01/09/2010
Dieu est-Il en train de vous dire : “patience ” ?
“Il ne refuse aucun bien à ceux qui suivent la voie de l'intégrité.” Psaume 84.12
Les moments les plus durs de la vie chrétienne sont souvent ceux pendant lesquels notre connaissance de Dieu ne semble pas nous aider à surmonter les difficultés ni à obtenir une réponse quelconque à nos prières. C’est au cours de tels moments que nous apprenons la valeur du “silence” divin. Même lorsqu’Il ne nous répond pas, soyez assuré qu’Il continue à nous enseigner et à nous guider. A travers Son silence, Il nous permet de réfléchir par nous-mêmes, d’étudier les circonstances et d’en tirer les conclusions adéquates, tout en nous observant de près comme le ferait tout parent plein d’amour pour son enfant.
La foi vient de ce que nous entendons, mais la patience naît au sein du silence. La patience est cette qualité que Dieu vous instille lorsque les difficultés semblent ne pas vouloir se dissiper. C’est Sa manière à Lui de vous administrer un sédatif lorsque votre coeur est troublé ! C’est le baume avec lequel Il masse doucement vos muscles endoloris lorsque les circonstances de la vie vous ont ballotté dans tous les ens. Ce sont les heures de votre existence où la douleur devient si aigüe que seul Dieu peut déverser en vous la patience nécessaire pour endurer, c’est ce qu’on appelle aussi la grâce divine.
Savoir attendre patiemment vous sera aussi bénéfique pour une autre raison : vous apprendrez ainsi à mieux observer et analyser les difficultés qui vous font face et vous serez à même de faire les meilleurs choix. Vous apprendrez aussi à vous libérer de biens qui vous paraissaient hier absolument indispensables et dont aujourd’hui vous êtes heureux de vous débarrasser. “Il ne refuse aucun bien à ceux qui suivent la voie de l’intégrité” (Psaume 84.11). Quand Dieu vous demande d’avoir de la patience et de ne pas aller plus loin, faites-Lui donc confiance. Soit vous n’avez pas besoin d’aller plus loin ou d’obtenir ce que vous souhaitiez, soit il a prévu quelque chose de beaucoup plus bénéfique pour vous. Si vous vous demandez ce que vous devez faire en attendant, écoutez ce que la Bible vous dit : “Compte patiemment sur le Seigneur, ressaisis-toi, reprends courage, oui, compte patiemment sur le Seigneur” (Psaume 27.14). Cessez donc de vous débattre, de vous ronger les sangs, laissez Dieu travailler pour vous et vous vous découvrirez bientôt plus fort et victorieux !
Bob Gass.
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31/08/2010
Protégez votre coeur !
“Veillez à ce qu'aucune racine amère ne se mette à pousser, à causer du trouble...” Hébreux 12.15
Le mot “veiller” (en grec “episkopos”) implique l’idée de contrôler, de corriger, de surveiller. Chacun d’entre nous est donc le “surveillant” de son coeur. Chaque jour nous devons inspecter, diriger et corriger tout ce qui s’y passe. Nous n’avons pas le droit de blâmer les autres pour notre comportement déplorable, pour notre amertume ou pour notre manque de pardon envers eux. Nous sommes responsables de nos propres attitudes ! Si l’on vous blesse, c’est vous qui décidez comment vous aller réagir. Vous ne pouvez influencer les autres, mais vous êtes responsable devant Dieu de vos réactions et pensées profondes.
C’est vous qui décidez si votre irritation passagère deviendra de la colère pure et dure, puis de l’amertume avant de pousser à vouloir vous venger. Paul a écrit : “Veillez à ce qu’aucune racine d’amertume ne pousse en vous de manière à causer du trouble... et à infecter tout la communauté” (Hébreux 12.15).
Si un jardin est envahi par les mauvaises herbes, c’est parce que le jardinier ne les arrache pas assez vite. Si votre jardin se laisse envahir par les mauvaises herbes, vous ne pouvez pas dire : “Je ne sais pas comment c’est arrivé !” Si vous “veillez”, vous les voyez se multiplier. Le seul moyen de le maintenir propre et soigné, sans que l’ennemi ne parvienne à semer ces mauvaises graines avec lesquelles il souhaite vous étouffer, c’est de protéger attentivement l’état de votre coeur. Si vous faites face à une situation blessante qui risque de vous faire du mal, refusez dès le départ de vous laisser entraîner dans l’amertume, ne laissez pas un mauvais comportement vous dominer au risque de produire du mauvais fruit.
Demandez plutôt à Dieu de vous aider à remplacer ces “mauvaises herbes”, les mauvaises pensées de votre coeur, par des sentiments de compassion et de pardon envers les personnes qui vous font souffrir. La Bible affirme : “Garde ton coeur plus que toute autre chose : de lui viennent les sources de la vie” (Proverbes 4.23).
Bob Gass.
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23/08/2010
Epreuves de foi.
“O Dieu, Tu nous as éprouvés, Tu nous as passés au creuset comme l'argent... Tu nous as fait parvenir à un pays d’abondance” Psaumes 66.10-12
Le jour où Jésus dévoila à ses disciples le coût qu’ils devraient payer pour Le suivre, certains décidèrent de Le laisser tomber. Pourtant l’influence de ceux qui choisirent de Le servir est encore ressentie de nos jours. Avant de se mettre à écrire leurs épîtres, ses apôtres avaient appris à voir dans chaque épreuve de leur vie une occasion d’affermir leur foi et d’accroître leur sphère d’influence.
Les épreuves de foi sont des opportunités pour abandonner à Dieu quelque chose que nous apprécions beaucoup, même quand rien ne nous y oblige. Quand nous traversons une telle épreuve, nous nous sentons tiraillés dans tous les sens par les circonstances, nous ressentons leurs pressions, mais nous savons que Dieu n’est pas loin, qu’Il ne nous abandonnera pas. Nous sommes mis à l’épreuve, mais ni jugés ni condamnés par Lui. Le Psalmiste a écrit : “O Dieu, Tu nous as éprouvés, Tu nous as passés au creuset comme l’argent que l’on affine... Tu nous as fait parvenir à un pays d’abondance”. Une épreuve de foi n’a de valeur que si elle nous pousse au-delà du seuil que nous avons atteint lors de l’épreuve précédente. Si vous faites marche arrière dès que vous atteignez ce seuil ou si vous essayez d’éviter cette nouvelle épreuve, vous ne découvrirez jamais jusqu’à quel point vous pouvez faire confiance à Dieu ou jusqu’à quel point Il peut vous faire confiance.
Le feu qui affine notre foi comme l’argent passé au creuset peut se traduire par la perte de son emploi, d’une relation en laquelle on croyait beaucoup, de la santé ou de sa réputation. Mais pour Dieu, l’issue n’est jamais en doute. Si vous vous demandez : “Combien plus de souffrance puis-je supporter ?” écoutez ces paroles de JC Ryles : “La seule chose dont nous pouvons être certains c’est que, si demain nous amène une croix à porter, Celui qui nous l’envoie peut et veut nous accorder aussi la grâce de la supporter.” Au Royaume de Dieu le principe est le suivant : l’épreuve de notre foi d’abord, puis le raffinement de notre caractère et enfin l’entrée dans “le pays de l’abondance.”
Bob Gass.
17:12 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
12/08/2010
Accueillir des anges !
“Certains, sans le savoir, ont accueilli des anges.” Hébreux 13.2
Jackie considérait Nancy, sa chef de bureau, comme une personne insensible et autoritaire. Un soir, alors qu’elle travaillait un peu plus tard que d’habitude, Jackie soudain s’effondra sur le sol et dut être emportée d’urgence à l’hôpital. Elle remarqua le visage de Nancy, parmi tous ceux qui se pressaient autour d’elle, et l’entendit lui affirmer : “Ne t’inquiète pas, je suis là et je ne vais pas te laisser seule.” Plus tard, alors qu’elle se remettait lentement de sa congestion cérébrale, Nancy ne manqua pas de venir lui rendre visite tous les jours, s’occupa de ses deux filles et l’aida à suivre la rééducation nécessaire. Bien des années plus tard, lors de la soirée organisée pour le départ à la retraite de Nancy, Jackie murmura à l’oreille de l’une de ses collègues : “Peux-tu imaginer que je détestais cette femme ! Sans elle je ne serais pas ici aujourd’hui, je serais probablement morte ! On ne sait jamais qui, parmi nous, est un ange incarné !”
Le mot “ange” vient du mot grec “angelos” qui signifie “un messager de Dieu”. Il est utilisé d’habitude pour des êtres humains, pas pour des créatures angéliques. La Bible dit : “Que l'amour fraternel demeure entre vous et n'oubliez pas l'hospitalité, car, grâce à elle, certains, sans le savoir, ont accueilli des anges !” (Hébreux 13.2). Vous n’avez aucune idée de la personne que Dieu enverra pour vous aider et vous bénir. Les anges peuvent prendre l’apparence du chauffeur de taxi qui vous a ramené le portefeuille que vous aviez oublié dans son véhicule, de l’ami qui vous a touché et réconforté alors que vous vous sentiez incapable d’accepter l’aide de quiconque, du bénévole qui a passé la nuit à votre chevet d’hôpital, de la petite fille qui vous a poussé à enlever vos chaussures et vos chaussettes pour l’accompagner au bord de l’eau...
Les anges apparaissent sous toutes les formes, les couleurs de peau, ils sont parfois petits, parfois gros, jeunes ou vieux, avec des rides, des taches de rousseur, ou des fossettes d’enfant... Ils se déguisent en amis, en professeurs, en étudiants, en collègues, en ennemis peut-être, ils ne laissent jamais leur carte de visite pour qu’on puisse les retrouver, et ne demandent jamais rien en retour. Ils sont difficiles à reconnaître si vous ne pensez qu’à vous-même, mais si vous regardez un peu autour de vous, vous en découvrirez ! En y réfléchissant bien vous serez même capable de vous souvenir d’un ou deux anges que vous avez accueillis chez vous, sans vous en être rendu compte !
Bob Gass.
10:39 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
07/08/2010
Dévouement total à Jésus.
“Ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit en moi...” Galates 2.20
Quand les hommes apprirent à naviguer sur les mers en se guidant sur les étoiles, tout un monde nouveau s’ouvrit devant eux. Un dicton avait cours en ces temps-là : “Le marin qui se fait l’esclave de sa boussole peut jouir de la liberté que lui offre la haute mer !” Dévouez-vous totalement à Jésus, faites de Lui la boussole de votre vie. Consultez-Le à chaque décision que vous prenez dans la vie. Permettez-Lui de vous guider sur le chemin de l’existence et Il vous mènera vers un havre de liberté et de joie que vous n’auriez jamais connu autrement. Acceptez de dire, comme Paul : “Ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi” (Galates 2.20).
Un soir Toscanini, le célèbre chef d’orchestre italien, dirigea la Neuvième Symphonie de Beethoven avec le Philadelphia Symphony Orchestra, une oeuvre particulièrement difficile à diriger. La foule des spectateurs, subjuguée par la majesté de la musique, l’ovationna, debout, pendant plus de dix minutes. Toscanini s’inclina devant eux des dizaines de fois, se tourna vers l’orchestre qui se mit à l’applaudir chaleureusement. Toscanini, sans se retourner pour faire face à la salle, déclara : “Mesdames et messieurs, je ne compte pas pour grand-chose dans cette musique, ni vous non plus. Tout ce qui compte, c’est Beethoven !”
CS Lewis a écrit : “Aimer et admirer quelqu’un ou quelque chose qui vous dépasse est le premier pas pour échapper à la décadence de votre esprit. Mais nous n’aurons pas atteint la guérison totale tant que nous n’aurons pas appris à aimer et à admirer Dieu plus que tout !” Mettez-vous donc aujourd’hui à genoux devant Jésus pour Lui dire : “Je ne suis d’aucune importance. Rien d’autre ne compte que Toi. Voici mes talents, mes biens et mes rêves, je les place à Tes pieds, je Te les donne tous, sans la moindre réserve. Qu’ils soient à Ton service, à jamais.”
Bob Gass.
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04/08/2010
Dieu est-Il en train de vous dire : “patience !”
“Il ne refuse aucun bien à ceux qui suivent la voie de l'intégrité.” Psaume 84.12
Les moments les plus durs de la vie chrétienne sont souvent ceux pendant lesquels notre connaissance de Dieu ne semble pas nous aider à surmonter les difficultés ni à obtenir une réponse quelconque à nos prières. C’est au cours de tels moments que nous apprenons la valeur du “silence” divin. Même lorsqu’Il ne nous répond pas, soyez assuré qu’Il continue à nous enseigner et à nous guider. A travers Son silence, Il nous permet de réfléchir par nous-mêmes, d’étudier les circonstances et d’en tirer les conclusions adéquates, tout en nous observant de près comme le ferait tout parent plein d’amour pour son enfant.
La foi vient de ce que nous entendons, mais la patience naît au sein du silence. La patience est cette qualité que Dieu vous instille lorsque les difficultés semblent ne pas vouloir se dissiper. C’est Sa manière à Lui de vous administrer un sédatif lorsque votre coeur est troublé ! C’est le baume avec lequel Il masse doucement vos muscles endoloris lorsque les circonstances de la vie vous ont ballotté dans tous les ens. Ce sont les heures de votre existence où la douleur devient si aigüe que seul Dieu peut déverser en vous la patience nécessaire pour endurer, c’est ce qu’on appelle aussi la grâce divine.
Savoir attendre patiemment vous sera aussi bénéfique pour une autre raison : vous apprendrez ainsi à mieux observer et analyser les difficultés qui vous font face et vous serez à même de faire les meilleurs choix. Vous apprendrez aussi à vous libérer de biens qui vous paraissaient hier absolument indispensables et dont aujourd’hui vous êtes heureux de vous débarrasser. “Il ne refuse aucun bien à ceux qui suivent la voie de l’intégrité” (Psaume 84.11). Quand Dieu vous demande d’avoir de la patience et de ne pas aller plus loin, faites-Lui donc confiance. Soit vous n’avez pas besoin d’aller plus loin ou d’obtenir ce que vous souhaitiez, soit il a prévu quelque chose de beaucoup plus bénéfique pour vous. Si vous vous demandez ce que vous devez faire en attendant, écoutez ce que la Bible vous dit : “Compte patiemment sur le Seigneur, ressaisis-toi, reprends courage, oui, compte patiemment sur le Seigneur” (Psaume 27.14). Cessez donc de vous débattre, de vous ronger les sangs, laissez Dieu travailler pour vous et vous vous découvrirez bientôt plus fort et victorieux !
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02/08/2010
Entretenez la flamme de l’espoir !
“Ces trois choses demeurent : la foi, l'espérance et l'amour...” 1 Corinthiens 13.13
En 1914, Sir Ernest Shackleton fit la première tentative de traversée de l’Antarctique. Mais son bateau, l’Endurance, devint prisonnier des glaces et fut écrasé par leur énorme poussée. Shackleton et les vingtsept membres de son équipage se retrouvèrent donc isolés à plus de 1700 kilomètres de toute civilisation, en train de dériver sur des morceaux de banquise avec pour tout équipement trois bateaux pneumatiques, quelques tentes et des provisions limitées. Ils parvinrent enfin à monter sur un îlot rocheux et décidèrent d’attendre là l’arrivée de secours que Shackleton, accompagné de quelques hommes, irait chercher. Le petit groupe embarqua ainsi dans l’un des canots pneumatiques afin de rejoindre, à travers une mer souvent démontée, une station spécialisée dans la pêche à la baleine qui se trouvait à près de 1200 kilomètres.
Shackleton revint plus tard à bord d’un bateau de sauvetage et tous les marins survécurent à cette épreuve qui dura 18 longs mois. Mais comment Shackleton réussit-il à maintenir l’espoir dans le coeur de ses hommes ? Tout d’abord, il fit toujours preuve d’optimisme, une qualité qu’il décrivait comme “du courage moral indéfectible” ne cessant de répéter qu’il était persuadé qu’ils survivraient tous, et instillant à son équipage le même optimisme contagieux. En second lieu, il fit tout pour encourager en chacun d’eux le sentiment de leur valeur, l’idée qu’ils étaient tous importants à ses yeux. Il leur demandait souvent leur opinion et ne cessait de leur accorder des responsabilités et des tâches qui leur donnaient à penser qu’il avait besoin d’eux pour trouver une solution. Enfin, il ne cessa jamais de les encourager par son humour, cherchant à toujours entretenir une atmosphère détendue et sereine.
Shackelton savait que si un homme est capable de détendre l’atmosphère au sein d’un groupe prisonnier d’une situation désespérée, cette qualité annihile la peur des autres et les aide à se ressaisir et à concentrer leur énergie pour lutter contre les obstacles les plus intimidants. Un point intéressant : l’un des rares objets qu’il sauva du naufrage de son navire fut un banjo, persuadé que la musique les aiderait à survivre. Shackleton doit être un exemple pour nous. Si vous connaissez quelqu’un qui traverse une dure épreuve, pour entretenir la flamme de l’espoir dans son coeur, encouragez-le par des mots pleins de bienveillance et d’amour, exprimez-lui votre confiance, allégez son fardeau en faisant preuve d’humour et en détendant l’atmosphère autour de lui !
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29/07/2010
Établissez des limites !
“J'ai rendu mon visage dur comme un silex...” Esaïe 50.7
Nous risquons vite d’être déçus si nous plaçons notre confiance en tout autre que Dieu. Aussi, pour jouir de relations saines et fructueuses, mieux vaut établir des limites et un coût à ne pas dépasser. Posez vous souvent la question : “Dans quelle mesure cette personne peut-elle faire partie de ma vie ? Jusqu’où suis-je prêt à investir dans sa vie ?”La vie est trop courte pour que nous la passions à dissiper des malentendus, à raccommoder des fiertés endommagées et à panser des sensibilités à fleur de peau. La sagesse consiste à éviter des relations qui pourraient pomper toute votre énergie au point d’en arriver à vous dire : “Mais comment ai-je pu me laisser entraîner jusqu’ici ?” Lorsque vous faites trop d’efforts pour satisfaire quelqu’un au point de mettre de côté le rôle que Dieu voudrait vous voir jouer et perdre toute votre joie, vous dépassez votre budget !
Si, pour faire plaisir à quelqu’un, vous devez passer trop de temps au téléphone, organiser trop d’invitations, sacrifier trop de journées, peut-être devez-vous réfléchir aux limites à imposer. Votre réserve d’énergie et de temps est limitée. Pour bien gérer l’un et l’autre, il vous sera indispensable de décider dans quel domaine il vaut mieux investir l’essentiel de votre vie.
Si vous vous sentez incapable de donner davantage à des gens qui semblent toujours avoir besoin de vous, deux solutions s’offrent à vous. D’abord, tentez de renégocier votre temps et votre énergie. Vous mettre en état de banqueroute pour qu’ils se sentent mieux peut sembler très noble de votre part, mais il n’en est rien. Ce qui vous attend en fin de compte pourrait bien être la dépression ou la chute morale. Pour éviter cela, adonnez-vous à la prière, recherchez l’aide d’un ami sûr susceptible de vous conseiller et “endurcissez” votre amour afin de ne pas céder à toutes les exigences des autres. Mais parfois le seul moyen de ne pas succomber à leurs demandes sera la seconde solution : tourner le dos et vous éloigner. C’est pourquoi Esaïe a écrit : “J’ai endurci mon visage et l’ai rendu dur comme du silex, sachant que je n’en éprouverai aucune honte” (Esaïe 50.7 TP). Décidez une fois pour toutes que personne ne vous empêchera d’accomplir la tâche que Dieu vous a confiée, car votre devoir est de plaire au Seigneur, pas aux autres !
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27/07/2010
Vous n’avez pas le droit de le garder pour vous seul !
“Vous deviendrez riches de tous les biens et vous pourrez donner largement.” 2 Corinthiens 9.11
Fritz Kriesler, violoniste de renommée mondiale, a gagné une fortune grâce à ses concerts, mais l’a presque entièrement distribuée. Un jour il découvrit un violon fabuleux, mais fut incapable de l’acheter sur le champ. Plus tard, lorsqu’il eut accumulé l’argent nécessaire, il apprit que l’instrument venait d’être vendu à un collectionneur fortuné. Kreisler alla donc le voir pour l’implorer de lui revendre ce violon. Mais ce dernier lui répondit : “Non, je ne tiens pas à le revendre, c’est à présent mon bien le plus précieux.” Profondément déçu, Kreisler lui demanda une dernière faveur : “Avant de partir, puis-je vous demander l’autorisation d’en jouer avant qu’il ne soit réduit au silence ?” Le propriétaire accepta et le virtuose emplit la pièce d’une musique d’une telle beauté que le collectionneur fut ému jusqu’aux larmes. Bouleversé, il s’exclama : “Je n’ai pas le droit de le garder pour moi tout seul. Je vous en fais cadeau : emportez-le dans le monde entier pour que tous les publics l’entendent !”
Quand Dieu vous accorde une bénédiction spécifique, n’oubliez pas que vous n’avez pas le droit de la garder pour vous seul : vous devez en faire profiter aussi les autres !
Aucun être vivant ne peut survivre dans la mer Morte : bien que le Jourdain y déverse de l’eau fraîche, cette “bénédiction” est inutile, car en raison de sa configuration géographique, aucune eau ne peut s’en échapper.
Le moyen le plus rapide de s'asphyxier spirituellement est d’accumuler les bénédictions et de rechercher partout des “expériences spirituelles”. Mais Dieu cherche surtout des croyants à qui Il peut
“confier” Ses bénédictions et qui les feront fructifier. Des croyants qui arriveront un jour au ciel et qui diront : “Seigneur, j’ai utilisé chaque centime, chaque heure et chaque parcelle d’énergie que Tu m’as donnés pour bénir les autres.” Ce sont eux qui entendront alors ces mots : “C’est bien, bon et fidèle serviteur !” (Matthieu 25.23). Serez-vous de ceux-là ?
21:43 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
22/07/2010
Faire marche arrière n’est pas possible !
“Ils désiraient une patrie meilleure, c'est-à-dire la patrie céleste.” Hébreux 11.16
Abraham ne savait jusqu’où Dieu allait le mener. Tout ce dont il était sûr, c’est qu’il ne pouvait rester sur place. Essayez donc d’expliquer cela à vos meilleurs amis ! Au lieu de questionner Dieu sans cesse, nous lisons : “Par la foi, Abraham... partit sans savoir où il allait” (Hébreux 11.8). Malgré les difficultés rencontrées en chemin, Il n’envisagea pas une seule fois de rebrousser chemin ! Il savait que, en ce qui le concernait, Dieu ne se trouvait pas dans le pays qu’il avait quitté. On se souvient de Jephté pour la victoire spectaculaire qu’il remporta sur les Ammonites et aussi pour le voeu qu’il fit devant Dieu avant la bataille, voeu qu’il refusa de rompre : “J'ai pris un engagement envers le Seigneur et je ne peux pas revenir sur ma promesse” (Juges 11.35).
Israël erra longtemps dans le désert pour avoir trop ressassé les avantages de la vie en Egypte. Lorsque Dieu lui disait : “Dirige-toi vers Canaan !” le peuple répondait : “Mais lorsque nous étions en Egypte nous pouvions profiter de ceci et de cela...” Beaucoup d’entre nous ne peuvent apprécier la vie chrétienne parce qu’ils ne cessent de penser aux plaisirs que le monde leur offrait naguère. Comme les enfants d’Israël, nous continuons à rêver de l’ail et des poireaux qui poussaient si facilement en Egypte, alors que nous devons à présent nous contenter de la manne que nous offre Dieu au milieu du désert.
Si telle est votre manière de penser, vous ne cesserez de tourner en rond ! Le pays que vous avez quitté est peut-être très intéressant, mais Dieu ne s’y trouve plus, Dieu est là-bas, au coeur de votre avenir ! Prêtez donc attention à ces mots : “S'ils avaient eu la nostalgie de celle qu'ils avaient quittée, ils auraient eu le temps d'y retourner. Mais en fait, ils aspirent à une patrie supérieure, c'est-à-dire céleste. C'est pourquoi Dieu n'a pas honte d'être appelé leur Dieu ; car Il leur a préparé une cité” (Hébreux 11.15-16). Lorsque vous déciderez d’aller de l’avant avec Dieu, de placer vos pas dans les Siens, vous n’aurez plus le droit de faire marche arrière !
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