7427 7827

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

03/09/2008

Il est temps de chercher le Bonheur.

Si tu ne trouves pas le bonheur,
c’est peut-être que tu le cherches
ailleurs.
Ailleurs que dans tes souliers…
ailleurs que dans ton foyer.

Selon toi, les autres sont plus
heureux.
Mais toi, tu ne vis pas chez eux…
Tu oublies que chacun a ses tracas,
tu n’aimeras sûrement pas mieux
son cas.

Comment peux-tu aimer la vie
si ton cœur est plein d’envie,
si tu ne t’aimes pas,
si tu ne t’acceptes pas?

Le plus grand obstacle au bonheur,
sans doute,
c’est de  rêver d’un bonheur
trop grand.
Sachons cueillir le bonheur
au compte-gouttes;
ce sont les plus petites gouttes
qui font les océans.

Ne cherchons pas le bonheur
dans nos souvenirs,
ne le cherchons pas non plus
dans l’avenir.
Cherchons le bonheur
dans le présent,
c’est là et là seulement
qu’il nous attend.

Le bonheur, ce n’est pas un objet
que l’on peut trouver quelque part
hors de nous.
Le bonheur, ce n’est qu’un projet
qui part de nous et se réalise en nous.

Il n’existe pas de marchand
de bonheur…
Il n’existe pas de machine à bonheur…
Il existe des gens qui croient
au bonheur…
Ce sont des gens qui font eux-mêmes
leur bonheur.

Si dans votre miroir votre figure
vous déplaît,
à quoi ça sert de briser
le miroir?
Ce n’est pas lui
qu’il faut casser,
c’est vous qu’il
faut changer.

09:56 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

15/07/2008

LES SILENCES.

papillon2.jpg
Les silences, les mots,
La lumière du jour,
La nuit, l'aube, le silence,
les tendresses de l'amour.
Des chansons, un silence,
quelqu'un part au petit jour
Un silence, un enfant
une femme, un grand amour.
Tout donner, tout attendre
attentif et sans recours
S'habituer au silence
Dans le bruit de tous les jours.
Un plaisir, un silence,
quelques pas, encore un tour
Puis un autre silence
dans la magie de l'amour.
Un appel, la prière,
la solitude toujours
En silence et profonde
comme l'eau du temps qui court.
J'ai crié en silence
dans la nuit et dans le jour
Déchiré mon silence,
traversé le monde sourd.
Sont venus tous ensemble
les gens qui manquent d'amour
Tous ensemble sont venus
les gens qui manquent d'amour.
Me prier de comprendre
leur silence à mon tour
J'ai dansé une danse,
mais mon pas était trop lourd.
Un enfant, une femme,
l'homme passe dans la cour
Et la ville en silence
construit des murs et des tours.
On s'y fait, on renaît
et l'on rit des mauvais tours
Du destin, chacun fait
du mieux qu'il peut toujours.
C'est la vie, un silence,
la lumière, un autre jour,
La nuit, l'aube, le silence,
la tendresse de l'amour.
Bruno LEROY.

10:28 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

13/06/2008

Suis-je devenu le Fils que tes yeux espéraient ?

 

calendrier-mois-grand-07.jpg
Suis-je devenu ce chêne solide au jardin de l'Harmonie,
Où les roses s'éclatent les doigts sous un soleil torride,
C'est le rythme de la Vie qui bat toutes ses mesures,
Suis-je devenu le Fils que tes yeux espéraient,
Tes mains d'amour ont modelés tel le potier,
Ce vase d'argile et de glaise dont je suis fait,
Désormais le chemin que tu m'avais tracé,
Est devenu destin au sein de l'Humanité,
Tu m'as fait grandir plus que de raison avec passion,
Me voici parcourant et distribuant cette Tendresse,
Qui me fut inoculée depuis l'enfance avec ses bienfaits,
Je te dois les parfums du vent aux saveurs de fruits frais,
Les paysages qui défilent au long de mes voyages,
Comme pour me rappeler l'aspect de ton visage,
Au cœur des forêts, des champs et des blés,
Oui, si je respire aujourd'hui c'est de ta volonté,
Si j'admire les événements qui ne font que passer,
C'est grâce à ton amour délicat tant prodigué,
Je te dois le vaste Monde et toutes ses beautés,
Mes yeux émerveillés regardent les jours s'inventer,
La paix et la sérénité coulent dans mes artères,
Les valeurs, la foi, les convictions, les révoltes aussi,
Appartiennent désormais à l'homme que je suis,
Pour tout cela j'écrirais tant de mercis,
Et te souhaite du fond de l'âme une Heureuse Fête des Pères
Toi qui as toujours su rendre mes peines légères,
Et mettre dans mon existence une splendide Lumière,
Celle qui scintillera toujours pour que mes nuits s'éclairent.
Bruno LEROY.

22:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

HOMMAGE AUX PÈRES DE LA TERRE.

amour%20rose.jpg
Le père que nous donne Dieu devrait être le reflet de notre Père des cieux. Beaucoup ont cette vocation d'Amour qui nous fait grandir en liberté. Le rôle du père est de nous donner la Force de vivre et d'affronter les adversités. Nous avons tous des pères, au moment de l'adolescence et parfois plus loin dans l'existence, il existe un homme, voire une femme à laquelle nous nous identifions, pour grandir. La Fête des Pères est une fête Universelle d'Hommage à la Vie. Ce jour là, n'oublions pas qu'Il est un Père qui nous Aimera Toujours avec une Tendresse Infinie. Dieu Père et Mère nous demande d'honorer universellement la vie dans sa dimension d'Amour. L'Amour seul pourra nous rendre ce que nous pensions avoir perdu de tous temps, le geste gratuit de la Tendresse en sa plus simple Harmonie. Aimons nos papas qui construisent avec nous cette existence pour un regard Universel et peu importe qu'ils soient vivants, c'est l'héritage de leur vie qui est le bien précieux.
Ce modeste poème pour vous en Hommage à tous les pères de la Terre.



Dans ton coeur secret j'ai construit mon nid,
Pour sortir des longues nuits vers la vie,
Je suis apparu dans l'espace d'un cri,
Pour te dire que je te devais ma venue,
Ce souvenir que ta mémoire n'a pas perdue,
Pour ma part ce jour est une vague confondue,

Sur la mer tous les rivages ont disparus,
Mais je sais au fond de moi les instants,
Où la joie grave encore son printemps,
Comme un jour qui ne disparaîtra plus.
Je te dois cette vie au souffle infini,
Je dois mes rires et mes larmes aussi,
Je te dois les bonheurs de l'enfance,
Passés dans le coeur de ta présence,
Je te dois l'assurance de grandir,
De sortir pour construire l'avenir.

Oui, Papa tu m'as donné l'Amour,
Pour consoler mes rêves d'un jour,
Maintenant j'appartiens à demain,
Aux couleurs chaudes du firmament,
Et je te donne en cadeau mon destin,
Celui qui te dira je t'Aime sans fin.

Bonne Fête Papa !!!
Mon existence aura le parfum,
D'un Amour que je te dois,
Que je répands autour de moi,
Tel un Hommage à ton exemple,
D'aimer toujours d'une âme ample,
Transmettre l'Amour autour de soi.

C'est l'éducation que tu m'as offert,
Et qui devient ma raison de vivre,
Grâce à toi je suis devenu libre,
De choisir ma place dans l'univers,
De savourer Dieu dans mon âme,
Comme un reflet de tes flammes,
D'Amour qui consument mes jours,
Pour te rendre gloire pour toujours.

Heureuse Fête des pères !!!
Papa que j'Aime tant pour longtemps,
Je suis Ton fils Bruno ancré dans ta peau,
Comme une étoffe qui me rend fier et Beau,
Je t'Aime Papa et ce n'est pas un vain mot.
C'est un cri qui vient telle une naissance,
De m'avoir donné Vie à ta ressemblance.

Bruno LEROY. 

13:49 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

13/05/2008

Change ton regard.

Lien vers le-calendrier-de-la-Cimade



J'aime tes larmes quand elles sont sources de foi,
Ces cristaux dans tes yeux qui me parlent de toi,
Ces inquiétudes radieuses qui se penchent vers d'autres,
Qui reconnaît enfin l'impuissance de ses fautes,
Nous ne pouvons être sur tous les chemins,
Ceux de la misère nous emmènent au matin,
Tu te souviens de l'aurore de notre Humanité,
Où nous semblions pouvoir nous apprivoiser,
Puis vivre dans ce monde sans mille plaies,
Tu me demandes souvent ce qui fut changé,
Depuis l'aube incertaine de notre destinée.
Je ne sais que répondre face aux blessures,
Du monde qui vit dans ses inextricables tortures,
Sans te parler des intolérances qui tuent et déchirent,
Je ne puis que te dire ma certitude de l'homme bon,
Et que certains combats nous font entrer de front.
Je ne puis que te dire d'essuyer tes larmes,
De cesser tes soupirs aux allures de drame.
Change ton regard sur les hommes et le monde,
Donne-lui ton courage, ton sourire et ta Foi salvatrice
Tu sais l'Amour est plus puissant qu'une bombe,
Donne lui cette joie comme un feu sans artifices.
Petit Homme...

Bruno LEROY.

21:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

04/05/2008

LE VIEIL OISEAU.

585362942.jpg
Je suis déjà un vieil oiseau,
Avec un demi-siècle dans les ailes,
Je chante pourtant mes ritournelles,
Il est vrai que mes chants ne sonnent pas faux,
Je suis cet oiseau aux plumes d'arc-en-ciel,
Toutes les couleurs des hommes m'émerveillent,
Je déteste l'argent et préfère le vent,
Je suis un drôle d'oiseau au milieu des gens,
Je n'aime pas ce qu'ils aiment,
Eux détestent ce que j'aime,
Je vole toujours au-dessus des pensées,
Et souvent je me laisse planer,
Pour contempler les paysages,
Pour admirer tous les visages,
J'aime la vie qui murmure dans mon corps,
J'entends parfois les murmures de la mort,
Alors, j'écris je marche et je prie,
Pour oublier les cieux superficiels,
Pour ignorer vos existences irréelles,
Basées sur l'apparence et le pouvoir,
Les révérences et l'avoir,
Je suis un oiseau quinquagénaire,
Qui siffle toujours dans la Lumière,
Qui cherche sans cesse le Mystère,
Celui qu'il cherchait déjà à vingt ans,
Non pour passer le temps,
Mais vivre au cœur du firmament,
Et trouver l'Harmonie originelle,
Qui fleurit dans les êtres de Sagesse,
Et meurt dans d'illusoires sentiments,
Quand la raison cherche la Vérité frêle,
Et pourtant si pure et si belle,
Si douce et velouté comme une caresse,
Celle de Dieu qui ouvre les yeux,
Je suis un jeune oiseau de cinquante piges,
Qui saisit la négation de vos tristes valeurs,
Celles qui n'apportent que désespoir et pleurs,
Je suis un oiseau qui veut un chant nouveau,
Celui du Bonheur qui germe dans nos âmes,
Telle une lame d'Amour qui ne connaît point d'adieux,
Mais vit avec ferveur chaque jour dans l'Absolu de Dieu,
L'oraison, la contemplation, l'intimité ne peuvent être creuses,
Je suis un oiseau du Seigneur venu éclairer l'Humanité malheureuse.
Pour la rendre à jamais heureuse et savoureuse,
Telle est la mission qui me fut donnée pour vous enchanter,
Mettre de l'or dans vos existences boueuses,
Pour que vous connaissiez l'Amour parfait.
Celui qui embaumera vos années,
Et vous fera découvrir la joie d'être aimé,
Selon les desseins de l'Esprit qui répand son parfum sur nos Vies.
Bruno LEROY.

13:05 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

02/05/2008

MUGUET DE L'ESPÉRANCE.

 
Le seul écrivain qui m'intéresse est celui qui se tient debout,
en état d'insurrection permanente contre l'inhumain.
Écrire, c'est dire non au monde tel qu'il est .
S'il n'est pas un éclaireur, l'écrivain n'est presque rien.
La religion folklorique est condamnée à mort:
Le christianisme ne peut qu'y gagner.
Le printemps ne fait que commencer."

Jean Sulivan

1239710979.gif
Parole du Passant Capable de silence

Les conditions de toute prière vraie :

« Devenir capable de silence et de solitude. Se dire du fond de l’âme : rien ne m’appartient, je suis l’autre de tous les  autres, fragile comme les éphémères de l’été, mortel. Et dans cette pauvreté intime de créature précaire, expérimenter la confiance, une sérénité, une joie secrète, exister avec Dieu qui nous crée. Alors vous n’êtes pas étranger à la voie d’intériorité ».

Jean Sulivan

 

18:11 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

POURQUOI TON COEUR PLEURAIT ?

1901384313.jpg 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pourquoi ce matin ton cœur pleurait,

En cette immense peur d’exister,

Pourquoi ces larmes salées,

Alors que Dieu est à tes côtés,

Le doute est aussi une histoire d’amour,

Il ne lâchera jamais ta main même demain,

Celui dont Tu as fait don de ta Vie,

Laisse tomber ce futile chagrin,

Il a souffert pour Toi de ton manque,

De Foi et de certitudes à aimer,

Les fleurs s’épanouissent même dans ses déserts,

Pourquoi ces jeunes qui meurent d’indifférence,

Te font porter une peine sans raison,

Pourquoi tes colères sont-elles toujours de passion,

Pourquoi cette impression de n’être point compris,

Par tes contemporains que tu aimes à la folie,

Pourquoi toutes ces questions te reviennent,

Tel un coup de couteau dans tes illusions,

Pourquoi le fonctionnement du monde,

Ne tourne plus comme tu le désirais,

Pourquoi ne veux-tu point te poser,

Comme les autres le font pour ne pas s’inquiéter,

Pourquoi ton esprit est empli de regrets,

L’impression d’avoir vécu pour personne,

De n’être plus qu’un pâle fantôme,

Homme de peu de Foi je t’Aime,

Et c’est ma raison de te faire vivre à fond,

Loin des superficielles visions d’un autre temps,

Je suis de toutes éternités,

Avant de pleurer il suffisait de me parler,

Je suis là pour écouter ton âme gémir,

Et te donner l’Espérance qui donne la Force,

De vivre en assumant toutes tes fautes,

Tes déraisons, tes coups de gueule.

Tes combats contre les Injustices,

Sont les miens aussi...

Alors, je t’en prie ne pleure plus,

L’avenir commence aujourd’hui,

C’est ainsi que je l’ai voulu,

Sois mon combattant d’Amour,

Et le monde sera splendeur plus que chagrin.

Crois-moi !

Bruno LEROY.

10:01 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

16/04/2008

Naître aujourd'hui.

621863375.jpg

 

Il est né,

Les portables ont sonné au coeur de la cité.

C'est un garçon,

Enzo, c'est son prénom.

Caché au creux du ventre de sa mère, dans la chaleur et la tendresse,

vibrant au son de ses paroles, à la douceur de sa voix,

il a pris son temps, trop long et trop court, neuf mois d'attente,

Entre rêve, espoir, crainte et amour.

Naissance si fragile et si belle,

Naissance, risque d'humanité,

Faire d'un tout petit un Homme libre et heureux.

Famille et amis, penchés sur son berceau ont mille souhaits à faire,

Mille expériences à raconter,

Tout ce qui naît au jour le jour, grandit et réconforte,

Donne ce qu'il faut d'espoir pour la justice et la paix.

"Petit, au jour le jour, tu verras naître

Les jeux organisés sans se disputer,

Le respect dans la cour de récré,

La propreté dans les quartiers, Les chemins de l'école sécurisés,

Les grands et les parents qui apprennent à aimer.

Tu verras naître comme un élan, une force,

Les copains dans la rue crier un avenir défendu:

Etudes, formation pour le choix d'un métier,

Dire non au Contrat première embauche,

Dire oui au dialogue, à une charte pour l'emploi,

Dire non à l'exclusion, la violence des cités,

Dire oui à la concertation pour créer l'Espace Jeunes.

Tu verras naître des appels à la solidarité

Avec des tracts aux portes des entreprises,

Ceux qui disent « on est là pour défendre notre dignité et nos droits »

Ceux qui invitent à ne pas rester seul et à bouger.

Tu verras naître une place pour le travailleur handicapé

Dans le respect de sa personne,

Une entreprise sauvée de la liquidation,

Des emplois préservés quand ensemble on a lutté,

L'action pour les sans-papiers,

L'audace d'un mouvement « Education sans frontières »,

L'accompagnement des familles dans les relogements

Des quartiers en réhabilitation.

Tu verras naître la confiance à garder dans la maladie, le handicap,

Naître le sourire, le merci, le mot de consolation

Même dans la fatigue,

Naître le désir d'information sur les situations complexes du monde,

L'analyse des causes de violence,

Le discernement des chemins de justice

…/…

Petit, comme toi, Il est né, un jour de Noël,

Une étoile a brillé et les anges ont chanté,

Des pauvres et des étrangers, les bergers et les mages,

Sont venus à lui.

C'est un garçon,

Jésus est son nom

C'est un cadeau de Dieu, ce qu'il a de plus précieux

Une bonne nouvelle qui nous saisit

Et nous invite à l'aventure de la vie avec lui

Naissance pour un autre monde, une terre plus humaine.

Naissance pour un Royaume d'Hommes libres et responsables.

Naissance pour des Hommes

Acteurs de fraternité, révélateurs de dignité.

Petit, pour toi, ils sont nés,

Dans les jeux, les luttes, la résistance, le partage, la paix, la prière.

Ce sont les enfants, les jeunes, les femmes, les hommes d'aujourd'hui,

Ils naissent avec les autres et à la Vie de Dieu.

Je t'invite à y croire, à prendre cette route avec nous.

L'Homme et le Monde sont encore à naître,

Ils n'attendent que Toi."

20:05 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

06/01/2008

TOI QUI CHERCHES UN AMI.

8939847e63f2c9560ee9a361bbe5ab47.jpg

Quand l’épreuve te frappe et que ton cœur est accablé
comme il est bon d’avoir un ami qui se tient à ton côté !
Peut-être ne changera-t-il rien et ne saura-t-il rien te faire,
car le problème sera strictement de ton affaire.
Il est des choses qu’on est seul à pouvoir régler,
il est des chemins où le cœur est seul à pouvoir passer.
Dans ces moments, personne ne peut porter ton fardeau
et tu dois attendre que le baromètre se remette au beau
mais savoir qu’un ami est là avec sa sympathie
et que tu peux toujours compter sur sa compagnie,
t’aidera à supporter ces heures angoissantes
et à te donner des pensées réconfortantes.
Alors,  tu voudras remercier Dieu d’avoir mis à ton côté
l’ami qui t’aidera à garder la sérénité
Tu penseras toi-même à ceux qui sont dans la détresse
et qui attendent peut-être ton amicale délicatesse !

Tant qu’on est heureux, il est difficile de savoir quel est l’ami

qui nous restera fidèle quand viendra le moment de l’épreuve. 

Puissions-nous ne jamais oublier que Dieu est notre meilleur ami

et qu’Il n’est jamais si près de nous que lorsque les nuages nous cachent le soleil !

Bruno LEROY.

13:51 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |