26/01/2006
FAITES DE VOS ENFANTS DE PARFAITS DÉLINQUANTS !
2. Ne jamais avoir de manière hebdomadaire, mensuelle ou annuelle des sorties en famille qu'ils attendent impatiemment pour retrouver l'unité familiale.
3. Parler à vos enfants, et non pas avec eux; ne jamais les écouter.
4. Punir ses enfants en public et ne jamais leur faire de compliments et encourager un comportement positif.
5. Toujours résoudre leurs problèmes ; prendre les décisions à leur place.
6. Laisser la responsabilité de l'éducation morale et spirituelle à l'école et à l'église.
7. Ne jamais laisser vos enfants expérimenter le froid, la fatigue, l'aventure, la blessure, le risque, le défi, l'échec, la frustration, le découragement, etc...
8. Menacer ses enfants ("si jamais tu essayes la drogue ou l'alcool, je te punirai.")
9. Attendre de vos enfants qu'ils aient 20/20 à l'école dans toutes les matières.
10. Être toujours derrière vos enfants, et ne pas les encourager à prendre des responsabilités.
11. Décourager vos enfants à exprimer leurs sentiments (colère, tristesse, crainte, etc)
12. Être trop protecteur, et ne pas apprendre à vos enfants la signification du mot "conséquence".
13. Faire croire à vos enfants que leurs erreurs sont des péchés.
14. Répondre à vos enfants lorsqu'ils demandent "pourquoi?": "parce que c'est comme ça."
15. Amener ses enfants à croire que vous êtes parfaits et infaillibles.
16. Entretenir l'atmosphère familiale dans le chaos.
17. Ne jamais dire à vos enfants combien vous les aimez, et ne jamais discuter avec eux de vos sentiments.
18. Ne jamais les serrer dans vos bras ou leur manifester de l'affection.
19. Toujours s'attendre au pire, et ne jamais leur laisser le bénéfice du doute.
20. Ne leur faites jamais confiance.
13:05 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans RÉFLEXIONS. | Lien permanent | Commentaires (8) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
24/01/2006
UNE VIE D'AMOUR...
Face à tout système fondé sur l'avoir, resplendit un désir d'être autre avec les autres. L'événement arrive comme une surprise, déchirant la grisaille d'une quotidienneté trop prévisible et dévoile, tout à coup, la grâce de visages hier inconnus ou absents. Comment se fait-il que ces visages soient ceux des mêmes hommes et femmes que nous rencontrons dans le métro ou au boulot ?
Moments fugitifs où les choses de la vie et les êtres se transfigurent, où les lois se transgressent, où le paraître laisse l'éclat d'une beauté imprévue, car la beauté est toujours donnée de surcroît.
Cette fête d'Amour et de Foi, dit que la Vie ne se réduit pas à ce qu'on en voit, que ce qui compte le plus ne se comptabilise pas, ce qui vaut le plus est sans prix, cela ne s'achète ni se vend. Elle est subversive dans une économie de profit, elle consume au lieu de consommer, elle pousse à perdre, à sacrifier ses réserves plutôt que les capitaliser. Elle est prodigalité joyeuse et enfantine, son excès et sa démesure subvertissent les normes habituelles de la société et de la raison raisonnante.
N'est-ce point là, une attitude de Vie libératrice ou qui mène vers une libération de la conscience, lorsque l'existence est vue sous l'angle de la gratuité, de l'émerveillement et de la découverte quotidienne, tel le regard de l'enfant qui découvre les mystères fascinants de la beauté des choses et des événements ? La souffrance se trouve ainsi assimilée et relativisée, transfigurée.
Mais, vivre réellement dans une dimension libératrice de Foi, n'est-ce point se ressourcer aux racines festives de la société, même si la lourdeur des contraintes sociétales assombrit le paysage ?
Il est dans l'âme de tout artiste de retrouver cet esprit d'enfance tant prôné par Baudelaire, sans toutefois sombrer dans l'infantilisme, mais trouver des raisons de s'émerveiller d'exister pour enrichir son intériorité. Cependant, cette façon de se positionner face à la Vie ne devrait pas être le seul fait des artistes mais de tout individu qui est en droit de trouver une respiration, une libération, un épanouissement personnels.
Notre Amour du Christ favorise cette recherche de l'intériorité humaine. C'est une mirifique utopie qui donne sens à l'existence. Ne devons-nous point devenir les véritables acteurs de notre destin et non des personnages passifs qui se victimisent en laissant toujours le choix aux autres de notre bonheur ou de notre malheur sur terre ? La libération ne viendra que, de la prière intense et non de forces extérieures.
Le temps des communions approche et nous devons faire saisir à nos enfants que la Communion avec Dieu-Amour est la certitude d'un Bonheur qu'il nous faut conquérir au fil des jours. Certes, l'utopie comporte sa part d'illusions mais, elle se trouve confrontée à la réalité que la Foi nous fait voir autrement.
Nous devons regarder la Vie autrement pour la Vivre autrement !
Puisse-t-il en être ainsi pour vous afin que vous puissiez atteindre les aspects lumineux que nous offre la terre-mère. Puisse-t-il en être de même pour nos enfants et tout être dans lequel germe une Parole de feu, celle de Dieu.
Bruno LEROY.
10:05 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
TRANSFORMER NOS PENSÉES.
Vous n’avez pas plus de problèmes que d’autres. Vous y pensez seulement trop souvent ! Ce que vous pensez détermine ce que vous ressentez. En d’autres termes vos pensées sont à l’origine de vos émotions et non le contraire. Si vous ne me croyez pas faites le test suivant : essayez de vous mettre en colère, l’esprit dépourvu de toute idée de colère et d’amertume envers quelqu’un ou quelque chose ou tentez de ressentir de la tristesse sans penser à un motif de tristesse. Vous ne réussirez pas, n’est-ce pas ? Pour ressentir une émotion une pensée doit d’abord naître dans votre esprit qui provoquera ensuite cette émotion en vous. Cette simple vérité peut changer votre vie ! Changez votre manière de penser et vous modifierez par là-même votre vie émotionnelle. Si vous êtes souvent la proie d’émotions négatives, peur, colère, amertume, défaitisme... c’est parce que vous entretenez trop de pensées négatives dans votre esprit ! Ce n’est pas votre vie qui manque d’horizons positifs, c’est votre manière d’envisager les circonstances de la vie. Une fois que vous aurez assimilé cette vérité vous serez à même de retrouver le chemin du bonheur ! Mais tout changement demande du temps. Votre attitude négative devant la vie a pris du temps pour s’imposer en vous. De même il vous faudra du temps pour adopter une attitude positive face à toutes les situations de la vie. Il n’est jamais trop tard pour commencer. Faites le premier pas en agissant avec vos pensées négatives comme si elles étaient des mouches : chassez-les dès qu’elle viennent vous agacer et remplacez-les par des pensées “bonnes et dignes de louange.” Il vous suffit d’en faire le choix.
Si vous souhaitez vraiment changer votre manière de vivre, commencez par changer votre manière de penser !
BobGass
07:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
22/01/2006
Au coeur du Mystère.
Les mots se mettent à jouer sans plus se prendre au sérieux. Telle est la poésie. Refus de dominer, volonté d'admirer, la poésie permet de parler à Dieu sans le violer. Le discours non-utilitaire laisse intact le Mystère. Voilà pourquoi c'est surtout dans ce registre là qu'est écrite la Bible.
Le Petit Prince de Saint-Exupéry m'a introduit dans cet univers. Les " grandes personnes " ne pensent que chiffres et, pour être convaincues de l'existence du petit bonhomme, elles n'attendent que le numéro de son astéroïde. Les enfants, eux, deviennent amoureux du petit prince quand on leur dit qu'il a les cheveux couleur de blé. " Dessine-moi un mouton...! " Et l'aviateur de lui dessiner une cage pour avoir la paix. Que le petit prince imagine lui-même le mouton qui se trouve à l'intérieur ! Mais notre petit bonhomme s'en est trouvé très bien, car il recevait ainsi un espace pour son expérience personnelle.
" Parle-nous de Dieu...! " La tentation serait de dessiner Dieu comme on esquisse un mouton et de le définir à force de concepts précis. Or Dieu n'est pas à circonscrire. Il est à rencontrer. Il est amour offert à notre liberté et seul le poète peut parler respectueusement de l'amour, car il ne confisque pas les mots : il nous les présente comme un royaume à explorer. Combien de grands mystiques n'ont-ils pas été de grands poètes ?
En mathématique, lorsqu'on a trouvé la solution, le problème est épuisé. Lorsqu'il s'agit de Dieu, on est devant l'inépuisable et la surabondance. Les mots ne peuvent plus qu'introduire au seuil du Mystère, comme la cage livrait le mouton tout en le cachant. Et bientôt, les mots doivent se taire pour faire place au silence, silence d'admiration devant l'ineffable, extase, adoration. Devant Dieu, on ne peut que rester bouche bée. Le mot " mystère " vient du verbe grec qui signifie " se taire ".
Il faut être poète pour parler de Dieu, mais il n'est pas nécessaire d'appartenir à la caste des spécialistes. En chaque homme sommeille un petit coin de poésie, un espace où les mots se libèrent de leur carcan et tentent de nommer l'Essentiel. Pour être poète ne suffit-il pas d'être amoureux ?
Chaque chrétien, de par son baptême et sa confirmation, a reçu l'Esprit qui sonde le silence de Dieu. Avoir la foi ne sera jamais réciter par coeur les formules du parti, mais être introduit au grand large de l'océan divin où chacun peut se rendre compte par lui-même, emporté par un vent de liberté. Jésus parlait en paraboles. Celui qui n'a pas une âme d'enfant et un coeur de poète ne peut comprendre l'Évangile jusqu'au bout. Pour goûter un poème, il faut que la liberté s'offre, qu'elle se laisse faire et accueille les mots en les laissant retentir. Les mots sont des éveilleurs, mais jamais malgré nous. Le croyant est un poète qui s'abandonne dans les bras de Dieu. Et là, l'aventure de la Vie commence...
BRUNO LEROY.
18:55 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans RÉFLEXIONS LITTÉRAIRES. | Lien permanent | Commentaires (5) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
21/01/2006
INTERVIEW " LE MAGUE " PAR CALI RISE.
Cali est une professionnelle du monde journalistique. Ses questions sont toujours d'une grande intelligence.
Pour toutes les qualités Humaines et professionnelles qu'elle porte en elle et partage aux autres.
J'ai bien voulu me livrer dans une interview où jamais devant une journaliste, je me suis autant dévoilé.
C'est l'Art de Cali et je la remercie d'avoir cerné en moi tout ce qui fait ma personnalité.
Interview de Cali ou l'Art de poser les questions qui révèlent notre Humanité.
Cliquez sur ce lien : http://www.lemague.net/dyn/article.php3?id_article=1825
Bonne lecture à vous !
Bruno LEROY.
10:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
17/01/2006
LES PLUS BEAUX MOMENTS DE LA VIE.
"Les vrais amis viennent dans les bons moments quand on les appelle, et dans les mauvais... ils viennent d'eux même".
19:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN | Lien permanent | Commentaires (8) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
DÉFENDRE LES DROITS HUMAINS.
La simplicité d'une telle affirmation constitue, nous n'en doutons pas, une des expressions les plus lumineuses de la pensée contemporaine. Ce qu'affirme Engels avec sa "boutade" c'est que, bien que la vérité soit absolue, l'accès que nous pouvons en avoir ne l'est pas. C'est-à-dire que, bien qu'un certain accès réel à la vérité nous soit possible, il sera toujours conditionné par la réalité elle-même et aura toujours, pour autant, un caractère relatif. Jamais il ne sera neutre et inconditionnel. Tout cela est d'une importance capitale pour notre propos. En effet, même en supposant les meilleures intentions, la meilleure bonne volonté et les meilleures capacités intellectuelles, il y a des lieux d'où tout simplement on ne peut ni voir ni sentir la réalité de façon à ce qu'elle nous ouvre à l'amour et à la solidarité.
Alors, il ne nous reste qu'une solution: changer de lieu social. Le lieu social, c'est le point à partir duquel on perçoit, on comprend la réalité et on essaie d'agir sur elle. Il nous faut donc passer du lieu social des élites au lieu social des exclu(e)s. C'est à partir du monde des pauvres que nous devons lire la réalité de la violence si nous voulons nous engager pour sa transformation. La vision qu'ont les pauvres et les opprimé(e)s de la violence économique doit être le point de départ et le premier critère pour lire et comprendre aussi bien le monde globalisé que la violence qu'il provoque.
C'est aussi simple que cela, mais c'est tout aussi grave d'en arriver aux conclusions et d'en peser les conséquences. Où est-ce que je me situe? Où sont mes pieds et ma praxis en matière de solidarité? Car la question est de savoir si je suis au bon endroit pour accomplir ma tâche. Un tel processus ne peut être mis en marche que par ceux et celles qui sentent dans leur chair la brûlure de l'injustice et de l'exclusion sociales. La tâche d'éduquer implique d'abord le lieu social pour lequel on a opté ; puis le lieu à partir duquel et pour lequel on fait des interprétations théoriques et des projets pratiques ; finalement, le lieu d'où part la pratique et à laquelle on subordonne ses propres pratiques.
À la racine du choix de ce lieu social, il y a l'indignation éthique que nous ressentons devant la réalité de l'exclusion ; le sentiment que la réalité de l'injustice dont sont victimes la grande majorité des êtres humains est si grave qu'elle exige une attention incontournable ; la perception que la vie même perdrait son sens si elle tournait le dos à cette réalité. Il ne sera jamais possible de travailler à être plus humains à partir du point de vue des centres de pouvoir et de savoir, ni même en se situant à partir d'une prétendue neutralité. Cette pratique est appelée d'avance à être condamnée et à tomber d'elle-même lorsqu'elle aura à soutenir la preuve des faits, comme cela est arrivé au jésuite de Camus dans La Peste.
Personne ne peut prétendre voir ou sentir les problèmes humains, la douleur et la souffrance des autres à partir d'une position "neutre", absolue, immuable dont l'optique garantirait une totale impartialité et objectivité. Il est donc extrêmement urgent de provoquer une rupture épistémologique. La clé pour comprendre ceci est dans la réponse que chacun(e) de nous donnera à la question : "d'où" est-ce que j'agis? C'est-à-dire quel est le lieu que je choisis pour voir le monde ou la réalité, pour interpréter l'histoire et pour situer mes actes transformateurs?
Mieux que n'importe quel autre moyen particulier, la manière d'exprimer sa sensibilité et son intérêt à rendre la société plus humaine réside, en effet, dans une pratique active de la solidarité, notamment avec les démuni(e)s qui font l'objet de discriminations et de marginalisations intolérables. Tout ce qui signifie une violation de l'intégrité de la personne humaine, comme la torture morale ou physique, tout ce qui est une offense à la dignité de la personne, comme les conditions de vie inhumaines, l'esclavage, la prostitution, le commerce des femmes et d'enfants, ou encore pour ceux et celles qui bénéficient d'un emploi les conditions de travail dégradantes qui réduisent les travailleurs au rang de purs instruments de production, sans égard pour leur dignité, tout cela constitue des pratiques infâmes qui nous engagent toutes et tous à nous impliquer dans les solidarités sociales.
BRUNO LEROY.
18:03 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SOLIDARITÉ. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
LE CHRISTIANISME LIBÉRATEUR.
Les chrétiens se voient confrontés au péché social et structurel de l’oppression et de l’injustice infligées aux masses. Il s’agit du péché qui se situe dans les institutions et les structures de la société, et qui conduit les personnes et les groupes à avoir des comportements en contradiction avec le projet de Dieu. Précisons ici que les structures ne sont pas des choses mais des modes de relation entre les choses et les personnes qui ont affaire à elles. Vouloir surmonter le péché social suppose que l’on s’attache à changer les structures afin qu’elles produisent en fonctionnant plus de justice et de participation. La conversion évangélique réclame plus qu’un changement de coeur ; elle exige aussi un changement de l’organisation sociale qui provoque indéfiniment des comportements de péché. Cette conversion sociale se traduit par une lutte sociale transformatrice, et elle s’appuie sur des stratégies et des tactiques susceptibles d’ouvrir la voie aux modifications nécessaires. Au péché social il faut opposer la grâce sociale, fruit du don de Dieu et de l’activité de l’homme inspiré par Dieu. La charité comme mode d’être-aux-autres gardera toujours toute sa valeur. Mais, dans une perspective sociale, aimer signifie participer à la création de nouvelles structures, soutenir celles qui représentent une avancée pour obtenir une meilleure qualité de vie, et bien se situer dans le domaine politique à la lumière de l’option solidaire pour les pauvres. Jésus a donné l’exemple : il peut y avoir compatibilité entre l’Amour pour les personnes et l’opposition à leurs attitudes. Il s’agit d’aimer toujours les personnes et dans n’importe quelle condition, mais de combattre les attitudes et les systèmes qui ne s’accordent pas avec les critères éthiques du message de Jésus. La paix et la réconciliation sociales ne seront possibles que dans la mesure où auront été surmontés les motifs réels qui distillent en permanence les conflits : les relations inégales et injustes entre le capital et le travail, les discriminations entre les races, les cultures et le sexes. Ainsi, aimer sans haïr, lutter pour le triomphe de la juste cause sans céder au leurre des émotions, tout en respectant la diversité des opinions, en relativisant ses propres positions et en sauvegardant l’unité de la communauté, tels sont les défis concrets qui sont proposés à la sainteté des chrétiens libérateurs.
Bruno LEROY.
11:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans THÉOLOGIE DE LA LIBÉRATION. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
COMBATTRE AU NOM DE LA VIE POUR NOS JEUNES.
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Qui nous donnent aussi l’opportunité de mettre de la légèreté dans nos vies. Nos sociétés contemporaines sont en manque de repères et c’est un euphémisme de le dire.
Je ne suis pas contre les combats qui grandissent l’Homme, puisque je suis le premier à me lever.
La Foi en Dieu-Amour n’est liée à aucune idéologie : elle se vit pour en donner Témoignage ! Que nous ayons des sensibilités différentes sur les politiques de notre Pays, très bien, c’est le mécanisme de la démocratie en marche.
Pendant que nous tergiversons, les Jeunes nous regardent. Ils se disent que les adultes se battent entre-eux pour des futilités. Et comme, ils ont raison, ne trouvez-vous pas ?
L’important, voire l’essentiel est de vivre notre Amour de Dieu dans la prière afin de devenir des combattants de l’Espérance en ce Monde. La Bible n’est pas un programme politique au sens où nous l’entendons. Remettons de l’Amour, de la la Liberté avec pour épouse la Vérité du Christ, au coeur de nos existences.
Cessons, Frères et Soeurs de combattre le vent qui s’échappe entre nos doigts. Soyons rayonnants de la Lumière de Dieu auprès de tous ceux et celles qui nous rencontrent. Notre Amour ne saurait subir nos incohérences.
Les Jeunes et les plus meurtris de notre société attendent de nous que nous vivions librement notre Foi sans faillir. Sans prosélytisme, évidemment. Ils attendent que nos convictions traversent leurs coeurs. Dès qu’un Homme, affirme haut et fort ses principes qui lui permettent de donner sens à sa vie ; nous hurlons qu’il est conservateur et ne l’acceptons pas. Dès que nous évoquons les problématiques de violences, d’incivilités de nos sociétés, nous hurlons que nous sommes en manque de repères. Tout cela, n’est-ce point le summum de notre individualisme qui veut s’affirmer ?
Il est urgent de montrer l’exemple aux Jeunes d’une cohérence de vie collée à la peau de notre Foi. Nous sommes en train de montrer le contraire...
Nos Jeunes se fichent pas mal de nos idéologies, ils veulent vivre dignement, tout simplement. La question que je me pose est celle du petit enfant qui dit à sa maman : pourquoi, toi et papa vous vous battez tout le temps ? Pourquoi, nous adultes, ayant l’ossature d’un vécu riche en expériences, ne sommes nous point des transmetteurs de Paix et de cohérence ? Tout simplement en vivant dans les bras de Dieu pour entendre les gémissements de l’Esprit-Saint qui nous indique le chemin au quotidien. Pour le bien-être de notre Humanité. Plus jamais la guerre mais, la construction d’une vie donnée aux autres par la force de convictions qui nous habitent et le la tendresse d’Amour du Christ qui loge dans nos moindres respirations.
Donnons une âme à ceux et celles qui croient l’avoir perdue alors qu’elle sommeille seulement. Donnons un Souffle à notre militantisme chrétien pour exprimer la Beauté de la vie!
Oui, donnons le Don de nous-mêmes aux autres et nous serons dans la droite ligne de l’Évangile qui nous donne en retour des valeurs immuables ! Merci pour tous les pauvres de la Terre et les jeunes qui se demandent qui pourra leur indiquer, leur dévoiler le sens de leurs propres existences. Non, plus jamais la guerre mais, l’Amour entre nous, dépassant nos différences !
Bruno LEROY
11:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans VIVRE L'ÉVANGILE. | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
LIBÉRATION CHRÉTIENNE.
Le chrétien doit payer de sa personne pour promouvoir une organisation de la vie privée et publique où la grâce, dans l'acception la plus large du terme, ne soit pas un mot vide de sens.Tous nos efforts ne suffisent pas à construire le Royaume de Dieu; celui-ci reste l'oeuvre de Dieu, même si Dieu veut agir parmi nous et à travers nous.Nous sommes capables, en effet, grâce à la force du Saint-Esprit et à la liberté qu'Il nous donne, de donner des signes du Royaume de Dieu qui vient, et de faire apparaître déjà en ce monde la souveraineté de Dieu, au moins sous une forme partielle et comme à l'état d'esquisse. Naturellement, l'amélioration des conditions extérieures de vie n'arrange pas grand-chose, quand ne change pas aussi le coeur des hommes.
Mais le plus souvent, le coeur des hommes ne peut guère changer tant que les conditions de vie, du point de vue matériel, paralysent toute espérance et engendrent des attitudes et des actes d'égoïsme et de violence. Il ne faut pas séparer les deux aspects. Dans le salut compris au sens chrétien, il s'agit de tout l'homme et du monde entier. Cette libération totale se produit concrètement lorsque l'homme est arraché à la puissance du péché et appelé à entrer dans la communion des croyants et des rachetés.
Avez-vous cette Espérance qui germe au fond de votre coeur pour donner Vie à la Vie?
Bruno LEROY.
11:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans THÉOLOGIE DE LA LIBÉRATION. | Lien permanent | Commentaires (4) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |