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04/08/2009

RECUEIL DE PRIÈRES PAR BRUNO LEROY: DIEU AU SOURIRE D'ENFANT.

PRIÈRES DE BRUNO LEROY.pdf

11:59 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

01/08/2009

L'ESPÉRANCE COMME UNE ARME DU REGARD.

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Oserions-nous dire que nous manquons souvent de courage ? Jamais. Et malheur à celui qui tente de nous en faire prendre conscience. Pour moi, le courage ce sont les gestes d’Amour au quotidien. Rencontrer des gens dont on se passerait bien d’écouter. Prier lorsque la fatigue vous prend, telle une épée dans les reins. Sourire aux personnes dont le visage reflète la tristesse. Par contre, la paresse me vient lorsqu’on me parle d’escalader une montagne.

Ou simplement d’aller me baigner quand il fait froid. Nous disons souvent que certains Jeunes manquent de courage. Cela est faux, ils sont dans un état dépressif qui ne leur donne plus sens à rien. Dieu indique le chemin de nos vies. Il donne du Sens à nos existences. Peu importe les grands exploits. Ce sont les petits pas d’Amour effectués chaque jour qui nous construisent. Le courage devient alors naturel et surtout exemple pour ceux et celles qui nous entourent. Et pourtant, il faut apprendre à nous surpasser.

Nous devons être encore plus courageux. Avec l’aide de Christ nous y parviendront, Frères et Soeurs. Et quand une personne nous dira, vous n’êtes pas assez courageux. Nous répondrons que nous essayons avec l’aide de Dieu de nous surpasser.Courage, donc à vous, Frères et Soeurs, la paresse est dans les yeux des autres. Nous connaissons nos capacités immenses en Dieu.

Nous avons deux regards en tant que chrétiens. D’abord, le premier regard qui est celui de tout le monde, consiste à voir la surface des choses et des êtres. Dans une superficialité telle, qu’elle ne peut entretenir que les préjugés vis à vis d’autrui. Ce regard là, n’est point celui de Christ. Et le chrétien ( ne ) doit acquérir ce deuxième regard qui nous vient de la grâce. Voir en profondeur les êtres qui nous entourent, sentir les moindres palpitements de leurs coeurs.

Sans juger mais, avec ce regard empli d’amour sincère vis à vis d’un Frère ou d’une Soeur égarés.

C’est le regard de Jésus porté sur les foules. C’est le regard entretenu par la prière quotidienne.

C’est aussi la main tendue vers la détresse humaine, par Amour. C’est un regard qui ne craint rien, ni personne. En effet, comment craindre des personnes que l’on aime ? Seule la haine génère la peur des différences.

C’est le regard de Christ que nous devrions avoir constamment sur tous les événements. Regard de tendresse, de compassion et d’amour. Demandons, Frères et Soeurs, ce regard qui scrute le tréfonds des âmes en voyant plus de désespoir que de débauches. La débauche vient du désespoir.

Nous avons l’Espérance de Dieu Amour pour ne jamais désespérer des autres et les accueillir, tel que Christ l’eut fait. Et notre quotidien sera transformé avec les yeux de Dieu.

Bruno LEROY.

11:34 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

31/07/2009

GUÉRIR NOS BLESSURES PASSÉES.

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Autrefois, lorsque j’étais à l’école, nous faisions le pacte du sang, entre amis. Nous échangions quelques gouttes de notre sang pour nous promettre une amitié à vie.

Puis, le temps passe, laissant derrière lui des souvenirs que l’on estime infantiles, et les promesses s’effacent. Notre existence et parfois ses tracas, tout au moins ses turpitudes, nous fait marcher au rythme de l’oubli. Nous oublions les relations passées entre amis vrais, comme étant dépassées. Jusqu’au jour où celui-ci vous rattrape,quand vous apprenez, ce qui m’est arrivé il y a quelques jours, qu’un de vos meilleurs amis d’enfance est en train de mourir sur un lit d’hôpital. Alors, le passé revient comme une douce nostalgie avec ses bons et mauvais moments.

Puis, le regret de ne pas être suffisamment présent à ceux et celles qui nous entourent. Aimons-nous vivants avant que la mort nous trouve du talent. Bien-sûr, il y eût des insultes et des gens peu fréquentables. Avaient-ils leurs raisons ou est-ce un comportement de leur déraison. Inutile de juger un passé qui est mort et enterré. Allons de l’avant en aimant chaque être rencontré, comme étant un reflet de Dieu.

Bien-sûr, il nous faut cautériser ces blessures qui nous empêchent de respirer et surtout, d’ouvrir grand nos bras à ceux qui viennent. Nous ne pouvons vivre paralysés dans nos sentiments, nos rancoeurs et nos peurs ; par de pâles visages du passé. Pourrons-nous pardonner et nous pardonner. Seul, Dieu peut nous redonner ce soleil intérieur qui nous rend brûlants d’Amour dans toutes nos relations. Cessons de voir les autres comme des ennemis potentiels. Les autres vivent sur le même bateau que nous avec des valeurs différentes.

Mais est-ce à nous de juger ? Entrons dans la prière qui nous donnera le discernement de l’Esprit-Saint. Dieu est Amour et ne saurait nous conseiller des relations haineuses, celles-là viennent de Satan le diviseur. Nos relations harmonieuses nous les devons à Dieu. Même s’il nous arrive de vouloir dire certaines vérités aux personnes qui se comportent mal à notre égard ; puissent-elles être inspirées par la prière. Dieu nous guérit de tout et notre passé est mort à ses yeux. Donnons cette chance aux autres également. Toujours guidés par la prière nous serons à l’écoute des autres et à même de les aider s’ils souffrent. Demandons à Christ des relations authentiques, comme Il savait si bien le faire. Le monde est basé sur le relationnel et non sur des jugements hâtifs. Que Dieu nous aide à cheminer avec les autres en toute amitié. Qu’Il nous aide aussi à dépasser cette amitié pour nous sentir Frères et Soeurs en Christ. Alors, le monde deviendra meilleur et les hommes fraternels. Demandons à Dieu l’impossible, Lui le maître de l’Impossible. Demandons Lui par de ferventes prières que notre monde ne sombre point dans une haine sans nom. Que notre prière éclaire nos relations pour leur donner toute la densité de la Fraternité. Ce regard fraternel, lorsque nous abordons les gens doit être clair et plein de Vérité. Frères et Soeurs, commençons aujourd’hui, demain il sera peut-être trop tard.

N’attendons pas que la terre devienne un immense brasier de guerres pour commencer à nous Aimer. Oui, demain, ce sera déjà trop tard et peut-être perdu à jamais. Amen !

Bruno LEROY.

15:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

UNE JUSTICE SOCIALE CONTRE LES PAUVRETÉS.

 
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L’objectif de justice sociale rejoint l’objectif d’efficacité pour souligner l’importance de la lutte contre la pauvreté des enfants dans ses conséquences sur leur devenir.

Si les pouvoirs publics, comme la société dans son ensemble, décidaient de mettre à leur agenda la réduction de la pauvreté des enfants, il faudrait répondre à trois questions :

• Que savons-nous des situations d’enfance pauvre dans la société

française contemporaine et de leurs conséquences sur le devenir de ces

enfants ?

• Quelles orientations donner aux politiques publiques ?

• Quelles sont les améliorations de l’observation et de l’analyse à engager rapidement ?

C’est à partir de ces trois questions que s’organise une synthèse de réflexion :

« Des personnes vivent dans des situations de pauvreté si leur revenu et leurs ressources (matérielles, culturelles et sociales) sont à ce point insuffisantes

qu’elles les empêchent d’avoir des conditions de vie considérées comme

acceptables dans le pays membre où ils vivent. »

Cette définition, donnée par le Conseil Européen en 1984, souligne tout d’abord que la pauvreté est un phénomène relatif : on est pauvre au sein d’une société donnée. Elle met en évidence aussi que la pauvreté est un phénomène ayant à voir avec l’exclusion : la pauvreté peut couper ceux qui en souffrent du reste de la société, en les empêchant d’accéder aux normes de consommation, en engendrant un phénomène de « honte », en les incitant à demeurer dans un « entre-soi » aux effets démobilisateurs.

À cette définition il faudrait ajouter, s’agissant des enfants, que l’insuffisance des ressources à leur disposition peut les empêcher d’espérer atteindre, à l’âge adulte, les conditions de vie qui seront acceptables dans la société où ils vivront plus tard : la pauvreté des enfants doit aussi être analysée dans ses effets dynamiques.

On peut mesurer la pauvreté des enfants de bien des manières : faiblesse des revenus familiaux (on parlera alors de « pauvreté monétaire »), conditions de vie dégradées, handicaps sanitaires, échec scolaire lié à la situation familiale ou aux conditions matérielles de travail, illettrisme, pauvreté du réseau de relations sociales, etc. Mais, dans tous les cas, ces situations ne sont pas rares en France. Lorsque la grande pauvreté conduit ceux qui la subissent à vivre sans domicile, dans des habitations précaires, etc., ils échappent à l’observation statistique courante et donc à la plupart des analyses qui seront développées.

Il est de notre conscience de citoyens de désirer mettre un terme au quotidien à ses situations inhumaines.Chacun peut là où il se trouve faire en sorte de militer en faveur de ses enfants afin qu’ils recouvrent leur dignité. Nul besoin d’être spécialiste éducatif ou social pour mesurer l’urgence de l’action à mener. Chaque Citoyen ( ne ) Français est responsable du devenir de ses enfants. Nous n’avons pas le droit de baisser les bras sous prétexte de l’ampleur de la tâche à mener. Militer dans les associations ou créer la sienne...

L’Amour du prochain est inventif à l’infini. A nous de trouver les solutions et des gestes qui grandissent l’autre et notamment nos enfants. Il faut en finir avec cette charité prônée par une" certaine "conception chrétienne qui se donne bonne conscience en faisant du " social ". Ce que nous voulons, c’est la Justice sociale et nous l’obtiendrons par notre militantisme sur le terrain.

Nous avons tant de combats à concrétiser pour un monde plus fraternel et plus juste ; que notre union au sein d’une conscience politique déterminée est plus que vitale. Nous n’avons malheureusement rien à espérer des technocrates du social qui dorment d’un oeil en regardant nos enfants crever. Nous n’avons rien à espérer d’une politique qui se veut davantage au service de l’économie et ne fait que du paternalisme depuis des années. Notre destin est entre nos mains et il sera ce que nous en ferons.

Puissions-nous saisir l’urgence et avoir un comportement cohérent face aux problèmes de notre temps.

Bruno LEROY.

 

09:52 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, politique |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

30/07/2009

L'AMITIÉ PARFUM DE LIBERTÉ.

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Ah ! L’amitié est brûlure dans tous les sens du terme.

Elle nous brûle lorsque nous l’éprouvons et qu’une autre personne nous donne son amitié. Elle est brûlure lorsque celle-ci n’est plus que pure trahison. Elle fait parfois plus mal que l’amour lui-même. Elle est plus belle et plus pure que l’amour car, elle n’attend rien en retour. Je parle de l’amour au sein d’un couple, évidemment. L’amitié comporte sa part de gratuité. Elle est nécessaire dans un monde matérialiste où tout semble s’acheter. L’amitié est part de cristal dans le coeur des hommes. Elle ne comporte aucune composante sexuelle.

Elle demeure notre mystérieuse union avec d’autres personnes qui nous aident à nous relever lorsque nous tombons. Elle est coeur de la convivialité déclarée. Les jeunes meurent d’un manque d’amitié. Chez eux, elle devient parfois tellement fusionnelle qu’une simple entorse peut les mener au suicide. Davantage que l’amour pour une fille. Notre monde est en recherche constante d’une amitié authentique qu’il ne faut point confondre avec la simple camaraderie.

Elle nous aide à respirer dans les jours étouffants. Elle nous met sur le chemin de la lutte quand l’Ami souffre ou pleure. Comme disait Jacques Brel : Bien-sûr, il y a les guerres d’Irlande et les oiseaux assassinés. Bien-sûr tout ce manque de tendre...Mais voir un ami pleurer !

C’est dans un cercle amical que nous construisons un microcosme de Tendresse qui peut s’étendre plus loin encore...Par mimétisme et recherche de cette amitié infaillible. Un dicton affirme que nous reconnaissons nos vrais amis lorsque nous sommes dans la peine ou le besoin, rien n’est plus vrai. Tant de faux amis s’en vont avec nos ennuis lorsque ceux-ci demeurent.

L’amitié est précieuse dans le coeur de Dieu sinon la Bible n’en parlerait même pas. Elle est précieuse et mystérieuse car, qu’elle est l’alchimie qui fait se rencontrer souvent à vie deux ou plusieurs êtres ? Grande question et faut-il d’ailleurs une réponse. L’amitié est la plus belle fleur cueillie dans le jardin du coeur à condition que son parfum soit mature.

Mais, lorsque nous vivons l’amitié à fond toutes ces questions s’estompent. C’est à nous d’en savourer les effets bienfaisants avec détachement.

L’amitié se vit avant de se penser. C’est ce que les grands poètes nous ont toujours dits avec de sublimes métaphores. Découvrons l’amitié chaque jour avant que la mort nous redonne nos amis perdus. Essayons de vivre en bon commerce avec autrui et le monde changera.

La racine de notre monde est l’amitié indéfectible entre les humains dans les bons et moins bons moments. C’est le soleil de la Vie quand notre ciel est dans l’obscurité. L’amitié est la sève de tous rapports humains dignes de ce nom.

Sans elle nous ne serions que des loups guettant d’autres loups. Elle est régulation sociale des relations humaines.

Bruno LEROY.

09:34 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

25/07/2009

SANS LA PRIÈRE QUE SERIONS-NOUS ?

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Sans la prière, notre vie n'aurait aucune saveur, elle n'aurait point le parfum subtil de Dieu à nos côtés. Les premiers chrétiens, tel que Paul, l'avaient bien compris. Frères et Soeurs que nos vies soient un hymne de prières et de grâces.

Paul allait puiser sa force intérieure à la source divine. La prière est cette rencontre mystérieuse avec Dieu qui nous répond par des signes quotidiens. La prière est cette certitude que l'Amour détruit toutes les forces de mort qui nous habitent. Cette respiration de l'âme est aussi nécessaire que le besoin de manger. L'Esprit ne peut apporter Ses fruits que si, nous Lui demandons dans un total abandon. La prière est effectivement la part importante de la personnalité du chrétien. C'est ce qui le différencie du païen qui ne croit qu'en ses propres forces.

Regardons autour de nous, certaines personnes semblent habitées par un rayonnement dont nous savons la provenance et que nous envions secrètement. La joie est le fruit délicieux de leur présence. Une joie que nul ne pourrait ravir tant elle demeure ancrée dans les tréfonds de leur âme. Prier, n'est pas anodin, c'est la recharge en énergie divine de l'individu fatigué. A condition de remettre son destin entre les mains de Dieu-Amour. Cela, ne veut pas dire ne plus rien faire et attendre que Dieu agisse à notre place. Cela veut dire que Dieu nous donne Tout Son Amour et Sa force pour que nous transformions le monde.

Cependant, il est des situations, je pense aux terribles maladies, où notre action demeure vaine, Dieu intervient alors silencieusement pour nous dicter les gestes et attitudes à faire. Je fus confronté à cette terrible situation, ma mère étant très malade, je priais pour demander à Dieu la Force de tenir pour l'accompagner vers la demeure du Père. Sa mort à 50 ans fut ressentie par la plupart des membres de la famille, telle une défaite. Je l'ai accompagnée durant un mois, jour et nuit, et j'ai répondu qu'elle était entrée dans la Paix.

Cette sérénité que nous cherchons tant sur terre, elle l'a retrouvée dans cette communion avec Dieu. Souvent, nous en voulons à Dieu de nous enlever des êtres chers. Et pourtant, Dieu-Amour nous accompagne dans nos détresses. Notre aveuglement face à la souffrance est compréhensible mais, le chrétien sait que Dieu Lui tend la main. Chaque jour, dès que le soleil se lève, je dis à Christ : Je t'Aime et cette journée est la tienne pour te servir !. Quelle joie m'envahit lorsque je lis la Bible et tombe sur un passage qui me fait entrer en prière.

Sans la prière, notre vie n'aurait aucune saveur, elle n'aurait point le parfum subtil de Dieu à nos côtés. Les premiers chrétiens, tel que Paul, l'avaient bien compris. Frères et Soeurs que nos vies soient un hymne de prières et de grâces.

Un indicible Témoignage de Joie et de Force vécues dans le coeur de Christ. L'Amour doit toujours guider nos pas vers l'Éternel, ainsi notre existence aura la beauté d'une symphonie dont on ne peut se lasser d'écouter les harmonies. Oui ! s'abîmer dans la prière c'est se construire, chaque jour dans l'Amour. Amen !

Bruno LEROY.

10:02 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

24/07/2009

COMMENT VIVRE LE PRÉSENT.

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Quand l'avenir est incertain en tant de domaines, du travail à la famille, du gouvernement à l’environnement, comment vivre le présent? Plusieurs attitudes sont possibles. On peut s'accrocher au passé et à ses souvenirs. Ou se concentrer sur ses tâches immédiates, son traintrain quotidien, ses émissions et ses petits tracas. On peut aussi fuir dans un futur imaginaire ou encore chercher à vivre une intensité de l'instant pour donner de la saveur à nos journées banales. Et pour le reste, le sens de nos vies, leur orientation et leurs enjeux, remettre à plus tard, ou y renoncer. Ou ne pas même en prendre conscience.

 

Notre façon de voir et d'attendre l'avenir conditionne notre aujourd'hui. L’Évangile de Matthieu aborde cette question en ce premier dimanche de l’Avent, en ce début d’une nouvelle année liturgique. Jésus y parle de la venue du Fils de l'Homme et de l'accomplissement du Royaume comme horizon final de l'histoire humaine. Mais s'il indique les traits de cette venue, c'est pour inviter à des attitudes dans l'aujourd'hui. Cette venue, nul n'en connaît le moment. Elle sera soudaine, imprévue, inattendue, comme le déluge (v. 37-39) ou comme un voleur en pleine nuit (v. 43). Elle ne sera pas neutre, sans conséquences : elle comporte un tri, un jugement (v. 40-41). Tout cela, Jésus l'indique pour appeler à une façon particulière de vivre le présent : Veillez donc (v. 42), tenez-vous prêts (v. 44).

 

Mais qu'est-ce que veiller? Son contraire pourrait être de vivre dans l'inconscience, complètement absorbés par notre quotidien, sans dimension plus profonde à nos vies. Face à ce risque, Jésus nous invite à une prise de conscience : réveillez-vous, sortez de votre léthargie spirituelle. La vie humaine n'est pas qu'une série d'activités sans portée, ou un jeu indifférent, vide ou plaisant. Elle a une densité, elle porte des enjeux de vie et de mort. Veiller, c'est sortir de l'indifférence ou de la fascination de l'immédiat. C'est découvrir la profondeur de la vie et de ses enjeux. C’est faire des choix et les tenir dans nos modes de vies, nos valeurs, nos relations, notre travail. Veiller, c'est devenir adulte et affronter l'existence avec ses questions de fond, en refusant de régresser et de s'endormir dans l'agitation ou dans la fermeture sur son petit monde immédiat.

 

L'avenir reste incertain et les tâches quotidiennes demeurent avec leurs nécessités. Mais si nous sommes en état de veille, le présent devient lieu de joies profondes et de responsabilités exigeantes. Il acquiert une densité et un horizon qui sont ceux du Royaume de Dieu. La vie prend saveur et consistance. Au lieu de scruter les nuages, d'être en nostalgie du passé, de nous réduire à un immédiat banal ou de nous enfuir en quête de sensations, nous devenons des veilleurs : ni résignés ni excités, ni inconscients ni angoissés, mais éveillés et attentifs aux signes de vie dans l'ordinaire et soucieux de les faire grandir, avec ténacité et espoir.

 

Entrer en Avent, c’est entrer dans l’attente d’un avènement. Entre en état de veille, dans l’ouverture à l’avenir et le goût du présent. Ainsi, en veillant au présent, un avenir pourra surgir qui ressemble au visage de Dieu.

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23/07/2009

LA FOLIE DE L'AMOUR.

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Parce que des personnes totalement incultes se retirent de l'Église pour créer leurs propres mouvements spirituels.

Dangereux individus se croyant investis d'une mission.

Tant qu'une personne n'a pas effectuée des études de Théologie ou de philosophie, en vue d'un sain discernement nous ne pouvons et devons, lui accorder aucun crédit.

Ses dires sont ses propres projections sectaires car élaborées selon ses propres fantasmes spirituels.

Bruno LEROY.

11:26 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

21/07/2009

TOUT DONNER PAR AMOUR.

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Tout donner par Amour d’autrui et s’effacer lentement pour laisser place à la Liberté. Ne sont-ce point les fondamentales règles de l’Éducation ? Christ nous invite donc à devenir les éducateurs des uns, des autres.

Pour nous mettre au service de notre humanité. Quel beau programme de Vie ! Et pourtant, combien d’adnégations ne faut-il point pour parvenir à ce champ de conscience. Non pas se renier soi-même, tel un être abject.

Mais, s’oublier pour être entièrement disponible aux autres. Nous avons tous et toutes des potentialités qu’il nous faut partager. Il nous faut offrir les plus splendides émeraudes de nous-mêmes.

Ne pas vivre un repli destructeur où seul notre ego, notre individualisme trouverait sa raison d’être. D’ailleurs, si tous les hommes et femmes se conduisaient de cette façon, notre Terre bien aimée disparaîtrait, assassinée par note égoïsme. Nos formons une société et à ce titre, nous avons le devoir vital de nous préoccuper des autres. Ces autres qui parfois, nous font peur car, ils n’ont pas les mêmes repères, valeurs que nous. Ces autres qui deviennent vite des étrangers tant ils nous ressemblent peu. Et pourtant, Dieu-Amour a créé un monde en couleurs avec des diversités qu’il nous faut découvrir.

Si nous étions moins sur la défensive de toujours vouloir protéger notre territoire, nous serions plus ouverts. Oui, ouverts au Vent de l’Esprit qui passe souvent près de nous et dont nous ignorons trop souvent la Présence. La peur est la conséquence de l’ignorance. L’ouverture d’esprit est l’origine de la confiance.

Il nous faut choisir entre une existence médiocre et une vie enrichissante. Enrichie par le flux et le reflux des marées humaines. Il nous faut choisir entre vivre mourant ou mourir en vivant. Je m’explique...

Si, la vie est une chambre où vous dormez pour échapper à ce besoin vital de vous faire violence pour aller vers les autres, alors vous êtes un mort-vivant. Si, au contraire le soleil dont vous illuminez chaque être pour semer de la joie, par votre seule présence à leur service, vous mourrez à vous-même et votre égoïsme légendaire également. Vous serez réellement vivants ( tes ) pour accueillir chaque Humain comme un Don de Dieu-Amour.

Chaque personne est un ange qui frappe à votre porte, ne refermez pas trop vite la possibilité de vous rendre visite. Dieu est Présent en chaque être Humain, du plus fragile au plus fort, et ce serait désonhoner Dieu que de le rejeter. Une main tendue, une aide ponctuelle, une écoute des problèmes d’autrui, ont fait des miracles. Nous le savons et pourtant, nous restons sur nos gardes, tels des païens n’ayant aucune confiance en Christ.

Nous ne sommes pas assez habités par Lui pour devenir audacieux. Et pourtant, nous le savons, si nous voulons mettre l’évangile dans nos vies, il nous faudra franchir le pas. Pour cela, la prière deviendra notre Force quotidienne, nous permettant de tout affronter. Il faut, que nous entrions dès ce jour dans cette prière de supplication pour demander à Dieu de nous indiquer le chemin. Je suis le chemin, la Vérité, la Vie. Nous ne pourrons rien faire de valable sans sa présence conseillère et protectrice. Bannissons nos peurs et notre égoïsme et allons vers les autres pour les aider aussi à aimer la Vie. Sans eux, nous ne sommes rien. Sans Christ, nous ne sommes rien. Pourtant, c’est Lui qui nous conduit vers autrui lorsqu’une personne est dans le besoin.

N’ignorons pas non plus Ses appels. Nous risquerions de rater définitivement notre vie pour ne pas l’avoir partagée. La Vie appartient à Dieu, il est légitime que nous faisions quelques cadeaux de ce Bonheur qui hante nos cœurs.

Bruno LEROY.

17:58 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

GUY GILBERT DE L'AMOUR PLEIN LA GUEULE.

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17:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |