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28/10/2007

Voir Dieu à l'oeuvre dans votre vie !


podcast

A méditer...!

12:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Fuyez la médiocrité !


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BONNE ÉCOUTE...!

12:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Le Christ Libérateur.

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Une théologie nourrie de lecture de la Bible qui met en évidence le Christ libérateur.

Dennis Girra éclaircit comment, au nom de l'évangile, la théorie de la libération s'élève contre la condition faite aux pauvres en Amérique latine.

Une conscience aiguë de la misère

La théologie de la libération, qui est bien plus un mouvement qu’une école de théologie, traite du lien étroit qui existe entre la foi chrétienne et le salut d’un côté, et la promotion des droits de l’homme, de la justice sociale de l’autre. Elle est née dans les années 1960 en Amérique latine et reflète une conscience aiguë de la misère des masses populaires opprimées économiquement, politiquement et socialement par une minorité liée aux puissance du Nord et la conviction que Dieu est du côté des pauvres et désire les libérer des injustices dont ils sont victimes. On comprend bien pourquoi les termes de « théologie de la libération » et « Option préférentielle pour les pauvres » sont presque inséparables.

Le Christ libérateur

C’est dans des petites « communautés chrétiennes de base » que les pauvres, nourris d’une lecture de la Bible qui met en évidence le Christ libérateur, s’éveillent à la responsabilité qui est la leur de participer aux luttes contre les injustices. L’analyse qui a été faite de ces injustices, et de la lutte qu’il fallait mener pour les éliminer, s’est inspirée longtemps de la grille de lecture marxiste, ce qui n’a pas manqué de créer quelques ambiguïtés aussi bien au niveau de la théorie que de la pratique. D’où plusieurs interventions de Rome pendant les années 1980 et une mise en question du théologien péruvien Gustavo Gutiérrez (considéré comme le père de la théologie de la libération latino-américaine) et encore plus récemment avec une critique de quelques ouvrages du jésuite Jon Sobrino (Salvador).

Quelle Christologie ?

Le fait que la théologie de la libération parte de l’expérience des pauvres et des opprimés, centre l’attention sur le côté prophétique de la vie de Jésus et sur sa lutte pour la justice et contre la misère. Il s’agit d’une christologie dite « d’en bas » – c’est-à-dire une christologie qui part de l’humanité du Christ plutôt que du Verbe de Dieu qui se fait homme. Cet accent est parfois source de quelques difficultés (ce point a été souligné dans la critique des livres de Sobrino, par exemple) même si cette forme de théologie a toujours existé dans l’Eglise et ne nie nullement la nature divine de Jésus-Christ.

Une influence qui s'étend

Plus récemment, précisément puisqu’elle naît de l’expérience des opprimés, la théologie de la libération a commencé à exercer une influence en dehors de l’Amérique latine. En effet, là où l’homme est exclu, manipulé… là où il a besoin d’être libéré, cette théologie joue un rôle de plus et plus important dans la pensée des communautés chrétiennes. Ainsi nous pouvons constater qu’elle existe en Inde où l’Eglise lutte contre de l’exclusion des « dalits ». Elle existe aussi en Afrique. Certaines formes de la théologie féministe s’en inspirent également.

Croire.com

12:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans THÉOLOGIE DE LA LIBÉRATION. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

La conversion de l’Église.

L’Église est aussi appelée à parcourir ce chemin de conversion où la personne exclue n’est pas seulement le bénéficiaire de notre charité mais devient un frère dans la communauté. Comment considérons-nous celui qui fait la manche - la priante, c’est le terme exact - à la sortie de nos messes ? Reçoit-il plus que les miettes qui tombent de notre table ? (Luc 16 19) La mise en forme du concept de l’option préférentielle pour les pauvres est due en grande partie à la théologie de libération, mais son inspiration s’enracine dans la Parole de Dieu. Dans le Nouveau Testament, Marie chante le Tout-Puissant qui renverse les puissants de leur trône et élève les humbles, comble de biens les affamés et renvoie les riches les mains vides (Luc 1 52). Et Jésus donnera tout son sens à cet amour préférentiel pour les pauvres en affirmant que ce que l’on a fait - ou pas fait - à l’un de ces plus petits d’entre ses frères, c’est à lui qu’on l’a fait - ou pas fait (Matthieu 25). Cela ne va pas de soi. Il s’agit bien d’un appel à la conversion qui engage notre agir mais rejoint aussi le cœur même de notre communion à Dieu puisque le jugement dernier dépendra de cet agir. Le pauvre qui mendie à la sortie de nos messes est porteur de cette présence sacramentelle au même titre que notre assemblée eucharistique.

La situation économique et sociale de l’Europe est très différente de celle de l’Amérique latine où est née la théologie de la libération. Alors qu’en Amérique latine, une majorité de pauvres est confrontée à une minorité de possédants, en Europe, la pauvreté est toujours marginale. Il est donc normal que les outils d’analyse et d’action élaborés par la théologie de la libération aient peu fonctionné en Europe. Mais il ne faut surtout pas oublier que la théologie de la libération est née d’une pratique - d’une praxis - des habitants des favelas qui se sont emparés de la Parole de Dieu pour y puiser la force d’agir face aux puissants. La théologie de la libération n’est donc pas d’abord une élaboration conceptuelle, elle est le reflet d’un engagement concret de l’Église auprès des plus pauvres. En Europe, il y a peu de réflexion théologique sur l’exclusion et la pauvreté sociale. Quelques essais d’une théologie de la marginalité sont restés eux aussi marginaux. Mais cela dénote essentiellement un manque d’engagement concret. Souvent nos paroisses sont plus préoccupées par la sortie ou le repas paroissial qu’à faire alliance avec les plus pauvres du quartier. Cette tâche est généralement déléguée à des associations spécialisées ou à l’initiative privée. Il reste à notre Église en tant que corps social, en tant que hiérarchie, à se convertir à la pauvreté et à passer de la foi à l’amour.

La conversion de l’Église, la transformation de la société, la libération des personnes en situation d’exclusion sont impossibles sans la conversion du cœur à laquelle chacun est appelé. Le message de l’Évangile présente une originalité unique par rapport à d’autres systèmes de pensée attachés à la libération des pauvres : Dieu se révèle sur la croix. Accueillir Dieu dans sa vie, se convertir, signifie accepter aussi la croix par laquelle il a voulu être exalté. Marie nous aide à nous tenir au pied de la croix de son Fils. Elle qui croyait de tout son cœur à l’amour de Dieu pour les pauvres, elle s’est tenue silencieuse devant la croix. Si elle n’y était pas présente, si elle ne nous emportait pas dans son indéfectible espérance, nous ne pourrions pas accueillir aujourd’hui l’espérance de la résurrection et d’un monde nouveau. Devant tant de situations qui paraissent à nos yeux sans solutions, aux personnes que nous rencontrons qui semblent marquées définitivement par la souffrance de vivre à la rue, le plus beau cadeau que nous puissions faire est l’espérance qui nous donne la force de marcher jour après jour.

11:55 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Le stress au travail double le risque de récidive de crise cardiaque.

       

Les personnes occupant un emploi stressant après avoir eu un infarctus courent deux fois plus de risque d'être victimes d'une seconde crise cardiaque, rapporte une équipe de la faculté de médecine de l'Université Laval de Québec.

Les chercheurs ont suivi 972 patients, âgés de 35 à 59 ans, ayant subi un infarctus du myocarde et les ont interrogés à intervalle régulier pendant 6 ans après leur retour au travail afin d'amasser des informations sur leur état de santé, leurs habitudes de vie, leur profil socioéconomique et le stress engendré par leurs activités professionnelles. Pendant la période de suivi, 124 sujets ont eu un infarctus et 82 ont souffert d'angine instable, pour un total de 206 récidives.

Les sujets qui vivaient un stress élevé au travail lors des deux premières rencontres avec les chercheurs encouraient deux fois plus de risque d'être victimes de récidive que les autres participants. Ce risque subsistait même après avoir éliminé l'effet de variables comme le profil socioéconomique, le style de vie, le type de personnalité et l'environnement de travail. L'étude indique toutefois que le stress n'affecte pas la probabilité de récidive pendant les deux premières années qui suivent l'infarctus.

A la lumière de cette étude parue dans le Journal of the American Medical Association, le comité éditorial a publié un commentaire éditorial encourageant les médecins, ou un autre membre du personnel soignant, à prendre le temps de mesurer le stress au travail que vivent les personnes qui ont subi un infarctus.

08:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SANTÉ. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

JEAN-PAUL II ET LE ROSAIRE.

INTRODUCTION

1. Le Rosaire de la Vierge Marie, qui s'est développé progressivement au cours du deuxième millénaire sous l'inspiration de l'Esprit de Dieu, est une prière aimée de nombreux saints et encouragée par le Magistère. Dans sa simplicité et dans sa profondeur, il reste, même dans le troisième millénaire commençant, une prière d'une grande signification, destinée à porter des fruits de sainteté. Elle se situe bien dans la ligne spirituelle d'un christianisme qui, après deux mille ans, n'a rien perdu de la fraîcheur des origines et qui se sent poussé par l'Esprit de Dieu à " avancer au large " (Duc in altum!) pour redire, et même pour "crier" au monde, que le Christ est Seigneur et Sauveur, qu'il est " le chemin, la vérité et la vie " (Jn 14, 6), qu'il est " la fin de l'histoire humaine, le point vers lequel convergent les désirs de l'histoire et de la civilisation ".1

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08:24 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans TÉMOINS DE CE TEMPS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

JEAN-PAUL II ET LE ROSAIRE ( suite ).

 L'énonciation du mystère

 

29. Énoncer le mystère, et peut-être même pouvoir regarder en même temps une image qui le représente, c'est comme camper un décor sur lequel se concentre l'attention. Les paroles guident l'imagination et l'esprit vers cet épisode déterminé ou ce moment de la vie du Christ. Dans la spiritualité qui s'est développée dans l'Église, que ce soit la vénération des icônes, les nombreuses dévotions riches d'éléments sensibles ou encore la méthode elle-même proposée par saint Ignace de Loyola dans les Exercices spirituels, toutes ont eu recours à l'élément visuel et à l'imagination (la compositio loci), le considérant d'une grande aide pour favoriser la concentration de l'esprit sur le mystère. Il s'agit d'ailleurs d'une méthodologie qui correspond à la logique même de l'Incarnation: en Jésus, Dieu a voulu prendre des traits humains. C'est à travers sa réalité corporelle que nous sommes conduits à entrer en contact avec son mystère divin.

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08:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans TÉMOINS DE CE TEMPS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

27/10/2007

La foi, remède miracle contre l’anxiété.

Parce qu’elle apporte des réponses aux questions existentielles et sécurise en créant un lien social, la religion a tout d’un véritable anxiolytique. Au point d’agir sur la santé !

Cela ressemble à un paradoxe : croire en Dieu augmente… l’espérance de vie sur Terre ! Telle est l’inattendue conclusion de travaux qui, depuis une petite dizaine d’années, montrent que les individus qui croient en l’existence d’une entité divine accroissent leur longévité. Et de façon considérable, qui plus est ! en 2002, le professeur de psychiatrie David B. Larson, de l’université Duke, en Caroline du Nord (Etats-Unis), est en effet parvenu à estimer que les croyants vivaient en moyenne 29 % plus longtemps que les non-croyants. Fruit de la synthèse de 42 études médicales menées entre 1977 et 1999 et concernant pas moins de 126 000 personnes, ce chiffre par son ampleur, pose dès lors une question : en quoi le fait de croire a-t-il une influence sur notre espérance de vie ? La réponse tient en un mot : anxiolytique. Car sire les religions ont une vertu, c’est bien celle d’être un remède contre l’angoisse, ce qui ne saurait être funeste pour la santé...

Un discours réconfortant

Plus net encore : des psychologues de l’université de Washington ont révélé début 2005 les résultats d’une étude menée à l’époque sur 453 étudiants de toutes confessions. D’où il ressort que ceux ayant eu recours à des comportements religieux tels que la prière pour gérer le traumatisme sont parvenus à calmer leur angoisse beaucoup plus efficacement que les autres. Un résultat qui concorde avec des études menées dans de tout autres contextes. En 2002, par exemple, le psychologue Victor G. Cicirelli, de l’université Purdue, dans l’Indiana (Etats-Unis), soumettait un groupe de 388 personnes, cette fois âgées de 60 à 100 ans, au Multidimensional Fear Death Scale, un test psychologique souvent utilisé par les gérontologues pour mesurer le niveau d’anxiété de leurs patients face à la mort ; verdict : les sujets croyants présentaient un niveau d’angoisse inférieur à celui des individus non-croyants.

C’est donc une certitude scientifique : la croyance en Dieu permet de réduire l’angoisse. Pourquoi ? Parce que les religions apportent précisément des réponses aux interrogations les plus profondes de l’homme. Sens de la vie, question des origines, angoisse de la mort… Peu importe le nom du dieu qu’elles élisent, la genèse qu’elles décrivent ou la nature du paradis qu’elles promettent, toutes produisent un discours qui, chacun à sa manière, apporte une réponse à ce qui étreint l’homme lorsqu’il songe à sa condition . Une réponse au sein de laquelle chacun peut dès lors trouver refuge, pourvu d’adopter durant sa vie un comportement conforme aux lois édictées par la religion concernée. »

 

Extraits de la revue Science et Vie août 2005 N° 1055

 

Visiter le site:
www.science-et-vie.com

10:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

26/10/2007

SI VOUS ÊTES FATIGUÉS.


podcast

Bonne écoute Chrétienne...de la Parole de Dieu.

Très Fraternellement, Bruno.

22:05 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans VIVRE L'ÉVANGILE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

A TOI MA SOEUR, L'EAU.

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Quelle volupté de s’introduire en toi dans l’intimité d’une salle de bain ou dans ton immensité immaculée ou bien encore glisser sur toi quand tu nous fais la grâce de devenir neige.

Mais tu peux être meurtrière si l’humain inconscient ne respecte pas tes codes. Alors tu deviens avalanche et tombeau.

Tu es fraternelle.

Tu abreuves et nourris à égalité le plus grand des présidents et le plus petit de ses citoyens. De même pour le bourreau et l’innocent.

Mais cette égalité tu peux la rendre terrifiante en engloutissant le petit-fils du roi de Thaïlande, jouant dans tes flots ainsi que le plus pauvre de ses sujets qui faisait des tas de sable sur la plage.

Malgré tout, plus d’un milliard d’êtres humains sont obligés d’aller, chaque jour, te chercher loin parfois très loin. Alors que chez nous, en Europe, il suffit d’ouvrir de multiples robinets pour goûter instantanément ta saveur.

Riches, nous te gaspillons impunément et honteusement.

Ta vocation est unifiante. Quelle joie après une marche harassante de s’abreuver ensemble à ta source fraîche et pure !

Mais quelles haines tu suscites quand des pays se déchirent pour t’avoir en exclusivité, coupant tes sources vives pour leur seul usage.

On t’encercle, on t’amoncelle pour le plus grand bien de peuplades immenses. Mais tu es libre. Et, parfois, tu sors de ta prison pour dévaster un territoire qui était le tien. Fréjus et d’autres en gardent le souvenir impérissable et mortifère.

Tu es libre.

Chaque goutte tombée du ciel a la liberté de sa lover où elle l’entend.

Elle est libre notre sœur l’eau. Elle va où elle veut.

Elle se fait attendre. Parfois longtemps.

Elle a ses périodes pour abreuver la terre, sauf si le magicien pervers qu’est l’homme casse ses cycles.

Se vengerait-elle par ces tornades infernales qui laminent d’un seul coup les terres assoiffées en les appauvrissant encore plus ?

Nous ne te respectons pas.

L’animal, lui, te consomme avec modération et sagesse. Est-ce pour cela que, lors de tes accès de furie, tu sais lui faire signe à lui seul ?

Les animaux sentent les séismes terrifiants qui approchent à grande vitesse. Ils se sauvent d’instinct et survivent lors des grandes catastrophes.

Le jour où l’homme te respectera, peut être alors nous feras-tu signe pour nous prévenir que tu es en colère !

Puissions-nous, sœur eau, te respecter infiniment.

Et te remercier toi, cadeau inestimable de Dieu, en ne gaspillant pas une seule goutte de la vie que tu nous donnes.

Guy GILBERT.

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19:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |