19/03/2007
L'AMOUR...
Si je suis très intelligent, même presque un génie, si je peux résoudre les problèmes de math même les plus difficiles et que je comprenne les phrases les plus complexes, mais que je n'aime pas les autres, je ne suis rien.
L'amour fait la queue et attend son tour.
L'amour cherche toujours le bien chez les autres.
L'amour ne veut pas toujours ce que les autres ont, et il ne se vante pas toujours de ce qu'il a.
L'amour est poète, même quand l'autre est vulgaire.
L'amour ne cherche pas à être toujours le premier.
L'amour ne se met pas en colère pour trois fois rien
et il ne se rappelle pas tout ce qui l'a blessé.
L'amour n'est pas heureux quand l'autre échoue,
mais il se réjouit de la vérité.
L'amour protège toujours les autres,
surtout ceux à qui on s'en prend toujours.
L'amour croit toujours ce qu'il y a de meilleur chez les autres,
il est sérieux et vrai.
L'amour ne laisse jamais tomber. Un jour, on arrêtera de prêcher. On arrêtera de faire des discours. La connaissance prendra fin. Aujourd'hui, nous ne connaissons qu'une partie des choses.
Il n'y a que trois choses qui comptent vraiment, dans la Vie : la foi, l'espoir et l'amour.
Mais le plus grand des trois, c'est l'AMOUR.
18:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, poesie | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
17/03/2007
DIEU DE TENDRESSE.
Dieu de tendresse et Dieu de pitié
Dieu plein d'amour et de fidélité
Tu aimes tous les hommes
et ne fais pas de différence entre tes enfants.
Nous qui sommes à la fois le fils cadet et le fils aîné.
Fais nous ressentir dans nos vies
La joie de ton pardon
et fais de nous des artisans de la réconciliation
entre les hommes et Toi,
qui nous as dit ton Amour
en nous donnant ton Fils Jésus,
le Vivant pour toujours.
BRIGITTE.
22:45 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Prières. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
16/03/2007
DEVENIR SEMEURS D'ESPÉRANCE.
Qui nous donnent aussi l'opportunité de mettre de la légèreté dans nos vies. Nos sociétés contemporaines sont en manque de repères et c'est un euphémisme de le dire.
Je ne suis pas contre les combats qui grandissent l'Homme, puisque je suis le premier à me lever.
La Foi en Dieu-Amour n'est liée à aucune idéologie : elle se vit pour en donner Témoignage ! Que nous ayons des sensibilités différentes sur les politiques de notre Pays, très bien, c'est le mécanisme de la démocratie en marche.
Pendant que nous tergiversons, les Jeunes nous regardent. Ils se disent que les adultes se battent entre-eux pour des futilités. Et comme, ils ont raison, ne trouvez-vous pas ?
L'important, voire l'essentiel est de vivre notre Amour de Dieu dans la prière afin de devenir des combattants de l'Espérance en ce Monde. La Bible n'est pas un programme politique au sens où nous l'entendons. Remettons de l'Amour, de la la Liberté avec pour épouse la Vérité du Christ, au coeur de nos existences.
Il est urgent de montrer l'exemple aux Jeunes d'une cohérence de vie collée à la peau de notre Foi. Nous sommes en train de montrer le contraire...
Nos Jeunes se fichent pas mal de nos idéologies, ils veulent vivre dignement, tout simplement. La question que je me pose est celle du petit enfant qui dit à sa maman : pourquoi, toi et papa vous vous battez tout le temps ? Pourquoi, nous adultes, ayant l'ossature d'un vécu riche en expériences, ne sommes nous point des transmetteurs de Paix et de cohérence ? Tout simplement en vivant dans les bras de Dieu pour entendre les gémissements de l'Esprit-Saint qui nous indique le chemin au quotidien. Pour le bien-être de notre Humanité. Plus jamais la guerre mais, la construction d'une vie donnée aux autres par la force de convictions qui nous habitent et le la tendresse d'Amour du Christ qui loge dans nos moindres respirations.
Bruno LEROY.
15:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans COMBAT SPIRITUEL. | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, social, poesie | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Le retour du fils prodigue.
" Après le passage du Jourdain, les Fils d’Israël célébrèrent la Pâque." Jos 5, 10-12 " Frères, si quelqu’un est en Jésus-Christ, il est une créature nouvelle. " 2 Co 5, 17-21 " Ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie. " Lc 13, 1-9 | |
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En citant par deux fois l’expression « il est revenu à la vie », Jésus vise non seulement le fils prodigue de la parabole, mais il indique clairement ce qu’est le cœur de Dieu : celui d’un Père qui attend le retour de ses enfants afin de leur donner sa Vie. Les deux fils représentent les causes du refus de la vraie vie. Le premier, fidèle en apparence aux comman-dements de son père, est désemparé et jaloux de la tendresse exprimée lorsqu’il retrouve son fils perdu. Il représente l’obéissance légaliste à la loi. Il n’en comprend pas l’esprit car la loi est une loi de Vie et Dieu nous la donne, non pour avoir peur de la transgresser, mais pour entrer en relation de confiance (filiale) avec lui. « Tout ce qui est à moi est à toi ». L’aîné n’a pas encore compris que Dieu n’est qu’amour. Le second, après s’être adonné aux plaisirs passagers, refuse de se laisser aimer par son père et souhaite n’être qu’un simple «ouvrier» dans la maison de son enfance. Il représente celui qui a peur de la colère de Dieu et refuse de goûter au pardon divin «pour lui-même».Car en vérité, lorsque Dieu nous pardonne, c’est «réellement» : il remet les compteurs à zéro, notre liberté n’a plus un boulet à traîner, une culpabilité à porter. Regardons les deux mains du Père se poser sur les épaules du fils à genoux implorant son pardon et acceptons qu’il fasse de même sur les nôtres. Laissons les larmes monter devant la démesure de sa miséricorde. Non seulement le Dieu aux entrailles de mère ac-cepte notre pardon, mais il nous enfante de nouveau à la Vie en faisant de nous ses héri-tiers, ses fils pour l’éternité.
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08:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
15/03/2007
Conseils pratiques pour Dépressifs.
La dépression n'est pas loin de nous ! Elle est parfois même discrète mais peut révéler des effets insidieux.
Quelques mots peuvent aider à en sortir, à reconnaître les premiers signes pour l'endiguer, l'éviter. Voici donc...
Vous avez un ami, un parent,un collègue dépressif…
1. Ne pas lui faire de reproches ; il n’a pas choisi d’être dépressif !
2. Pensez au sérieux de certaines allusions au suicide ;
3. Pensez à la dépression en présence d’un absentéisme, d’accidents, d’un isolement permanent, de plaintes fréquentes, de comportement agressif ou dominateur, de bouleversements familiaux ou personnels ;
4. Cherchez à vous informer sur la dépression mais ne tentez pas de la diagnostiquer et/ou de la traiter ;
5. Encouragez le dépressif à chercher de l’aide en toute confidentialité ;
la plupart des dépressifs « se cachent » ;
6. Stimulez-le sans le bousculer, mettez ses atouts en valeur ;
7. Soyez présent, à son écoute, mais pas pesant ;
8. Participez au traitement sans autoritarisme ;
9. Ne vous croyez pas coupable de l’état du dépressif, ne vous laissez pas « envahir »
par sa douleur ; préservez-vous !
Quelques conseils pratiques aux dépressifs :
1. Osez parler de votre «mal-être» et, s’il persiste, consultez votre médecin ;
2. Prévenez et maîtrisez le stress par des techniques simples et efficaces ;
- osez dire non pour éviter d’être encombré et de disperser vos efforts entre de multiples sollicitations
- planifiez votre journée en faisant une liste des choses à faire, par ordre d’importance, tout en restant réaliste et en y intégrant régulièrement une pause. Terminez toujours une tâche avant de commencer une autre ;
- vivez avec et dans la lumière, les couleurs, la musique ;
3. Programmez-vous une à deux activités physiques par semaine ;
4. Faites-vous plaisir en utilisant la cosmétique ;
5. Prenez le temps de rire, de lire, d’écrire ;
6. Listez vos limites mais aussi vos points forts ;
7. Respectez le(s) traitement(s) prescrit(s) par votre médecin ; arrêter un traitement entraîne des rechutes plus graves encore !
8. Vos pas, vos efforts seront toujours gagnants, même si le chemin est long !
20:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Hygiène de Vie. | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, social | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
13/03/2007
GUY GILBERT VENU COMBATTRE LES DROGUES.
17:45 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MAÎTRES A PENSER ET A VIVRE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, social | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
12/03/2007
LES MOTS...
J'aime les mots qui me font danser, rire et chanter.
J'aime les mots qui me font pleurer.
J'aime les mots qui me donnent l'envie de vivre.
J'aime les mots qui me donnent l'envie de méditer.
J'aime les mots qui me donnent la joie.
J'aime les mots qui me donnent la paix.
J'aime les mots qui me donnent l'envie d'aimer.
J'aime les mots qui me font toucher l'infini.
J'aime les mots qui...
Ah! Les Mots!
S'ils n'existaient pas, il faudrait les inventer.
Brigitte.
21:05 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, poesie | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
François Bayrou et la Foi.
« Je n’ai pas choisi de croire, je l’ai seulement accepté »
« Depuis l’âge de quinze ans, la petite fille Espérance chère à Péguy ne m’a jamais lâché. » Pour François Bayrou, « le plus précieux chez un être humain, le plus important, c’est la capacité d’aimer. »
« J’ai cru très tôt et j’ai aimé croire. Il y avait une messe du petit matin, en semaine, que je devais servir, à laquelle j’assistais seul, le plus souvent. Pour aller de la maison à l’église, je coupais court à travers champ et j’aimais ce rendez-vous solitaire du petit matin. J’aimais cette présence et ce silence. Et tout cela s’est construit peu à peu, sans épreuve, sans nuit de doute, comme une évidence. »
« La foi est une grâce. C’est un cadeau gratuit, pour lequel il convient de dire merci. Sans doute suis-je naturellement un esprit religieux. Je vais à la messe et, dans la vie de tous les jours, je prie. J’aime le Notre Père et le Je vous salue Marie. J’aime que ces prières aient été dites des milliards de fois depuis des siècles par des femmes et des hommes pour qui elles étaient le suprême recours. Enfin, je médite avec ceux qui ne sont plus là et qui sont encore là, les morts présents dans notre vie aussi forts, plus forts peut-être que les vivants. »
« Dans le domaine de la foi, je ne suis ni un savant, ni un clerc, ni un exégète. Je suis un petit et je veux le rester. En politique, je suis un responsable : je dois justifier ce que je dis, ce que je crois, ce que je propose, ce que je fais. En religion, je ne prêche pas, je ne me donne pas en exemple, je ne suis pas un modèle : je fais seulement partie du peuple des croyants, je suis de la base la plus basique, je me tiens au fond de l’église, sans parler. »
« La foi n’arrête pas la pensée, elle la convoque, elle la suscite et elle l’entraîne ! Et à mes yeux la pensée ne chasse pas la foi, elle l’invite ! Vous ne pouvez pas croire avec la moitié de vous-même. La foi est faite pour être comprise et habitée. Et spécialement parce que toute religion suscite une anthropologie, une conception de l’homme. Par exemple, ce n’est pas rien de penser la communion des saints. Cette idée chrétienne qu’une personne peut assurer le salut d’une autre personne ! Si l’on accepte cette idée, cela veut dire que personne n’est étranger à l’autre, à son frère, à son prochain. »
« La vraie problématique de notre temps n’est pas celle de l’avoir, mais celle de l’être. Ce qui fait le malheur des temps, c’est l’absence de raisons de vivre ou de donner sa vie. Ce sont des choses qui concernent plutôt l’âme que la raison. Et le mal de l’âme provoque les maux de la raison. D’où vient le succès des sectes ? D’où vient la vague des drogues ? D’un manque immense qui trouble l’entendement, le discernement, et embourbe l’homme dans des dépendances où la raison se perd. Le spirituel assumé ouvre et libère la raison, la pousse à comprendre toujours plus profondément. L’intelligence, la logique, le sens critique, tout l’être humain est ainsi invité à s’assumer dans toutes ses dimensions de liberté. »
« Qu’est-ce d’autre que l’idée du bien sinon une boussole donnée pour nous guider, pour discerner la vérité ? Cette boussole, qui nous l’a donnée ? Au contraire, le Mal, le vrai Mal, ce n’est pas seulement quand la barbarie triomphe. Le mal absolu, c’est lorsque le Mal n’est plus perçu comme un mal. C’est lorsqu’il échappe à la conscience, comme le virus qui ne suscite plus d’anticorps. »
17:15 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans HOMMES POLITIQUES. | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
La poésie, pour vivre « le coeur réglé comme une vigne ».
François Bayrou entretient un rapport singulier, intime avec la poésie. Elle lui est musique et méditation, signe de piste et de vie.
« Un… deux. Un, deux, trois » : c’est ainsi que la plupart des orateurs testent un micro. François Bayrou préfère l’exercice poétique. Par exemple, le « Booz endormi » de Victor Hugo, qu’il affectionne particulièrement : « Booz s’était couché de fatigue accablé », « Vêtu de probité candide et de lin blanc » jusqu’à « l’heure tranquille où les lions vont boire. »
Vers « contraints » ou vers libres, François Bayrou aime et a étudié les poètes classiques, a étudié et aime les Grecs et les Latins. Il vit des histoires d’amour avec les poètes modernes, s’attache à découvrir les contemporains. Ses amis affirment qu’il sait par cœur toutes les fables de la Fontaine. « Mon père, dit François Bayrou, me les apprenait pendant qu’on chargeait le foin, dans la cour de notre ferme. » Il peut réciter, dire, des vers de Victor Hugo, Virgile, Louis Aragon, Racine, René Char, Charles Péguy, Paul Eluard, Pindare, Charles Baudelaire…
La « fonction poétique », parole où, selon le linguiste Roman Jakobson, s’approfondirait « la dichotomie fondamentale des signes et des objets », est étrangère au goût que porte François Bayrou à l’art poétique. Sa vision du poète, fidèle à l’étymologie grecque, le porte à considérer son œuvre comme création de vie, accouchement et invention de mondes nouveaux, en lutte à mots ouverts contre l’instinct de mort. Louis Aragon a donné ce titre à l’un de ses poèmes : « Les mots m’ont pris par la main. »
Croise-t-on souvent des martins-pêcheurs en Béarn ? « Les martins-pêcheurs au ciel jaune et rose Cousent le printemps au-dessus des toits Où leur vol léger en passant se pose Aux créneaux neigés Que les vents nettoient » François Bayrou décrit ainsi son village des Pyrénées : « Au-dessus de l’horizon, la montagne est bleue. Elle est une présence que l’on guette, un décor où certains jours, avec certaines qualités de lumière, on peut compter chaque arbre, distinguer chaque rocher. On a l’impression que la plaine vient s’allonger au pied même de la montagne, comme un hommage, comme une amitié. »
Evoquant Pasteur, qui découvrit le vrai de la vie, François Bayrou le met en correspondance avec Baudelaire : « La nature est un temple où de vivants piliers laissent parfois sortir de confuses paroles. »
Discourant sur l’ordre et la liberté, il cite Eluard pour qui l’on peut vivre « le cœur réglé comme un cercueil » ou « le cœur réglé comme une vigne ». Le goût de la poésie, chevillé comme une vrille et battant comme un cœur, dit le choix sans appel de François Bayrou.
Ses amis racontent encore l’étrange rite auquel se prête chaque année François Bayrou : un « dîner de poésie » dont la règle impose aux convives de ne s’exprimer qu’en récitant des vers. Y-déclame-t-on l’Aragon de « La rose et le réséda » : « Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Qu'importe comment s'appelle Cette clarté sur leur pas Que l'un fut de la chapelle Et l'autre s'y dérobât. »
François Bayrou y dit-il sa fable préférée de Jean de La Fontaine où la passion des mots justes et de leur musique rejoint la passion de la justice et le combat politique : « Les animaux malades de la peste ». Où l’on crie « haro sur le baudet ». Et dont la morale pourrait avoir été écrite hier, "bloguée" ce matin :
« Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. »
17:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans HOMMES POLITIQUES. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, poesie | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
11/03/2007
LA PENSÉE DU JOUR.
La pensée du jour |
Les mots sont beaux lorsqu'ils se parlent et répondent à notre âme. Ils sont cris de révolte, d'amour et de tendresse. La poésie respire la Vie et cela donne une dimension authentique dans la démarche du poète pour nous éloigner de toutes médiocrités. BRUNO LEROY. |
12:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PENSÉE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, poesie | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |