03/05/2006
SOYEZ VOUS-MÊME !
Avez-vous jamais remarqué combien "ils" contrôlent votre vie ? Ce sont "eux" qui décident des vêtements que vous porterez, des voitures que vous conduirez, des phrases que vous citerez, bref de la plupart des choses que vous ferez !
Même si vous ne pouvez pas éviter certaines influences, ne laissez jamais personne décider de la direction de votre vie.
Jésus a dit : "Si c'est le Fils qui vous donne la liberté, alors vous serez vraiment des hommes libres" (Jean 8.36). Cela veut dire que vous devez être libre des influences que les autres tentent de vous imposer, libre de devenir la personne que Dieu vous appelle à être, libre de vous adresser à Lui pour obtenir des réponses personnelles à vos questions au lieu de courir demander aux voisins ce qu'ils en pensent !
Il est écrit : "Chaque homme doit être satisfait de ce qu'il a reçu du ciel."
La majorité d'entre nous a été élevée dans la hantise de l'insécurité. Pour lutter contre cette obsession nous sommes devenus combatifs, nous nous comparons sans cesse aux autres. Nous sommes jaloux de ce que nous possédons, de nos talents, de nos réussites. Nous essayons de vivre sur le même pied que certaines personnes ou de les imiter. Et nous devenons peu à peu aigris et frustrés parce que nous avons perdu de vue le rôle que Dieu nous avait demandé d'assumer. Nous ne sommes plus nous-mêmes !
N'oubliez pas que personne ne vous demande de courir une autre course que la vôtre ! Vous n'apprécierez jamais la plénitude des bénédictions de Dieu si vous ne vous engagez pas à devenir la personne qu'Il vous a destiné à être un jour.
Relevez donc la tête et annoncez à tous : Je suis ce que je suis. Je ne pourrai jamais être différent de la personne que Dieu a choisi que je devienne. Aussi vais-je concentrer tous mes efforts à exprimer le meilleur de moi-même et à apprécier chaque minute de chaque jour !
BobGass
09:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
LE FANTASTIQUE HARRY POTTER.
Peter, Edmund,Susan et Lucy sont confiés à la garde d’un vieux professeur. Au cours d’un jeu de cache-cache, Susan se retrouve dans une vieille armoire où petit à petit les manteaux deviennent les grands arbres d’une forêt enneigée. Elle découvre le pays de Narnia. Narnia : le pays où règne une sorcière aux pouvoirs maléfiques " c’est elle qui fait que c’est toujours l’hiver, toujours l’hiver, et jamais Noël " ! Dans cette forêt où elle s’aventure, Susan va rencontrer Monsieur Tumnus, le faune, Mr et Mme Castor, Aslan le lion et bien d’autres personnages, bons ou méchants. A leur tour, ses frères et sa soeur vont entrer dans le monde magique de Narnia. Mr Tumnus a été arrêté par la sorcière, alors Mr et Mme Castor conduisent les enfants jusqu’à Aslan, qui seul peut délivrer ceux et celles qui sont emprisonnés au château de la sorcière, changés en statues !
Mais Edmund qui s’est laissé séduire par des promesses alléchantes, va trahir ses amis et va conduire la sorcière jusqu’à Aslan, le seul qui ait le pouvoir de la vaincre. Pauvre Edmund qui se retrouve alors au rang d’esclave et non à celui d’un roi (elle lui avait pourtant promis !) La sorcière et son cortège d’amis malfaisants s’avancent vers la Table de Pierre, lieu de rendez vous de Susan, Peter, Lucy et la famille Castor avec Aslan. Ce soir là, La sorcière est prête à faire un sacrifice : Edmund . Heureusement les secours arrivent, Edmund est mis en sécurité, bien penaud et plein de regrets.
Mais son bourreau n’a pas l’intention d’abandonner sa victime et le réclame au nom d’une loi qui fût établie il y a bien longtemps : les traîtres appartiennent à la sorcière et pour chaque trahison, elle a le droit de tuer. Et si le sang ne coule, le pays de Narnia sera dévasté…
Le sacrifice aura lieu mais la vie d’Edmund sera épargnée : Aslan a offert de prendre sa place, à la plus grande joie de la sorcière. Après l’avoir humilié, attaché bien serré , ils vont lui prendre sa vie.
Une fois mort, leur cruauté les entraîne à poursuivre les enfants pour les tuer eux aussi. Après une nuit de profonde tristesse, ils vont se rendre compte qu’Aslan n’est plus sur le lieu du sacrifice ! Où est-il donc ? « La sorcière connaissait la puissante magie.
Mais il existe une magie plus puissante encore, qu’elle ne connaît pas. » C’est Aslan qui est là, il a vaincu la magie de la sorcière et pleins de force, ils vont aller délivrer ceux qui sont prisonniers. La sorcière va mourir, l’enchantement est brisé, et Susan, Edmund, Peter et Lucy occupent les quatre trônes prévus pour les fils d’Adam et les filles d’Eve. Ils régneront longtemps, suffisamment pour attraper tous ceux qui suivaient la sorcière, et installer la paix dans le royaume et ses alentours. Au terme de cette aventure, ils vont retrouver le chemin qui mène à l’armoire magique. Dire qu’ils viennent à peine d’y rentrer !
Je crois qu’un tel livre mérite un temps de partage avec nos enfants, laisser un peu de temps « le fantastique » et parler de Celui qui s’est donné pour nous, pour eux, dans un monde bien réel. Leur rappeler aussi que « la magie » n’a rien d’inoffensif, même avec un tas d’effets spéciaux.
Par Nathalie Biava
06:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POUR LES JEUNES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
02/05/2006
GUY GILBERT ET LA RÉSURRECTION.
Le Père Guy Gilbert répond à un auditeur concernant la confusion possible entre la Résurrection et la Réincarnation.
En effet, face à un syncrétisme ambiant. Il est bon de remettre l'horloge des dogmes à l'heure.
Guy répond avec toute la conviction de sa Foi d'Homme de Dieu aux questionnements passionnants de son auditeur.
Cliquez sur le lien ci-dessous et vous saisirez la dichotomie magistrale qu'il existe entre les dogmes Bouddhistes et Chrétiens. Sans toutefois manquer de respect aux croyances d'autrui.
21:33 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans GUIDE DE VIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Prière à Marie.
En ce mois de mai : Prière à Marie notre bien aimée. |
À toi, Marie, La jeune fille de Nazareth, nous présentons tous les jeunes de la terre. Que leurs yeux reflètent leur cœur, Et que leur cœur soit plein d’idéal, de générosité et d’enthousiasme.
Amen. Bruno LEROY. Éducateur de rue. |
20:48 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Prières. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Marie-Noël la poésie pour vocation.
Marie- Noël, de son vrai nom Marie Rouget, est née en 1883 à Auxerre dans une famille bourgeoise, propriétaire de maisons et de vignes.
Un amour déçu, la blesse sans fin mais lui donna de s’ouvrir à l’écriture. Atteinte de mélancolie au point de séjourner de longs mois dans un établissement spécialisé, Marie trouva dans la poésie le moyen de vivre et de s’exprimer. Ces notes intimes nous révèlent le combat d’une âme tenaillée par la culpabilité, habitée de terreurs sacrées, douloureuse de solitude. Sa foi et son expérience spirituelle, à travers l’écriture et une vie simple et cachée, s’épanouirent peu à peu vers la joie du salut, l’ouverture à l’amour. C’est dans la confiance en la miséricorde du Seigneur, qu’elle mourut en 1967.
Un regard contemplatif
C’est au cœur d’une vie très ordinaire que Marie-Noël trouve l’inspiration de ses poèmes, ses chansons, comme elle dit. Au fils des mots tricoté avec fraîcheur parfois malicieusement toujours vigoureusement, elle nous révèle son quotidien, ses états d’âme, son expérience spirituelle, ses coups de cœurs, ses joies et ses larmes. Son regard se laisse émouvoir par ces petits riens, ces petites choses de la vie auxquelles souvent nous n’accordons aucune importance. La poésie vient transfigurer le réel, l’ordinaire des jours.
Dieu
« Je n’ai plus que lui au monde… » Dieu est à la fois la source de son grand bonheur mais aussi de son angoisse. Ame souffrante, Marie-Noël cherche la lumière de la foi. Elle marche avec patience sur son chemin d’Humanité fait de dégoûts, de doutes, de faiblesses, de paresses, de petites lâchetés, de commencements et de recommencements.
Son but n’est pas d’être une « bouche préchante » mais d’ »annoncer Dieu par la sainteté » dans la pâte du quotidien, appuyée sur le mystère de Noël et l’eucharistie : « Avoir assez d’amour et jusqu’à deviner, à aimer la beauté des êtres laids, le trésor des pauvres choses, découvrir la merveille secrète du jour de pluie, de la plate campagne, du taudis, de l’infirme, de la vieille fille mal habillée. Avoir assez d’amour. »
L’écriture pour mission
C’est son confesseur, l’abbé Mugnier, qui oriente son don de poésie vers la mission : « Les croyants ont tout ce qu’il faut… Les incroyants, eux, n’ont rien. Vous irez chez eux en mission… »
Célibataire, Marie-Noël n’a rien d’une âme rêveuse. S’occupant de ses vieux parents, il lui faut aussi répondre à l’appel de ses frères et sœurs, de ses nièces et neveux, des voisins, des amis. Il y a toujours quelque chose à faire, un service à rendre : « Ma poésie avait besoin d’heures… elle n’aura rien eu que le reste des autres. »
Pour elle, son don de poésie lui vient d’ailleurs : « J’écoute et ce qui chante en moi je le rechante… » A l’exemple de nombreux saint, ce qu’elle a compris et vécu, c’est que le don reçu qui fait vivre, n’est pas que pour soi, il est aussi pour les autres. Fidèlement, Maire-Noël s’est laissée traverser par la musique des mots : « A mes amis, à mon prochain, je donne ma poésie, habillée en pauvre. ».
Rubrique Prière inXL6
16:44 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans TÉMOINS DE CE TEMPS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
SEIGNEUR INSPIRE-MOI.
SEIGNEUR INSPIRE-MOI |
Seigneur donne-moi les paroles que je dois prononcer, inspire les actions que je dois entreprendre. Crée en moi un cœur comme le Tien, accorde-moi Ta sagesse et Ton courage pour que je n'hésite pas à prononcer les paroles nécessaires. Aide-moi à leur exprimer assez d'amour pour pouvoir leur dire la vérité dans toute sa réalité. Sers-Toi de moi comme d'un instrument de Ta grâce pour les toucher le plus vite possible et les ramener à Toi. Au nom de Jésus. Amen ! Bruno LEROY. |
16:42 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Prières. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
CITATIONS SUR LA PRIÈRE.
Maître Eckart | Dieu est le Dieu du présent. Tel il te trouve, tel il te prend et t'accueille, non ce que tu as été, mais ce que tu es maintenant. Maître Eckart, dominicain et philosophe allemand | |
Evagre le Pontique | Car c'est lorsque tu seras parvenu, dans ta prière, au-dessus de toute autre joie, qu'enfin en vérité, tu auras trouvé le vrai sens de la prière. Evagre le Pontique, disciple d'Origène | |
Jean-François Six | Prier, c'est créer l'avenir. Jean-François Six, historien, phylosophe et écrivain | |
Léon Bloy | Nous demandons à Dieu ce qu'il nous plaît. Il nous donne ce qu'il nous faut. Léon Bloy, écrivain français | |
Paramhansa Yogananda | Dieu est amour. Le plan de la création repose sur l'amour. Paramhansa Yogananda, mystique indien | |
François Varillon | Ce n'est pas parce qu'il est parfait que Dieu aime ; mais c'est parce qu'il aime qu'il est parfait. François Varillon, jésuite | |
Saint Bernard | Dieu est paisible et rend tout paisible ; fixer son regard sur lui, qui est repos, rend l’âme paisible. Saint Bernard | |
Saint Augustin | Tout désir qui appelle Dieu en nous est déjà une prière. Saint Augustin | |
Frère Roger de Taizé | Rien n'est plus responsable que de prier. Frère Roger de Taizé | |
H. Brunel | La prière est un accueil, un silence, une amitié qui se passe de mots. H. Brunel | |
Frère Roger de Taizé | A long terme, de la contemplation surgit un bonheur, et ce bonheur est source de notre lutte pour et avec la famille humaine. Il est courage, il est énergie pour prendre des risques, il est surtout abondance d'allégresse. Frère Roger de Taizé | |
Yves Raguin | Quand Jésus se retirait pour prier, ce n'était pas pour autre chose que de se "retourner" vers son Père, et vivre en homme sa relation à la source de son être. Yves Raguin, jésuite | |
Lamartine | Je ne puis comprendre la terre sans le ciel, l'amour sans la prière et le temps sans l'éternité. Lamartine | |
Angelus Silesius | L'oiseau repose dans l'air, la pierre est sur la terre, le poisson vit dans l'eau, mon esprit est dans la main de Dieu. Angelus Silesius, poète allemand | |
Elisabeth Lesueur | Penser est beau, prier est mieux, aimer est tout. Elisabeth Lesueur | |
Pierre Reverdy | La prière apaise l'angoisse comme le soleil dissipe le brouillard. Pierre Reverdy, poète français | |
Victor Hugo | La prière est la soeur tremblante de l'amour : la prière est la porte et l'amour est la clé. Victor Hugo | |
Père Théodose Florentini | La prière, relation personnelle avec Dieu, est aussi nécessaire à l'homme que la respiration. Elle est, pour lui, ce que la terre est pour la plante, l'arbre pour la branche. Père Théodose Florentini | |
Gandhi | Prier n'est pas demander, c'est une aspiration de l'âme, c'est une admission quotidienne de notre faiblesse Gandhi | |
Reginald E.O. White | La prière est la clé de toutes les chaînes emprisonnant l'âme. Reginald E.O. White | |
Bernanos | On ne prie jamais seul. La prière, étrange rêve, singulier opium qui loin de replier l'individu sur lui-même, de l'isoler de ses semblables le fait solidaire de tous, dans l'esprit de l'universelle charité. Bernanos | |
Clément d'Alexandrie | La prière est un entretien intime avec Dieu, et Dieu prête constamment l'oreille à cette voix intérieure. Clément d'Alexandrie, philosophe | |
Charles de Foucauld | Prier, c'est penser à Dieu en l'aimant. Charles de Foucauld | |
André Sève | Prier, c’est reprendre conscience de l’union et vivre un moment d’amour avec l’Amour qui est en nous. André Sève, prêtre assomptionniste | |
Silouane l'Athonite | L’Esprit de Dieu nous apprend à prier partout, même au désert, pour tous les hommes, pour le monde entier. Silouane l'Athonite, moine russe, père spirituel | |
Louis Schweitzer | Prier sans cesse, c'est vivre devant Dieu tous les temps de ma vie. Louis Schweitzer, pasteur baptiste | |
Raymond Bouchex | Prier, c'est d'abord donner du temps à Dieu. Raymond Bouchex, archevêque d'Avignon | |
Pierre Reverdy | Il vient un moment où l'on sent que les Hommes ne peuvent rien pour vous ni vous pour eux, c'est alors que l'on comprend mieux les mystérieuses ressources de la prière. Pierre Reverdy, poète français | |
Saint Silouane l'Ahonite | Je ne désire rien d'autre que de prier pour les autres comme je le fais pour moi-même. Saint Silouane l'Ahonite, moine orthodoxe, ermite et père spirituel | |
Saint Jean Chrysostome | Considère quel bonheur t'est accordé : voilà que tu peux converser avec Dieu par tes prières, dialoguer avec le Christ, souhaiter ce que tu veux, demander ce que tu désires. Saint Jean Chrysostome | |
Sa Majesté la reine Victoria | Quand la force te manquera, quand tu ne pourras faire davantage, prie : Dieu fera le reste. Sa Majesté la reine Victoria | |
Soeur Emmanuelle | Les gens disent : "Vous êtes formidable, vous aimez tout le monde." Mais ce n'est pas moi qui suis formidable, je bois à une source qui l'est, çà oui ! Et cette source, j'y bois par la prière. Soeur Emmanuelle | |
Martin Luther | Prier, ce n’est pas chercher à vaincre la résistance de Dieu, c’est saisir Sa bonne volonté. Martin Luther | |
Charles B. Hodge Jr | Dieu n'est jamais à plus d'une prière de distance de vous. Charles B. Hodge Jr | |
Denis Huerre | Prier, c’est entrer dans la prière que Dieu fait continuellement en moi. Prier, c'est respirer Dieu Denis Huerre, moine bénédictin | |
saint curé d'Ars | La prière est à notre âme ce que la pluie est à la terre. Jean-Marie Vianney, saint curé d'Ars | |
Gandhi | La prière, c'est la clé du matin et le verrou du soir. Gandhi | |
Thérèse de Lisieux | Quelle est donc grande la puissance de la prière ! On dirait une reine ayant à chaque instant accès auprès du Roi et pouvant obtenir tout ce qu'elle demande. Thérèse de Lisieux | |
Charles Singer | Dieu fait vivre celui qui vient à lui. Il n’est pas nécessaire d’être pur, d’être digne, d’être brillant. Il suffit de se lever, d’aller vers lui et de dire: « Me voici ! J’ai faim ». Charles Singer | |
Madeleine Delbrël | Parle à Dieu au lieu de te parler ; pour prier, tu auras au moins ce temps-là Madeleine Delbrël, assistante sociale, missionnaire et écrivain | |
André Sève | La prière ne change pas toujours une situation, mais elle peut changer notre regard sur cette situation André Sève, prêtre et journaliste | |
Mère Teresa | Beaucoup de gens perdent goût à la vie et au travail, ils se sentent mécontents et vides, simplement parce qu'ils ont délaissé la prière. Mère Teresa de Calcutta | |
Un moine du mont Athos | Quand tu es en présence de quelqu'un, tu ne penses pas à lui, tu es avec lui. De même dans la prière, tu es avec Dieu, tu respires avec Lui. Un moine du mont Athos | |
Rabindranath Tagore | Je ne veux pas prier d'être protégé des dangers, mais de pouvoir les affronter. Rabindranath Tagore, poête indien, prix Nobel de littérature (1916) | |
Graham Greene | N'importe quelle prière vaut mieux que l'absence de prière. C'est une façon de reconnaître la puissance de Dieu, et c'est à mon avis une façon de le louer. Graham Greene, écrivain anglais | |
Sainte Thérèse de Lisieux | Il faut toujours prier comme si l'action était inutile et agir comme si la prière était insuffisante. Sainte Thérèse de Lisieux | |
Père Albert-Marie Besnard | La prière est un geste par lequel nous faisons venir à la lumière le noeud caché où nous sommes noués à Dieu Père Albert-Marie Besnard, dominicain | |
Gerhard Hamm | La prière donne de la force et ouvre les portes. Si elle n'ouvre pas les portes des cellules de prison, elle ouvre les coeurs de ceux qui s'y trouvent. Quelle arme puissante ! Gerhard Hamm, évangéliste russe, prisonnier des camps de Sibérie | |
Saint Jean Chrysostome | Comme l'âme donne la vie au corps, ainsi la prière maintient l'âme en vie. De même que le corps ne peut vivre sans l'âme, ainsi sans la prière l'âme est morte... Saint Jean Chrysostome | |
Charles de Foucauld | La meilleure prière est celle où il y a le plus d'amour. La prière est d'autant meilleure qu'elle est plus amoureuse. Charles de Foucauld | |
Gandhi | Il vaut mieux mettre son coeur dans la prière sans trouver de paroles que trouver des mots sans y mettre son coeur. Gandhi | |
Juan Donoso Cortès | Ceux qui prient font plus pour le monde que ceux qui combattent, et si le monde va de mal en pis, c'est qu'il y a plus de combats que de prières ! Juan Donoso Cortès, auteur et diplomate espagnol | |
Paul VI | Redevenons un peu contemplatifs et admirateurs du monde créé et tirons de cette première écoute la mise en train de la poésie de la prière. Paul VI | |
Le curé d'Ars. | Dieu n'a pas besoin de nous : s'Il nous commande de prier c'est qu'Il veut notre bonheur, et que notre bonheur ne peut se trouver que là. Le curé d'Ars. | |
Bruno LEROY | Auteur spirituel davantage que poète, c'est par la prière qui intensifie mon regard que je puise la poésie des mots de la vie. Bruno Leroy. éducateur, écrivain | |
Mère Teresa | La prière vous ouvre le coeur, jusqu'à ce qu'il soit capable de contenir Dieu lui-même. Mère Teresa. | |
Guy Gilbert | La prière, c'est une présence d'amour ! C'est l'émerveillement en moi de pouvoir dire que "Dieu est amour" (...). Par la prière, tu te dégages de toi-même, tu relativises des tas de choses et tu retrouves le sens des priorités. Guy GILBERT, prêtre des loubards. |
12:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans RÉFLEXIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
POURQUOI OBÉIR A DIEU ?
Bien comprendre ce que signifie "Obéir à Dieu" est fondamental. Comment sinon ne pas se sentir écrasé par une Parole souvent exigeante, et parfois difficile à interpréter. J'ai demandé au théologien Jean Ansaldi de m'éclairer sur ce thème complexe et sensible... Et je prends la décision de vous faire partager ses réflexions. Pour notre savoir commun et surtout pour notre progession spirituelle. Le Nouveau Testament utilise deux mots principaux que l'on traduit souvent par « obéissance » : 1. « Upo-tagè » que l'on peut traduire plus finement par « se soumettre » qui vient de « tassô » : mettre en rang, ranger, aligner en ordre de bataille, etc. C'est dans ce sens que, toujours dans le Nouveau Testament, l'enfant obéit à son père, le jeune Jésus à ses parents, que le centurion commande à ses subalternes, etc. 2. « Hup-akouè » qui vient du verbe « akouô » qui signifie « entendre, déployer ses oreilles, comprendre, etc ». On peut le traduire plus finement par « écouter ». Il ne s'agit pas ici d'exécuter un ordre mais de se mettre à l'écoute de la parole d'un autre avant de se décider par soi-même. Certes, dans la vie d'un enfant et même d'un adulte, il est des limites et des lois qui appellent l'obéissance-soumission. Mais il n'est pas possible d'étendre cette dimension à la vie chrétienne devant Dieu. En effet, depuis Luther dans son ouvrage « La liberté du chrétien » (et ailleurs) a lutté pour qu'il en soit aussi ainsi dans la structure ecclésiale : les responsables d'Églises ont certes des paroles à dire ; les fidèles sont certes invités à les écouter. Mais comme une parole qui les appelle à réfléchir et à se décider par eux-mêmes et non comme des ordres à éxécuter. Les Églises n'ont pas de « prêt-à-penser-et-à-exécuter » à offrir car la liberté chrétienne est
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10:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
LA PENSÉE DU JOUR.
La pensée du jour |
« Le sage ne rencontre pas de difficultés. Car il vit dans la conscience des difficultés. Et donc n’en souffre pas. » Lao Tseu |
10:39 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PENSÉE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : SPIRITUALITÉ DE LA LIBÉRATION. | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
01/05/2006
SAINT JOSEPH.
La fête de saint Joseph, fixée au 1er mai par le pape Pie XII, succède à la solennité de saint Joseph qui se célébra jusqu'en 1955. Le monde du travail prend une conscience grandissante de son importance et c'est le rôle de l'Église de lui enseigner toute sa dignité; la figure de saint Joseph y contribue merveilleusement. Cette fête de saint Joseph est une triple fête patronale: fête de l'Église, fête de la famille et du foyer, fête du travail.
La présence de Jésus dans l'atelier de Nazareth enseigna à saint Joseph le prix des heures pénibles, et le dur labeur accepté comme une réparation pour l'impudence de l'homme à faire fi des lois de Dieu, a acquis grâce au Christ, une valeur rédemptrice. Artisan avec Dieu créateur, frère de travail de Jésus-Ouvrier, associé avec Lui au rachat du monde, saint Joseph n'attirera jamais trop les regards et la prière de notre siècle.
C'est pourquoi l'Église, s'inspirant de la Tradition qui baptisa autrefois quantité de fêtes païennes pour les doter d'un contenu chrétien tout nouveau, plaça la fête civile du travail sous le puissant patronage de saint Joseph. Ouvrier toute sa vie, qui mieux que lui rendit grâces à Dieu le Père en son labeur de chaque jour? C'est ce modeste artisan que Dieu choisit pour veiller sur l'enfance du Verbe incarné venu sauver le monde par l'humilité de la croix.
«N'est-il pas le fils du charpentier?» disait-on du Sauveur. Joseph, connu à Nazareth comme l'époux de Marie et le père de Jésus, homme juste, sans autres ressources que son métier, Joseph, ce fugitif de la grandeur, nous apparaît comme le modèle achevé de l'ouvrier selon le Coeur de Dieu.
Diligence, application, constance, sérénité, abnégation de soi, telles furent les vertus du saint charpentier de Nazareth. Par ses paroles et par ses exemples, Joseph nous enseigne l'humilité, la pauvreté, la mortification du corps et le travail. Quand nous avons, comme dit l'Apôtre, la nourriture et le vêtement, contentons-nous-en; tenons-nous-en au nécessaire, sans aspirer au superflu. Apprenons du saint charpentier de Nazareth à envisager le travail, non comme un esclavage, mais comme un privilège de grandeur et de noblesse, car le travail expie le péché et sanctifie l'homme.
Rappelons-nous aussi que c'est l'effort et non le succès qui garantit le mérite et la récompense. Sur la terre, le travail est la suprême fonction de l'homme et toute sa vie dépend de la manière dont il sait l'accomplir. Comme saint Joseph, imprégnons notre travail de foi, d'espérance et de charité afin d'obtenir cette transfiguration divine des besognes ordinaires. Cet esprit surnaturel nous évitera le mécontentement et la mauvaise humeur. A l'exemple du saint Patriarche, que la prière se joigne à notre travail afin que notre travail devienne une prière.
Prière de saint Pie X au glorieux saint Joseph modèle des travailleurs:
Glorieux saint Joseph, modèle de tous ceux qui sont voués au travail, obtenez-moi la grâce de travailler en esprit de pénitence pour l'expiation de mes nombreux péchés; de travailler en conscience, mettant le culte du devoir au-dessus de mes inclinations; de travailler avec reconnaissance et joie, regardant comme un honneur d'employer et de développer par le travail les dons reçus de Dieu; de travailler avec ordre, paix, modération et patience, sans jamais reculer devant la lassitude et les difficultés; de travailler surtout avec pureté d'intention et avec détachement de moi-même ayant sans cesse devant les yeux la mort et le compte que je devrai rendre du temps perdu, des talents inutilisés, du bien omis et des vaines complaisances dans le succès, si funestes à l'oeuvre de Dieu. Tout pour Jésus, tout pour Marie, tout à votre imitation, patriarche saint Joseph! telle sera ma devise à la vie à la mort. Ainsi soit-il.
Tiré de R. P. Frédéric de Ghyvelde, o.f.m., édition 1902
12:59 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |