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29/07/2010

LA BONNE NOUVELLE DU SALUT A UN SENS CONCRET.

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Dire que le Christ sauve l'homme du péché est une affirmation répétée par des siècles de croyants, au point de se vider pour certains de son poids de réalité. Or, le péché a une dimension structurelle et collective. Si donc l'affirmation des croyants est plus qu'une formule creuse, c'est que le salut en Jésus-Christ doit pénétrer jusque dans les structures collectives de l'humanité. Bien plus, tout comme le "péché originel " interdisait une conception individualiste du péché, en désignant la solidarité première qui marque les êtres humains, l'initiative libératrice de Dieu en Jésus-Christ concerne les hommes, et chacun d'entre eux, dans leur solidarité fondamentale. Le salut de chacun se comprend à l'intérieur d'une histoire de salut qui englobe toute l'humanité.

Or le mal qui ronge le monde des hommes porte des noms aujourd'hui : sous-développement, marginalisation, inégalités criantes, exploitation des pauvres par les riches, chômage, loi du profit, règne de la violence, de la torture, du délit d'opinion, etc...Ce mal, des systèmes et des personnes en sont les auteurs ; d'autres hommes en sont les victimes. Les expressions de ce mal sont sociales et politiques. Si la Bonne Nouvelle du salut en Jésus-Christ a un sens concret pour les hommes d'aujourd'hui, comment pourrait-elle être étrangère à ces maux ? Comme le mal, dont elle vient sauver les hommes, elle aura nécessairement une portée sociale et politique.

C'est dire que les chrétiens, corps contemporain de Jésus, porteurs de la Bonne Nouvelle de libération, ne peuvent éviter d'être partie prenante dans le débat politique de notre temps, ni de prendre parti pour les victimes de ces maux : les petits, les faibles et les opprimés, avec qui Jésus s'est montré solidaire. Sa naissance, tel un paria de notre société, doit nous mettre sur la route du Christ et c'est dans la prière silencieuse, que nous entendrons ses Appels et ses gémissements pour nous rappeler notre vocation au sein du monde.
Suivre les pas du Christ-Amour, c'est vivre chaque jour dans les yeux de Dieu.

Puissions-nous agir pour davantage d'Amour, celui qui dépasse les haines, les remords et les rancunes. Notre terre aurait bien besoin de chrétiens ( nes ) vivant une spiritualité authentique faite d'Amour et de compassion.

Seigneur, donne-nous ce pain quotidien pour alimenter notre Foi afin que nos jours aient la fraîcheur des matins qui sentent bon l'Espérance et la joie de vivre en suivant les pas de ton Esprit de liberté.


Bruno LEROY.

20:07 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

23/07/2010

La timidité est-elle une faute ?

La timidité : certains ne savent même pas ce que c'est. Mais combien nous sommes nombreux à en être victimes ! C'est si dur à vivre. Pourtant on peut s'en sortir ! Explications...


Parmi les définitions que le dictionnaire donne à la timidité, nous retiendrons : manque d'aisance et d'assurance en société, confusion, embarras, gaucherie, gène, honte. Le terme timidité nous fait entrer d'emblée dans le domaine des relations humaines. C'est dans ce contexte qu'il se manifeste, étant vécu comme un handicap, une souffrance, parfois même comme une faute ou une inadaptation aux relations inter-personnelles.

Alors que le timide se sent facilement isolé, séparé des autres, "anormal", mis à part, de trop, alors qu'il se sent être "un cas", il est pourtant loin d'être seul dans la prison de sa timidité. Il est seul dans sa cellule mais nombreux sont les prisonniers ! La timidité est en effet un fléau qui touche beaucoup d'humains. D'où vient-elle ? Comment peut-on en sortir ? Tel est le sujet de cet article.

D'où vient la timidité ?

La timidité se construit dans l'enfance. Elle est liée à un manque de confiance en soi, un manque d'assurance en la valeur qu'on a. L'enfant construit son image et son estime de lui-même à partir de ce qu'il perçoit de son environnement (et en particulier des gens importants pour lui : parents, fratrie, copains...). S'il se sent aimé sous condition (à condition d'être sage, d'obéir...) ou s'il se sent rejeté (par une bande de copains à laquelle il n'arrive pas s'intégrer...), il peut se replier sur lui-même et s'emmurer dans la timidité. Une accumulation d'expériences de ce genre le rendra méfiant, peu ouvert aux autres. Cela produira davantage de rejets et la timidité s'installera peu à peu.

Ce rejet social qu'est la timidité est en fait un appel au secours : "aimez-moi !. Si vous venez vers moi alors je saurai que j'ai de la valeur pour vous. Si vous ne faites pas le premier pas, je le perçois comme de l'indifférence et ça renforce le sentiment que je ne compte pas, que je n'ai pas ma place".

Le problème est que cette stratégie du repli (non pensée) ne marche pas. En effet, rares sont les personnes qui vont spontanément aller vers l'autre et s'intéresser à lui. Et encore plus rares sont celles qui persévèrent pour donner le temps au timide de se laisser apprivoiser.

Alors comment faire ?

Comment sortir de sa timidité ?

Une chose qui me semble importante à dire est la suivante : timide, c'est toi qui a les clefs pour sortir de ta timidité. Personne ne peut faire cet apprentissage à ta place. Par contre, voici quelques pistes pour t'aider sur ce chemin :


Comme je l'ai dit, à la source de la timidité, il y a des blessures. Pour guérir de ces blessures, il est nécessaire d'y faire face, d'accepter de ressentir la souffrance liée à elles. Puis il y a un chemin de pardon à parcourir. Si tu es croyant, c'est en compagnie de Jésus que tu peux faire ce parcours. Il veut te guérir et te délivrer.
C'est dans le contexte de relations que tu as appris la timidité, afin de te protéger. C'est également dans le contexte de relations que tu peux la désapprendre. Est-ce qu'il y a ne serait-ce qu'une personne auprès de qui tu te sens bien, avec qui tu te sens aimé tel que tu es ? Attache-toi à voir et à recevoir l'amour qui t'est donné (tout en sachant que ce ne sera jamais parfait en ce monde).

Tu as appris à te replier sur toi. Apprends à sortir de toi-même par des actions simples. Comme je te l'ai dit la timidité fait souffrir beaucoup de gens. Et timide ou pas chacun a besoin de recevoir attention et amour. Peut-être y a-t-il dans ton entourage quelqu'un qui aurait besoin de quelques services (personne âgée...). Si tu prends des initiatives pour t'intéresser aux autres (en posant quelques questions, par de petites attentions, des services...), tu feras du bien aux autres et en retour, il y a de fortes chances que tu aies leur appréciation. Et même si ce n'est pas dans 100% des cas, tu auras au moins la satisfaction d'avoir mené ta vie d'une manière dont tu peux être fier. Par de petits gestes simples, tu apprendras une autre manière de vivre, hors de la prison de ta timidité.
Un dernier point, important, est le suivant : ta valeur, tu ne peux pas te l'attribuer à toi-même. De même pour l'amour, tu as besoin de le recevoir de quelqu'un. Sais-tu que justement il y a quelqu'un qui t'aime ? C'est Dieu. Comment puis-je affirmer cela ? "Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais qu'il ait la vie éternelle" (Evangile selon Jean ch. 3 v. 16). À la place de quiconque, tu peux mettre ton nom. Dieu a estimé que tu valais assez le coup pour qu'il envoie son Fils Jésus-Christ afin que tu aies la vraie vie. L'amour dont tu as besoin, la valeur que tu as te sont déjà acquis. Ce sont des ressources disponibles, dans lesquelles tu peux puiser constamment pour faire face aux défis de la vie.

La timidité est-elle une faute ?

Certains le pensent ou le ressentent ainsi. Ce n'est pourtant pas le cas. En effet, dans la Bible, le célèbre apôtre Paul confie la responsabilité d'une église à Timothée, son disciple timide. Si Timothée était en faute, Paul ne lui confierait pas cette responsabilité. Il l'inviterait plutôt à se repentir. Au lieu de cela, il l'encourage à ne pas se laisser paralyser par cette timidité. Il l'invite à en sortir. Pour cela il lui rappelle qu'il n'est pas seul, lui, Timothée à livrer le combat : "Ce n'est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné. Au contraire, son Esprit nous remplit de force d'amour et de sagesse" (2ème épître à Timothée ch.1 v. 7). Comme tout chrétien véritable, il a en lui l'Esprit-Saint, l'Esprit de Dieu. Et cet Esprit le rend capable d'aller au-delà de son handicap, afin de servir les autres et de servir Dieu. Et toi, as-tu fait cette rencontre personnelle avec Dieu qui peut transformer ta Vie ?



Bruno LEROY.

13:16 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

20/07/2010

ILS REGARDENT LES AUTRES.

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Ils regardent les autres partir pour des rivages qu'ils ne connaîtront point. Les mois défilent comme d'immondes secondes interminables. Ils ont travaillés toute leur vie pour en arriver là. Ne jamais partir ou attendre le départ définitif sans broncher. Peu importe, les voisins leurs raconteront bien leurs vacances tel un film inédit. Ils voyageront dans leur imaginaire et s'inventeront des paysages magiques. Même s'ils ont les moyens, leur santé ne permet plus qu'ils bougent.


Les enfants sont partis, les commerçants aussi dans ce désert caniculaire. Ils ne parlent qu'au silence qui semble ne rien comprendre. Et puis, ils se taisent vaincus par tant d'indifférences. Pourvu que le soleil ne soit pas trop ardent, il risquerait en plus de leur donner un aller sans retour. Il dérangerait la Famille si joviale de prendre un repos bien mérité...
Ils attendent leurs cartes postales qui les feront rêver, quelques instants. Parfois, ils se sentent de trop en cette société individualiste. Ils ont lu dans le journal que des amis étaient morts lors, d'un certain été. Maintenant, même le facteur prend de leurs nouvelles quand ils ont du courrier. Malheureusement, en cette période particulière, les lettres se font rares.


Autrefois, trop pauvres pour vivre des jours heureux. Aujourd'hui, trop vieux pour s'en aller vers des rivages mystérieux. Quel dilemme leur offre cette existence. Et pourtant, leurs enfants et amis, les aiment mais ces mois sont vides de leurs présences.
Les journaux écrivent que l'égoïsme tue les personnes âgées. Les journalistes mentent toujours, c'est bien connu. Les enfants et petits enfants les aiment mais, ils ont leur vie. Comme nous avons eu la nôtre. Alors, que faire face au néant ?


Retrouver plus intensément encore celui qui nous aime plus que tout. Oui, prier Dieu pour vivre nos Vacances avec Lui. Dans le coeur de Sa Présence. Ah ! comme nous plaignons ses générations sans spiritualité. Nous serons tellement dans la joie de l'Esprit que nos enfants nous trouverons transfigurés. Non, la solitude n'est pas si lourde, lorsqu'elle est habitée. Bonnes et mirifiques Vacances à Tous et Toutes. Dieu en Son suprême Amour est à nos côtés. Quand vous rentrerez, notre sourire sera l'expression du bonheur de nous sentir aimés inconditionnellement. Alors, partez tranquilles et de simples gestes de tendresse nous feront plaisir. En attendant votre retour... 


                             Bruno LEROY.
 
 


* En cette période de Vacances approchantes, ne mettons pas lâchement nos personnes âgées dans les poubelles putrides de notre coeur !

17:45 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

16/07/2010

Publications de Bruno LEROY.

13:06 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chistianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

15/07/2010

DE LA MÉFIANCE A LA CONFIANCE.

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« En toute condition, soyez dans l’action de grâces. C’est la volonté de Dieu sur vous dans le Christ Jésus » (1 Th 4, 18). Cette exhortation de saint Paul aux Thessaloniciens reprend l’invitation si fréquente à la louange que nous trouvons dans les Psaumes : « Je bénirai le Seigneur en tout temps, sa louange sans cesse en ma bouche » (Ps 34, 2). L’action de grâces n’est pas une forme de prière à pratiquer seulement de temps en temps ; elle doit devenir une attitude de cœur, une disposition de vie, une manière de nous positionner dans l’existence.

Je suis très frappé par le fait que, dans l’évolution de notre culture, l’homme occidental a de plus en plus tendance à se positionner dans une attitude de victime. On passe son temps à se plaindre, à exiger, à revendiquer. Comme il n’y a plus de foi et de confiance en Dieu, toute difficulté et toute souffrance est vécue comme une anomalie, voire comme une injustice. On rêve d’une vie de gratifications permanentes, sans souffrances et sans combats. On n’accepte aucune douleur, et chaque fois que l’on est touché par une épreuve, on cherche quelqu’un à accuser, à qui faire porter la responsabilité et à qui faire payer sa souffrance. On l’a bien vu en France. À la moindre inondation ou canicule, c’est une levée d’accusations et de réclamations contre le gouvernement qui n’a pas fait ce qu’il aurait dû faire pour prévenir le fléau. Comme si l’État avait le devoir et la possibilité de garantir à tous les citoyens une existence sans problèmes et devait assurer le bonheur de tous ! Quel infantilisme !

Ce type d’attitude est évidemment très destructeur pour la vie sociale. Au lieu de mettre à la base des relations humaines une disposition d’acceptation et de confiance, on instille partout le poison de la méfiance et de la revendication. Pour rester dans le domaine médical, il est bien sûr légitime de protéger les patients et de demander justice à des médecins qui, de manière consciente et grave, ont été négligents, mais exiger d’eux l’infaillibilité relève de l’infantilisme. Ils finiront par ne plus vouloir exercer la médecine, et personne n’y gagnera, surtout pas les malades !

La louange et la gratitude sont un grand remède à ce positionnement victimaire et destructeur que je viens de décrire. Elles nous amènent à nous situer face à la vie dans une attitude tout autre : au lieu de réclamer, de nous plaindre, de revendiquer, elles nous conduisent à accueillir avec confiance la vie telle qu’elle se présente, même avec son poids de douleur et de difficultés. Elles nous évitent de nous enfermer dans une attitude accusatrice envers ceux qui nous déçoivent ou nous font souffrir, à chercher en permanence des boucs émissaires sur qui décharger nos ressentiments et nos amertumes. Elle nous fait comprendre qu’il ne s’agit pas d’abord de « changer la vie », selon le slogan illusoire d’un certain parti politique il y a quelques années, mais de changer notre attitude face à la vie. Passer de la peur, de la méfiance, de l’accusation… à l’acceptation et à la confiance. Accueillir avec foi la vie comme un don, même si elle se présente différente de nos attentes. Si nous pratiquons cette confiance, nous ferons bien vite l’expérience qu’en fin de compte, la vie réelle est bien plus belle et riche que la vie dont nous rêvons dans nos attentes irréalistes !

Il y a là un principe spirituel fondamental, dont nous trouvons l’expression dans l’évangile. Jésus prononce cette parole mystérieuse : « À celui qui a on donnera, à celui qui n’a pas on enlèvera même ce qu’il a ! » (Lc 19, 26). Le Christ énonce ainsi une des lois les plus importantes qui gouverne l’existence humaine : à celui qui se met dans une attitude de revendication, de mécontentement, se plaint que la vie ne soit pas ce qu’elle devrait être, la vie se révèlera comme décevante. Par contre, celui qui est heureux de ce qu’il a reçu, qui remercie Dieu pour ce qu’est son chemin recevra encore davantage et sera comblé ; celui qui se plaint de ne pas avoir reçu suffisamment et qui s’enferme dans la revendication sera de plus en plus déçu.

Si la gratitude devient la disposition la plus fondamentale de notre cœur, nous guérirons de bien des amertumes et des déceptions, et nous serons en fin de compte comblés.

Bruno LEROY.

12:18 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

19/06/2010

BONNE et HEUREUSE FÊTE DES PÈRES !

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Nous avons grandis ensemble,
Dans ce monde en souffrance,
Tu es le baume de mes blessures,
Le feu de ma douce Espérance,
Nos âmes souvent s'assemblent.

Tu m'as donné l'Amour, la Tendresse,
Et la Force pour affronter les adversités,
Donner des sourires aux autres,
Surtout les plus blessés, les plus cassés.

Façonné grâce à ton éducation,
Qui se soucie toujours d'autrui,
Je suis devenu un homme vrai,
Qui exprime ses sentiments et regrets,
Sans les cacher à la face de l'humanité.

Dans la musique de ma vie,
Tu es ma plus belle mélodie,
Celle d'une splendide Harmonie.

Pour tout cela et plus encore,
Je te souhaite une Joyeuse Fête,
Une Fête aux rires de lumières,
Qui disent combien je suis fier,
Que tu sois mon père !

BONNE et HEUREUSE FÊTE DES PÈRES !
Ton Fils Bruno qui t'Aime puissamment.

14:14 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

18/06/2010

Une attitude de prière face à la Vie.

C'est dans le silence que nous rencontrons Dieu. Notre monde meurt par manque de silence. Les bruits des villes envahissent nos consciences. Et ces musiques qui nous détruisent les tympans plutôt que nous satisfaire l'esprit. Nous sommes dans une culture du bruit.
 
Notre intériorité s'en trouve détruite progressivement. Nos discours sont souvent des paroles de vent.
Nous devons retrouver d'urgence ce silence dont la force est de nous recentrer sur l'Essentiel. Le plus grand meurtre que nous puissions faire envers les jeunes est de ne pas les éduquer à déguster la qualité du silence.
Le silence leur fait peur car, il évoque la mort. Une éducation au silence serait aussi pertinente qu'une évangélisation sans consistance.
 
Soyons, Frères et Soeurs, des Témoins du silence habité par Dieu Amour. Et le monde nous suivra dans notre exemple. Puiser la signification de chaque mot ou de chaque geste dans le silence de l'Esprit-Saint. Pour être remplis, tous et toutes, de cette puissance d'Amour qu'on entend dans le silence.
 
Comment pourrions-nous être à nous-mêmes et à l'écoute de Christ si le bruit envahit nos journées ? C'est une question de disponibilité devant Dieu et devant les Hommes. C'est une attitude de prière face à la Vie.
 
 
Bruno LEROY.

12:29 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

15/06/2010

LES ANGES DU SILENCE.

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Oh ! qu'il est charmant de penser que les anges sont mêlés à la vie du monde, qu'ils la dirige, l'accompagne, qu'ils sont agissants dans tous les événements de notre vie !
Les anges président donc à la vie de la Nature ! Ils y répandent le charme, la grâce, la beauté que nous y sentons vivre.
Même dans la plus profonde solitude, nous sommes environnés de ces êtres invisibles, saints et charmants.
L'âme religieuse à qui il a été donné de monter dans la solitude des grandes montagnes et de s'y reposer loin de tout ce qui est humain, dans cette paix splendide où " l'on entend le silence ", cette âme a goûté là une des jouissances les plus profondes et les plus délicieuses que l'on puisse éprouver par les sens.
C'est une béatitude qui ressemble à l'extase, bien qu'elle soit à la fois naturelle et surnaturelle ; et l'être tout entier se sent plongé dans une vie pure, dans une joie qui le pénètrent.
Dans ce grand silence qui est " une louange ", on se sent en contact avec le monde invisible, en la présence vivante de Dieu et des anges.
Ces déserts charmants, gazons solitaires et fleuris au pied des grandes roches d'où descend l'allègre vie d'un limpide filet d'eau, sont vibrants d'une présence invisible, et le regard, qui ne peut se détacher de la contemplation de cette beauté sauvage et douce, en attend presque la manifestation : il semble que " Dieu se promène dans le Paradis " ; et du cœur plein d'amour, et de l'âme qui adore, monte le cantique de gloire et d'allégresse. 
 Ici la poésie n'est-elle pas rigoureuse réalité ?
 
Bruno LEROY.

19:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

13/06/2010

LA CULTURE DE VICTIMISATION PAR BRUNO LEROY.

20:18 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

12/06/2010

LA PRIÈRE SUBSTANCE DE NOTRE VIE PAR BRUNO LEROY.

19:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |