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16/03/2006

VIVONS LE CARÊME ENSEMBLE !

3e DIMANCHE (19 mars)
La Mer Rouge
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VIVONS LE CARÊME
ENSEMBLE !

13:19 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans VIVRE L'ÉVANGILE. | Lien permanent | Commentaires (7) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

15/03/2006

L'ÉTOILE DU MATIN.

Dans la nuit de nos larmes et de nos cris
Un enfant souriait au sein de sa pauvreté
Sa naissance fut signe de sa liberté
Pour l'humanité qui tremblait dans ses peurs
Dans ses multiples regrets d'Exister
Sans saisir le Sens profond de cette existence
Un Libérateur naquit pour nous réveiller
Des flots d' ignorances coulés en nos coeurs
Et dans le tréfonds de ses yeux une révolution
Où l'Amour aurait toujours raison
Il venait renverser les puissants
Dont les pouvoirs grandissants
Fomentaient l'oppression meurtrière
Les Humains se savaient en danger
Mais un grand révolutionnaire était né
Dans la misère pour mieux nous ressembler
Cependant notre Foi absente de convictions
Demeurait dans les sombres enclos
Des pâturages de nos soifs de justice et d'Amour
Rien en nos consciences ne désirait voir le jour
Et conduit par la haine depuis toujours
Le révolutionnaire de l'Amour fut crucifié sans amour
Il nous laissa la Force de son Esprit
Pour savourer l'essence de notre Vie
Et donner l'Espérance aux senteurs âcres
De notre quotidien insipide et sans parfums
Et nous crucifions chaque jour sa présence
Préférant dire qu'Il ne vint jamais au monde
Pour continuer nos courses vagabondes
Et refuser insidieusement nos responsabilités
De suivre le chemin indiqué pour un monde meilleur
Seuls les esprits éveillés par son Amour inégalé
Poursuivrons sa révolution pour notre Libération
Et je suis de ceux qui ne cessent de prier
Pour notre étoile du matin afin que l'aurore
Revienne dans sa pureté de la naissance à la mort
Vaincue à jamais par le Sauveur de notre Humanité.

Bruno LEROY.

21:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : SPIRITUALITÉ DE LA LIBÉRATION. |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

DISCIPLES DE JÉSUS-CHRIST.

pour leur ouvrir les yeux... afin qu’ils reçoivent... Actes 26, 18.

Je ne connais aucun verset dans tout le Nouveau Testament qui résume en un raccourci plus grandiose ce que doit être le message d’un disciple de Jésus-Christ.

L’œuvre souveraine de la grâce divine, c’est d’abord ceci : "Afin qu’ils puissent recevoir le pardon de leurs péchés."

Quand un homme n’arrive pas à la véritable vie chrétienne, c’est presque toujours qu’il n’a jamais rien reçu dans ce domaine. Un homme n’est jamais sauvé que s’il a reçu directement quelque chose de Jésus-Christ.

Notre fonction à nous, les ouvriers de Dieu, c’est d’ouvrir les yeux des gens, pour qu’ils se tournent des ténèbres vers la lumière. Mais ce n’est pas encore là le salut complet.

C’est seulement la conversion, l’effort de l’âme qui se réveille. Je ne crois pas exagérer en disant que la majorité des chrétiens de nom sont comme cela. Leurs yeux se sont ouverts, mais ils n’ont rien reçu. La conversion - on l’oublie trop aujourd’hui - n’est pas la régénération. Quand un homme est vraiment né de nouveau, il sait bien que cela ne vient pas de lui, mais que c’est un don qu’il a reçu de la main du Tout-Puissant, Les gens prennent des engagements, signent des promesses sont décidés à tenir jusqu’au bout, mais rien de tout cela ne peut les sauver. Le salut suppose que nous sommes en mesure de recevoir directement de Dieu, grâce à Jésus-Christ, le pardon de nos péchés.

Après cela vient l’autre œuvre souveraine de la grâce divine : "L’héritage promis à ceux que Dieu lui-même a sanctifiés. "Grâce à la sanctification l’âme régénérée abandonne à Jésus-Christ tous ses droits sur elle-même, et ne s’intéresse plus qu’aux desseins de Dieu en faveur des hommes".

Bruno LEROY.

20:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

LITTÉRATURE...

Chers amis,

Ce mois-ci le Salon du livre, qui se tient du 17 au 22 mars à la Porte de Versailles, fait la part belle à la littérature francophone. Parmi les quarante auteurs invités, on retrouve le grand auteur sénégalais, Boubacar Boris Diop, dont nous publions le nouveau roman, Kaveena. Porté par les tremblements de voix d’un narrateur d’autant plus émouvant qu’il ne sait guère où il va, ce roman explore les grands maux dont souffre l’Afrique, livrée aux appétits insensés de politiciens violents, locaux et étrangers. Une œuvre qui est une méditation sur la condition humaine à travers les tragédies et les espérances du continent noir, et que nous vous invitons à découvrir.

Pour mieux comprendre les enjeux de la littérature francophone, il est utile de se plonger dans Les voleurs de langue du professeur Jean-Louis Joubert. Cet ouvrage offre une étonnante traversée de la francophonie littéraire : un parcours qui démontre la vitalité du français dans ses multiples enracinements.  De Ramuz à Césaire, Senghor, Kateb ou Beckett pour les grands aînés ; de Glissant à Chamoiseau ou Alexakis pour les contemporains, de nombreux écrivains sont évoqués ici en tant que porteurs d’un autre univers et d’un usage propre du français.

Par ailleurs, nous retrouvons Joyce Carol Oates, qui, après le grand succès des Chutes, prix Femina étranger 2005, nous confie un étonnant et puissant roman : Viol, une histoire d’amour.
Vers minuit, un soir de juillet, la belle Teena Maguire a eu le tort de couper court à travers le parc pour rentrer plus vite chez elle avec sa gamine Bethie, 12 ans. Cinq brutes l’ont laissée pour morte dans le hangar à bateaux. Une tournante comme on n’ose pas en imaginer. Une abomination à laquelle a assisté, réfugiée derrière un tas de vieux canoës, la petite fille. Qui a pu finalement se traîner jusqu’à la route pour appeler au secours, et a sauvé ainsi sa mère. Mais elle risque désormais de mourir vraiment, Teena. Et Bethie ne peut que prier pour l’intervention miraculeuse d’un ange vengeur.  Justement il est là, dans l’ombre. Un flic épris de justice. Épris tout court. Le héros silencieux d’une histoire d’amour peu banale, racontée avec une éblouissante violence par une Joyce Carol Oates à son meilleur.

Nous publions un deuxième livre de Louise L. Lambrichs, L’Invention sociale, consacré à l’œuvre de Bertrand Schwartz qui, depuis cinquante ans, n’a cessé d’inventer de nouvelles démarches pour lutter contre les inégalités sociales. Ce livre traduit l’esprit de son action pour permettre au lecteur de s’en imprégner, voire de s’en inspirer. Comment s’y prendre pour stimuler et accompagner un changement social, tout en donnant à chacun toutes ses chances ? Louise L. Lambrichs se fait l’interprète de Bertrand Schwartz, dont l’expérience novatrice constitue une réponse vivante à cette question très actuelle, tout en ouvrant de nouvelles perspectives.

Merci de l’attention que vous portez aux parutions de notre jeune maison. Vous êtes bien entendu les bienvenus sur notre stand K 109 au Salon du livre de Paris.

http://www.philippe-rey.fr

19:55 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LITTÉRATURE. | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

LA PENSÉE DU JOUR.

 

La pensée du jour
« L’ultime degré du savoir humain c’est de prendre les choses comme elles sont sans souci du reste. »
L’écclésiaste

12:15 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PENSÉE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (4) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Caricatures du prophète, la confrontation des imaginaires. Par Hakim El ghissassi.

Les caricatures représentant le prophète de l'islam comme le prophète de la haine et de la violence n'ont laissé personne, États, organisations, peuples, indifférents. Ces caricatures dévoilent l'image du musulman dans un certain imaginaire populaire occidental et en même temps, par leurs retombées, expriment la place que le prophète Mahomet a dans les cœurs de ces musulmans, qu'ils se disent laïques, libéraux, islamistes ou radicaux. Cet épisode dénote aussi, de la part de certains musulmans, une réaction qui se base sur une méconnaissance du fonctionnement des sociétés occidentales ; l'insistance à exiger des excuses personnelles du Premier ministre danois en est un exemple. Mais ces musulmans blessés, qui vivent dans des pays où les médias sont souvent soumis à la censure, croient qu'une telle demande résoudra le problème. Ils vont découvrir qu'un Premier ministre ne peut présenter des excuses à la place du média incriminé. Deux imaginaires se confrontent dans l'ignorance et le mépris. Aux passeurs d'idées, et en premier lieu aux médias, de ne pas sombrer dans les stéréotypes et les exagérations. Les réactions du monde musulman, exceptés les quelques dérapages constatés, voulaient se placer dans la légitimité. Certains journaux nationaux nous ont expliqué leur choix de diffuser ces caricatures par esprit de solidarité. Les sites web de certains hebdomadaires n'ont pas hésité, sans se soucier de donner des explications, à mettre en ligne toute la panoplie des caricatures incriminées. On ne mesure pas les blessures infligées à des centaines de millions de musulmans à travers le monde, qui, s'ils avaient accès aux images concernées, auraient agi d'une façon plus violente. L'interdiction de distribuer les journaux qui diffusent ces dessins dans certains pays s'explique par des raisons d'ordre public. On pourra toujours trouver des groupes qui n'hésiteront pas à agir à des fins non explicites, à utiliser des situations de frustration et d'humiliation pour enflammer les foules et se donner une légitimité de protecteur de la religion du peuple, comme cela s'est passé en Syrie ou au Liban. Le rejet par les musulmans de ces caricatures n'est pas dû à une interdiction supposée, comme on peut le laisser entendre, de la représentation et des images dans la culture musulmane, mais plutôt à l'amalgame créé autour du symbole que représente le Prophète, dans un monde où les musulmans se sentent quotidiennement harcelés, si ce n'est par des guerres, du moins par des mots de dénigrement de leurs références et valeurs religieuses. L'échec de l'islam politique pronostiqué par certains intellectuels n'était qu'une acrobatie intellectuelle éphémère : cet islam revient sous d'autres formes et se réinvente par d'autres mécanismes qui ne se distinguent guère de l'expression démocratique. Une fois encore, la précipitation a laissé de côté une vraie analyse des sociétés musulmanes qui se ressourcent de plus en plus dans la religion et bricolent leur religiosité afin de se donner une identité et une référence après les échecs de l'État-nation pour édifier une société équitable, sereine et juste. Au monde occidental d'aider à la reconstruction en dépassionnant les débats et en respectant leurs choix. Dans un monde numérisé, où l'information n'a plus de frontières, des personnes de pays et de cultures différents peuvent recevoir les mêmes images simultanément. Imaginons les décalages et les incompréhensions qui peuvent se construire si nos médias continuent de s'engouffrer dans leurs spécificités et exceptions et ne participent pas au rapprochement entre les peuples. Il y a une grande différence entre, d'un côté, l'esprit critique que doivent avoir les médias, qui ne peut se réaliser sans une liberté d'expression et, de l'autre côté, une simplification haineuse des croyances quelles qu'elles soient, un populisme, une provocation et un non-respect des convictions individuelles ou communes du petit peuple. La réaction mesurée de beaucoup d'hommes politiques, de leaders religieux et de Français montre qu'un débat qui permettrait la compréhension mutuelle des symboles référentiels du sacré de chaque confession, est possible. C'est même un devoir.


Hakim El Ghissassi est directeur de la rédaction du mensuel Sézame.

11:16 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans RÉFLEXIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : SPIRITUALITÉ DE LA LIBÉRATION. |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Une politique de la ville en faveur des quartiers en difficulté.

La crise des banlieues de l'automne dernier a fait l'effet d'un électrochoc sur le gouvernement et l'opinion publique. Au plus fort des violences, M. de Villepin avait débloqué 100 millions d'euros supplémentaires en faveur des associations dans les quartiers, revenant sur une baisse des subventions de l'Etat en 2004 et 2005. Après cette mesure d'urgence, l'Etat affiche une nouvelle ambition pour la politique de la ville et l'égalité des chances. Les décisions du Comité interministériel des villes et du développement social urbain annoncées le 9 mars vont dans le sens d'une volonté de résoudre les problèmes des banlieues. Un certain nombre de mesures ont été prises. la mise en place d'un cadre contractuel unique pour les interventions de l'Etat en faveur des quartiers en difficulté. Un « contrat urbain de cohésion sociale », de 3 ans, signé entre l'Etat et le maire, qui se substitue au contrat de ville à compter du 1er janvier 2007 sur une géographie prioritaire redéfinie. Autre priorité, le renforcement des moyens en faveur des associations et l'amélioration de la formation des professionnels de terrain. Il s'agit de renouveler le partenariat entre l'Etat et les associations comme promis par M. de Villepin lors d'une première Conférence nationale de la vie associative le 23 janvier dernier. Dans le cadre de l'Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances, les financements seront simplifiés et sécurisés. Une mobilisation prioritaire des services territoriaux de l'Etat en faveur des quartiers les plus en difficulté sera de mise avec la création des préfets délégués à l'égalité des chances et un élargissement de la mission des sous-préfets. Enfin, il sera mis en œuvre une évaluation systématique des projets, appuyée sur l'Observatoire national des zones urbaines sensibles. Dans ce cadre, le comité interministériel a retenu 5 champs prioritaires pour l'intervention de l'Etat en faveur des quartiers en difficulté : l'accès à l'emploi et le développement économique, l'amélioration de l'habitat et du cadre de vie, la réussite éducative et l'égalité des chances, la citoyenneté et la prévention enfin l'accès à la santé. Plus d'une cinquantaine de nouvelles mesures ont été arrêtées dans ces champs prioritaires, qui témoignent de la mobilisation des différents ministères sur le champ de la politique de la ville.
Source : Sezame.

11:03 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Projets éducatifs et sociaux. | Lien permanent | Commentaires (1) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Quelle éducation face au radicalisme religieux ?

     

Dounia Bouzar

Préface de Michel Duvette

Marque : Dunod
Collection Enfances - 155 x 240 mm - 256 pages - 2006
ISBN : 2100072854
Prix : 22€
   
 

De plus en plus de jeunes mettent en avant leur appartenance à l'Islam dans leur construction identitaire et dans leur comportement. Ce phénomène va de pair avec une perte de crédibilité des travailleurs sociaux, et la montée en puissance de l'islamisme radical. Fruit d'un travail de terrain et d'une mission voulue par le ministère de la Justice (PJJ), le FASILD (Fonds d'action et de soutien pour l'intégration et la lutte contre les discriminations) et en partenariat avec le ministère de l'Intérieur, ce livre offre une approche contextualisée et illustrée de situations analysées pour les travailleurs sociaux.

Sommaire :

Remerciements. Préface. Introduction. La laïcité, un système juridique ou une idéologie ? (Michel Morineau). Quel travail éducatif avec un jeune sous l’emprise d’un discours religieux à effet sectaire ? (Ali Si Ahmed). Le « born again » et son univers fondamentaliste (Olivier Roy). Le mouvement des tablighs (Moussa Khedimellah). Comment diagnostiquer et traiter un processus d’endoctrinement ? (Malika Oultache). Pratiques religieuses et négociation (Omero Marongiu). Entendre la demande implicite de Leïla derrière l’explicite (Marie-Paule Perrin). Quelle est la part du religieux, et quelle est la part du psycho-sociologique dans le comportement d’un musulman ? (Tariq Oubrou). Quelle médiation en prison dans le rapport à l’islam ? (Abdellack Eddouck). Arracher aux hommes le monopole de parler au nom de Dieu ? (Dounia Bouzar). Ces jeunes ont grandi dans des trous de mémoire (Driss El Yazami). Noirs et musulmans : quelle est la référence qui prime ? (Mahamet Timera). La démocratie pour en finir avec l’islam politique ? (Olivier Roy). Conclusion. Table des matières.

Public :

Travailleurs sociaux en institution comme en milieu ouvert ; Educateurs, juristes engagés dans la protection judiciaire de la jeunesse ; Responsables administratifs et élus locaux.

10:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LITTÉRATURE. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

14/03/2006

DEVENIR UN AUTHENTIQUE CHRÉTIEN.

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Soyez parfaits, comme votre Père qui est aux cieux. Matthieu 5,48.

Dans ce passage, Jésus nous exhorte à traiter tous les hommes avec la même générosité. Comme enfant de Dieu, vous ne devez pas vous laisser guider par vos sympathies naturelles. Il y a des gens pour qui nous éprouvons de la sympathie, pour d’autres de l’antipathie. Cela ne doit pas entrer en ligne de compte dans notre vie chrétienne. "Si nous marchons dans la lumière, comme Dieu est dans la lumière", alors Dieu nous mettra en contact étroit même avec ceux qui ne nous inspirent aucune sympathie.

L’exemple que Jésus nous propose n’est pas l’exemple d’un homme, ni même d’un bon chrétien, c’est l’exemple de Dieu lui-même : "Soyez parfaits, comme votre Père céleste est parfait." Soyez à l’égard de votre prochain ce que Dieu lui-même est à l’égard de vous. Dieu nous fournira dans notre vie de tous les jours mille occasions de faire voir si nous sommes parfaits comme notre Père céleste est parfait. Etre disciple de Jésus, c’est s’intéresser aux autres autant que Dieu s’y intéresse lui-même. "Que vous vous aimiez les uns les autres, comme je vous ai aimés."

Ce qui caractérise le vrai chrétien, ce n’est pas tant de bien agir que de ressembler à Dieu. Si l’Esprit de Dieu a transformé notre être intérieur, vous aurez en vous des traits qui viendront de Dieu, qui ne seront pas seulement des qualités humaines, La vie de Dieu en nous, c’est la vie de Dieu lui-même, et non pas la vie humaine s’efforçant d’arriver à Dieu. Le secret de l’âme chrétienne, c’est que sa vie naturelle devient surnaturelle par la grâce de Dieu. Et cela non seulement dans sa communion avec Dieu, mais dans tous les détails de sa vie quotidienne. Quand s’élève autour de nous un tumulte discordant, nous sommes surpris de découvrir que nous sommes rendus capables de conserver tout notre sang-froid et toute notre sérénité.

BRUNO LEROY.

19:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

LA PENSÉE DU JOUR.

La pensée du jour
« D’habitude, nous pensons que les gens courageux
n’ont peur de rien. En fait, ce sont des intimes de la peur. »

Pema Chödrön

12:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PENSÉE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : SPIRITUALITÉ DE LA LIBÉRATION. |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |