Seigneur,
Reçois-nous un jour
Dans l’heureuse compagnie de tes pauvres.

11:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Prières | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |