7427 7827

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/05/2006

LA PENSÉE DU JOUR.

La pensée du jour
« Qui a vu ce qui est dans le présent a tout vu, tout ce qui a été de toute éternité et tout ce qui sera dans l’infini du temps. »
Marc Aurèle

12:36 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PENSÉE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

LA CRISE DE L'AUTORITÉ.

Le constat semble impitoyable : l’autorité s’effondre partout, et notamment dans notre monde développé. Crise profonde qui éclate au grand jour dans les institutions politiques, l’école, la justice, parfois l’entreprise… Elle vient même se nicher jusque dans la famille, dont le modèle hérité a connu ces dernières décennies de nombreux chambardements. À vrai dire, partout où les hommes vivent ensemble, la rupture est là, manifeste.

Un rêve s’installe alors : puisque tout semblait tellement plus simple avant, la tâche essentielle consisterait à rétablir cette autorité perdue. Aspiration compréhensible quand le sol se dérobe sous nos pieds. Pourtant, prévient Myriam Revault d’Allonnes dans Le Pouvoir des commencements, « ces invites à restaurer l’autorité recouvrent un contresens massif sur la notion elle-même ».
En effet, ce raisonnement repose sur une confusion : l’autorité n’est pas à confondre avec le pouvoir ou avec la contrainte, elle n’est pas « tout ce qui fait obéir les gens ». L’autorité n’ordonne pas, elle conseille, elle guide, elle oriente. Ce problème de définition est essentiel. Si l’objectif est de restaurer l’autorité, il ne faut surtout pas la confondre avec l’ordre : l’ordre peut régner sans autorité, la coercition lui suffit.

Un double écueil

Mais quand bien même l’accord se ferait sur ce qu’est l’autorité, cette revendication à la voir de retour buterait encore sur un double écueil.

D’une part, pour apporter des remèdes, il faudrait s’entendre sur les raisons qui ont conduit à ce déclin. L’éloge de la toute puissance de la volonté et de la liberté de l’individu, le règne moderne de la subjectivité s’accommodent mal des figures d’autorité. Mais les multiples ruptures qu’on peut pointer dans le cours de l’Histoire et qui ont conduit, une par une et toutes ensemble, à ébranler l’autorité – la Révolution, le concile Vatican II, les événements de mai 1968 – n’appartiennent pas qu’au passé. Elles continuent d’agir aujourd’hui, au corps défendant, parfois, de ceux-là mêmes qui s’en font les contempteurs.

D’autre part, il est impossible de revenir en arrière comme par magie. L’Histoire avance.

Le sens de l’autorité

Qu’est-ce que l’autorité, toujours présente dans l’histoire des hommes, mais qui se dérobe à la définition ? Parle-t-on vraiment de la même chose selon les champs explorés : le gouvernement ou les relations interpersonnelles…

Le sens donné par le dictionnaire Le Robert en fait d’abord le « droit de commander », « le pouvoir (reconnu ou non) d’imposer l’obéissance ». Mais, dans ce cas, qu’est-ce qui la distingue de la contrainte ou de la force ? Ne serait-elle donc qu’un attribut du pouvoir ? L’Encyclopedia universalis aide à y voir plus clair : « L’autorité est le pouvoir d’obtenir, sans recours à la contrainte physique, un certain comportement de la part de ceux qui lui sont soumis. »

Une définition qui puise manifestement chez la philosophe Hannah Arendt qui, elle, définissait l’autorité comme la capacité d’obtenir l’obéissance « sans recourir à la contrainte par la force ou à la persuasion par arguments ». En clair, pour Hannah Arendt, l’exercice de l’autorité suppose un consentement de celui sur qui elle s’exerce, donc, de sa part, une reconnaissance du lieu (ou de la personne) dont émane cette autorité.

L’autorité implique donc une relation d’inégalité librement consentie. Les définitions soulignent cette absence de contrainte, de pression, d’intimidation ou de menace. Tout se passe comme s’il y avait, dans l’autorité, un caractère naturel, une forme d’évidence.

En regardant à présent du côté de l’étymologie, on relève que l’autorité, du latin auctoritas, se rattache par sa racine au même groupe qu’augere (augmenter). L’autorité serait alors le moyen de « tirer vers le haut », de « tirer le meilleur de chacun ». Cela suppose la confiance. Une confiance qui ne peut naître que d’une certaine crédibilité. Conclusion : celui qui exerce l’autorité doit non seulement avoir la compétence technique, mais détenir l’épaisseur morale nécessaire à cet exercice. L’autorité ne se confond pas avec le pouvoir.

La crise de l’autorité, une histoire ancienne

Platon, déjà, pleurait sur l’effondrement de l’autorité… Mais la crise de l’autorité, telle qu’on l’observe aujourd’hui, puise ses racines profondes dans la mutation qui s’est produite en Europe à partir de la fin du Moyen Âge et de l’installation de la Renaissance, jusqu’aux Lumières.

Moment où, résume le sociologue Gérard Leclerc dans son Histoire de l’autorité, «l’Europe est passée d’une forme culturelle qu’on peut appeler le régime de la Tradition, fondé sur l’hégémonie de la croyance religieuse, sur la primauté de la croyance collective et institutionnelle (…) à la Modernité scientifique et idéologique, fondée sur la reconnaissance de la légitimité des croyances individuelles (à travers le primat philosophique et politique du sujet individuel mis en évidence par Descartes), sur la liberté de pensée et d’expression reconnue à tout individu».

Avec les Lumières, naît l’individu, libre de penser seul, libre de contester la coutume, les anciens, les croyances collectives. Ce qui faisait le lien social s’étiole alors, en même temps qu’est brisée l’idée d’une continuité. C’est à l’avenir, et non plus au passé, à la tradition, à la religion, que les Modernes demandent d’autoriser le présent.

Ce renversement n’a pas été sans trouble. Mais la croyance dans le progrès s’est installée, et a fait son œuvre. Jusqu’à sa crise récente. Alors, sur quoi fonder aujourd’hui l’autorité, quand ont disparu à la fois la possibilité de restaurer une continuité illusoire, et l’ambition de faire table rase du passé ? Aujourd’hui, la panne de l’autorité est une panne du désir d’avenir.

Pas d’autorité sans consentement

L’autorité, écrit l’historien et académicien René Rémond, « répond à la conviction (…) qu’aucun groupement humain, si petit qu’il soit, de la famille à la société la plus vaste et la plus complexe, ne peut se passer d’autorité : elle est indispensable pour maintenir la cohésion du groupe, pour imposer aux volontés individuelles le respect d’un intérêt présumé supérieur ». Une autorité qui n’est pas reconnue n’est pas une autorité. Même si s’exprime, ça et là, un désir d’ordre, et même si certains s’empressent de répondre à cette demande supposée, il existe cependant une contradiction majeure : chaque fois qu’apparaît une dérive de type autoritaire, la société française s’empresse de la contester. La crise du CPE a été le dernier exemple en date.

Des autorités rivales

La crise centrale de l’autorité aujourd’hui n’est pas tant l’absence de l’autorité elle-même que la multiplication des autorités rivales et, corollairement, la floraison des contradictions qui naissent des multiples allégeances des individus. La confusion guette et, avec elle, les passions identitaires, les fondamentalismes. Là, l’autorité revient en force. Mais sous une forme dévoyée.

L’autorité autorise

Si l’autorité est en crise, elle n’est pas morte. Elle est toujours là, même dans les périodes où elle est très contestée. Elle est indispensable à la vie en société et n’a jamais vraiment cessé de jouer son rôle de lien, notamment entre les générations. L’autorité, parce qu’elle n’est pas réductible à une technique mais qu’elle se construit sur des représentations du monde, a été réinventée, chaque jour, à mesure que ces représentations changeaient. Avec, il est vrai, des hauts et des bas.

L’ambition qui pourrait refonder aujour- d’hui l’autorité serait non pas de conserver le monde tel qu’il est, mais de préserver cette autorité de l’usure, d’assurer sa permanence, pour pouvoir assurer une suite et ouvrir sur une expérience à inventer.

L’autorité consisterait alors à donner à ceux qui viendront après nous la capacité de commencer à leur tour. Commencer, c’est commencer de continuer, dans les pas des générations précédentes. Continuer, étant aussi, et c’est notre tâche, continuer de commencer. Paul Ricœur disait : « Je reporte sur ceux qui viendront après moi la tâche de prendre la relève de mon désir d’être, de mon effort pour exister, dans le temps des vivants ».

12:32 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS ÉDUCATIFS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

28/05/2006

LA PENSÉE DU JOUR.

La pensée du jour
« La vocation des hommes nouveaux, sera d’être voués
au “sanctuaire de l’homme intérieur”. »
Marie Madeleine Davy

10:48 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PENSÉE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

CONCOURS PHOTO.

 
 CONCOURS 
 
 
Publiez vos meilleures photos insolites
Du 18 avril au 30 juin, participez au concours "Photos insolites" qui récompensera les 10 clichés les plus surprenants ou amusants. Un appareil photo numérique ultra compact à gagner. » Participez
 
 
 

10:46 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

26/05/2006

L'Amour d'une mère.

Une mère Infinie... 

Ton nom s'inscrit au visage du temps

Comme un mot sur les lèvres de l'instant

Les souvenirs frappent à ma fenêtre

Et thanatos s'emplit de tout mon être

Quand ton néant enrobe le silence

Ton océan se perd dans la mouvance

La vie se tient à deux pieds de ta tombe

Mais ton destin reste dans la pénombre

Pauvre mère aux flots graves et sincères

Ta résidence demeure secondaire

Je promets de conserver mes larmes

Dans un secret dont je saurai le charme

Quand le sang cessera dans mes veines

Ton âme infiniment deviendra mienne

Et devant Dieu au regard malicieux

Nous chanterons pour fustiger les cieux

" Oui ! désormais notre vie tout entière

Cherchera la mémoire de la chair."

BRUNO LEROY.

medium_fetedesmeres.jpg
Pour ma mère décédée à 49 ans des suites d'une longue maladie...
Ton Fils, Bruno.

23:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : SPIRITUALITÉ DE LA LIBÉRATION. |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Medjugorje, message du 25 mai 2006.


"Chers enfants,

Aujourd'hui encore je vous appelle à mettre en pratique et à vivre les messages que je vous donne. Décidez-vous pour la sainteté, petits enfants, et pensez au Paradis. Seulement ainsi aurez-vous dans votre coeur la paix que nul ne pourra détruire. La paix est un don que Dieu vous donne dans la prière. Petits enfants, cherchez, et travaillez de toutes vos forces afin que la paix soit victorieuse dans vos coeurs et dans le monde.

Merci d'avoir répondu à mon appel."

Commentaire :

Pensez au Paradis ! Quelle surprenante invitation ! Il est vrai que les
chrétiens modernes pensent très peu au Paradis, ils se méfient des
imaginations naïves et quand ils essayent de s'imaginer la vie du monde à
venir, ils sont souvent pris d'angoisse à l'idée de cette espèce de
cérémonie religieuse qui ne prendrait jamais fin. L'éternité c'est long,
surtout vers la fin, disait un humoriste traduisant combien cette notion
échappe à notre entendement. Mais amour rime avec toujours et ce toujours de
l'amour ne saurait contenir la moindre notion d'ennui.
En fait le Paradis est déjà dans nos coeurs dès cette vie et nous avons tous des expériences même très brèves d'un immense bonheur avec Dieu.
Penser à ce bonheur c'est l'intensifier, c'est l'anticiper, c'est toucher les arrhes de notre héritage et dès cette vie les dépenser pour le bonheur du monde.
Et que sont les ennuis et les souffrances du temps présent à côté de ce bonheur ?
Nous avons un devoir de bonheur, nous devons manifester dès ce monde la présence du monde à venir.

Ephraïm


13:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

LA PENSÉE DU JOUR.

La pensée du jour
« Regarde-toi : tu as en toi le Ciel et la Terre.»
 
Hildegarde de Bingen

13:09 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PENSÉE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

ÉCRIRE SON JOURNAL PERSONNEL.

Beaucoup trop de chrétiens vivent sans jamais examiner leur manière de vivre, et le résultat est consternant !

Un chrétien bien connu a dit : "J'avais déjà lu des articles d'auteurs chrétiens affirmant que les disciples du Christ qui n'évaluent jamais leur manière de vivre sont incapables de progrès spirituel, mais je me suis rendu compte un jour qu'ils parlaient surtout de moi ! Porté par mon enthousiasme et mes engagements, il ne m'était jamais venu à l'idée de réfléchir sur moi-même et sur mes intentions profondes. Aussi avais-je pris l'habitude de faire les mêmes erreurs, de commettre les mêmes fautes, sans jamais en tirer le moindre enseignement. Je compris soudain pourquoi je traînais toujours derrière moi le même fardeau de remords. Je pris alors une décision importante, quoique difficile : je m'engageai à évaluer chaque jour ma santé spirituelle et à consigner dans un journal personnel le rapport détaillé et honnête de ce que j'aurais découvert.

Au début, je me sentais quelque peu mal à l'aise, puis je m'habituais à écrire des phrases comme : "Seigneur, Tu vois que je n'arrive pas à surmonter cette faiblesse dans ma vie." ou "J'ai des doutes en ce qui concerne les relations que j'entretiens avec telle ou telle personne." ou encore "Comment pourrai-je améliorer ma conduite quotidienne en ce qui concerne..." Après avoir développé, en quelques lignes, les sujets abordés, je réfléchissais un certain temps sur ces points en demandant l'aide de Dieu."

Pourquoi tenir un journal de notre vie quotidienne ?

1- Parce qu'écrire nous force à prendre du recul et à réfléchir à la réelle valeur de nos actions.

2- Parce que cette habitude remet en question nos intentions et nous encourage à découvrir ce que Dieu veut nous dire à ce propos.

3- Parce que, même en n'écrivant qu'une page par jour, nous aurons en fin d'année un rapport précis de nos prières et des réponses reçues, des leçons glanées au cours des 365 jours précédents et des buts encore à atteindre.

Tout cela nous rendra plus forts et plus sages que... l'an dernier !

BobGass

13:06 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

25/05/2006

LA PENSÉE DU JOUR.

La pensée du jour
« Dieu seul sait comment évolue la pensée de l’homme. »
Proverbe africain

13:58 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PENSÉE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

POUR L'ASCENSION REJOIGNONS L'ESPRIT.


POUR L'ASCENSION REJOIGNONS L'ESPRIT
Paul allait puiser sa force intérieure à la source divine. La prière est cette rencontre mystérieuse avec Dieu qui nous répond par des signes quotidiens. La prière est cette certitude que l'Amour détruit toutes les forces de mort qui nous habitent. Cette respiration de l'âme est aussi nécessaire que le besoin de manger. L'Esprit ne peut apporter Ses fruits que si, nous Lui demandons dans un total abandon. La prière est effectivement la part importante de la personnalité du chrétien.
C'est ce qui le différencie du païen qui ne croit qu'en ses propres forces.
Regardons autour de nous, certaines personnes semblent habitées par un rayonnement dont nous savons la provenance et que nous envions secrètement. La joie est le fruit délicieux de leur présence. Une joie que nul ne pourrait ravir tant elle demeure ancrée dans les tréfonds de leur âme. Prier, n'est pas anodin, c'est la recharge en énergie divine de l'individu fatigué. A condition de remettre son destin entre les mains de Dieu-Amour. Cela, ne veut pas dire ne plus rien faire et attendre que Dieu agisse à notre place. Cela veut dire que Dieu nous donne Tout Son Amour et Sa force pour que nous transformions le monde.
 Cependant, il est des situations, je pense aux terribles maladies, où notre action demeure vaine, Dieu intervient alors silencieusement pour nous dicter les gestes et attitudes à faire. Je fus confronté à cette terrible situation, ma mère étant très malade, je priais pour demander à Dieu la Force de tenir pour l'accompagner vers la demeure du Père. Sa mort à 50 ans fut ressentie par la plupart des membres de la famille, telle une défaite.
Je l'ai accompagnée durant un mois, jour et nuit, et j'ai répondu qu'elle était entrée dans la Paix.
Cette sérénité que nous cherchons tant sur terre, elle l'a retrouvée dans cette communion avec Dieu. Souvent, nous en voulons à Dieu de nous enlever des êtres chers. Et pourtant, Dieu-Amour nous accompagne dans nos détresses. Notre aveuglement face à la souffrance est compréhensible mais, le chrétien sait que Dieu Lui tend la main. Chaque jour, dès que le soleil se lève, je dis à Christ : Je t'Aime et cette journée est la tienne pour te servir !. Quelle joie m'envahit lorsque je lis la Bible et tombe sur un passage qui me fait entrer en prière.
 Sans la prière, notre vie n'aurait aucune saveur, elle n'aurait point le parfum subtil de Dieu à nos côtés. Les premiers chrétiens, tel que Paul, l'avaient bien compris. Frères et Soeurs que nos vies soient un hymne de prières et de grâces.
Un indicible Témoignage de Joie et de Force vécues dans le coeur de Christ. L'Amour doit toujours guider nos pas vers l'Éternel, ainsi notre existence aura la beauté d'une symphonie dont on ne peut se lasser d'écouter les harmonies. Oui ! s'abîmer dans la prière c'est se construire, chaque jour dans l'Amour. Amen !
Bruno LEROY.

 

07:05 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : SPIRITUALITÉ DE LA LIBÉRATION. |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |