26/10/2007
Le publicain et le pharisien.
"La prière du pauvre traverse les nuées." Si 35, 12-18 j'usqu’au bout de la course, je suis resté fidèle." 2 Tm 4, 6-18 qui s’abaisse sera élevé." Lc 18, 9-14 | |
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La mise en scène du pharisien et du publicain est celle de la vie chrétienne. D’un côté, il y a ceux qui se croient justes – donnent aux pauvres, versent le denier du culte à l’Église, jeûnent, font leurs prières, vont à la messe le dimanche – et risquent de contempler leur vie au lieu de s’abandonner dans les bras du Seigneur. Intérieurement, ils peuvent se dire comme le pharisien : « Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes. » De l’autre côté, il y a ceux qui ne sont « pas dans le coup », ni « en règle », et à qui il arrive de temps en temps d’entrer dans une église. Ils se sentent pécheurs, indignes d’être dans un si beau lieu, et leur cœur s’écrie : « Mon Dieu, prends pitié du pécheur que je suis. » Si la vie du second « est devenue juste », c’est parce qu’il s’est présenté devant Dieu avec un cœur humble. À l’inverse, le pharisien s’adresse à Dieu d’égal à égal, non dans une relation d’amour, mais dans une attitude qui frise la suffisance. Il parle de lui et non au Seigneur. Son cœur n’est pas contrit, c'est-à-dire ouvert à la venue de la grâce. Il reste enfermé en lui-même parce qu’il ne s’abaisse pas. « S’abaisser » devant Dieu ne signifie pas s’écraser ou se renier, mais demander à Dieu de venir ouvrir de l’intérieur notre cœur, afin d’être visité par sa grâce : c’est pourquoi celui qui s’abaisse « sera élevé ». C’est la condition pour une juste pratique des commandements.
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12:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
25/10/2007
La veuve et le mauvais juge.
"Choisis des hommes, et va combattre les Amalécites." Ex 17, 8-13 interviens à temps et à contretemps […] avec une grande patience et le souci d’instruire." 2 Tm 3, 14-4, 2 à ses élus qui crient vers lui jour et nuit." Lc 18, 1-18 | |
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La demande répétée, « sans se décourager », de la veuve au juge qui « se moquait de Dieu » est significative de ce qu’est une vraie prière. Si le juge finit par lui rendre justice pour ne plus qu’elle lui « casse la tête », combien davantage Dieu, qui seul est juste, « ne fera-t-il pas justice à ses élus qui crient vers lui nuit et jour » ? Dieu écoute la prière du juste. « Crier » vers Dieu la « nuit » comme le « jour » renvoie à l’attitude du vrai croyant : il engage tout son être dans son adresse au Seigneur. Sa persévérance est le gage que sa demande n’est pas superficielle, mais qu’elle implique toute sa vie. Celui qui prie de la sorte voit sa prière exaucée, mais d’une manière spéciale : son existence est transformée. Il est justifié parce que Dieu lui rend « justice ». Non pas celle des hommes, mais celle « d’en haut » qui rend conforme notre vie à la sienne. Comment ? Par le chemin de la prière : celle de la prière orale qui, fortifiée par la lecture de la Parole, devient méditation, puis oraison et enfin contemplation de la présence divine. La rencontre avec Dieu est à ce "doux" prix. La prière n’a pas besoin d’être compliqué. Plus elle est persévérante, plus elle devient simple et intime : un baume de douceur se pose alors sur notre cœur et nous rappelle combien nous sommes aimés.
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12:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
19/10/2007
LE BLASPHÈME CONTRE L'ESPRIT EST IMPARDONNABLE !
Mais ce qui ne manque pas de retenir notre attention est cette parole mystérieuse : « si quelqu'un parle contre le Fils de l’homme il sera pardonné, mais si quelqu'un blasphème contre l’Esprit Saint, il ne sera pas pardonné ».
On peut dans un premier temps être surpris de cette affirmation : nous venons de traverser des chapitres où il est question de la radicalité de l’engagement à la suite du Christ, et maintenant encore il se manifeste comme le juge eschatologique. Quelle est donc cette suprématie étonnante de l’Esprit sur le Fils ? Comment entendre ces paroles alors que Jésus vient de dire avec insistance l’importance qu’il y a à se prononcer pour lui ?
Rappelons-nous le reniement de saint Pierre. Il s’est en effet prononcé publiquement contre le Christ : « je ne le connais pas » a-t-il dit au soir du jeudi saint. Il a clairement porté une parole contre le Fils de l’Homme. Mais, au chant du coq, ses larmes amères ont manifesté qu’il n’avait jamais cessé d’être disciple au fond de son cœur, et, plus tard, sa vie a témoigné que son désir de rester attaché au Christ résisterait désormais à tout, même à la torture et à la mort.
Ce chemin exemplaire nous montre l’authentique racine du péché que Jésus dénonce : la résistance à l’Esprit Saint. Le péché impardonnable n’est pas de renier le Christ, mais de résister à l’œuvre de l’Esprit dans nos cœurs. Saint Pierre l’a compris ; son reniement n’a pas été la fin de l’aventure spirituelle car il a laissé l’Esprit Sait lui faire découvrir la puissance de la Miséricorde du Seigneur.
Il nous reste cependant à voir ce que nous avons appelé « impardonnable ». Résister à l’Esprit n’est pas impardonnable au sens où cela correspondrait au sommet de la hiérarchie du péché, en ce que cela marquerait la limite de la miséricorde de Dieu, en ce que cela représenterait le seuil de l’intolérable aux yeux de Dieu. Non, ce péché est impardonnable parce qu’il exclut son auteur de la dynamique du pardon, car c’est pour le pardon des péchés que l’Esprit nous fut envoyé.
Le blasphème contre l’Esprit n’est donc pas pardonnable, au sens propre, c'est-à-dire il n’est pas possible de le pardonner, car l’homme qui endurcit ainsi son cœur refuse le pardon.
Seigneur, toi qui connais tous les dédales de notre coeur compliqué et malade, toi qui mesures à quelles extrémités nous sommes capables d’arriver dans notre folie et notre faiblesse, nous te confions tous les choix que nous avons à poser pour te suivre, nous et tous nos frères humains. Tu connais notre faiblesse et notre ignorance, notre lenteur à croire et nos révoltes, ne permets jamais que l’un de nous doute de ton amour au point de refuser la grâce qui nous réconcilie avec le Père.
Frère Dominique.
17:22 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
11/10/2007
La rencontre entre Jésus et les dix lépreux.
"Je le sais désormais : il n’y pas d’autre Dieu sur la terre que celui d’Israël." 2 R 5, 14-17 avec lui nous vivrons." 2 Tm 2, 8-13 | |
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Sur les dix lépreux qui sont guéris par Jésus, un seul est reconnaissant et c’est un étranger : un « Samaritain ». Revenant sur ses pas, il se jette la « face contre terre » et lui « rend grâce ». Jésus lui pose alors une question : « Et les neuf autres, où sont-ils ? On ne les a pas vu revenir pour rendre gloire à Dieu. » « Rendre gloire à Dieu », voilà le vrai chemin de la guérison que décrit Jésus. Il est aussi celui de la justification personnelle, c’est-à-dire de la grâce d’être "ajusté" et remis à notre place : celle d’être fils de Dieu. Par contre, avoir de l’ingratitude signifie (étymologiquement) l’inverse de demeurer dans la grâce ou de rendre grâce. La vie chrétienne guérit en profondeur cette suffisance qui fait percevoir ce qui est reçu – la grâce – comme un "dû" et non comme un "don". « Rendre gloire » signifie, au contraire, reconnaître que la présence de Dieu – sa gloire – est un don gratuit. Si on ne peut rien pour l’obtenir, elle peut, quant à elle, tout pour nous. Jésus lui dit : « Va, ta foi t’a sauvé. » La grâce qu’a reçue le lépreux est le signe que l’amour s’offre gratuitement, mais qu’il faut aussi y croire. Le salut est de ce ordre : vivre sa vie comme un don de Dieu en lui offrant le sacrifice de notre action "de" grâce et de notre action "dans" la grâce.
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19:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
10/10/2007
Esprit d'Amour...
Pourquoi fêter le Sacré Cœur de Jésus (avant-hier) et le Cœur immaculé de Marie (hier) ? Parce que toute leur vie depuis le premier instant a été un immense acte d'amour : amour filial du Père, amour de la Mère et du Fils, amour miséricordieux de tous les êtres humains. Et le cœur est le symbole le plus fort de cet amour. Et nous, comment arriver à aimer
"de tout notre cœur" ? Seul, l'Esprit Saint peut nous faire accéder à la totale vérité de l'Amour, comme en témoigne Guy Gilbert.
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"Nous invoquons trop peu le Saint Esprit. Il est celui qui, en toutes circonstances, intervient, console, panse les blessures et sauve.
Il nous comble de ses dons. A condition de lui demander. Il nous unit surtout, et d'abord, par l'Eucharistie. Toute la famille humaine est là. L'Esprit plane au-dessus de la foule.
Mystérieusement. Que l'église soit comble ou que vous soyez une poignée seulement…
Qui fait que cette dame, qui avait quitté l'Église depuis trente ans, a brusquement, un
dimanche, au son des cloches, été attirée par le temple qu'elle frôlait et où je célébrais ?
Au baiser de paix, je suis allé lui donner l'accolade. Elle était au fond, juste auprès de la porte d'entrée. Elle éclate en sanglots. Ému, je ne savais que faire. Je ne l'ai jamais revue. Seulement, elle m'a écrit quelques semaines après : J'ai retrouvé ma vie de chrétienne, après trente ans de désert. Qui m'a poussée à entrer ce dimanche-là dans l'église ? "L'Esprit d'Amour" lui ai-je simplement répondu. Il nous rassemble. Il nous unit. Il nous fait signe.
Notre Eucharistie doit être le sommet de notre vie. Si tu arrives juste à l'heure ou toujours en retard, la messe pour toi ça ne sera qu'un moment à ne pas louper parmi les mille autres choses à faire durant la semaine. Sans plus. Arrive avant l'heure. Prépare-toi dans la
semaine à la rencontre où le Saint esprit nous réunit.
Alors, l'Eucharistie sera le centre de ta vie. Et la force qu'elle te donnera sera à la mesure de ton attente et de ta joie de recevoir le Christ vivant."
Guy Gilbert
"Le plus bel album de famille : Le Rosaire" - p 90-91
20:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
09/10/2007
La sainteté pour tous.
Le bienheureux Josémaria a écrit dans Sillon que la sainteté personnelle est le remède à tout. « C’est pourquoi les saints furent si pleins de paix, de force, de joie, d’assurance… » ( Sillon ).
Le fondateur de l’Opus Dei répond à une question qui lui a été posée en Argentine en 1974 : comment pouvons‑nous sanctifier le travail ?
Un saint qui ne prierait pas ?… — Je ne crois pas à cette sainteté‑là.Chemin, 107
La « grande » sainteté est dans l’accomplissement des « petits devoirs » de chaque instant.
Chemin, 817
La sainteté est faite d’héroïsme. — Par conséquent, dans le travail on nous demande l’héroïsme de bien « achever » les tâches qui nous reviennent, jour après jour, y compris lorsque ce sont les mêmes occupations qui se répètent. Sinon, c’est que nous ne voulons pas être saints !
Sillon, 529
La sainteté, ou du moins l’effort authentique pour y tendre, ne s’accorde ni pauses, ni vacances.
Sillon, 129
La sainteté est dans la lutte : savoir que nous avons des défauts et, jusqu'à l'héroïsme, nous efforcer de les éviter.
La sainteté — j'y insiste — consiste à dépasser nos défauts… Mais nous mourrons avec des défauts : autrement, je te l'ai déjà dit, nous serions des orgueilleux.
Forge, 312
Les occupations professionnelles — y compris le travail au foyer, qui est une profession de première importance — sont un témoignage de la dignité de la personne humaine. Elles nous donnent l'occasion de développer notre personnalité, d'être unis aux autres, d'avoir des revenus, de contribuer au mieux‑être de la société dans laquelle nous vivons, et de faire progresser l'humanité tout entière…
— Pour un chrétien, ces perspectives se prolongent et s'élargissent davantage encore, parce que le travail, quand il est assumé par le Christ comme une réalité rachetée et rédemptrice, devient un moyen et un chemin de sainteté; il devient une tâche sanctifiable et sanctifiante, dans ce qu'il a de bien concret.
Forge, 702
Faire tout par Amour ! Voilà le chemin de la sainteté, le chemin du bonheur. C'est de ce point de vue que tu dois affronter tes tâches intellectuelles, les occupations les plus hautes de l'esprit, et les choses qui te semblent très à ras de terre, celles que nous devons tous accomplir par nécessité. Et tu vivras alors dans la joie et dans la paix.
Forge, 725
12:15 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
7 octobre journée mondiale du Rosaire !
*** La Journée mondiale du Rosaire partie d’une escroquerie à un homme d’affaire ***
Entretien avec Guillermo Estévez Alverde
ROME, Vendredi 5 octobre 2007 (ZENIT.org) – La Journée mondiale du rosaire, qui aura lieu le 7 octobre et qui unit désormais dans la prière plusieurs centaines de milliers de personnes à travers le monde, est née de l’expérience spirituelle d’un homme d’affaire victime d’un acte frauduleux.
Dans un entretien à Zenit, Guillermo Estévez Alverde, mexicain, raconte comment est née la première Journée mondiale du rosaire, en 1996.
« A 40 ans, je n’avais jamais récité le chapelet, raconte-t-il, je me consacrais à mes affaires qui marchaient bien. Puis je fus victime d’un acte frauduleux et il m’a fallu quitter la ville où je vivais, laissant mes enfants pendant neuf mois, le temps que mes problèmes judicaires soient résolus ».
« Je me suis rapproché de l’Eglise et j’ai remplacer mon dieu argent par le vrai Dieu, a-t-il confessé. J’ai commencé à réciter le chapelet car j’ai senti que la Vierge Marie tenait à ce que nous le récitions et que nous le promouvions ».
« J’ai commencé à le réciter tous les jours, pour mon associé, qui m’avait escroqué, et pour mon avocat, qui m’avait trahi », a-t-il déclaré.
Guillermo Estévez Alverde raconte qu’il a fini par retrouver la paix intérieure. Il s’est rendu auprès de celui qui l’avait escroqué, à qui il a pardonné, ainsi qu’auprès de son avocat.
« Au bout de quelque temps, raconte-t-il, j’ai formé des groupes de prière chez moi, tous les mardis après-midi. Mon épouse, mes enfants et tous ceux qui le voulaient, y participaient … Cela n’a jamais été une obligation, c’était une invitation. Tous les mardis il y avait jusqu’à 60 ou 80 amis chez moi ».
Guillermo Estévez Alverde a alors commencé à encourager les personnes qui venaient prier chez lui, à créer leur propre groupe de prière.
« Cette année-là, Jean Paul II allait fêter ses 50 ans de sacerdoce et un ami prêtre m’a dit qu’il fallait faire quelque chose pour le pape, un cadeau », a-t-il raconté.
De là est née l’idée de réaliser le plus grand Rosaire du monde, fixé pour le 20 octobre 1996.
La récitation du chapelet, explique Estévez Alverde, n’est pas une pratique « désuète », comme certains pourraient le penser.
« Pour moi , elle est plus actuelle que jamais. Elle m’a donné la paix, m’a rapproché de Dieu, et m’a fait vivre très heureux », souligne-t-il.
Des chaînes de télévisions comme EWTN, et tant d’autres chaînes radiophoniques, transmettent l’événement en direct.
Guillermo Estévez Alverde raconte que suite à cette initiative, il reçoit des témoignages du monde entier sur les fruits de la prière du chapelet. Il est convaincu qu’une famille qui prie, reste unie ; qu’un peuple qui prie, reste uni.
[Pour plus d’informations et pour faire part de sa propre adhésion, se connecter au site www.churchforum.org ou envoyer un message à rosario@churchforum.org">rosario@churchforum.org]
*** Journée mondiale du Rosaire le 7 octobre ****
Avec la participation de plusieurs millions de personnes à travers le monde
Les organisateurs invitent ce jour-là à préparer un rosaire « dans un stade ou une église, ou en famille et avec des amis ».
En 2007 « nous célébrons déjà les onze ans de cette oeuvre et, avec la bénédiction de notre Mère, la Très Sainte Vierge Marie, année après année, les fidèles sont toujours plus nombreux, tout comme les pays qui s'unissent à la récitation du Rosaire » explique un des organisateurs, le laïc mexicain Guillermo Estevez Alverde.
Guillermo Estevez a lancé cette initiative avec d'autres laïcs mexicains. « L'idée souligne-t-il est née en octobre 1996, lorsque a eu lieu le Rosaire simultané pour le 50ème anniversaire de l'ordination sacerdotale de sa sainteté Jean-Paul II ».
« L'événement s'est déroulé dans vingt pays. Au Mexique plus de trois millions de personnes ont prié dans 2.600 localités », observe-t-il.
« Au cours de la Journée mondiale du rosaire du mois d'octobre 2000, plus de 140 pays se sont unis, dans lesquels ont été organisés de nombreux rosaires collectifs dans des églises, des stades, des cathédrales, sur des places, dans des prisons, des hôpitaux, des écoles et nombre d'entre eux ont été retransmis à la radio ou la télévision. Des millions de personnes y ont participé à travers le monde », rappelle Guillermo Estevez.
Cette année le siège principal de l'événement sera la basilique de Guadalupe à Mexico. Le groupe « Union de Volontades », chargé de l'organisation, invite chacun à s'unir à l'initiative.
Les organisateurs suggèrent de nommer un représentant qui coordonnera l'événement dans chaque localité.
Il est conseiller de choisir « un lieu public assez grand, comme une église, une place, un auditorium, une maison, une école, un hôpital, une prison ou un stade ».
« Il est également demandé de s'enquérir de « l'accord de l'évêque du lieu ou du curé » et d'inviter « tous les mouvement s laïcs et religieux locaux à participer et unir leurs efforts ».
Pour que la participation soit la plus importante possible, il est proposé de « faire la promotion de l'événement dans les églises, les paroisses, les écoles, les universités, les hôpitaux, les prisons, les centres commerciaux, les taxis, les autobus, les stades, les auditoriums, au sein de la famille ».
Les organisateurs suggèrent en outre de promouvoir le rosaire à travers « la presse, la radio, les télévisions locales » et d'« inviter les prêtres à confesser au cours de l'événement ».
Pour tout renseignement cf. www.churchforum.org/rosario ou www.rosario.catholic.net (sites en espagnol) ou envoyer un message à : rosario@churchforum.org">rosario@churchforum.org
*** Pour vous aider à prier le Rosaire voici un livre et un double CD audio :
* LIVRE LE ROSAIRE
Un livre de 32 pages tout en couleurs, avec un magnifique tableau pour chacun des 20 mystères du Rosaire Une explication du Pape Jean-Paul II et à chaque mystère un extrait de la parole de Dieu.
- Prix du livre est de 5 €uros. (Prévoir 2€ de port)
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Que Dieu vous bénisse par Marie !
Thierry Fourchaud
A bientôt sur : www.mariereine.com
Notre site d’évangélisation: www.labonnenouvelle.fr
(Prochain numéro de la Bonne Nouvelle sur la France en novembre)
09:55 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
04/10/2007
Un ange marche à tes côtés.
Les Anges sont des créatures merveilleuses que Dieu a mis à nos côtés pour nous accompagner vers le Ciel, pour nous aider à gravir les degrés de l’échelle de la perfection, de la communion toujours plus intime avec la Très Sainte Trinité. Ils « montent » et « descendent » ces degrés pour conduire l’homme à l’Amour infini, à l’Océan sans limites de son origine où tout est plénitude de grâce. Les Anges viennent de là et n’ont d’autre intérêt que d’aimer Dieu et de Le faire aimer par les hommes pour les amener tous à participer à la fête avec Lui.
Le jour précisément de la fête des Saints Archanges Michel, Gabriel et Raphaël, le Pape Benoît XVI nous a expliqué la « véritable nature » des Anges : c’est « l’existence, en vue de Lui-même et pour Lui-même ». En outre, le Pape déclare : « les Anges, « précisément parce qu’ils sont auprès de Dieu, peuvent être aussi très proches de l’homme. Dieu, en effet, est plus intime à chacun de nous que nous ne pouvons l’être nous-mêmes. Les Anges parlent à l’homme de ce qui constitue son être même, de ce qui, dans sa vie est trop souvent caché et enseveli. Ils l’appellent à rentrer en lui-même, en le touchant de la part de Dieu » (Benoît XVI, homélie de la Messe du 29 septembre 2007).
Les Anges, pourrions-nous dire en utilisant une expression humaine, s’approchent de nous « sur la pointe des pieds », ils nous encouragent et attendent patiemment que nous nous décidions en faveur du Seigneur ; ils n’exercent envers nous aucune « ingérence », ils n’interfèrent d’aucune manière dans notre liberté qu’ils respectent en tout et pour tout. Si nous voulons rester fermés à leur présence, ils se mettront de côté ; mais, en revanche, si nous demandons leur aide, alors ils ne tarderont pas à nous secourir parce que c’est là leur joie : nous aider à trouver toujours plus Jésus en nous-mêmes et dans nos frères, pour Le servir, pour L’aimer comme eux : de tout notre être ! Ils sont les messagers de Dieu rappelait samedi le pape Benoît XVI. (Ibid)
L’existence des Anges nous est révélée par Dieu lui-même, et se manifeste dans toute la Sainte Écriture. Dès notre enfance, notre Sainte Mère l’Eglise nous a enseigné la belle prière à adresser à notre Ange Gardien, prière dans laquelle nous demandons chaque jour à notre compagnon céleste « de nous éclairer, de nous garder, de nous diriger et de nous guider », en reconnaissant que cette action est un don de la « piété céleste », de la miséricorde divine ! Saint Bernard, à propos de cette protection angélique déclare : « ‘Il donnera ordre à ses Anges de te garder dans toutes tes voies’. Quelle révérence ces paroles ne doivent-elles pas susciter en toi, quelle dévotion ne doivent-elles pas t’apporter, quelle confiance ne doivent-elles pas mettre en toi ! Révérence pour la présence, dévotion pour la bienveillance, confiance pour la protection. Ils sont donc présents, et ils te sont présents, non seulement avec toi, mais aussi pour toi. Ils sont présents pour te protéger, ils sont présents pour t’être utiles » (Saint Bernard)
Pourquoi donc parle-t-on si peu des Anges aux baptisés, et pourquoi recourt-on si rarement à leur aide pour vaincre les passions, et avancer dans la voie de la sainteté ? Pourquoi oublie-t-on si souvent d’en parler dans nos écrits, dans nos conférences, dans les homélies ou dans la catéchèse. Pourquoi accorde-t-on si peu d’attention aux Anges ?
Les Saints nous enseignent, à partir de leur vie, un grand amour envers les saints Anges. Combien de pages merveilleuses a écrit à leur sujet le « Docteur Angélique » par exemple, Saint Thomas d’Aquin ! Mais, en réalité, pour alimenter la dévotion envers les Anges, il suffit d’ouvrir la Sainte Écriture, et en particulier le Nouveau testament, et redécouvrir que c’est précisément à un Ange, Saint Gabriel, qu’a été confiée la mission d’apporter l’Annonce qui nous a tous sauvés, parce que la Vierge Marie a répondu « oui », « fiat » !
Il est beau de contempler tout cela dans la prière de l'Angélus : « Angelus Domini nuntiavit Mariae » ! On ne peut imaginer quelle fut la gratitude da la jeune Marie de Nazareth, quand un Ange est venu pour l’aider à découvrir le Mystère le plus grand de l’Amour de Dieu : l’Incarnation du Verbe ! Le pape Benoît XVI évoquant l'Ange souligne que Gabriel est le messager de l'incarnation de Dieu. le pape ajoutait qu'en entrant nous-mêmes en union avec le Christ, nous pourrons également assumer la fonction de Gabriel: apporter l'appel du Christ aux hommes. (Ibid)
C’est seulement ceux qui sont humbles qui peuvent comprendre les Anges, créatures les plus humbles de Dieu. Les Anges, avec à leur tête Saint Michel Archange, dont le nom veut dire « Qui est comme Dieu », nous rappellent que nous ne sommes rien sans Dieu, que notre grandeur réside uniquement en Dieu, et que Dieu se fait trouver par les petits, par ceux qui deviennent des enfants, les seuls qui soient capables d’entrer dans son royaume (cf Mathieu 18, 3) ! Aux séminaristes le pape Benoît XVI précisait que les anges de Dieu, quelle que soit la distance qu'ils parcourent pour leurs missions, sont toujours en chemin en Dieu. Ils sont toujours avec Lui. (Benoît XVI à ses séminaristes- être avec Lui et être envoyés)
Ce sont eux précisément les plus grands alliés des Anges, et, dès les toutes premières années de leur vie, ils devraient entendre parler de ces créatures célestes, en apprenant à les prier. Les enfants sont en effet les collaborateurs les plus dociles des Anges. Car leur esprit est encore ouvert au mystère, sensible au « toucher » des Anges ; leur esprit est simple et non pas compliqué comme celui des « grands », qui ont eu honte de rester des « enfants » dans leur cœur, et qui ont ainsi perdu le trésor le plus grand, celui de leur innocence. Les Anges veulent nous aider à la retrouver, et c’est pour cela que, dans notre vie ils nous font rencontrer de nombreux « enfants », non seulement les petits par leur âge, mais aussi les « petits » par leur humilité, pour faire renaître en nous la nostalgie de Dieu, qui aime révéler Son Visage à travers eux précisément !
Repères :
Le Christ est le centre du monde angélique. Ce sont ses anges à lui : « Quand le Fils de l'homme viendra dans sa gloire avec tous ses anges » (Mt 25,31). Ils sont à lui parce que créés par et pour lui : « Car c'est en lui qu'ont été créées toutes choses, dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles : trônes, seigneuries, principautés, puissances ; tout a été créé par lui et pour lui » (Col 1,16). Ils sont à lui plus encore parce qu'il les a faits messagers de son dessein de salut : « Est-ce que tous ne sont pas des esprits chargés d'un ministère, envoyés en service pour ceux qui doivent hériter le salut ? » (He 1,14) (Le Catéchisme de l'Eglise catholique § 328-332)
22:14 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Grandir dans la foi.
La foi est un don de Dieu, elle se reçoit et en même temps, elle ne cesse d’être cherchée. Vivre par la foi ouvre le cœur à des espaces intérieurs immenses, mais qui restent incompréhensibles pour les incroyants. Si la foi « déplace les montagnes », c’est que Celui en qui nous croyons a déjà transformé toutes choses. Le credo en Jésus-Christ est notre véritable force. « Tout est possible à celui qui croit. » Lui seul a « déraciné » le péché des hommes et l’a vaincu définitivement en le plantant dans l’eau de son baptême. Avoir la foi donne d’accueillir le Verbe de Dieu qui confère sens à toute vie : elle nous justifie et nous offre la vie éternelle. Les « montagnes » de problèmes de notre quotidien ne sont écrasantes que lorsqu’elles prennent la première place. La foi nous introduit dans une autre dynamique : demeurer dans la confiance, et cela avec constance. « Je peux tout en celui qui me fortifie », s’écrie saint Paul. Grandir dans la foi n’est possible qu’avec notre engagement personnel, notre adhésion du cœur et la mise en pratique de la Parole de Dieu à travers ses commandements. Montons sur la montagne (de notre cœur et par la prière) pour écouter le Seigneur : c’est toujours de là que Dieu, dans la Bible, parle à son peuple. Cette écoute de Dieu par la foi fait grandir l’attitude d’être « serviteur ». Devenons humblement le serviteur de Dieu et répondons à son amour en faisant pour lui gratuitement « notre service » de chrétien.
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19:27 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
03/10/2007
le Rosaire Vivant !
Beaucoup nous demandent des prières pour ce mois d'octobre. Nous en enverrons, mais n'oublions pas que c'est le mois du Rosaire... Alors, retrouvons et reprenons en main notre chapelet qui nous relie à Dieu par Marie !
Voici une idée : pourquoi ne pas démarrer une équipe du Rosaire Vivant...
*** LE ROSAIRE VIVANT ***
* L’histoire
Le Rosaire Vivant a été crée en France en 1826. Il a été fondé par Pauline Marie Jaricot (photo) comme l’Association du Rosaire Vivant pour défendre et réanimer la fois. Il s’agit du développement de la vie chrétienne de la personne, de la famille et de la société. À travers Le Rosaire Vivant on veut unir des cœurs par les mérites de Jésus et Marie pour obtenir la conversion des pécheurs, pour l’église, le maintien de la foi dans les pays chrétiens et l’extension de la foi dans le monde entier. Alors, nous pouvons prier pour ceux qui prient pas et aimer Jésus par Marie au nom de toutes les personnes que ne l’aiment pas et ne le connaissent pas.
* Héritage du Rosaire Vivant de Pauline Jaricot.
Cette jeune Lyonnaise a vécu de 1799 à 1862. Née dans un milieu chrétien aisé, elle fait à 17 ans le vœu de pauvreté, et le voeu de se consacrer entièrement au service de Dieu tout en restant dans le monde. A 22 ans , elle invente un système, elle lance l’oeuvre du Rosaire Vivant car elle sait que toute oeuvre chrétienne est fondée sur la prière. Elle organise alors des groupes de 15 personnes (aujourd’hui le Rosaire contient 20 mystères, mais il y en avait 15 à cette époque). Chaque personne d’une quinzaine s’engage à prier une dizaine du Rosaire en méditant le Mystère qui lui échoit par tirage au sort, chaque mois. Pauline conseille de composer chaque groupe par « du bon, du médiocre et quelques autres personnes qui n’ont que la bonne volonté ». Ainsi, sur les 15 morceaux de charbon réunis, « un seul est bien allumé, 3 ou 4 le sont à demi, et les autres pas. Rapprochez-les , c’est un brasier ! ».
« Voilà le caractère propre de votre Rosaire Vivant » lui écrit le Provincial des Jésuites, le Père Ramière, enthousiaste. En 1862, à la mort de Pauline, le Rosaire Vivant compte plus de 150 000 quinzaines (soit 2 250 000 inscrits). Avec beaucoup d’humilité, elle disait : « Je ne suis que la première allumette pour allumer le feu ».
* Reconnaissance officielle
En 1877 le pape Pie IX a soumis L’Association du Rosaire Vivant au Général des dominicains. Maintenant le Rosaire Vivant dépend des évêques qui sont responsables pour le développement de la vie religieuse dans leurs Diocèses. Le Rosaire Vivant unit tout le monde : les enfants, les jeunes gens et les parents...
* Trésors du Rosaire
Dans la Lettre apostolique ‘Rosarium Virginis Mariae’ le Pape Jean Paul II écrit (le 16 octobre 2002) à l’épiscopat, au clergé et aux fidèles sur le rosaire : Le Rosaire, un trésor à redécouvrir. Chers frères et soeurs! Une prière aussi facile, et en même temps aussi riche, mérite vraiment d'être redécouverte par la communauté chrétienne. Je remets cette Lettre apostolique entre les mains sages de la Vierge Marie, m'inclinant spirituellement devant son image dans le splendide sanctuaire qui lui a été édifié par le bienheureux Bartolo Longo, apôtre du Rosaire. Je fais volontiers miennes les paroles touchantes par lesquelles il termine la célèbre Supplique à la Reine du Saint Rosaire: « Ô Rosaire béni par Marie, douce chaîne qui nous relie à Dieu, lien d'amour qui nous unit aux Anges, tour de sagesse face aux assauts de l'enfer, havre de sécurité dans le naufrage commun, nous ne te lâcherons plus. Tu seras notre réconfort à l'heure de l'agonie. À toi, le dernier baiser de la vi e qui s'éteint. Et le dernier accent sur nos lèvres sera ton nom suave, ô Reine du Rosaire de Pompéi, ô notre Mère très chère, ô refuge des pécheurs, ô souveraine Consolatrice des affligés. Sois bénie en tout lieu, aujourd'hui et toujours, sur la terre et dans le ciel ».
* Puissance du Rosaire
- Le Rosaire n’est pas une demande, encore moins une « dévotionnette.
- Le pape Léon XIII a écrit 12 encycliques ou lettres sur le Rosaire. Il a été suivi par Jean-Paul II qui a déclaré l’année 2003, « année du Rosaire ».
- Par le Rosaire, Marie éduque, forme, donne l’identité d’Enfant de Dieu.
- Le Rosaire est centré sur Jésus c’est une marche, un pèlerinage, un chemin à parcourir. Il nous met dans les pas du Christ.
- « Quand vous criez Marie… Marie répond Dieu. » (P. de Monfort)
- Le Rosaire est une lente culture sacrée de l’Évangile.
- Le Mystère est une richesse qui se découvre lentement et, par les Mystères, il y a un aujourd’hui de l’Évangile.
* Comment organiser Le Rosaire Vivant ?
Un rosaire vivant est une chaîne de prière réunissant 20 personnes. Chacune médite chaque jour, par une dizaine de chapelet, la mystère qui lui a été confié, en communion avec les 19 autres. Ainsi, un rosaire complet est médité chaque jour et le rosaire vivant constitue une prière d'Eglise.
* Basé sur l'amitié
Chaque mois on se retrouve pour prier le Rosaire tous ensemble et demander un nouveau Mystère par personne pour le mois suivant. Après on peut finir ce temps par un repas fraternel.
La personne responsable organise le groupe de 20 personnes qui récite chaque jour le Rosaire. Le groupe des femmes, des hommes et des enfants s’immerge dans la contemplation d’un mystère reçu chaque jour. Ainsi, chaque jour on pose une couronne de roses sur la tête de Marie qui lui apporte la gloire et pour les gens procure la grâce de Dieu. Marie porte alors toutes ces roses de gloire à son Fils Jésus. Si ces Roses vivantes sont nombreuses et durables on crée un groupe du Rosaire Vivant.
* Les fruits
Ils sont innombrables et les témoignages multiples. Demandez aux prêtres de paroisses qui ont un groupe chez-eux... Mais les premiers fruits sont la paix, la réconciliation dans les familles, l’amour retrouvé et la charité fraternelle. Mais ils y en a beaucoup d’autres…
Le rosaire vivant se propage tout seul, car c’est facile et accessible à tous. Par exemple à Lyon il y a déjà 14 équipes de Rosaire Vivant soit 280 personnes qui prient par jour le rosaire vivant !
* Vous pouvez aussi visiter :
www.livingrosary.ca
http://catho62-bruay.cef.fr/rosaire/jaricot
www.ssccjm.org
* * Que Jésus vous bénisse par Marie !
Thierry Fourchaud
A bientôt sur : www.mariereine.com
Notre site d’évangélisation : www.labonnenouvelle.fr (prochain numéro sur la France)
* Si vous aimez la Vierge Marie et que vous souhaitez nous encourager, vous pouvez adresser vos offrandes à : www.mariereine.com/ puis allez dans la case en bas à droite "faire une offrande"
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08:55 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |