28/10/2007
Le stress au travail double le risque de récidive de crise cardiaque.
Les personnes occupant un emploi stressant après avoir eu un infarctus courent deux fois plus de risque d'être victimes d'une seconde crise cardiaque, rapporte une équipe de la faculté de médecine de l'Université Laval de Québec. Les sujets qui vivaient un stress élevé au travail lors des deux premières rencontres avec les chercheurs encouraient deux fois plus de risque d'être victimes de récidive que les autres participants. Ce risque subsistait même après avoir éliminé l'effet de variables comme le profil socioéconomique, le style de vie, le type de personnalité et l'environnement de travail. L'étude indique toutefois que le stress n'affecte pas la probabilité de récidive pendant les deux premières années qui suivent l'infarctus. |
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JEAN-PAUL II ET LE ROSAIRE.
INTRODUCTION
1. Le Rosaire de la Vierge Marie, qui s'est développé progressivement au cours du deuxième millénaire sous l'inspiration de l'Esprit de Dieu, est une prière aimée de nombreux saints et encouragée par le Magistère. Dans sa simplicité et dans sa profondeur, il reste, même dans le troisième millénaire commençant, une prière d'une grande signification, destinée à porter des fruits de sainteté. Elle se situe bien dans la ligne spirituelle d'un christianisme qui, après deux mille ans, n'a rien perdu de la fraîcheur des origines et qui se sent poussé par l'Esprit de Dieu à " avancer au large " (Duc in altum!) pour redire, et même pour "crier" au monde, que le Christ est Seigneur et Sauveur, qu'il est " le chemin, la vérité et la vie " (Jn 14, 6), qu'il est " la fin de l'histoire humaine, le point vers lequel convergent les désirs de l'histoire et de la civilisation ".1
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JEAN-PAUL II ET LE ROSAIRE ( suite ).
29. Énoncer le mystère, et peut-être même pouvoir regarder en même temps une image qui le représente, c'est comme camper un décor sur lequel se concentre l'attention. Les paroles guident l'imagination et l'esprit vers cet épisode déterminé ou ce moment de la vie du Christ. Dans la spiritualité qui s'est développée dans l'Église, que ce soit la vénération des icônes, les nombreuses dévotions riches d'éléments sensibles ou encore la méthode elle-même proposée par saint Ignace de Loyola dans les Exercices spirituels, toutes ont eu recours à l'élément visuel et à l'imagination (la compositio loci), le considérant d'une grande aide pour favoriser la concentration de l'esprit sur le mystère. Il s'agit d'ailleurs d'une méthodologie qui correspond à la logique même de l'Incarnation: en Jésus, Dieu a voulu prendre des traits humains. C'est à travers sa réalité corporelle que nous sommes conduits à entrer en contact avec son mystère divin.
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27/10/2007
La foi, remède miracle contre l’anxiété.
Parce qu’elle apporte des réponses aux questions existentielles et sécurise en créant un lien social, la religion a tout d’un véritable anxiolytique. Au point d’agir sur la santé !
Cela ressemble à un paradoxe : croire en Dieu augmente… l’espérance de vie sur Terre ! Telle est l’inattendue conclusion de travaux qui, depuis une petite dizaine d’années, montrent que les individus qui croient en l’existence d’une entité divine accroissent leur longévité. Et de façon considérable, qui plus est ! en 2002, le professeur de psychiatrie David B. Larson, de l’université Duke, en Caroline du Nord (Etats-Unis), est en effet parvenu à estimer que les croyants vivaient en moyenne 29 % plus longtemps que les non-croyants. Fruit de la synthèse de 42 études médicales menées entre 1977 et 1999 et concernant pas moins de 126 000 personnes, ce chiffre par son ampleur, pose dès lors une question : en quoi le fait de croire a-t-il une influence sur notre espérance de vie ? La réponse tient en un mot : anxiolytique. Car sire les religions ont une vertu, c’est bien celle d’être un remède contre l’angoisse, ce qui ne saurait être funeste pour la santé...
Un discours réconfortant
Plus net encore : des psychologues de l’université de Washington ont révélé début 2005 les résultats d’une étude menée à l’époque sur 453 étudiants de toutes confessions. D’où il ressort que ceux ayant eu recours à des comportements religieux tels que la prière pour gérer le traumatisme sont parvenus à calmer leur angoisse beaucoup plus efficacement que les autres. Un résultat qui concorde avec des études menées dans de tout autres contextes. En 2002, par exemple, le psychologue Victor G. Cicirelli, de l’université Purdue, dans l’Indiana (Etats-Unis), soumettait un groupe de 388 personnes, cette fois âgées de 60 à 100 ans, au Multidimensional Fear Death Scale, un test psychologique souvent utilisé par les gérontologues pour mesurer le niveau d’anxiété de leurs patients face à la mort ; verdict : les sujets croyants présentaient un niveau d’angoisse inférieur à celui des individus non-croyants.
C’est donc une certitude scientifique : la croyance en Dieu permet de réduire l’angoisse. Pourquoi ? Parce que les religions apportent précisément des réponses aux interrogations les plus profondes de l’homme. Sens de la vie, question des origines, angoisse de la mort… Peu importe le nom du dieu qu’elles élisent, la genèse qu’elles décrivent ou la nature du paradis qu’elles promettent, toutes produisent un discours qui, chacun à sa manière, apporte une réponse à ce qui étreint l’homme lorsqu’il songe à sa condition . Une réponse au sein de laquelle chacun peut dès lors trouver refuge, pourvu d’adopter durant sa vie un comportement conforme aux lois édictées par la religion concernée. »
Extraits de la revue Science et Vie août 2005 N° 1055
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10:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
26/10/2007
SI VOUS ÊTES FATIGUÉS.
22:05 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans VIVRE L'ÉVANGILE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
A TOI MA SOEUR, L'EAU.
Quelle volupté de s’introduire en toi dans l’intimité d’une salle de bain ou dans ton immensité immaculée ou bien encore glisser sur toi quand tu nous fais la grâce de devenir neige.
Mais tu peux être meurtrière si l’humain inconscient ne respecte pas tes codes. Alors tu deviens avalanche et tombeau.
Tu es fraternelle.
Tu abreuves et nourris à égalité le plus grand des présidents et le plus petit de ses citoyens. De même pour le bourreau et l’innocent.
Mais cette égalité tu peux la rendre terrifiante en engloutissant le petit-fils du roi de Thaïlande, jouant dans tes flots ainsi que le plus pauvre de ses sujets qui faisait des tas de sable sur la plage.
Malgré tout, plus d’un milliard d’êtres humains sont obligés d’aller, chaque jour, te chercher loin parfois très loin. Alors que chez nous, en Europe, il suffit d’ouvrir de multiples robinets pour goûter instantanément ta saveur.
Riches, nous te gaspillons impunément et honteusement.
Ta vocation est unifiante. Quelle joie après une marche harassante de s’abreuver ensemble à ta source fraîche et pure !
Mais quelles haines tu suscites quand des pays se déchirent pour t’avoir en exclusivité, coupant tes sources vives pour leur seul usage.
On t’encercle, on t’amoncelle pour le plus grand bien de peuplades immenses. Mais tu es libre. Et, parfois, tu sors de ta prison pour dévaster un territoire qui était le tien. Fréjus et d’autres en gardent le souvenir impérissable et mortifère.
Tu es libre.
Chaque goutte tombée du ciel a la liberté de sa lover où elle l’entend.
Elle est libre notre sœur l’eau. Elle va où elle veut.
Elle se fait attendre. Parfois longtemps.
Elle a ses périodes pour abreuver la terre, sauf si le magicien pervers qu’est l’homme casse ses cycles.
Se vengerait-elle par ces tornades infernales qui laminent d’un seul coup les terres assoiffées en les appauvrissant encore plus ?
Nous ne te respectons pas.
L’animal, lui, te consomme avec modération et sagesse. Est-ce pour cela que, lors de tes accès de furie, tu sais lui faire signe à lui seul ?
Les animaux sentent les séismes terrifiants qui approchent à grande vitesse. Ils se sauvent d’instinct et survivent lors des grandes catastrophes.
Le jour où l’homme te respectera, peut être alors nous feras-tu signe pour nous prévenir que tu es en colère !
Puissions-nous, sœur eau, te respecter infiniment.
Et te remercier toi, cadeau inestimable de Dieu, en ne gaspillant pas une seule goutte de la vie que tu nous donnes.
Guy GILBERT.
19:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
DIEU DE CONFIANCE.
17:02 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Prières | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
QUE L'AMOUR SOIT TON BOUCLIER.
Regardez attentivement et surtout, contemplez les mots exprimés sur cette Vidéo.
12:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans COMBAT SPIRITUEL. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Le publicain et le pharisien.
"La prière du pauvre traverse les nuées." Si 35, 12-18 j'usqu’au bout de la course, je suis resté fidèle." 2 Tm 4, 6-18 qui s’abaisse sera élevé." Lc 18, 9-14 | |
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La mise en scène du pharisien et du publicain est celle de la vie chrétienne. D’un côté, il y a ceux qui se croient justes – donnent aux pauvres, versent le denier du culte à l’Église, jeûnent, font leurs prières, vont à la messe le dimanche – et risquent de contempler leur vie au lieu de s’abandonner dans les bras du Seigneur. Intérieurement, ils peuvent se dire comme le pharisien : « Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes. » De l’autre côté, il y a ceux qui ne sont « pas dans le coup », ni « en règle », et à qui il arrive de temps en temps d’entrer dans une église. Ils se sentent pécheurs, indignes d’être dans un si beau lieu, et leur cœur s’écrie : « Mon Dieu, prends pitié du pécheur que je suis. » Si la vie du second « est devenue juste », c’est parce qu’il s’est présenté devant Dieu avec un cœur humble. À l’inverse, le pharisien s’adresse à Dieu d’égal à égal, non dans une relation d’amour, mais dans une attitude qui frise la suffisance. Il parle de lui et non au Seigneur. Son cœur n’est pas contrit, c'est-à-dire ouvert à la venue de la grâce. Il reste enfermé en lui-même parce qu’il ne s’abaisse pas. « S’abaisser » devant Dieu ne signifie pas s’écraser ou se renier, mais demander à Dieu de venir ouvrir de l’intérieur notre cœur, afin d’être visité par sa grâce : c’est pourquoi celui qui s’abaisse « sera élevé ». C’est la condition pour une juste pratique des commandements.
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12:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
25/10/2007
RÉVEILLER NOTRE BON SENS SPIRITUEL.
Depuis que l’homme habite cette terre, il s’est exercé à observer les phénomènes naturels, afin de pouvoir anticiper leur évolution. Cette attitude procède non seulement d’une saine curiosité, mais surtout d’une nécessité souvent vitale : pensons aux milliers de vies que nous pourrions épargner si nous pouvions prévoir l’apparition et l’évolution des tempêtes, cyclones, typhons et autres tsunamis ; ou encore si nous pouvions discerner les lieux où s’annoncent des éboulements, avalanches, etc. Le caractère aléatoire des prévisions atmosphériques montre bien que nous sommes loin de maîtriser tous les paramètres qui entrent en jeu dans ce domaine. Les récentes théories du chaos suggèrent même que la complexité du système atmosphérique est telle qu’il est tout simplement vain de prétendre à des prévisions précises à moyen ou long terme. Pourtant nos chercheurs poursuivent leurs investigations - ô combien légitimes - tant l’enjeu est important.
Jésus a sans aucun doute appris de son papa à « juger lui aussi l’aspect de la terre et du ciel ». Mais ce qui l’étonne, c’est que cette attention tout à fait louable aux phénomènes naturels, ne se prolonge pas dans une préoccupation proportionnée pour notre avenir surnaturel. A vrai dire, la réaction de Notre-Seigneur trahit plus que de l’étonnement : l’invective « esprits faux ! » est une mise en accusation vigoureuse de ses interlocuteurs. Si Jésus leur reproche leur hypocrisie, c’est donc qu’ils feignent de ne pas voir ou entendre les signes des temps qui sont pourtant tout aussi manifestes que les phénomènes météorologiques qu’ils savent si bien décrypter. Le livre de la Révélation leur a bel et bien été transmis, et il n’est pas plus obscur que celui de la nature ! Les prophètes ont annoncé clairement les événements qui marqueraient la venue du Messie et l’irruption du Royaume : pourquoi ne les reconnaissent-ils pas ? Ils sont d’autant moins excusables que Jésus a rappelé ces signes annonciateurs dès le début de son ministère : « L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux prisonniers qu’ils sont libres et aux aveugles qu’ils verront la lumière, apporter aux opprimés la libération, annoncer une année de bienfaits accordés par le Seigneur » (Lc 4, 18-19). D’où vient alors cette résistance, ce refus de « juger le temps où nous sommes », alors que Jésus multiplie devant leurs yeux, les guérisons, les libérations et autres miracles manifestant la venue du Royaume.
Ne nous trompons pas : le reproche que Notre-Seigneur adresse à ses contemporains s’adresse aussi à nous. Serait-ce qu’aujourd’hui comme hier nous avons peur des exigences qui découleraient de la prise de conscience que nous sommes entrés dans les temps derniers ? La politique de l’autruche n’est pourtant jamais payante : nous ne ferons pas l’économie d’une sincère conversion, si du moins nous voulons entrer dans le Royaume que Jésus a inauguré au matin de Pâques.
Pour tenter de nous arracher à notre aveuglement et réveiller notre bon sens spirituel, le Seigneur nous propose une parabole très simple, qui devrait nous permettre de « juger par nous-mêmes ce qui est juste ». Jésus raconte l’histoire d’un homme menacé d’un procès pour fraude financière - une situation que connaissent bien ceux qui sont plus préoccupés du royaume terrestre que de celui du ciel. Inutile de miser sur la clémence du tribunal : l’issue des débats sera sans surprise. Pour éviter le pire, il ne reste à l’inculpé que la durée du chemin qui le sépare du lieu du procès. Aussi devrait-il logiquement tout mettre en œuvre pour trouver une solution à l’amiable avant d’être pris dans l’engrenage judiciaire. Sa seule issue est de se réconcilier au plus vite avec son adversaire avant qu’il ne soit trop tard.
« Cet homme, c’est toi, nous dit Jésus. Crois-tu que tu puisses transgresser impunément la loi divine sans avoir des comptes à rendre ? Certes, tu as l’intention, demain, d’amender ta vie ; mais “demain” t’appartient-il ? C’est aujourd’hui le temps de la conversion et de la miséricorde. Demain il sera peut-être trop tard : tu ne connais pas la distance qui te sépare du juste Juge. Reconnais donc le temps où Dieu te visite, et hâte-toi d’accueillir la grâce de la réconciliation qu’il t’offre, pour éviter de paraître devant lui chargé d’une dette insolvable ! »
« “Seigneur, apprends-moi à bien saisir, à bien juger” (Ps 118) ; je confesse mon aveuglement coupable, mon inertie spirituelle, mes complicités avec l’esprit du monde qui me murmure sans cesse : “demain, demain tu te convertiras. Aujourd’hui, jouis de la vie !” Au lieu de me prendre en main, de me lever et de te suivre, je reste enlisé dans mes ornières, jugeant de tout et de rien sur l’horizon restreint de la vie ici-bas, au lieu de discerner en fonction de l’éternité qui m’attend. Ne permets pas que je me dérobe une fois de plus à l’exigence de ta Parole, mais accorde-moi de m’engager sincèrement et résolument sur le chemin de conversion qui seul conduit à la vie. »
Père Joseph-Marie.
20:14 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |