21/04/2006
DISCERNEMENT PAR LA PRIERE.
Un discernement par la prière |
Un discernement par la prière en Union avec l'Esprit Saint, me semble plus que nécessaire pour saisir si l'Appel vient de Dieu ou de nos désirs. Un dicton dit que nous prenons souvent nos rêves pour des réalités. C'est ce piège qu'il nous faut justement éviter. Suivre les desseins de Dieu ne peut se faire que dans une constante prière. De plus, si à long terme nos projets finissent par sombrer dans le néant, c'est que telle n'était pas la Volonté de Dieu. C'est le temps qui nous fait saisir la Présence Divine dans nos souhaits et désirs. L'Ultime preuve se trouve là, dans cette action de la Providence. Cela ne veut pas dire qu'il faille baisser les bras dès qu'une tempête dans notre existence arrive. Au contraire, il faut nous battre aidés par la prière et si nous n'obtenons pas de résultats positifs ; c'est que nous sommes responsables de nos propres illusions. Dieu voulait autre chose pour nous et nous n'avons pas écoutés. Christ nous aidera à cheminer vers la Volonté du Père à condition de ne pas être distraits quand Il nous fait signe. Seule la prière peut engager ce dialogue profond avec Dieu pour entendre Son Appel. Bruno LEROY. |
10:13 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
LA PENSÉE DU JOUR.
La pensée du jour |
« Ce dont vous avez besoin se présentera à vous si vous ne désirez pas ce dont vous n’avez pas besoin. » Nisargadatta Maharaj |
09:46 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PENSÉE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Qu’est-ce qu’une bonne estime de soi ?
L’estime de soi est un aspect central tant chez l’individu « normal » que chez le sujet dépressif, schizophrène ou boulimique. Car elle est un indicateur, une sorte de tableau de bord de notre état psychologique, émotionnel, comportemental. L’estime de soi est fluctuante, elle résulte à la fois du regard que je porte sur moi et de ce que j’imagine être le regard des autres sur ma personne. C’est un « sociomètre » qui n’aurait pas grand sens si nous étions seuls au monde. Il signifie que nous sommes des animaux sociaux, que nous nous soucions de notre place parmi les autres.
Vouloir s’affranchir du jugement d’autrui est donc illusoire ?
Oui. Parce que l’estime de soi est la résultante de deux compétences propres à l’humain. Premièrement, nous sommes dotés d’une conscience réflexive, c’est-à-dire de la capacité à s’interroger sur soi. Pour le meilleur, et pour le pire : certains se noient dans une introspection trop douloureuse. Deuxièmement, nous sommes capables d’empathie : nous mettre à la place de l’autre, imaginer ce qu’il ressent face à nous. Là encore, c’est une richesse, mais aussi la source de dérapages possibles : être dans l’hypersensibilité au jugement d’autrui jusqu’à en devenir un peu paranoïaque – « Tiens, il a été un peu froid… Pourquoi ne m’a-t-il pas dit bonjour ? Il m’en veut, c’est sûr… » De fait, on ne peut pas ne pas tenir compte du jugement d’autrui, à moins d’une grande sagesse ou d’une grande folie. Le tout est d’en faire bon usage.
Qu’est-ce qu’une bonne estime de soi ?
Qu’elle soit haute ne suffit pas. Elle doit aussi être stable, capable de résister au désamour, à l’échec. Être harmonieuse, équitablement répartie entre l’apparence physique, la réussite professionnelle, l’affection des amis, nos talents propres. Être évaluée sur un référentiel personnel : que je me sente progresser en me comparant à moi-même, et pas seulement en surveillant ce que font les autres ou en cherchant leur approbation. Certains peuvent avoir une grande estime de soi, se montrer sûrs d’eux, mais être très fragiles, car ils auront essentiellement misé sur la reconnaissance des autres. Ces personnalités narcissiques ne supportent pas de ne pas être les préférées, les plus fortes. Elles mettent en place des mécanismes de défense tels que l’agressivité et la mauvaise foi, et sont vulnérables aux revers et aux traversées du désert.
Comment progresser ?
L’idée n’est pas d’avoir « zéro défaut », mais de ne plus transformer ses complexes en obsessions. D’être capable de constater ses faiblesses sans s’en vouloir ni s’en punir, et de travailler tranquillement à les faire évoluer, sans oublier ses qualités. Il y a deux manières d’améliorer son estime de soi : en travaillant le lien à soi et le lien aux autres. La première passe par une chose à la fois très simple et très compliquée : l’acceptation de soi. Ce n’est pas de la résignation, c’est la capacité de faire avec ce que l’on est. Elle ne remplace pas l’action, mais la rend plus efficace. Ensuite, on progresse par le « jardinage de soi », des petites initiatives mises bout à bout, comme cesser de prétendre aller bien quand on va mal, essayer la sincérité et constater que l’on n’en est pas moins aimé. Pour développer son lien avec les autres, il faut apprendre à faire bon usage de leur regard sur nous, savoir admettre que leur désapprobation nous atteint, savoir entendre les compliments et les démonstrations d’amitié. Cultiver l’estime de soi est un travail de longue haleine, voire de toute une vie. Mais la pratique régulière est vite payante : les grands voyages sont faits de petits pas.
09:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PSYCHOLOGIE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
POUR LES ÉDUCATEURS CHRÉTIENS...
LA PÉDAGOGIE CHRÉTIENNE
Variables, invariants, avenir
par Guy Avanzini
A toutes les époques de leur histoire, les Eglises chrétiennes ont valorisé l’éducation, fondé des Congrégations et des Instituts religieux pour la promouvoir. Le christianisme n’a cessé, au fil du temps, d’être ainsi inspirateur de courants pédagogiques et de pratiques éducatives et il le demeure encore aujourd’hui. Cet immense capital a parfois été méprisé, même rejeté et il est le plus souvent surtout méconnu et négligé.
Même si cette permanence de pédagogies chrétiennes est patente à travers les âges, il est évident aussi que les initiatives et les réalisations qui s’en réclament sont extrêmement variées. D’où cette question, peut-on caractériser « la pédagogie chrétienne » en tant que telle ? Peut-on même aller jusqu’à dire qu’il existe une « pédagogie chrétienne » ? Quelle en est l’origine ? A quelles convictions une doctrine ou une pratique doivent-elles satisfaire pour pouvoir légitimement être dites chrétiennes ?
09:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS ÉDUCATIFS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
QUESTIONS D'ADOS.
Dieu a-t-il créé le mal?
Non! Dans le récit-clef de la création (qui utilise la forme d'un mythe, mais qui exprime la vérité la plus profonde sur l'être humain, la vie, le monde), au soir du "sixième jour", Dieu regarde le monde qu'il a fait et constate: "C'est très bien, et très bon".
A l'autre extrémité de l'histoire, l'Apocalypse parle d'un monde et annonce un temps où la mort, la souffrance, le deuil, la maladie, les larmes auront disparu.
Enfin, au coeur du temps, Jésus de Nazareth gué-rit malades et blessés, chasse les démons, ressuscite les morts.
Tout donc s'accorde pour dire: Dieu est l'ennemi du mal. Tout en Dieu est du côté de la vie et de l'amour.
Mais alors, direz-vous, d'où vient le mal? Autant j'étais à l'aise pour répondre à la première question, autant je suis embarrassé pour aborder la seconde. Car il semble que même pour la Bible, même pour Dieu (!) le mal soit une énigme douloureuse et, à la limite, insoluble.
Certains attribuent l'ori-gine du mal au Diable, ennemi de Dieu dès l'origine. Cette solution ne me convainct pas et ne fait que repousser la question: d'où viendrait ce diable de Diable? Aurait-il été créé par Dieu?
D'autres disent que le mal est un corps étran-ger, une sorte de cancer qui s'est mis à proliférer - sécrétant toutes les souffrances et les violences que nous connaissons - s'étant introduit par une faille du système, un "trou" dans la création. J'aime cette façon de voir le mal comme un intrus, mais ce n'est pas vraiment une explication!
Alors? Alors, je crois que le problème du mal est philosophiquement insoluble! Il doit être résolu dans l'action, dans la pratique, au coeur de l'existence: refus de la résignation, lutte pour la justice, pour une vie digne et belle même au creux de la souffrance, espé-rance et confiance contre toute forme de désespoir.
Nous avons un allié de taille: Dieu lui-même, qui lui aussi souffre du mal et se bat pour l'extirper et l'étriper! Mais avec des moyens qui nous semblent souvent insuffisants: l'amour (vrai), la tendresse (forte), la beauté (fragile)...
Pierre Genton, pasteur.
09:03 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans QUESTIONS D'ADOS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
LES NOUVEAUX SITES DE GOSPA.
LES SITES PRINCIPAUX -
08:57 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
20/04/2006
LA PENSÉE DU JOUR.
La pensée du jour |
« Ne vous découragez pas, tous les problèmes ne sont que |
11:22 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PENSÉE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
19/04/2006
AU SERVICE DE L'AMOUR.
Paul a la même conception du service que notre Seigneur lui-même. "Je me suis fait l'esclave de tous", écrit-il aux Corinthiens. Il nous semble que ceux qui sont appelés au saint ministère sont destinés à former une classe d'hommes bien différente des autres. Or, selon Jésus-Christ, ils doivent être le paillasson sur lequel on s'essuie les pieds; ils doivent être des guides spirituels, non pas des supérieurs. "Je sais vivre petitement", dit Paul. Pour lui, servir, c'est se dépenser jusqu'au bout pour les autres, sans s'inquiéter ni de l'éloge ni du blâme.
Tant qu'un seul être humain est là qui ne connaît pas Jésus-Christ, Paul se doit à lui pour le lui apprendre. Le ressort principal de ce ministère de Paul n'est pas l'amour des hommes, c'est l'amour de Jésus-Christ. Si c'est pour les hommes que nous nous dépensons, nous allons à la déception et au découragement, car nous trouverons chez eux plus d'ingratitude souvent que chez un humble chien. Mais si c'est pour Dieu que nous travaillons, là point d'ingratitude qui puisse nous arrêter dans notre activité au service des autres. C'est parce que Paul se rendait clairement compte de la façon dont Jésus l'avait traité lui-même qu'il était si résolu à servir les autres. "J'étais auparavant un adversaire acharné, un blasphémateur de Jésus-Christ." Donc jamais les hommes n'auront à mon égard autant de haine et d'exécration que j'en avais pour Lui. Quand nous pensons que Jésus-Christ s'est donné pour nous malgré toute notre indignité, aucun mauvais traitement de la part des autres ne nous empêchera de les servir.
09:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Méditations sur notre Amour.
Méditations sur notre Amour. |
Dans le silence intérieur se forme notre conscience La certitude des mots prononcés avec Amour Et nos secrètes pensées veulent vivre toujours Cette éternité de l'instant quand nos regards Attendent un geste de tendresse sans hasard Mais tracé dans une harmonieuse présence De nos âmes enlacées et qui savourent Le bonheur d'être deux en cette humanité Où la solitude est le souffle de l'homme Une habitude inventée par des coeurs dispersés La beauté de notre Vie nous engendre à nous-mêmes Comme un poème éclaté chaque jour Au soleil de nos saisons que nous conservons Jalousement avec une volupté aux yeux d'enfants Purs et innocents dans sa fraîcheur renouvelée Au quotidien de nos rencontres Comme des envolées dans le destin illimité Et le vent de nos sentiments amoureux Fait chanter ses accords heureux Dans nos corps chaleureux et démesurés Quand le temps nous appartient L'avenir nous vient tel un navire sans chagrins Sur les flots de la mer sereine et parle pour demain De nos matins réinventés au Bonheur De s'aimer malgré toutes les lames Que les vagues imaginent pour nous couper De nos radieux moments médités au fond de notre être Pour donner une signifiance à notre existence Plus je m'enfonce dans les profondeurs Plus je sens la chaleur torride de t'Aimer. Bruno LEROY. |
09:23 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
LE LIBÉRALISME THÉOLOGIQUE.
Quel est l'avenir du libéralisme en théologie ? Où sont les pistes à explorer ? Sur quels chemins de pensée est-il bon de nous aventurer ? Quels sont les risques à encourir et les obstacles à contourner ou surmonter ? Voilà des questions que les libéraux se poseront, sans doute, jusqu'à la venue du Royaume.
Il est hâtif et difficile d'aborder ces interrogations en faisant mine d'être dégagé de tout contexte. Ce que nous vivons nous interpelle, parfois avec violence. Et même quand l'existence paraît calme, la pratique nourrit la réflexion. Méditer sur la nature du libéralisme implique de prendre en compte le monde dans lequel nous sommes inscrits. Pas une de nos paroles ne saurait lui échapper. Nous sommes situés. Nos mots sont datés. Nous ne défendons pas pour autant une approche supposée empirique. L'empirisme a le défaut de croire qu'il est possible. Mais il repose toujours sur des présupposés. Cependant, un libéralisme qui ne se confronterait pas à la culture serait une coquille vide. Il n'en subsisterait qu'une scolastique libérale. N'oublions jamais le reproche adressé, au cours de notre siècle, à certains libéraux, notamment Allemands. Se retrancher dans l'unique sphère des idées conduit à oublier le monde. Examiner ses propres présupposés - même s'il est toujours bon de s'efforcer de les clarifier - risque de nous détourner de la construction du Royaume. Nous devons songer aux conséquences pratiques de nos paroles. Le contexte existe. Le nier conduit à ruiner le libéralisme comme tel. Il faut donc maintenir le double souci de nos paroles et de leur impact. Le libéralisme doit se questionner sur ces deux plans. Cela dit, un effort de pensée ne saurait s'en tenir à l'examen de variables locales. Dans l'histoire, tout n'est pas nécessaire. Il y a du contingent, de l'accessoire. Le plus difficile reste d'ailleurs de démêler l'essentiel du secondaire. Bultmann avait bien décelé cette difficulté : porter un regard sur l'histoire, c'est risquer d'entrer dans l'illusion - celle de détenir pour soi-même la capacité de départager le révélateur du contingent. Cependant, nous pouvons étudier des phénomènes transversaux. Il est possible de nous mettre en quête des révélateurs de notre temps. Nous en percevons un, qui semble redoutable. Il est le plus formidable défi adressé aujourd'hui aux libéraux. Il peut être exprimé par cette simple question : Quelle est, pour nous, la pertinence du libéralisme théologique, dans le monde d'aujourd'hui ?
08:29 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |