10/04/2006
LA VIE ÉTERNELLE.
"Vous recevrez la puissance du Saint-Esprit." Il ne s'agit pas d'un pouvoir spécial, que nous donnerait le Saint-Esprit. Cette puissance que nous recevons, c'est le Saint-Esprit lui-même. La vie qui était en Jésus devient la nôtre, par le moyen de sa croix, dès que nous décidons de nous unir à Lui. Si nous éprouvons des difficultés dans nos rapports avec Dieu, c'est que nous ne savons pas rompre décidément avec le péché. Dès que nous en prenons la décision, la plénitude de la vie de Dieu remplit notre âme. Jésus est venu vers nous afin que nous soyons "remplis de l'absolue perfection de Dieu". La vie éternelle n'a rien à voir avec le temps qui s'écoule, c'est la vie dont Jésus vivait, et dont il est l'unique source.
Le chrétien le plus faible peut éprouver en lui la divine puissance du Fils de Dieu, si seulement il s'abandonne à Lui. Mais tout effort qui vient de nous paralyse en nous la vie de Jésus. C'est seulement par l'abandon continuel de nous-mêmes que Dieu pourra nous remplir de sa perfection.
Ne soyons pas des chrétiens tièdes!
09:14 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
08/04/2006
Bon Carême !
Carême, temps favorable, temps de grâce pour notre conversion et entreprendre notre chemin de libération.
Nous convertir à la solidarité à la communion !
Qu’est-ce que cela signifie ?
C’est de ne pas penser seulement à son propre bonheur, bien-être, paix, justice, droits, indépendamment de celui des autres.
Faire la découverte, l’expérience, comme le peuple hébreu traversant le désert, d’être un seul peuple, en marche, ensemble vers la libération. Se considérer comme une seule famille, un seul corps ; quand un membre de notre corps souffre, c’est tout notre être qui est souffrant.
Le but des sacrifices que l’Eglise nous propose en ce temps, c’est de :
1) faire mourir notre orgueil, notre individualisme, nous libérer de l’esclavage du consumérisme et de la soif de posséder.
2) venir à l’encontre des besoins de tant de pauvres, nos frères, partie intégrante de notre humanité, et donc de notre corps, et qui manquent surtout du stricte nécessaire.
3) Croire et accueillir l’amour de Dieu, Père de tous, qui a sacrifié son Fils, pour nous sauver tous et nous faire participer à sa vie divine.
Sans solidarité nous risquerons de présenter une humanité comme l’image d’un homme très élégant de la tête à la taille, une jolie cravate au cou, mais avec son pantalon déchiré et les pieds nus.
Je me rappelle un évêque : Mgr Gasparini qui aurait dit, « si ces pauvres ne vont pas au paradis, moi non plus je ne veux pas y aller ».
Voila la solidarité !
Bon chemin de conversion !
Père Angelo Buccarello
21:22 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
LA SOLITUDE DU DÉPOUILLEMENT.
Jésus ne peut pas toujours nous prendre à part et nous expliquer ce que nous ne comprenons pas : il est forcé de tenir compte de ce que nous pouvons comprendre à un moment donné. Les vies des autres sont pour nous des paraboles, grâce auxquelles Dieu nous fait déchiffrer peu à peu le contenu de nos propres âmes. C’est un long travail : Dieu a besoin de toute l’éternité pour façonner à sa guise un homme ou une femme.
Notre rôle à nous est simplement de permettre à Dieu de nous conduire à travers tous les replis tortueux de notre personnalité. Notre ignorance de nous-mêmes est fantastique. Nous ne voyons pas ce qui crève les yeux, notre jalousie, notre paresse, notre orgueil. Jésus nous révèle le triste contenu de notre triste personne, tout ce qu’elle recelait en elle avant que Sa grâce ait commencé d’agir en nous. Qui sont ceux qui ont appris à se regarder avec courage ?
Il faut nous débarrasser de l’idée, du préjugé tenace, que nous nous comprenons nous-mêmes. Dieu seul nous comprend. Cette suffisance instinctive est le ver rongeur de notre vie spirituelle. Pour peu que nous ayons pu entrevoir ce que nous sommes aux yeux de Dieu, nous ne parlerons plus jamais de notre grande indignité, parce que nous savons qu’elle existe, et qu’elle est inexprimable.
Tant que nous ne sommes pas convaincus de notre indignité, Dieu pèsera sur nous pour nous arracher à nous-mêmes. Tant que persiste notre suffisance, Jésus ne peut rien nous expliquer. Il lui faut frapper à mort notre orgueil, mettre à nu nos attachements coupables.
Il faut, pour que Dieu nous parle, la solitude du dépouillement.
Bruno LEROY.
10:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
06/04/2006
MÉDITATIONS.
Photo : Josiane Arambel.
Croire en ce que l'on voit, ce n'est pas croire mais constater. Si Dieu pouvait être vu, touché, approché afin de lui dire ce que nous pensons de ce monde. Il ne s'agirait plus de Foi qui est par essence, croire sans voir, mais une sorte de rencontre avec un pote pour boire un pot. La Foi demande beaucoup plus de force d'esprit et de subtilités.
Les manifestations de Dieu s'éprouvent par l'expérience de Vie. Attention de ne point remettre en place un faux dieu, dit interventionniste. L'homme n'aurait plus d'effort à effectuer pour grandir, il serait une larve aliéné par sa Foi. Alors, que Dieu laisse la liberté à l'être Humain de l'aimer ou non. A quoi servirait le militantisme pour un monde meilleur ? A rien, puisque Dieu ferait tout à notre place. Ce sont les images fausses, stupides, imbéciles qui contredisent l' Évangile et que les libertaires ont toujours voulus détruire, à raison. La question serait plutôt de se poser, en quel Dieu, je crois ?
Un Dieu qui veut rendre l'Homme esclave ou un Dieu espace de Liberté pour ma pensée. Moi, je crois plus aux êtres Humains qui vivent un Dieu de libération et non d'aliénation. A travers eux on voit Dieu dans toute sa splendeur !
Bruno LEROY.
Photo : Josiane Arambel.
18:33 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
LA MÉLODIE DE L'AMOUR.
L’Amour, ce mot qui sonne comme une douce mélodie dans nos oreilles. Souvent, nous en parlons telle une potion magique qui cicatriserait nos maux. Et plus nous en parlons moins nous l’appliquons. Pourquoi ? Tout simplement, parce que nous ne sommes point parfaits et ne savons pas toujours l’exprimer.
La compassion est bien au dessus de l’Amour, puisqu’il s’agit d’un regard bienveillant, sachant souffrir avec autrui. Seul Dieu peut avoir cette attitude, dans Son Amour infini. Ne nous leurrons point, tout être humain est limité, donc imparfait. Et nous attendons trop des autres qui nous ressemblent. C’est alors que la grande farandole du refus de pardonner vient nous empoisonner.
Nous sommes Frères et Soeurs en Christ et certains sont plus imparfaits que d’autres. N’ayant pas accomplis le même cheminement spirituel, nous oublions leurs imperfections et la vengeance montre son visage. Tout est en Dieu-Amour, tout peut être remis en Son coeur de tendresse. Souvent, nous oublions que Lui Seul nous donne l’Amour nécessaire pour aimer les autres.
Remettons notre vie tout entière entre Ses bras. Nous ne serons qu’un diaphane reflet de Son Amour, de Sa compassion. Mais, nous n’aurons plus cette incompréhension vis à vis des autres de toujours leur demander l’impossible.
Le maître de l’impossible, c’est Dieu débordant d’Amour pour tous car, nous sommes ses enfants. Je remercie mon Dieu Père de pardonner au petit enfant que je suis les manques d’Amour. Ceux que je n’ai jamais su donner car trop imparfait dans ma dimension humaine. Aujourd’hui, je remets mon destin entre les mains de Dieu et sais que Son Amour me conduira, malgré mes imperfections.
Christ donne-moi ton regard d’Amour sur tout être rencontré et tiens-moi la main afin que mon âme ne connaisse point la haine des autres !
Bruno LEROY.
12:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
05/04/2006
METTRE SA VIE ENTRE LES MAINS DE DIEU.
Avez-vous l’impression qu’on vous exploite, que tout le monde se sert de vous ?
Vous pensiez que l’on vous aimait et soudain vous découvrez que les autres n’ont fait que se servir de vous, et vous vous sentez trahi. Cela est normal, car vous avez certainement placé votre vie entre les mains d’autres humains.
N’oubliez jamais qu’aucun être humain ne peut créer quoi que ce soit : il ne peut que se servir de ce qui existe déjà !
Vous venez de vous énerver face au comportement de vos enfants. Vous venez peut-être de vous emporter contre un collègue de travail. Ou encore vous hurlez votre rage à l’encontre du chauffard qui vient de vous couper la route. Vous avez eu une discussion envenimée avec votre compagnon ou votre compagne.
Et maintenant vous déversez votre ressentiment sur vos proches ou sur n’importe quel autre humain qui se trouve à portée de voix ! Avez-vous jamais songé que peut-être votre colère est l’expression de l’amertume que vous avez laissée libre d’envahir votre âme ?
La solution n’est pas de déverser votre rancune sur ceux qui vous entourent, c’est de l’amener aux pieds du Seigneur grâce à la prière, et de Lui permettre de vous en guérir.
La guérison doit s’effectuer à l’intérieur de vous avant de s’extérioriser. Voilà pourquoi vous devez passer du temps auprès du Seigneur, Lui permettant de pardonner vos rancunes, de guérir la souffrance, de cicatriser les souvenirs, et de remplir votre coeur de Son amour, afin que vous puissiez aimer les autres comme Lui sait le faire. Laissez-Le faire Son travail en vous : n’essayez pas de Le remplacer par vos efforts personnels ! Essayez de prier cette prière : “O Père, je désire agir avec amour, pas réagir avec amertume. Aide-moi à montrer de la patience envers tous. Que Ton amour, aujourd’hui contrôle ma vie et mes attitudes, au nom de Jésus. Amen” Avez-vous l’impression qu’on vous exploite, que tout le monde se sert de vous ?
Si nous obéissons à Dieu, d’autres en souffriront plus que nous, et cela nous tourmente. Pour nous, si nous avons de l’amour pour notre Seigneur, l’obéissance ne nous coûte pas, c’est une joie, mais elle coûte à ceux qui ne l’aiment pas. En obéissant à Dieu, nous renverserons les plans de certaines personnes, qui nous diront : " C’est cela que vous appelez être chrétien ! " Pour éviter de les faire souffrir, il nous faudrait tout simplement désobéir à Dieu.
Retranchés dans notre orgueil, nous disons : " Jamais je n’accepterai de recevoir quoi que ce soit de quelqu’un d’autre." Il le faut bien pourtant, ou sinon désobéir à Dieu. Avons-nous le droit de refuser ce que notre Maître a lui-même accepté ? (Luc 8, 23)
Si nous disons : " Je veux supporter seul toutes les conséquences ", nous paralysons notre vie spirituelle. Car c’est impossible. Nous sommes tellement dépendants de tous les desseins de Dieu qu’en lui obéissant, nous agissons nécessairement sur les autres. Si nous voulons obéir à Dieu, il nous faut accepter humblement toutes les conséquences. Certes, nous pouvons désobéir à Dieu pour nous épargner cette humiliation, nous pouvons contrister notre Seigneur. Mais si nous choisissons de lui obéir, il veillera lui-même sur tous ceux qui auront subi le contrecoup de notre obéissance. Obéissons : Dieu pourvoira.
Ne dictez rien à Dieu. A Lui de prévoir et de pourvoir.
Bruno LEROY.
10:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
31/03/2006
UNE MALADIE MORTELLE...
Je pense que le découragement est une maladie mortelle qui n’est pas seulement universelle, mais aussi très contagieuse. Avez-vous déjà remarqué que quand vous passez votre temps avec quelqu’un qui est découragé, vous vous découragez vous aussi ?
Mais on peut aussi guérir du découragement!
J’ai une fois parlé aux Dodgers de Los Angeles avant un match. Le Dodger vétéran Bill Russell fit une déclaration que je n'oublierai jamais. Il a dit, "les Gagnants – les pros - ne renoncent jamais lors d’une crise. Ils continuent, et ils la surmontent."
Donc une des clefs pour soigner le découragement est la patience – surmontez-le !
Mais il y a quelque chose d'autre que vous pouvez faire tout de suite pour aider à parer cette maladie.
Vous pouvez faire une petite sieste.
Parfois la chose la plus spirituelle que vous pouvez faire est tout simplement d’aller au lit. C'est parce que quand vous êtes physiquement épuisé, il est dur d'être émotionnellement et spirituellement en forme. Le célèbre entraîneur de football Vince Lombardi a dit, "La fatigue fait de nous tous des lâches." C'est vrai. Il est étonnant de voir combien les choses apparaissent meilleures après une bonne nuit de sommeil.
Si vous êtes découragés en ce moment, il se pourrait que vous n’ayez rien à changer à votre ministère; peut-être avez-vous juste besoin d'un peu de repos.
Même le sol a besoin de repos. Les fermiers le savent; donc ils font tourner leur récolte et laissent systématiquement une partie de leur terre en jachère. Ils le font parce que la terre qui a été au repos donne une moisson plus grande.
In 1898 Frederick W. Taylor a fait une étude scientifique sur le lieu de travail et la productivité. Savez-vous ce que son étude a prouvé? Que les gens produisent plus s'ils ont des pauses périodiques et c’est ainsi que la pause-café est née.
Le repos est spirituel : "Dieu veut que ses bien-aimés obtiennent leur repos approprié." (Psaume 127:2) Certains d'entre vous doivent le souligner et le mettre sur votre réfrigérateur. La Bible dit qu’il est vain pour vous de vous lever tôt et vous coucher tard.
En voici encore un : " Tes mains m'ont créé, elles m'ont formé; Donne-moi l'intelligence, pour que j'apprenne tes commandements! " (Psaume 119:73) Quelles sont ses lois pour le corps ? Mangez sainement, bien dormir, faire de l’exercice et se détendre. Le repos est si important, en fait, que Dieu le met dans les Dix Commandements. Il a dit, " Mais le septième jour, tu te reposeras. "
N'ignorez pas ce que Dieu a établi : c'est la première étape pour éviter le découragement. Une bonne nuit de sommeil fait une grande différence. Et vous ne savez pas à quel point votre humeur peut changer, même après un petit somme.
19:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
24/03/2006
ÉDUCATEUR DU BONHEUR D'AIMER.
Tout donner par Amour d’autrui et s’effacer lentement pour laisser place à la Liberté. Ne sont-ce point les fondamentales règles de l’Éducation ? Christ nous invite donc à devenir les éducateurs des uns, des autres.
Pour nous mettre au service de notre humanité. Quel beau programme de Vie ! Et pourtant, combien d’adnégations ne faut-il point pour parvenir à ce champ de conscience. Non pas se renier soi-même, tel un être abject.
Mais, s’oublier pour être entièrement disponible aux autres. Nous avons tous et toutes des potentialités qu’il nous faut partager. Il nous faut offrir les plus splendides émeraudes de nous-mêmes.
Ne pas vivre un repli destructeur où seul notre ego, notre individualisme trouverait sa raison d’être. D’ailleurs, si tous les hommes et femmes se conduisaient de cette façon, notre Terre bien aimée disparaîtrait, assassinée par note égoïsme. Nos formons une société et à ce titre, nous avons le devoir vital de nous préoccuper des autres. Ces autres qui parfois, nous font peur car, ils n’ont pas les mêmes repères, valeurs que nous. Ces autres qui deviennent vite des étrangers tant ils nous ressemblent peu. Et pourtant, Dieu-Amour a créé un monde en couleurs avec des diversités qu’il nous faut découvrir.
Si nous étions moins sur la défensive de toujours vouloir protéger notre territoire, nous serions plus ouverts. Oui, ouverts au Vent de l’Esprit qui passe souvent près de nous et dont nous ignorons trop souvent la Présence. La peur est la conséquence de l’ignorance. L’ouverture d’esprit est l’origine de la confiance.
Il nous faut choisir entre une existence médiocre et une vie enrichissante. Enrichie par le flux et le reflux des marées humaines. Il nous faut choisir entre vivre mourant ou mourir en vivant. Je m’explique...
Si, la vie est une chambre où vous dormez pour échapper à ce besoin vital de vous faire violence pour aller vers les autres, alors vous êtes un mort-vivant. Si, au contraire le soleil dont vous illuminez chaque être pour semer de la joie, par votre seule présence à leur service, vous mourrez à vous-même et votre égoïsme légendaire également. Vous serez réellement vivants ( tes ) pour accueillir chaque Humain comme un Don de Dieu-Amour.
Chaque personne est un ange qui frappe à votre porte, ne refermez pas trop vite la possibilité de vous rendre visite. Dieu est Présent en chaque être Humain, du plus fragile au plus fort, et ce serait désonhoner Dieu que de le rejeter. Une main tendue, une aide ponctuelle, une écoute des problèmes d’autrui, ont fait des miracles. Nous le savons et pourtant, nous restons sur nos gardes, tels des païens n’ayant aucune confiance en Christ.
Nous ne sommes pas assez habités par Lui pour devenir audacieux. Et pourtant, nous le savons, si nous voulons mettre l’évangile dans nos vies, il nous faudra franchir le pas. Pour cela, la prière deviendra notre Force quotidienne, nous permettant de tout affronter. Il faut, que nous entrions dès ce jour dans cette prière de supplication pour demander à Dieu de nous indiquer le chemin. Je suis le chemin, la Vérité, la Vie. Nous ne pourrons rien faire de valable sans sa présence conseillère et protectrice. Bannissons nos peurs et notre égoïsme et allons vers les autres pour les aider aussi à aimer la Vie. Sans eux, nous ne sommes rien. Sans Christ, nous ne sommes rien. Pourtant, c’est Lui qui nous conduit vers autrui lorsqu’une personne est dans le besoin.
N’ignorons pas non plus Ses appels. Nous risquerions de rater définitivement notre vie pour ne pas l’avoir partagée. La Vie appartient à Dieu, il est légitime que nous faisions quelques cadeaux de ce Bonheur qui hante nos coeurs.
Bruno LEROY.
11:48 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
19/03/2006
QUESTIONS ESSENTIELLES.
Le Carême : c’est pas un peu se faire du mal pour rien ? Un grand dossier pour ne pas jeûner idiot ! Chaque année les chrétiens, avant la grande fête de Pâques, vivent le temps du Carême, un temps de prière, de jeûne et de don de soi. | |
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19:03 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
16/03/2006
PUISER DANS LE FLEUVE DE DIEU.
Les eaux d’un fleuve parviennent en des régions si lointaines que ceux qui habitent à sa source n’en ont jamais entendu parler. Jésus nous dit que si nous recevons Sa Plénitude, si petits que nous soyons, Sa Vie de bénédiction se répandra hors de nous jusqu’aux extrémités de la terre. Ce n’est certes pas nous qui produisons le fleuve ou qui en dirigeons le cours. "L’oeuvre de Dieu, c’est que vous croyiez..." Dieu permet bien rarement à une âme de se rendre compte à quel point elle fait du bien aux autres.
Un fleuve ne se laisse jamais arrêter, il triomphe de tous les obstacles. Tant qu’il le peut, il poursuit régulièrement son large cours. Survient une barrière : il suspend son cours un peu de temps, mais bientôt il a trouvé moyen de tourner l’obstacle. Quelquefois il disparaît des yeux, s’engouffre sous terre, et reparaît après plusieurs kilomètres, plus large et plus majestueux que jamais. II y a autour de vous des vies dont Dieu se sert, même si la vôtre semble arrêtée par un obstacle. Fixez vos regards sur Celui qui est la Source de votre vie. Dieu vous fera contourner l’obstacle ou l’enlèvera de votre route. Le fleuve de l’Esprit triomphe de tous les obstacles. Ne tenez pas vos yeux fixés sur la difficulté qui vous arrête, mais regardez à la Source, et le fleuve continuera de couler, sans se préoccuper d’aucun obstacle. Mais que rien ne vous sépare de Jésus-Christ, la Source suprême. Que rien n’intervienne entre vous et Lui.
Quelle chose admirable qu’il puisse sortir de nos faibles petites âmes des fleuves abondants d’eau vive ! Dieu nous révèle des vérités merveilleuses, et chacune d’elles nous indique mieux et la puissance et la fécondité de ces fleuves de Vie.
Bruno LEROY.
20:52 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |