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18/09/2007

L’ART EST PROPHÉTIQUE.

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JOURNAL CHRETIEN
http://www.journalchretien.net/spip.php?article2077
L’ART EST PROPHÉTIQUE.
Si cette liberté est « la glorieuse liberté des enfants de Dieu », si l’artiste est -comme tout chrétien pourrait l’être- un véritable disciple de Jésus-Christ, son expression artistique témoignera de la Vie qu’il a reçue.
/ BRUNO LEROY /

Intervenant-éducatif auprès de Jeunes et de Familles en difficultés.

Diplômé de Théologie Pratique et Politique.

Directeur du Service Éducatif et Action Sociale Nord/Pas de Calais.

Bref, qu’il soit devant le peuple chrétien à témoigner au monde, dedans pour faire grandir l’Église ou derrière pour préserver des traces, l’artiste, par son art sera le prophète de son Dieu.

La création artistique est-elle une sorte de « sécrétion » de l’esprit humain, née d’une alchimie mystérieuse de la personne ? Dans ce cas, l’artiste serait alors amené à « se dire », à témoigner de lui-même d’une façon décalée par rapport aux strictes nécessités de la productivité ? Son esthétique renverrait à des douceurs ou des beautés enfouies au fond de l’être.

Mais nous sentons bien que l’art n’est pas le produit unilatéral d’un artiste. L’art est dialogue. Il l’est déjà dans l’esprit et le cœur du créateur, dans ce rapport entre le JE, dans sa solitude, et le NOUS qui l’unit à d’autres. En tant que créateur je me refuse à l’isolement, à la fermeture, à « l’étanchéité », je suis donc uni à d’autres par d’innombrables liens. Ce que je vais dire par mon geste artistique sera donc le produit de ce dialogue entre moi-le-solitaire et moi-parmi-d’autres. Je ne témoignerai pas de « moi » seulement, mais de « moi qui se pense NOUS ».

Mais le dialogue ne s’arrête pas à cette recherche intérieure, il est aussi bien concret dans le résultat de ma création. Je propose mon art, je le donne à voir, à toucher, à entendre etc. Va t’on accueillir cette proposition ? Que va-t-on en faire ? Quelles seront les réactions ? Dialogues multiples avec les destinataires de la création artistique.

L’art peut-il être au service du témoignage ? Ne risque-t-on pas de « purger » l’art en l’enrégimentant, en lui donnant mission ? Oui, il ne peut s’épanouir que dans la liberté ; Mais si cette liberté est « la glorieuse liberté des enfants de Dieu », si l’artiste est -comme tout chrétien pourrait l’être- un véritable disciple de Jésus-Christ, son expression artistique témoignera de la Vie qu’il a reçue.

Alors, que l’artiste soit ce sculpteur du XIe siècle juché en haut d’une église romane qui crée une œuvre que seul verra un photographe acrobate du XXe siècle ; qu’il soit ce compositeur au nom oublié mais dont on chante et joue l’œuvre pendant des générations ; qu’il soit ce peintre dont une couleur de la toile résonne curieusement en moi et me parle. Bref, qu’il soit devant le peuple chrétien à témoigner au monde, dedans pour faire grandir l’Église ou derrière pour préserver des traces, l’artiste, par son art sera le prophète de son Dieu. Il sera prophète, « porte-parole », comme chaque chrétien doit l’être, et l’art sera alors un merveilleux reflet de l’Espérance que nous accueillons sans cesse et qui se renouvelle sans cesse.

Bruno LEROY.

16:26 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Contre l’exclusion.

Portrait

Myriam, écrivain-poète

Le goût pour l’écriture, Myriam le cultive depuis l’âge de 9 ans. Elle a toujours su qu’elle serait écrivain-poète. En y réfléchissant, elle s’est aperçue que, malgré son jeune âge, elle pouvait en tirer profit.


Peut-être parce qu’elle est handicapée, Myriam affiche une incroyable maturité, ne s’attachant à rien d’autre que l’immatériel, les mots, les sentiments, les idées. Depuis longtemps, elle rêve de se promener avec ses parents, mais jusque-là ce n’était pas possible. Ils n’avaient pas de plate-forme électrique pour faire entrer son fauteuil roulant dans la voiture. Alors, du haut de ses 11 ans, elle a écrit son premier conte Un anniversaire très réussi, que son grand frère Etienne a illustré. Tous les habitants de son village sont allés chez elle pour en acheter un exemplaire, et ils en sont ressortis avec une pile pour faire des cadeaux à leurs amis. En tout, Myriam en a vendu 2000. Ensuite, il s’est passé beaucoup de choses dans la vie de cette élève de 4e. D’abord, elle a pu se balader : "C’est un peu bizarre, dit-elle, j’observe les paysages quand je suis dans la voiture. Ca m’inspire drôlement." Puis, elle a fait le grand chamboulement. "J’ai voulu donner mes affaires : mes livres, mes poupées. Mais je me suis arrêtée en route. Ma chambre ressemblait à une cellule de moine."

La force de la volonté


Enfin Myriam, qui a aujourd’hui 13 ans, a décidé de publier un autre livre. Cette fois, c’est un recueil de poésie. Au départ, elle voulait changer de domicile. Chez elle, elle ne peut pas circuler avec son fauteuil et puis sa chambre et la salle de bains sont au premier. Ses parents n’ayant pas les moyens d’acheter une autre maison, comme pour la voiture, elle entreprend la rédaction de 84 poèmes que son frère s’empresse d’illustrer. Mais voilà, comment récolter de l’argent lorsqu’on n’a pas d’existence juridique ? Ses parents sont allés demander conseil au maire du village. Tous ensemble, Myriam comprise, ont décidé de verser les bénéfices à l’Association Départementale d’Aide à l’Intégration Scolaire des Handicapés. Le livre s’appelle Merveilles du monde. Sur la couverture, un dauphin tout joyeux saute dans l’eau, il guide un superbe voilier.

Qui contacter ?


- ADAIS Cluny - Association départementale d’aide à l’intégration scolaire des handicapés au 03.85.59.00.49
- FNASEPH - Fédération nationale pour l’accompagnement scolaire des enfants présentant un handicap au 02.43.16.10.39

 

16:26 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MILITANTISME. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

17/09/2007

DEMEURER INTÈGRE...

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Elle consiste à s'accrocher en tout temps à son sens le plus élevé de la vérité et à sa propre vision, quel qu'en soit le coût. Elle consiste à résonner avec la fibre la plus profonde de notre être, qui nous pousse à ne pas céder un centimètre de terrain, quel que soit le prestige ou l'autorité de la personne ou de l'institution qui s'oppose à nous. Et cela, non pas par obstination, mais à cause du courage tranquille d'une voix intérieure qui nous dit: " Ceci par-dessus tout : sois fidèle à toi-même... "

Être intègre signifie suivre à tout moment sa plus haute idée de ce qui est juste, quelles que puissent en être les conséquences, aussi solitaire que soit le sentier, et aussi fortes que soient les railleries et les moqueries de la foule et des pharisiens.

Être intègre, c'est encore " oser proclamer la vérité à tout pouvoir " quand le silence avantagerait mieux tes intérêts. C'est s'accrocher au pouvoir de la vérité quand tous ceux qui t'entourent acceptent des compromis ou prétendent: " Ce n'est pas vraiment important ". C'est rester intrépide et ferme quand les autres disparaissent dans les abris souterrains de leurs peurs et de leur timidité.

L'intégrité, c'est encore refuser de diluer son sens intérieur de la véracité, serait-ce même pour satisfaire, apaiser ou gagner l'approbation d'un bien-aimé ou d'une bien-aimée.

Par-dessus tout, l'intégrité consiste à refuser de tricher avec soi-même, mentir à soi-même, ou demeurer dans la pénombre des demi-vérités. On peut mentir à d'autres, voire les tromper - et se faire pardonner. Mais quand tu te mens à toi- même, qui est là pour te pardonner ? Et après une défaite de ce type-là, qui t'aidera à te mettre debout ? Même si tu es assez ignorant pour te laisser aller à cette absurdité suprême consistant à te tromper toi-même, ta force intérieure ne quittera-t-elle pas le vaisseau de celui qui le coule volontairement de cette façon? Dans de tels moments, la grâce seule peut te sauver.

Se tromper soi-même tue le discernement qui est à la base du vrai jugement et d'un choix valable. Éviter consciemment ce que l'on sait être vrai ou se mentir à soi-même est le péché contre l'esprit qui réside au fond de chacun de nous. L'intégrité, en tant que centre le plus intime de l'essence de notre être, constitue la moelle de notre identité, la fondation de toutes nos qualités, à commencer par l'amour. Elle est la trame sur laquelle nous tissons leurs textures exquises sur la tapisserie de notre existence. Pas de trame, pas de tapisserie. Quand elle est mariée à l'amour dans la danse joyeuse de celui dont l'existence est une célébration de la vie, elle forme le couple parfait.

Alors, quand les vents et les tempêtes hurlent ou que le tentateur murmure: " Une compromission est de rigueur " et cherche à nous faire éviter les défis dont nous avons besoin pour grandir et rester éveillés, tenons-nous fermement, amie, ami, quel que puisse en être le coût, à cette fontaine intérieure qu'est notre véritable intégrité - car en elle réside la vie.

18:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Neuvaine à Père Pio de Pietrelcina.


 



1) Premier Jour
Padre Pio de Pietrelcina, qui a reçu les signes de la Passion de notre Seigneur Jésus-Christ, toi qui as porté la Croix pour nous tous en supportant les souffrances physiques et morales qui te maintenaient, corps et âme, en état de martyre continu, intercède auprès de Dieu pour que chacun de nous accepte sereinement les petites et grandes Croix de la vie, faisant de chaque épreuve un pont vers la vie éternelle.
«Il convient que vous supportiez les souffrances que Dieu permettra. Jésus, qui ne peut supporter que vous demeuriez dans l’affliction, s’emploiera à vous réconforter et à insuffler à votre esprit un nouveau courage.» (Padre Pio)
Réciter la Neuvaine au Sacré Coeur de Jésus


2) Deuxième jour
Padre Pio de Pietrelcina, toi qui as su, avec l’aide de notre Seigneur Jésus-Christ, résister aux tentations du démon, toi qui as subi les assauts et les attaques de démons de l’enfer qui voulaient t’inciter à abandonner ta voie de sainteté, intercède auprès de Dieu pour que nous aussi, avec ton aide et avec celle de tous les élus, trouvions la force de renoncer au péché et de conserver la foi jusqu’au jour de notre mort.
«Sois courageux et ne crains pas les colères de Lucifer. Rappelle-toi toujours que si l’ennemi jette l’agitation ou le trouble dans ta volonté, c’est signe qu’il ne l’a pas vaincue.» (Padre Pio)
Réciter la Neuvaine au Sacré Coeur de Jésus




3) Troisième jour
Padre Pio de Pietrelcina, qui as beaucoup aimé la Vierge Marie et qui as obtenu d’elle, quotidiennement, grâces et consolations, intercède pour nous auprès de la Très Sainte Vierge en déposant dans ses mains nos péchés et nos prières sans ardeur, pour que, comme à Cana, en Galilée, le Fils accorde ce que demande sa Mère et que notre nom soit écrit dans le Livre de la Vie.
«Que la Très Sainte Vierge soit l’étoile qui éclaire votre route et vous montre la voie sûre pour aller à Dieu; qu’elle soit comme un ancre qui, à l’heure de l’épreuve, vous unisse toujours davantage à Lui.» (Padre Pio)
Réciter la Neuvaine au Sacré Coeur de Jésus


4) Quatrième Jour
Padre Pio de Pietrelcina, toi qui chérissais ton Ange gardien, lequel te servait de guide, de défenseur et de messager, toi auquel les Anges gardiens apportaient les prières de tes fils spirituels, intercède auprès du Seigneur pour que nous apprenions, nous aussi, à avoir recours à notre Ange gardien qui, tout au long de notre vie, peut nous encourager à faire le Bien et nous dissuader de faire le Mal.
«Invoque ton Ange gardien, afin qu’il t’éclaire et te guide. Le Seigneur te l’a donné pour guide et pour messager. Aussi, recours à lui.» (Padre Pio)
Réciter la Neuvaine au Sacré Coeur de Jésus


5) Cinquième jour
Padre Pio de Pietrelcina, toi qui as eu une grande dévotion pour les âmes du purgatoire, pour lesquelles tu t’es offert comme victime en expiation de leurs péchés, prie pour nous le Seigneur, afin qu’il fasse naître en nous les sentiments de compassion et d’amitié que tu avais pour ces âmes. Ainsi, nous pourrons abréger leur attente et obtiendrons pour ces âmes, par nos prières et par nos sacrifices, les indulgences dont elles ont besoin.
«Mon Dieu, impute-moi, je te prie, les peines préparées pour les pécheurs et pour les âmes du purgatoire; multiplie sur moi les punitions jusqu’à ce que soient convertis et sauvés les pécheurs et soient rendues libres les âmes du purgatoire.» (Padre Pio)
Réciter la Neuvaine au Sacré Coeur de Jésus


6) Sixième jour
Padre Pio de Pietrelcina, toi qui as aimé les malades plus que toi-même, voyant en eux l’image du Christ souffrant, toi qui as obtenu des miracles de guérison du corps et de l’âme, prie pour nous le Seigneur afin que tous les malades, par l’intercession de la Vierge Marie, obtiennent la guérison et reçoivent une plénitude de grâces pour remercier et louer le Seigneur à jamais.
«Si je sais qu’une personne est tourmentée, en son âme ou dans son corps, que ne ferais-je pour la voir délivrée de ses maux? J’assumerais volontiers toutes ses afflictions pour le voir sauvée et j’offrirais les fruits de telles souffrances, si Dieu me le permettait.» (Padre Pio)
Réciter la Neuvaine au Sacré Coeur de Jésus


7) Septième jour
Padre Pio de Pietrelcina, toi qui as participé au projet de salut du Seigneur en offrant tes souffrances pour libérer les pécheurs des liens du démon, intercède auprès de Dieu afin que les incroyants reçoivent la foi et se convertissent, que les pécheurs éprouvent un repentir sincère, que les tièdes deviennent plus ardents et que les justes persévèrent sur la voie du salut.
«Si le pauvre monde pouvait voir la beauté d’une âme en état de grâce, tous les pécheurs et tous les incroyants se convertiraient instantanément.» (Padre Pio)
Réciter la Neuvaine au Sacré Coeur de Jésus


8) Huitième jour
Padre Pio de Pietrelcina, toi qui as tant chéri tes fils spirituels, dont plusieurs ont été conquis par toi pour le Christ, au prix de ton sang, considère-nous aussi, bien que nous ne t’ayons point personnellement connu, comme tes fils spirituels, en sorte qu’avec ta protection paternelle, guidés par ta sainteté et soutenus par la force obtenue du Seigneur par ton intercession, nous puissions, au jour de notre mort, compter sur ton accueil aux portes du Paradis.
«S’il m’était possible, je demanderais à Dieu une seule grâce, celle de ne pas entrer au Paradis avant que n’y soient entrés tous mes fils spirituels, tous ceux qui se sont confiés à moi dans l’exercice de mon ministère.» (Padre Pio)
Réciter la Neuvaine au Sacré Coeur de Jésus


9) Neuvième jour
Padre Pio de Pietrelcina, toi qui as beaucoup aimé notre Sainte Mère Église, intercède auprès du Seigneur afin qu’il envoie des ouvriers pour sa moisson et qu’il donne à chacun d’entre eux la force et l’inspiration des fils de Dieu. Nous te prions en outre d’intercéder auprès de la Vierge Marie pour que tu guides les hommes vers l’unité des chrétiens, en les rassemblant en une seule grande maison qui servira de phare au milieu de la tempête que représente la vie.
«Tiens-toi toujours près de la Sainte Église catholique, qui seule peut te rassurer, car elle seule est l’épouse du Christ, qui est le vrai Prince de la Paix.» (Padre Pio)
Réciter la Neuvaine au Sacré Coeur de Jésus



*** Neuvaine irrésistible au Coeur Sacré de Jésus
Cette neuvaine nous vient de Sainte Marguerite-Marie Alacoque. Padre Pio disait chaque jour cette neuvaine pour tous ceux qui se recommandaient à ses prières.

I - O Jésus, qui avez dit : " En vérité, je vous le dis, demandez et vous recevrez, cherchez et vous trouverez, frappez et l'on vous ouvrira !" voici que je frappe, je cherche et je demande la grâce ......
Pater, Ave, Gloria,
Coeur Sacré de Jésus, j'ai confiance et j'espère en vous.

II - O Jésus, qui avez dit : " En vérité, je vous le dis, tout ce que vous demanderez à mon Père en mon Nom, il vous l'accordera ! " voici qu'en votre Nom je demande la grâce ....
Pater, Ave, Gloria,
Coeur Sacré de Jésus, j'ai confiance et j'espère en vous.

III - O Jésus, qui avez dit : " En vérité, je vous le dis, le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point ! " voici qu'en m'appuyant sur l'infaillibilité de vos saintes paroles je demande la grâce ...
Pater, Ave, Gloria,
Coeur Sacré de Jésus, j'ai confiance et j'espère en vous.

Prière : O Coeur Sacré de Jésus, à qui il est impossible de ne pas avoir compassion des malheureux, ayez pitié de nous, pauvres pécheurs, et accordez-nous la grâce que nous vous demandons, par l'intercession du Coeur Immaculé de Marie, notre tendre Mère.
Saint Joseph, père adoptif du Sacré-Coeur de Jésus, priez pour nous.


* Salve Regina
Salut, Reine, Mère de miséricorde,
Notre vie, notre douceur, notre espérance, salut !
Vers toi nous crions, enfants d'Ève exilés,
Vers toi nous soupirons, gémissant et pleurant
Dans cette vallée de larmes.
Ô toi notre avocate,
Tourne vers nous ton regard miséricordieux
Et Jésus, le fruit béni de tes entrailles,
Montre-le nous après cet exil.
Ô clémente, ô douce Vierge Marie.



* * Que Dieu vous bénisse !

Thierry Fourchaud

Cité de l'Immaculée
BP24 - 53170 Saint Denis du Maine (France)
site : www.mariereine.com
Nouveau site : www.labonnenouvelle.fr
(prochaine Bonne Nouvelle sur Jean-Paul II)

12:26 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

OPUS DEI PRÉLATURE INCOMPRISE...

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En journaliste avisé, en catholique convaincu et en chercheur minutieux, Patrice de Plunkett a poussé l’enquête sur l’Opus Dei jusqu’aux fondements de sa structure et jusqu’aux racines de son histoire. Plongeur en eaux profondes, il en revient avec des trésors, mais qui ne sont pas ceux que le naïf attend. L’oeuvre de Dieu fondée par un jeune prêtre espagnol devenu Monseigneur Escriva, c'est donc tout cela mais seulement cela ? Ainsi se désolera l’amateur de révélations scabreuses. Mais, quant au simple mendiant de vérité, quant au chrétien amoureux des mille éclats divers dont se pare le peuple de Dieu, il y trouvera, pour lui, puissante matière à réflexion, à méditation et à espérance. Patrice de Plunkett a réussi, comme il engage le lecteur à le tenter après lui, à porter un regard le plus objectif possible, loin des passions de tout ordre, sur cette prélature dont le succès n’en finit pas de nourrir d’extravagants fantasmes. Pied à pied, il démonte les légendes qui tentent d’en pourrir les fruits : non, l’Opus Dei n’a rien à voir avec le franquisme, explique-t-il.
Il en a même au contraire souffert la persécution ; non, l’Opus Dei ne dirige pas Rome ; non, l’Opus Dei n'est pas une « sainte maffia » ; non, l’Opus Dei n’est pas une menaçante puissance économique. Etc. Et, ne se bornant pas à écarter d’un revers de main toutes ces accusations et combien d’autres, plus mesquines et plus injustifiées encore, le journaliste descend véritablement dans les bas-fonds, fouille les poubelles – celles de la fameuse « affaire Calvi »notamment – et prouve, que si machination il y a, elle serait plutôt ourdie contre l’Opus Dei. Mais la machination n’est que celle des imbéciles, celle des envieux, celle des fous, celle des paranoïaques, celle des concierges et des affabulateurs de tout poil qui, depuis les Jésuites, n’en finissent pas de faire porter à l’Église le fardeau de leur besoin de sens insatisfait. Ce sont aussi des destins lumineux que Plunkett nous présente ici. Tous ces hommes et toutes ces femmes qu’il a rencontrés, numéraires et surnuméraires, engagés dans une sanctification quotidienne de leurs travaux et activités témoignent d’abord, par leur ardeur et leur ténacité, dans leurs oeuvres sociales, charitables et enseignantes, de l’effectivité immédiate du « levain dans la pâte ».

Jacques de Guillebon dans La Nef, n°171, mai 2006


Journaliste, essayiste, membre du comité éditorial de la revue de prospective catholique "Kephas", Patrice de Plunkett a écrit entre autres une biographie remarquée de "Benoît XVI et le plan de Dieu".

C'est dans un climat social et politique très tendu et peu favorable que le jeune abbé José-Maria Escriva se sent appelé à une mission spirituelle d'envergure. L'Opus Dei naîtra en 1928 à Madrid des longues méditations de son fondateur, soucieux de venir en aide à un monde en désarroi, moralement en déroute. Projet audacieux auquel il consacrera toute son existence parsemée de multiples épreuves.
Le premier centre de l'œuvre est créé avec de très modestes moyens dans la capitale madrilène en 1928. Y adhère une poignée d'étudiants espagnols séduits par l'idée du Père Escriva. Le but poursuivi est d'amener les laïcs à se sanctifier dans leur vie quotidienne personnelle, familiale, professionnelle et sociale. En dépit du climat de tension et des difficultés en tous genres, de nombreux centres de formation éducative et d'activités caritatives se développent. Ils seront de plus en plus performants avec l'unique souci de servir au sein de l'Eglise, sous les couleurs du Vatican.
Grâce à cette impulsion au fil des années, des écoles, des universités, des hôpitaux, des centres culturels, des ateliers s'organiseront sur tous les continents sous l'aile spirituelle de l'Opus Dei. Aides et dons privés viendront souvent au secours de situations apparemment insurmontables. Au plus creux des vagues, ni le Père Escriva, ni ses collaborateurs ne perdront confiance. L'expansion de l'œuvre se veut sans frontières, apolitique et pour tous sans distinction d'origine et de race.
Chaque vocation est individuelle et libre. Les membres sont reliés entre eux par des normes de prières, une formation doctrinale en parfait accord avec l'enseignement de l'Eglise catholique, un même esprit d'amitié et d'entraide, dans le respect de l'autre, quels que soient ses engagements par ailleurs. Le travail se fait dans son milieu de vie, sans tapage et sans recherche de vedettariat. Quels mystères cache cette discrétion ? Comme tout mouvement en extension, plus l'œuvre grandit, plus elle est vulnérable et intrigue.
Quelques zèles trop intempestifs, quelques vocations incomprises, du milieu familial surtout, des engagements avortés, malencontreux, suffisent à éveiller des soupçons. Les accusations, souvent les mêmes, sont reprises, montées en épingle par certains médias (Planète, Golias pour ne citer qu'eux).
Dans une société devenue égalitariste, hédoniste, laïcisée, en plein éparpillement, la transparence est de rigueur. Or, la discrétion de l'Opus Dei est mal vue. Sur quelques mécomptes, les imaginations s'échauffent, amplifiées par des articles venimeux de ci de là. Les termes de pénitence, de sacrifice, de mortification, d'approfondissement intérieur sont tournés en dérision et cloués au pilori de l'obscurantisme de nos pères. En réponse, les portes des divers centres sont largement ouvertes. Les enquêteurs s'obstinent, agacés de ne rien découvrir en dehors de l'harmonie de la paix et de la bonne humeur qui règnent partout.
La Prélature personnelle accordée à l'Opus Dei par Jean-Paul II "qui connaît le travail et la mystique des disciples d'Escriva" relance les polémiques. La béatification du fondateur en 1991, peu d'années après sa mort en 1975 à Rome, puis la proclamation de sa sainteté, déchaînent les médias : l'Ouvre est classée "Sainte Mafia"… Doù viennent ses ressources financières ? Quels sont ses modes de recrutement ? ses exigences ? ses appartenances ? etc, etc…

C'est à tout cela que répond Plunkett, sans complaisances , sans ménager rien ni personne. Son enquête est menée tambour battant. Dès le départ, il déclare qu'il n'est pas de l'Opus Dei et n'a nulle intention d'y entrer. C'est clair et net. Il écrit en vérité et liberté totales.
Avec de nombreux écrivains et journalistes, il répond à ce nouveau flot d'attaques ciblées contre la personne du Christ et son Eglise, dont fait partie l'Opus Dei, prise en otage. "Pour 30 deniers Judas trahit son maître, pour des millions de dollars, Dan Brown trompe son monde" tablant avec astuce sur l'ignorance des foules, le goût d'un public déchristianisé pour l'ésotérisme et l'air pollué du temps… Une minorité agissante se mobilise : prélats, prêtres, religieux, laïcs protestent vigoureusement. Tous prouvent que depuis 2000 ans, le vrai Christ, celui des Evangiles, n'a cessé d'attirer à lui des foules innombrables d'hommes et de femmes qui ont consacré leurs vies à propager Sa doctrine d'Amour.

Gisèle Bazin pour

12:17 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

16/09/2007

La relation mère-enfant.

PDF]

La relation mère-enfant entre le manque d'affects et l'empiètement

Format de fichier: PDF/Adobe Acrobat - Version HTML
Source : Article de Bruno Leroy : http://blog.france2.fr/ecriture/index.
php/2005/07/29/3742-ces-enfants-maltraites. Les enfants maltraités ...
www.akadem.org/photos/contextuels/980_enfants_maltraites_Doc6.pdf -

17:38 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

15/09/2007

GUY GILBERT TRANSMETTEUR DU MYSTÈRE.

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JOURNAL CHRETIEN
http://www.journalchretien.net/spip.php?article4448
Guy Gilbert transmetteur du Mystère.
Guy est un intellectuel, voire un théologien sans le savoir ou sans le vouloir. Ses approches des problématiques sociétales même si elles sont enrobées d’un certain humour sont toujours d’une grande rigueur analytique.
/ BRUNO LEROY /

Intervenant-éducatif auprès de Jeunes et de Familles en difficultés.

Diplômé de Théologie Pratique et Politique.

Directeur du Service Éducatif et Action Sociale Nord/Pas de Calais.

Guy est éducateur, certes mais également prêtre. Voilà, la source de sa Force. Cette Foi indicible dont transpire toute sa personne. Le Témoignage sans prosélytisme est pour lui essentiel. C’est la preuve certaine que Dieu travaille aussi dans le coeur des plus petits. Son secret, la prière celle qui donne ce souffle de liberté pour mieux s’épanouir. Transmettre cette puissance de vie inoculée par l’Esprit est capital dans sa mission d’éducateur.

Guy Gilbert s’exprime toujours avec cet espace de liberté de langage qui le caractérise. Ses mots issus des blessures béantes de la rue, ont la saveur des profondeurs. En effet, Guy est un intellectuel, voire un théologien sans le savoir ou sans le vouloir. Ses approches des problématiques sociétales même si elles sont enrobées d’un certain humour sont toujours d’une grande rigueur analytique.

Cela peut surprendre chez ce prêtre que l’on qualifie souvent de rockeur des rues. Et pourtant, son expérience parle pour lui. Lorsqu’il évoque l’inculturation prônée par Vatican II, comprend-t-on réellement sa démarche d’éducateur ? Parfois, j’en doute. Tant de reproches lui furent jetés en pleine figure à cause de son look et de ses mots ; qu’il lui fallut un courage indestructible pour affronter les critiques stériles. Guy est toujours debout avec les mêmes convictions chevillées au corps. Ces valeurs qui donnent sens à son existence et qu’il s’oblige, en tant que Témoin du Christ, à transmettre.

Ces convictions qui génèrent un sens à toutes vies. Rien n’est inaccessible chez lui. Rien non plus n’est facile. S’il est bien un domaine dans lequel Guy ne transige pas c’est l’éducation inculquée avec laxisme. Chaque parent ou éducateur doit être en capacité de refus. Au risque de voir tomber sur sa pauvre tête les foudres injurieuses des adolescents en révolte. L’adulte doit poser des repères afin que les jeunes ne se perdent point. Ces Ados dont on a tout accepté par peur du conflit.

Voyez les dégâts dont notre société refuse de comprendre les causes. Les violences sans nom provoquées par le malaise des jeunes qui ne savent plus pour quelles raisons obscures ils respirent dans ce monde qui les ignore allègrement. Ils n’ont plus rien à perdre pas même la vie. Les adultes que nous sommes devenons chaque jour indifférents aux problèmes qui les habitent.

Guy Gilbert veut tracer de nouveau les balises qui nous ont fait grandir et que nous refusons de transmettre volontairement aux ados. Volontairement, pas tout à fait, je dirai plutôt involontairement par lâcheté, par peur. Oui, nos sociétés ont peur de leurs jeunes et surtout de leurs réactions. Aurions-nous oubliés que nous avons été enfants avant de prétendre tout savoir ? Un Homme qui sait tout est un être arrêté et figé pour l’éternité. Il est un mort-vivant croyant comprendre les autres tout en les ignorant. Il nous faut des vivants, nous martèle Guy Gilbert. Il nous faut des êtres de Lumière. N’est-il pas vrai que la Lumière peut éclairer le chemin rocailleux des meurtris de la vie.

Guy est éducateur, certes mais également prêtre. Voilà, la source de sa Force. Cette Foi indicible dont transpire toute sa personne. Le Témoignage sans prosélytisme est pour lui essentiel. C’est la preuve certaine que Dieu travaille aussi dans le coeur des plus petits. Son secret, la prière celle qui donne ce souffle de liberté pour mieux s’épanouir. Transmettre cette puissance de vie inoculée par l’Esprit est capital dans sa mission d’éducateur. Puissent chaque chrétien et chrétienne, comprendre cette puissance invincible d’une osmose permanente avec Dieu. Ce Dieu des combats pour une culture où l’oppression ne serait que mauvais souvenir. Ce Dieu qui nous fait vivre les authentiques valeurs pour une liberté responsable aux yeux de l’Humanité. Ce Dieu qui nous pousse à parler pour dire aux Jeunes les convictions joyeuses de notre vie.

Ce Dieu qui nous offre le courage d’affronter toutes les peurs pour exprimer ce qui nous tient debout envers et contre tout. Ce Dieu qui fait sourire les enfants par son humour sur les événements. Ce Dieu qui suinte d’Espérance et dont le feu se reflète sur notre visage. Ce Dieu qui sait nous dire « Non » pour nous faire pénétrer dans la maturité spirituelle. Cette maturité dont les Jeunes attendent quelques signes des adultes souvent, en vain. Aimer, c’est savoir dire « Non » quand les garde-fous ont délimités le terrain. Aimer, c’est être constamment présent avec distance pour que fleurisse la liberté individuelle. Guy Gilbert, comme bon nombre de chrétiens, a trouvé depuis sa tendre enfance sens à son existence. Il se fait un devoir de dévoiler ce bonheur qui fomente aux tréfonds de son être. En fait, ce que nous admirons chez lui, c’est ce que nous ne sommes pas capables de dire ou de faire. Et pourtant, ayez confiance Frères et Soeurs bien aimés, l’Esprit-Saint vous donnera le comportement et les mots selon vos charismes pour devenir à votre tour des successeurs de Guy Gilbert.

Des Témoins de l’Amour et de l’Espérance. Des Témoins du Christ vivant dans ce monde aux senteurs de culture de mort. Des ressuscités face à cette terre déprimée de ne plus saisir le sens, l’essence même d’une transcendance voulue par un Dieu d’Amour. Répandre l’Amour dans les moindres gestes quotidiens devient contagieux pour ceux et celles qui nous entourent et nous regardent vivre. De plus, l’amour est inventif à l’infini et permet de trouver des solutions face à la misère humaine dont les jeunes sont les premières victimes. Guy Gilbert ne fait rien d’autre que suivre les pas de la Providence. Suivons-le, sur les sentes où notre destin est donné en offrande à chacun, comme le Christ par Amour désintéressé pour l’Humanité.

Bruno LEROY.

Éducateur de rue.


13:06 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans GUIDE DE VIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

14/09/2007

JACQUES MARTIN N'EST PLUS...

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Jacques Martin est né le 22 juin 1933 à Lyon. Il passe son enfance chez les Jésuites puis débute sa carrière à Télé-Strasbourg en tant qu'animateur dans les années 1950. Repéré par Pierre Tchernia, Jacques Martin monte alors à Paris pour rejoindre l'ORTF. Il crée avec Jean Yanne l'émission 1 = 3 où il joue au pitre débridé. En 1969, il anime quelques temps Midi-Magazine avec Danièle Gilbert. Mais Jacques Martin a plusieurs cordes à son arc : il se produit en parallèle de la télévision comme chanteur en première partie de Jacques Brel à l'Olympia, il compose des chansons et fait aussi l'acteur dans Erotissimo (1968), Sex-shop (1972) et La Passante du Sans-Souci (1982). Multi-talent, cet homme est aussi un découvreur de talents et un cuisinier hors pair.

Quand en 1975, TF1 lui propose un créneau, il lance le Petit Rapporteur, une émission satirique en diable qu'il anime avec Pierre Desproges, Stéphane Collaro et Daniel Prévost. Le ton trop acide fait des vagues et au bout d'un an, il doit migrer vers Antenne 2 pour une nouvelle émission La Lorgnette (1976 - 1977). Il enchaîne en parallèle sur des émission de variété qui le hissent progressivement comme l'animateur vedette de la télévision publique. Il restera dans le coeur des téléspectateurs avec son émission Dimanche Martin, enregistré en public chaque samedi au théâtre de l'Empire et surtout sa fameuse École des fans.

Victime d'un accident cérébral en 1998 Jacques Martin vivait retiré depuis plusieurs années à Biarritz à moitié paralysé.

11:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ARTISTES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

13/09/2007

Bonne et sainte fête de la Croix Glorieuse !
















































* "C'est par ces blessures que nous sommes guéris" (Isaïe)

"Quand je serai élevé de terre, j'attirerai tout à moi."
Qui pourrait désormais craindre la croix ?
Je peux, Seigneur, faire le tour du ciel et de la terre, de la mer et des steppes, jamais je ne te trouverai sinon sur la croix. Là tu dors, là tu pais ton troupeau, là tu te reposes à l'heure de midi. Sur cette croix celui qui est uni à son Seigneur chante avec douceur : « Toi Seigneur, bouclier qui m'entoures, ma gloire, tu me relèves la tête. » Ô Croix de gloire, enracine-toi en moi, pour que je sois trouvé en toi.
Saint Bernard de Clairvaux


* Historique

Chacun se souvient comment la vraie croix avait été retrouvée par sainte Hélène, mère de l'empereur Constantin. En 335, l'empereur Constantin, invite pour le trentième anniversaire de son avènement, les Pères réunis à Tyr à la dédicace des deux basiliques qui doit avoir lieu le 13 septembre à Jérusalem.

Le lendemain de la dédicace, le dimanche 14 septembre, l'évêque de Jérusalem montre pour la première fois à la foule le bois sacré de la Croix (l'hyposis) et, sur ordre de Constantin, les Pères décrètent la célébration annuelle de la dédicace et de l'exaltation, au 14 septembre. Un morceau de la Croix étant apporté à Constantinople, on y célèbre la même fête avec l'hyposis. Cette fête est répandue dans tout l'Orient dès le VII° siècle, et on la trouve à Rome au plus tard au temps du pape Serge I° (687-701) à la notice duquel, dans le Liber pontificalis, on trouve la mention suivante : En la sacristie du bienheureux apôtre Pierre, se trouve un reliquaire où est renfermée un précieuse et considérable portion du bois salutaire de la croix du Sauveur ... Au jour de l'Exaltation de la sainte croix, le peuple chrétien baise et adore cette relique dans la basilique constantinienne du Saint-Sauveur.



LE RESEAU DES ENFANTS DE MARIE


Chers tous,
aujourd’hui nous sommes 6854 enfants de Marie.
S’inscrire pour faire grandir les enfants de Marie sur directement sur le site : www.mariereine.com


* Petit témoignage :
- Merci car tous ensemble nous nous sentons plus forts et surpris en même temps d'être nombreux et notre prière du coup s'en trouve enrichie car nous formons une chaîne d'amour dans le Coeur de Marie . Christine M.

* Découvrez le livre Chemin de Croix et de guérison
Illustrations à partir des photos du films de Mel Gisbon "la Passion du Christ". A chaque station, un passage de la Parole de Dieu et une méditation pour recevoir la guérison car " c'est par blessures nous sommes guéris" (Isaïe).
Photo du livre en cliquant sur : Chemin de Croix et de guérison à partir du site : www.mariereine.com

* Découvrez aussi la nouvelle revue : carte de Marie + Voici ta Mère !

* Prochaines retraites à la Cité de l’Immaculée (Mayenne - France)
- du 17 au 22 septembre 2007.
Avec Marie, se livrer a l'Esprit d'Amour par le Pere Joël Guibert (il reste quelques places)
- du 08 au 13 octobre 2007
"Je serai guéri !" par Thierry et Myriam Fourchaud (complet, mais prochaine retraite sur le même thème du 14 au 19 janvier 2008)
** Exceptionnel : week-end école de prophétie avec Debbie Kendriks et un prêtre catholique du 23 au 25 novembre 2007

Un grand MERCI pour tout à vous tous !

* Que Dieu vous bénisse !

Thierry Fourchaud

Cité de l'Immaculée
BP24 - 53170 Saint Denis du Maine (France)
Tel : 02.43.64.23.25.
site : www.mariereine.com
Nouveau site : www.labonnenouvelle.fr
(prochaine Bonne Nouvelle sur Jean-Paul II)

19:21 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

La Parabole du fils retrouvé.

Je vois que ce peuple est

un peuple à la tête dure." Ex 32, 7-14
"Je suis plein de reconnaissance pour

 celui qui me donne la force, Jésus-Christ." 1 Tm 1, 12-17
"Il fallait bien festoyer et se réjouir." Lc 15, 1-32

.

L’évangile invite à comprendre quelle est la vraie joie de Dieu : voir ses enfants se convertir et revenir vers lui. Pour décrire ce bonheur divin, Jésus prend trois images. Celle d’un berger qui retrouve sa brebis égarée et la porte sur ses épaules comme un bon pasteur : « Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis, celle qui était perdue. » Celle d’une femme qui a perdu son bien et le retrouve lors d’un grand ménage : « Réjouissez-vous avec moi, dit-elle à ses amies, car j’ai retrouvé la pièce d’argent que j’avais perdue. » Finalement, celle du père de l’enfant prodigue qui, après avoir préféré dépenser son argent futilement avec des filles, revient à la maison : « Il fallait bien festoyer et se réjouir, dit le père à son fils aîné en colère devant de telles festivités, car ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie. » Dieu se réjouit de la conversion de ses enfants pécheurs lorsqu’ils comprennent que la vraie vie n’est pas dans les plaisirs sensibles, ni dans les infidélités ou les désirs passagers, mais dans un cœur qui se laisse, en profondeur, toucher et aimer par l’amour gratuit, surabondant de Dieu.

Dieu nous aime, voilà la première réalité de la vie. Considérons attentivement le mystère de Dieu pour lui-même et demandons au Seigneur la grâce d’accueillir sa miséricorde, afin de nous laisser aimer, embrasser par lui : gratuitement, par pur amour.

 

 

 

Père Tanguy Marie
Père Tanguy-Marie
Prêtre de la Cté des Béatitudes
Auteur du livre : La parole, don de Vie, EDB, 2006

18:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |