01/02/2007
Change ton regard.
J'aime tes larmes quand elles sont sources de foi,
Ces cristaux dans tes yeux qui me parlent de toi,
Ces inquiétudes radieuses qui se penchent vers d'autres,
Qui reconnaît enfin l'impuissance de ses fautes,
Nous ne pouvons être sur tous les chemins,
Ceux de la misère nous emmènent au matin,
Tu te souviens de l'aurore de notre Humanité,
Où nous semblions pouvoir nous apprivoiser,
Puis vivre dans ce monde sans mille plaies,
Tu me demandes souvent ce qui fut changé,
Depuis l'aube incertaine de notre destinée.
Je ne sais que répondre face aux blessures,
Du monde qui vit dans ses inextricables tortures,
Sans te parler des intolérances qui tuent et déchirent,
Je ne puis que te dire ma certitude de l'homme bon,
Et que certains combats nous font entrer de front.
Je ne puis que te dire d'essuyer tes larmes,
De cesser tes soupirs aux allures de drame.
Change ton regard sur les hommes et le monde,
Donne-lui ton courage, ton sourire et ta Foi salvatrice
Tu sais l'Amour est plus puissant qu'une bombe,
Donne lui cette joie comme un feu sans artifices.
Petit Homme...
17:06 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, poesie | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
29/01/2007
DANS LE SILENCE DU MATIN NAISSANT.
13:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, poesie | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
19/12/2006
RÊVES D'ENFANT.
11:02 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, social, poesie | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
04/07/2006
L'AMOUR A MORT.
13:26 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : spiritualite-de-la-liberation, chritianisme | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
21/06/2006
IL EST SI SIMPLE DE DIRE BONNE FÊTE PAPA !
BONNE FÊTE PAPA. |
IL EST SI SIMPLE DE DIRE BONNE FÊTE PAPA ! Pauvres mots qui cherchent leurs mesures, Il ne savent plus en leur pauvreté, Exprimer les sentiments en simplicité, Tant de lettres se bousculent et se raturent, Dans la tête du poète rêveur de fioritures, Les phrases se fracassent sur les murs, De la pensée qui tourne dans ses idées, Et pourtant il est si simple de dire ordinairement, Des mots limpides que secrètement l'on attend, Des émotions qui explosent telles des gerbes de feu, Pour souhaiter avec le coeur ce que le sang contient, Pour se livrer tel le soleil dans la fraîcheur du petit matin, Dire en quelques sons des instants radieux et heureux, Oser poser un regard sur un Papa qu'on aime, Que ce soit la Fête ou d'autres jours de semaine, Papa je sais que je t'Aime plus loin que tous les océans, Plus loin que l'Univers et même la simple douceur du vent, Et tu sais aussi que mon Amour pour Toi est sans frontières, Alors pourquoi ne pas le dire le jour de cette Fête des Pères, Pourquoi le taire puisque les gestes et regards ne trahissent pas, La Vérité de l'âme quand mes lèvres te disent bonne Fête Papa ! Bruno LEROY. |
10:45 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
30/05/2006
Face à la mer...
Face à la mer |
Je voudrais mourir le corps face à la mer, Entendre les gens rire de ce fait divers, Je voudrais entrer dans cet autre univers, Les yeux retournés au-dedans de moi-même, Entendre le silence m'inspirer quelques vers, Goûter à ta Présence une dernière fois, Pleurer dans les bruits indigestes d'autrefois, Comme si m'absenter devenait un problème, Pour l'Humanité qui se fiche de ma peau, L'amour ne meurt pas quand il est cultivé, L'amour c'est toi c'est moi en cette éternité, Je voudrais tant revivre tout ce que j'ai raté, Et puis, je me dis qu'il est venu ce souffle, S'arrêter au bon moment de ma vie, Les combats sont finis terminés à jamais, Les souffrances aussi sont en plein trépas, Que reste-t-il désormais de moi et des années ? Des joies exprimées au printemps de nos rêves, Des fleurs parfumées qui n'en finissent pas de mourir, Des illusions devenues réalités dans les bras du désir, Je voudrais mourir les yeux ouverts face à l'enfer, Et dire au diable que la Vie est belle, trop belle, Au point d'en mourir... Quand Dieu ne répond pas aux prières suppliantes, Quand nos cris restent désert au pays de l'absente, Je ne veux plus mourir car trop d'oiseaux chantent, Leurs mélodies font rire et apaisent nos âmes, Le soleil fait du charme aux nuages trop lourds, Je ne veux que vivre dans l'Amour, D'un Dieu poète ou troubadour aux tempos rock, Comme un chanteur revenu sur la scène perdue, Je veux revenir à la douceur de vivre, Et ces cruels combats qui nous veulent libres, Je veux revenir aux prières d'autrefois, aux cantiques, A cette introspection qui met la vie en musique, Je voudrais te revoir un instant dans mon miroir, Et le briser au moment où tu apparais, Pour tuer le temps et tuer la mort des souffrants, Oh ! Satan ne vient pas mettre tes doigts dans les miens, Je les briserai sans pitié pour tes supplices d'esclave, Je suis à Dieu désormais et rien ne saurait me faire trembler, Depuis ma tendre enfance je lui ai donné mon existence, Et depuis mes journées même dans leurs noirceurs, Ont la saveur des incandescences du bonheur, J'ai donné sens à ma présence sur cette terre, En laissant mon esprit glisser dans les doigts, De la divine Providence qui me procure des joies, Par-delà toutes souffrances perdues d'avance, Je veux vivre sempiternellement dans ce regard, D'Amour que Dieu Seul peut donner, Et faire de ma mort une immense farce, Qui fera partir ma chair en fumée, Juste pour impressionner les spectateurs, Qui verront sur mes lèvres ce sourire, Narquois de l'homme qui s'en va, Vers d'autres chemins et d'autres destinées, Rien à craindre quand on se sent aimé, Jusqu'au bout de soi-même, Suprême sagesse d'une pensée réfléchie, Aux profondeurs d'une nouvelle philosophie Celle de Jésus-Christ et de son message de vie, Tu sais la Foi est une expérience dont on ne revient, Si tu fais cette rencontre même la mort ne sera rien. Bruno LEROY. |
18:43 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : SPIRITUALITÉ DE LA LIBÉRATION. | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
02/04/2006
HEUREUX ANNIVERSAIRE PAPA !
20:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
IL EST MORT...
14:11 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : SPIRITUALITÉ DE LA LIBÉRATION. | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
14/02/2006
BONNE St VALENTIN MON AMOUR...!
11:12 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : SPIRITUALITÉ DE LA LIBÉRATION. | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
19/11/2005
POURQUOI TOUTES CES LARMES ?
En cette immense peur d'exister,
Pourquoi ces larmes salées,
Alors que Dieu est à tes côtés,
Le doute est aussi une histoire d'amour,
Il ne lâchera jamais ta main même demain,
Celui dont Tu as fais don de ta Vie,
Laisse tomber ce futile chagrin,
Il a souffert pour Toi de ton manque,
De Foi et de certitudes à aimer,
Les fleurs s'épanouissent même dans ses déserts,
Pourquoi ces jeunes qui meurent d'indifférence,
Te font porter une peine sans raison,
Pourquoi tes colères sont-elles toujours de passion,
Pourquoi cette impression de n'être point compris,
Par tes contemporains que tu aimes à la folie,
Pourquoi toutes ces questions te reviennent,
Tel un coup de couteau dans tes illusions,
Pourquoi le fonctionnement du monde,
Ne tourne plus comme tu le désirais,
Pourquoi ne veux-tu point te poser,
Comme les autres le font pour ne pas s'inquiéter,
Pourquoi ton esprit est empli de regrets,
L'impression d'avoir vécu pour personne,
De n'être plus qu'un pâle fantôme,
Homme de peu de Foi je t'Aime,
Et c'est ma raison de te faire vivre à fond,
Loin des superficielles visions d'un autre temps,
Je suis de toutes éternités,
Avant de pleurer il suffisait de me parler,
Je suis là pour écouter ton âme gémir,
Et te donner l'Espérance qui donne la Force,
De vivre en assumant toutes tes fautes,
Tes déraisons, tes coups de gueule.
Tes combats contre les Injustices,
Sont les miens aussi...
Alors, je t'en prie ne pleure plus,
L'avenir commence aujourd'hui,
C'est ainsi que je l'ai voulu,
Sois mon combattant d'Amour,
Et le monde sera splendeur plus que chagrin.
Crois-moi !
Bruno LEROY.
13:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |