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12/10/2012

Ces Génies étaient additcs au café.

 

Alphonse Allais :

« Tout passe en ce monde, sauf le café dans le mauvais filtres ».


Jean-Sébastien Bach :

La cafémanie a inspiré au grand musicien l’une de ses plus célèbres sonates. 
En 1732 Johann Sebastian Bach compose une ode au café.


Honoré de Balzac :

L’écrivain qui mit au jour une œuvre gigantesque avant de s’éteindre, épuisé, à 51 ans, s’excitait au travail par un usage immodéré du café.
On raconte qu’il aurait bu 50.000 tasses de café pour parvenir à écrie la « Comédie Humaine ».

« Ce café tombe dans votre estomac… Dès lors tout s’agite, les idées s’ébranlent comme les bataillons de la Grande Armée sur le terrain d’une bataille, et la bataille a lieu. Les souvenirs arrivent au pas de charge, enseignes déployées ; la cavalerie légère des comparaisons se développe par un magnifique galop ; l’artillerie de la logique arrive avec son train et ses gargousses ; les traits d’esprit arrivent en tirailleurs ; les figures se dressent, le papier se couvre d’encre, car la veille commence et finit par des torrents d’eau noir, comme la bataille par sa poudre noire. »


Beethoven :

Il fallait employer très exactement 60 grains pour préparer sa tasse, pas un de plus, pas un de moins.


Louis Ferdinand Céline :

« Certes, écrit-il, je veux bien aller  au ciel, mais à conditions que l’on serve le café au lit… Le lit je m’en moque, mais le café crème j’Y tiens. »


Sir Winston Leonard Spencer Churchill :

« Monsieur, si j’étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre café.

 Madame, si j’étais votre mari, je le boirais ».


 
Georges Courteline :

« On change plus facilement de religion que de café. La monde d’ailleurs se divise en deux classes : ceux qui vont au café et ceux qui n’y vont pas. De là, deux mentalités parfaitement tranchées et distinctes, dont l’une – celle de ceux qui y vont – semble assez supérieure à l’autre ».


Pierre Dac :

« Si l’on donnait du café aux vaches, on trairait du café au lait. »


Serge Gainsbourg :

« L’amour sans philosopher, c’est comme le café. Très vite passé. »


Philippe Geluck :

« Boire du café empêche de dormir. Par contre, dormir empêche de boire du café ».

« Il est possible de boire un café dans un café. Il est envisageable de boire de l’eau dans l’eau. Il est souvent trop tard pour boire une bière dans une bière. »


Louis XV :

Louis XV était un illustre amateur  et sans doute le seul homme qui put s’enorgueillir de boire du café provenant d’une plantation française. Les serres de Versailles abritaient en effet une douzaine de caféiers qui, à force de soins, produisaient chaque année quelques livres de café.


Mahmoud Darwich – poète palestinien :

« Il n’existe rien qu’on puisse appeler « le goût du café » ; ce n’est pas un concept en soi. Chacun a son propre café, à tel point que je peux juger d’un homme, pressentir son élégance intérieure, à l’aune du café qu’il m’offre. »


Paul Morand :

« Par le thé, l’Orient pénètre les salons bourgeois ; par le café, il pénètre les cerveaux. »


Marquise de Sévigné :

« Racine passera, comme le café.»


Napoléon :

L’empereur était grand consommateur de café.

« Le café fort me ressuscite, disait-il, il me cause une cuisson, un rongement singulier, une douleur qui n’est pas sans plaisir. J’aime mieux alors souffrir que de ne pas souffrir. »


Pape Clément VIII :

« Ce serait un péché de laisser aux incroyants seulement une boisson aussi délicieuse ; vainquons Satan en la bénissant pour en faire une boisson vraiment chrétienne ».


Talleyrand :

« Noir comme le Diable
Chaud comme l’enfer
Pur comme un Ange
Doux comme l’Amour ! ».

 

Voltaire :

C’est assurément l’un des plus illustres amateurs de café. Il en consommait beaucoup et Brillat-Savarin s’était déjà demandé s’il ne fallait pas attribuer à l’usage de ce breuvage « la clarté admirable qu’on observe dans ses œuvres ».
On dit qu’il buvait 50 à 72 tasses de café par jour.

Il rétorquait à ses amis qui lui faisaient remarquer que le café était un poison, même si son évolution est lente : « Lente certes, puisque après 50 ans, il n’a pas encore produit d’effet négatif ».

19:18 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

07/10/2012

Trouver les clefs du Bonheur.

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Mon week-end fut de tout repos. Je n’ai strictement rien fait et ne m’en porte pas plus mal.

Il est excellent de prendre soin de soi tout en écoutant dans nos profondeurs les chuchotements de la parole de Dieu.

J’écrirai bien un livre sur l’éloge de la paresse, si cela n’avait déjà été fait.

Il est bon d’écouter sa musique préférée et ainsi d’imaginer le monde.

Ou de lire un livre spirituel qui vous élève et vous inonde de ses pensées.

Je me dis souvent que la vie est belle lorsque nous la vivons simplement.

Cependant, nous avons l’art suprême de tout compliquer.

Ce qui fait de notre existence un exercice de contorsion dont on se sort rarement.

Et nous passons nos jours à nous dire que la vie est conne, les voisins pourris et les gens dans la rue, n’en parlons pas !

Or, c’est là qu’intervient justement et judicieusement l’Evangile qui nous dit de ne pas regarder la paille dans l’œil de notre voisin, mais de nous changer nous-mêmes.

En effet, les autres ne sont pas responsables de nos cheminements pervers et suicidaires.

Nous sommes responsables de notre joie parfaite et incommensurable.

Simplement, que faisons-nous pour l’obtenir ?

Changeons-bous notre regard embrumé sur autrui ?

Vivons-nous libérés de nos chaînes de peurs et de préjugés stupides ?

Prions-nous pour acquérir de la Force et de la Sagesse face aux événements ?

Nous retirons-nous dans notre silence intérieur, là où Dieu habite ?

Bien-sûr, que non et pourtant les autres demeurent des cons !

Si nos jours sont une succession d’échecs et de désespoir, il ne faut point s’en étonner avec un tel regard.

Et l’émerveillement, vous connaissez ? Redevenir un enfant selon notre volonté.

Rassurez-vous, j’ai les mêmes progrès à effectuer pour marcher sur la route que m’a prescrit Jésus-Christ.

Demandons à l’Esprit saint ce que le Seigneur attend de nous. Et vous verrez la réponse ne tardera pas à venir et peut-être d’une façon différente de celle que vous attendiez.

C’est l’unique discernement pour comprendre si nous empruntons le juste chemin ou non.

Si la réponse est divergente de notre vie actuelle. Nous saisirons pourquoi nous sommes parfois si malheureux ( ses ). Dieu nous aura fait signe dans notre désespérance. Encore faut-il le demander, pour avancer. Sinon, nous deviendrons de vieux ronchons sans éclats, sans soleil, sans lumière et nous nous éteindrons sans bruit.

Une Vie sans Dieu est une existence aveugle, sans yeux pour nous guider et nous responsabiliser.

Je le pense profondément ! Mais, c’est ma croyance et je ne cherche à convaincre personne.

Pourtant, lorsqu’on a trouvé les clefs du Bonheur édifiant, comment ne pas les partager.

Je vous souhaite une semaine où vous serez contagieux (ses ) d’amour et d’espérance.

J’essaierai de l’être à mon tour sur mes lieux de travail et de rencontres.

Une mirifique semaine à Toutes et Tous vécue dans cette respiration intime avec Dieu Amour Absolu.

Bien Fraternellement, Bruno.

 

 

Avoir une saine estime de soi.

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Le problème de l'estime de soi semble n'épargner personne et bon nombre de personnes ne s'en sortent pas. Regardons de plus près ce qu'est cette fameuse estime de soi et comment nous tentons d'y remédier.

 

Qu'est-ce que l'estime de soi ?

 

Nous ressentons tous le besoin de voir notre valeur personnelle reconnue. Ce sentiment de valeur comporte deux éléments : le sentiment de sécurité et celui d'importance, ou d'utilité. Pour se sentir en sécurité, il faut se sentir aimé et accepté comme on est, quoi que l'on fasse ou dise. Pour se sentir important et utile, il faut savoir qu'elle est notre place dans ce monde, savoir ce pour quoi on est fait et se sentir compétent pour ça.

 

Malheureusement, nous nourrissons une série d'idées fausses sur les possibles réponses à ces besoins. Ces idées fausses sont généralement mises en place dans notre façon de penser pendant l'enfance. Un enfant qui ne bénéficie pas d'un amour inconditionnel sentira le besoin écrasant de le trouver plus tard. Et s'il doute de ses capacités, il faudra qu'il se le prouve d'une façon ou d'une autre plus tard. Ces deux besoins fondamentaux sont à la base de la majeure partie de nos comportements (notre façon d'être dans nos relations, notre attitude face à l'échec ou à la réussite...). C'est le fait qu'ils ne sont pas comblés qui nous fera réagir en période de stress.

 

Le sentiment de valeur "intrinsèque" d'un enfant peut être affecté pas plusieurs choses, entre autres par la maltraitance, verbale et physique. Être ridiculisé, rabaissé, rend l'enfant vulnérable et peu sûr de lui-même à l'âge adulte. Les mots, la façon de parler, peuvent le blesser et l'affecter au-delà de ce que l'on croit. Un enfant qui entend sans cesse des propos négatifs et un ton coléreux va "enregistrer" cette façon de communiquer et a de fortes chances de reproduire la même chose plus tard, quand bien même il se dirait de ne pas le faire. Certains parents mettent une pression énorme à leurs enfants pour qu'ils réussissent. Ces enfants deviennent souvent perfectionnistes ; ils gardent pour longtemps en mémoire le ton désapprobateur de leurs parents. D'autres parents au contraire donnent l'impression de beaucoup plus "aimer" leur enfant en étant moins sur son dos, en lui laissant faire beaucoup de choses. Mais paradoxalement le résultat est aussi une estime de soi peu construite, car nous avons besoin d'un cadre pour pousser harmonieusement.

As-tu l'impression de toujours chercher l'approbation des autres et de te dire qu'il faut que tu sois toujours prêt(e) à faire plaisir aux autres pour te faire accepter ? Est-ce qu'il t'arrive de changer de comportement ou d'opinion, en t'adaptant à la personne que tu as en face de toi ? Te semble-t-il qu'en étant en vue aux yeux des autres, ta valeur est reconnue ?

 

As-tu déjà pensé qu'en faisant des choses comme ça, tu cherchais en fait ton estime de toi ? Nous sommes chacun trop préoccupés par notre besoin de reconnaissance pour pouvoir vraiment répondre sans arrière-pensées aux besoins des autres. Et ce qui pour moi peut m'aider à me sentir bien ne marche pas forcément pour mon voisin. La recherche de l'approbation des autres, de la reconnaissance de ce que l'on fait, est éphémère. Il faut toujours en faire plus, sans être satisfait de nous-mêmes.

Se sentir utile et compétent vient quand nous découvrons quelle est notre place dans ce monde, ce pour quoi nous sommes fait. Qu'est-ce que ça veut dire ? Comment y parvenir ?

 

C'est dans notre enfance que le sentiment d'être aimé inconditionnellement devait être construit en nous. Arrivé à l'âge adulte, c'est plus difficile de trouver autour de nous des personnes qui nous communiquent ce regard indulgent, même s'il reconnaît nos fautes. Certains trouvent une certaine « force » en s'aimant soi-même et cela les satisfait. C'est vrai que dans une certaine mesure il faut s'aimer soi-même, mais nous puisons les ressources nécessaires à cela dans un réservoir de notre personne où nous avons intériorisé l'amour des autres. Tout commence par notre mode de pensée. Notre façon de penser détermine largement notre conduite.

 

A vous de trouver votre chemin et surtout, le sens que vous donnez à votre Vie. On ne peut avoir d'estime de soi si l'on est vide ou mort de l'intérieur. Il faut alors tenter une guérison avec l'aide d'un psychothérapeute afin de mieux déterminer ce qui nous blesse de façon déraisonnée et aussi, retrouver une juste relation avec autrui dont on attend trop, parfois jusqu'à la pathologie. Les autres ne sont guère parfaits et ne peuvent en aucun cas combler nos manques...même en Amour !

 

Bruno LEROY.

 

13:17 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

06/10/2012

Nous désirons une conversion des riches.

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Il n'est évidemment pas question de soutenir démagogiquement ou ingénument tout ce que le pauvre est ou tout ce qu'il veut, car le pauvre peut se tromper ou être trompé. Il s'agit bien davantage de soutenir tout ce qui contribue effectivement à sa libération. Dans la mesure où la richesse est synonyme d'oppression et où l'oppression comporte une dimension de relation, la conversion des riches passe nécessairement par le choix des pauvres, tout comme le choix des pauvres appelle en contrepartie la conversion des riches.

 

Le combat ne se cantonne donc pas dans l'arène politique, il est à mener aussi contre soi-même. La libération de la société doit s'accompagner aussi et surtout de la libération du cœur, en libérant de la peur, de l'accommodement, de l'égoïsme, de la soif du pouvoir, de l'infidélité, de l'ambition.

 

Pour les combattants de l'histoire, que nous sommes au nom de l'évangile révolutionnaire, conversion et révolution vont de pair. La révolution est l'extension de la conversion, comme l'arbre est l'extension de la semence en terre. Nous voulons la libération par la grâce, l'amour, la liberté et la Vie. Il ne s'agit pas seulement de libérer les autres, il faut aussi se libérer soi-même en assumant son destin dans le cœur de Dieu afin de demeurer les révoltés permanents qui façonnent Son dessein de dignité et d'Espérance pour l'Humanité. L'évangile est un constant appel à la révolution de l'Amour pour une Justice Sociale dont les chrétiens se doivent d'analyser avec lucidité tous les paradigmes. La Vraie spiritualité n'est pas une évasion des réalités existantes mais, le combat pour un monde meilleur voulu par Dieu. La Vraie révolution sera spirituelle ou ne sera pas. Il en va de l'avenir de l'Humanité !

Bruno LEROY.

20:39 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO., LITTÉRATURE. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Quand la vie coule de source.

13:33 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Mon apostolat et mes raisons de vivre.

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Adolescent, ma vocation oscillait entre celle de prêtre et éducateur. J'avais, déjà à l'époque un esprit rebelle qui s'insurgeait contre toutes misères humaines. Je fis mes études de Théologie au séminaire et la rupture de la prêtrise vint lorsque je tombais amoureux d'une femme merveilleuse qui partage mon existence. Mais, autour de moi, je ne pouvais supporter que des jeunes crèvent d'indifférence. Je suivis des études d'éducateur et me mis à travailler dans un Centre accueillant des meurtriers adultes. Je n'avais que 17ans et pour une première expérience, cela forme un homme à jamais. Puis, mon esprit toujours fixé vers les Jeunes me fit prendre le chemin de la rue. Je découvrais des potentialités énormes chez ces jeunes, ces mozarts assassinés.

 

Pour parfaire, mes actions à mener, je repris des études de psycho, socio etc... Je me base essentiellement sur le désir, les projets des Jeunes. Ils en ont plein la tête et ce serait dommage de tuer leurs rêves. Je puis dire que je n'ai jamais eu peur car, j'estime que ma vocation est d'aller vers eux, prioritairement. Et pourtant, je ne compte plus le nombre de fois où je me suis retrouvé avec un couteau sous la gorge. Il suffit dans ce métier, d'avoir le sens du discernement, et d'analyser la symbolique du geste. Je dirai aussi qu'il faut un coeur qui Aime par dessus tout, ces jeunes.

 

De plus, il faut avoir un équilibre psycho-affectif solide, savoir prendre de la distance. Hier, j'étais leur grand frère et aujourd'hui avec mes 53 ans, je suis le père. Ce père qui leur a tant manqué dans sa capacité de gérer l'autorité. Être autoritaire sans autoritarisme mais, avec fermeté. Seul, le terrain vécu au quotidien auprès des ados, fait saisir l'importance de leurs attentes et l'indifférence des pouvoirs publics. Il faut entrer de plein pieds dans leur monde tout en affirmant ses convictions. La Foi chevillée au corps, je ne fais jamais de prosélytisme car, c'est une violation de conscience !. Les aimer par l'action, la présence et les projets éducatifs. Les respecter également, eux qui ne savent pas ce qu'est le respect faute de l'avoir appris. Il faut aimer leurs parents et ne jamais leur jeter la pierre car, ils ont vécus aussi une misère sans nom.

 

Chaque jour je suis obligé de me battre pour leur dignité. Il faut une grande ouverture d'esprit et surtout, le sens de l'humour, il est toujours bon d'apporter le rire comme lumière dans la grisaille du temps. L'acte éducatif est de responsabiliser l'individu afin qu'il s'épanouisse au soleil de la Vie.

 

 

Bruno LEROY.

 

13:01 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Oui, c’est un Hymne à la vie dans l’Esprit !

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 Sans l’Esprit-Saint nous sommes des corps sans âme.

 

 

L’Amour est cette sève qui nous vient de l’Esprit-Saint. Christ est là pour nous rappeler l’importance de Son action dans nos vies si misérables, sans dimension spirituelle. Les charismes de l’Esprit sont essentiellement de mettre notre confiance en Dieu et, en Lui seul. Le manque de confiance génère l’angoisse, la peur, l’indifférence et l’insoupçonnable individualisme consistant à se penser indispensable. L’Esprit est ce Souffle qui nous mène sur les chemins divers de l’imprévu. Tant que notre mystique reste basée sur l’Amour Universel, nos craintes n’ont aucune prises sur les pauvres hères que nous sommes. Souffle qui donne une respiration nouvelle à notre Existence. L’Esprit, nul ne sait où Il va et pourtant, notre devoir de chrétiens ( nes ) est de Le suivre dans ses moindres pas.

 

 

 

Il reste notre soleil intérieur, lorsque la tempête veut bouleverser nos horizons paisibles. Il nous bouscule telle une flamme qui nous consume dans la joie de sa présence. Il renverse les tables des marchands pour faire table rase de nos superficialités. Il nous inculque les valeurs existentielles qui nous permettent d’avancer contre vents et marées. Tous les jours que Dieu fait, Son Esprit nous invite au festin de Ses desseins. Bien-sûr, tout cela en fonction de nos dons et de notre intensité de prière.

 

 

 

Prier, c’est parler à Celui qui fait battre nos coeurs aux rythmes de Son Amour. C’est Lui dire, je t’Aime, comme un amant qui comble nos jours. L’Esprit nous donne la Force de combattre tout ce qui pourrait entraver notre marche vers Christ. Le combat spirituel que nous menons afin que notre société recouvre ses valeurs Humaines et non basées uniquement sur l’argent qui, sait toujours diviser les hommes quand ils doivent s’unir. Oh ! Esprit-Saint, c’est un Hommage que je te donne avec mes Frères et Soeurs souffrants et tous les êtres sur cette terre que j’aime puissamment.

 

 

 

Oui, c’est un Hymne à la vie dans l’Esprit, une existence vécue à l’infini de nous-mêmes. Celle qui nous fait dépasser toutes frontières, tous formalismes pour entrer dans la pâte Humaine et donner la Lumière qui habite nos âmes. Mon Dieu, grâce à Ta présence d’Amour et la persévérance de nos prières, dans cette contemplation-action, nous donnerons un visage habité d’Espérance dans ce monde qui en manque tragiquement. Ce combat spirituel est devenu plus que nécessaire en nos sociétés de culture de mort, Frères et Soeurs, prions afin que Dieu nous ravive de sa fraîcheur aimante.

 

 

 

Bruno LEROY.

12:39 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

02/10/2012

Témoins de la Joie de vivre.

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Les feuilles pourpres forment un tapis de velours sur les rues, les allées, les chemins.

Le soleil sommeille un peu, pourtant sa lumière est toujours aussi active.

Si nous regardons autrement les éléments qui nous entourent, nous sentons intérieurement notre appartenance cosmique.

Nous faisons partie d’un tout que nous nommons univers.

Cette terre n’est pas faite pour être blessée par nos avidités. Il faut désormais se battre pour reconquérir notre silence intime, notre sérénité.

Et bien-sûr, la liberté de circuler sur une planète qui ne soit pas une poubelle méphitique.

Tout cela doit émerger telle une vague dans l’océan de notre conscience.

Chaque jour, un rapport de la crise économique mondiale, nous est moralisée par les médias.

Et nous payons sans broncher leurs criminels excès.

Je sais, nous n’avons guère le choix face à l’irresponsabilité de certains.

Par contre, nous avons le libre arbitre de trouver notre bonheur là où n’éclosent plus les bourgeons de la peur.

Il est dissimulé au fond de nous, dans les profondeurs de notre être, là où rien ni personne ne peut nous atteindre.

D’aucuns l’appellent Dieu, d’autres leur contrée mystérieuse. Peu importe. Il existe et ne saurait disparaître sans notre volonté de sombrer dans la médiocrité.

Il nous faut cultiver au quotidien cette spiritualité qui nous fait vivre et donne sens à notre existence.

C’est l’unique moyen pour sortir indemne de cette crise sociétale et économique.

Violence quand tu danses en cadence sur les trottoirs des Banlieues,

Je sais la souffrance de tes enfants qui ruisselle du cœur de Dieu.  

 

Aujourd’hui, nous serons Témoins de la Joie de vivre dans l’Amour Infini, transcendant.

Nous montrerons aux frères et sœurs qui nous accompagnent, la puissance, la Force invincible de cet Amour gratuit.

Notre lac intérieur deviendra paisible laissant seulement la brise rider sa surface.

A l’intérieur, l’âme repose sur un Roc indestructible.

La prière ne peut dans ce cas qu'être notre manne de chaque instant.

Amen !

 Bruno LEROY.

21:26 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

L'affirmation de soi et de sa différence.

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L'affirmation de soi et de sa différence prend toujours le visage du refus et de l'opposition. Dès l'âge de deux ans, l'enfant sait dire non. Il met son entourage à l'épreuve et enregistre les réactions qu'engendre l'exercice de sa fragile autonomie. Il peut, par son entêtement, paralyser les projets de toute la famille, faire perdre patience à ses parents, obtenir parfois de guerre lasse ce qu'on lui refusait, centrer toute l'attention sur lui au détriment de ses frères et soeurs. L'adolescence est, on le sait, une autre période privilégiée pour exister en s'opposant. Il faut tout de même du temps, souvent jusqu'à l'âge adulte, pour parvenir à la véritable capacité de dire " NON ", sans blesser l'autre et sans culpabilité, simplement se respecter soi-même et se faire respecter des autres.

 

S'affirmer positivement ou afficher refus et résistance sont deux façons d'atteindre l'identité personnelle et de la manifester. L'incapacité d'emprunter l'une ou l'autre voie, chez un adulte, est signe d'une maturité inachevée. Affirmation et refus prennent racine dans l'individu et lui permettent de se poser différent face à l'autre. Mais l'autre contribue aussi à façonner l'identité en jouant le rôle de miroir et en reflétant à l'individu sa propre valeur.

C'est le cas de l'amour maternel et paternel, de l'amour du couple ou de l'estime qui se développe entre collègues de travail. Ces relations sont normalement marquées par l'acceptation mutuelle.

Cela n'implique pas, tout le monde le sait, que les partenaires soient toujours d'accord ni qu'ils partagent les mêmes goûts et les mêmes vues sur tout .. Mais cela signifie que chacun est accueilli et apprécié comme il est de façon globale et positive. On peut dire à l'autre son désaccord, le reprendre, l'encourager à repousser une limite ou à combattre un défaut. C'est une autre façon de lui refléter qu'on croit en lui et qu'on désire qu'il grandisse davantage en devenant pleinement lui-même. La confiance est contagieuse lorsqu'elle révèle à un être tout ce qui l'habite et lui tend la main pour lui ouvrir la porte de son destin.

 

Rêvons d'une société où notre confiance serait force de persuasion avec ce regard d'amour qui fait grandir l'autre en son humanité afin qu'il puisse s'affirmer face à la rudesse d'un monde qui néglige mortellement nos individualités. Rêvons d'une humanité libérée et faisons en sorte que nous aidions à cette libération par notre confiance donnée avec amour à ceux et celles dont les pas hésitant demandent qu'on les soutienne dans leur titubation vers leur affirmation.

 

Bruno LEROY.

 

20:18 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

28/09/2012

L’amour est un art qui nécessite de maîtriser la théorie et la pratique.

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L’amour est un art et à ce titre nécessite connaissance et effort, alors que la plupart des gens le considèrent comme un effet du hasard, une chance.

On pense habituellement que le problème essentiel est d’être aimé et non d’aimer. On pense aussi qu’en amour l’important, c’est de trouver le bon objet et non d’avoir la faculté : deux personnes tombent amoureuses « lorsqu’elles ont le sentiment d’avoir découvert le meilleur objet disponible sur le marché, compte tenu des limitations de leur propre valeur d’échange ». Il existe également une confusion entre tomber amoureux et être amoureux. Tomber amoureux c’est laisser s’abattre le mur qui sépare les individus, c’est un miracle de soudaine intimité facilité par la consommation sexuelle. Mais ce type d’amour est éphémère, l’intimité perd son caractère miraculeux, antagonismes et déceptions reprennent le dessus. Alors que les témoignages accablants montrent la difficulté d’aimer, on a coutume de considérer qu’il n’y a rien de plus facile et que nul n’a apprendre sur le sujet. Or l’amour est un art qui nécessite de maîtriser la théorie et la pratique, il doit devenir la préoccupation ultime de l’individu.

« L’homme est vie consciente d’elle-même », de sa solitude, de sa séparation, de son impuissance devant les forces de la nature et de la société". L’expérience de la séparation d’avec la nature est source d’angoisse et suscite un sentiment de honte et de culpabilité. Dès lors comment surmonter cette séparation et trouver l’unicité ? La première solution partielle se trouve dans les états orgiaques (abolition du moi séparé ). Les rituels dans les tribus primitives font apparaître une exaltation collective, une fusion au groupe au cours de laquelle le monde extérieur disparaît. Ces orgies sexuelles permettent d’atteindre un orgasme amenant à l’état d’extase.

Ces rituels sont admis par le groupe et ne suscitent ni angoisse, ni culpabilité. Alors que dans une société qui a renoncé à ces pratiques, ceux qui s’y adonnent (en se réfugiant dans l’alcool ou les drogues ) se sentent encore plus angoissés quand l’expérience prend fin. Quant à ceux qui recherchent l’orgasme sexuel pour échapper à l’angoisse de séparation, l’acte sexuel ne comble la distance entre les individus que pour un instant, ils se retrouvent ensuite avec un sentiment croissant de séparation.« Toutes les formes d’union orgiaques ont trois caractéristiques : elles sont intenses, même violentes ; elles mettent en jeu la personnalité totale, esprit et corps ; elles sont transitoires et périodiques ». La seconde solution partielle se trouve dans le conformisme. L’union au groupe constitue un moyen de surmonter la séparation : « c’est une union où, dans une large mesure, le soi individuel disparaît, et dont le but est d’appartenir à la foule. » Par peur d’être différent les gens veulent se conformer à un degré bien plus élevé qu’ils n’y sont contraints. Ils se contentent de manifester leur différence sur des points mineurs".

Dans la société capitaliste, l’égalité des individus devient une égalité d’automates, d’hommes faisant les mêmes choses, ayant les mêmes idées et les mêmes sentiments. L’égalité des femmes a ainsi été pervertie, celle-ci se paie par l’élimination des différences : la polarité des sexes est entrain de disparaître. « Le processus social requiert la standardisation de l’homme, et cette standardisation, on l’appelle »égalité".

L’union par conformisme est dictée par la routine mais suffit rarement à calmer l’angoisse de séparation. Elle concerne surtout l’esprit et peu le corps. Son seul avantage est d’être permanente. La troisième solution partielle se trouve dans le travail créateur où la personne s’unit avec son matériau. Mais dans le système économique, le travailleur devient un appendice de la machine ou de l’organisation bureaucratique, il n’y a plus de vrai travail créateur. L’amour est la seule solution humaine. « Le désir de fusion interpersonnelle est le plus puissant dynamisme en l’homme ». L’amour est la réponse plénière au problème de l’existence mais de quel amour s’agit-il ? Il existe des formes imparfaites de l’amour, par exemple l’union symbiotique. Il s’agit d’unions dont le modèle est la relation mère-foetus. La forme passive se trouve dans le masochisme et la forme active dans le sadisme.

L’amour n’est une activité libre que s’il consiste essentiellement à donner, non à recevoir, sinon il s’agit d’une « passion » résultant d’une motivation inconsciente. Le don constitue la plus haute expression de la puissance : « donner est source de plus de joie que recevoir » parce qu’il exprime de vitalité. La sphère la plus importante du don ne se situe pas dans les choses matérielles mais dans les relations humaines : donner de sa vie. Celui qui donne ainsi de sa vie« enrichit l’autre, il en rehausse le sens de la vitalité en même temps qu’il rehausse le sien propre ». Dans le don, chacun est reconnaissant à l’autre de la vie qui naît pour les deux.

La capacité d’amour en tant que don, nécessite d’avoir surmonté la dépendance, le narcissisme, le désir d’exploiter et d’avoir acquis la foi en ses propres possibilités. Si ces qualités ne sont pas acquises la personne a peur de se donner, donc d’aimer.

D’autre part, le refus du don dans la relation, car pour pouvoir donner, il faut que ce don soit accepté par l’autre, comment donner à celui qui refuse ? Accepter le don, l’amour de l’autre, c’est déjà aimer, donc donner. L’amour est sollicitude, responsabilité, respect et connaissance. « L’amour est une sollicitude active pour la vie et la croissance de ceux que nous aimons. »

Le désir d’union repose également sur un besoin biologique : l’union des pôles masculin et féminin. Le mythe des êtres androgynes primitifs est l’expression de cette recherche de l’unité perdue. Cette polarité est à la fois extérieure : recherche de l’autre pour trouver l’union, mais aussi intérieure. Au niveau physiologique, hommes et femmes possèdent des hormones du sexe opposé, psychologiquement ils sont aussi bisexués. Hommes et femmes ne réalisent leur union intérieure que par la conjonction de leur pôle masculin et féminin (pénétrer et recevoir ). Le rapprochement avec les idées de JUNG sur « l’anima » et « l’animus » est en ce domaine assez saisissant, tout comme la parenté avec des philosophies beaucoup plus lointaines : tantrisme, taoïsme, des convergences riches de perspectives apparaissent dans ce domaine des pôles intérieurs masculins et féminins.

L’amour érotique bien qu’exclusif ne saurait être un égoïsme à deux, il doit aussi comporter une dimension d’amour fraternel, pour s’ouvrir aux autres. L’amour érotique est à la fois attirance individuelle unique et aussi acte de pure volonté.

L’amour de soi ne doit pas être confondu avec le narcissisme qui représente le premier stade du développement humain, celui qui régresse à ce niveau est incapable d’aimer. L’amour de soi est souvent assimilé à l’égoïsme, celui-ci traduit-il réellement un souci de soi-même ?

En fait l’amour est indivisible, il concerne à la fois les autres et soi : « si quelqu’un est capable d’amour productif, il s’aime également, s’il ne peut aimer que les autres, il n’aime en aucune façon ». La personne égoïste se hait elle-même, elle est vide et malheureuse, « avide d’arracher à la vie les satisfactions qu’elle pourrait obtenir si elle n’y faisait elle-même obstacle. »

L’amour est une expérience personnelle qu’il nous appartient de réaliser par nous-mêmes. Pour ce qui est de l’art d’aimer, ceci signifie que quiconque aspire à devenir un maître dans cet art doit commencer par pratiquer la discipline, la concentration et la patience dans chaque phase de sa vie. La discipline ne doit pas être une règle pénible, imposée mais ressentie comme un style de vie. Pour pratiquer la concentration, il faut apprendre à rester seul avec soi-même, c’est une conception essentielle de l’aptitude à aimer : faire le vide en soi-même pour respirer dans la prière.

Se concentrer signifie aussi savoir écouter, "vivre pleinement dans le présent, dans le ici et maintenant, sans penser à ce que l’on fera par la suite. Nous devons aussi avoir foi en nous-mêmes, en ce noyau immuable de notre personnalité. Seul celui qui a foi en lui-même, en Dieu, peut avoir foi dans les autres et dans leurs virtualités. Enfin « pour aimer, comme pour se laisser aimer, il faut avoir le courage de juger certaines valeurs, comme étant d’importance ultime et alors de faire le saut et de tout miser sur elles. »

Le système accepte toutefois une certaine dose de non-conformisme et cantonne l’amour dans un rôle marginal. Dès lors si l’on prend l’amour au sérieux en le considérant comme la seule réponse rationnelle au problème de l’existence, on est forcé de conclure que des changements importants et radicaux dans la structure de la société sont indispensables pour que l’amour devienne un phénomène social, et non plus marginal, hautement individuel.

  

Bruno LEROY.

12:06 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., PENSÉES PERSONNELLES | Lien permanent | Commentaires (3) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |